- JaneMonarque
Merci pour ton témoignage Euphémia. J'espère que ces événements sont désormais derrière toi.
Je suis dans un établissement dit tranquille depuis 10 ans, mais je constate que les incidents envers les profs se multiplient depuis ces dernières années. A chaque fois qu'un de nous a été confronté à un problème de violence (insultes graves, de celles punissables par la loi, s'entend, ou encore menaces), il a dû se débrouiller seul aussi. Aucun soutien de la part de l'administration, qui a chaque fois tenté de minimiser les faits et systématiquement refusé de porter plainte au nom de l'établissement. Les élèves impliqués ont été également sanctionnés de manière très variable, depuis quelques jours d'exclusion temporaire à rien. Aucun conseil de discipline n'a été tenu. Bon, on ne parle pas non plus d'agression physique.
S'agit-il d'injonctions faites aux CDE pour ne "pas faire de vagues" ou des choix individuels ?
Je suis dans un établissement dit tranquille depuis 10 ans, mais je constate que les incidents envers les profs se multiplient depuis ces dernières années. A chaque fois qu'un de nous a été confronté à un problème de violence (insultes graves, de celles punissables par la loi, s'entend, ou encore menaces), il a dû se débrouiller seul aussi. Aucun soutien de la part de l'administration, qui a chaque fois tenté de minimiser les faits et systématiquement refusé de porter plainte au nom de l'établissement. Les élèves impliqués ont été également sanctionnés de manière très variable, depuis quelques jours d'exclusion temporaire à rien. Aucun conseil de discipline n'a été tenu. Bon, on ne parle pas non plus d'agression physique.
S'agit-il d'injonctions faites aux CDE pour ne "pas faire de vagues" ou des choix individuels ?
- JaneMonarque
ipomee a écrit:Merci Jane, mais c'est un peu navrant.Jane a écrit:
Je le sais ! Je trouvais juste dommage que Roumanoff (puisqu'elle a ironisé sur la formation des enseignants) ne se soit pas servi de cette formation risible diffusée par le cndp comme support :lol: :lol: :lol:
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- EuphémiaNiveau 10
Jane a écrit:Merci pour ton témoignage Euphémia. J'espère que ces événements sont désormais derrière toi.
Je suis dans un établissement dit tranquille depuis 10 ans, mais je constate que les incidents envers les profs se multiplient depuis ces dernières années. A chaque fois qu'un de nous a été confronté à un problème de violence (insultes graves, de celles punissables par la loi, s'entend, ou encore menaces), il a dû se débrouiller seul aussi. Aucun soutien de la part de l'administration, qui a chaque fois tenté de minimiser les faits et systématiquement refusé de porter plainte au nom de l'établissement. Les élèves impliqués ont été également sanctionnés de manière très variable, depuis quelques jours d'exclusion temporaire à rien. Aucun conseil de discipline n'a été tenu. Bon, on ne parle pas non plus d'agression physique.
S'agit-il d'injonctions faites aux CDE pour ne "pas faire de vagues" ou des choix individuels ?
Je pense que les agressions physiques se multiplient parce que les agressions verbales, à force de ne pas être sanctionnées, se sont banalisées. Et de cette banalisation, nous avons une grande part de responsabilité. Les CDE et les CPE ont un rôle primordial dans la bonne tenue d'un établissement, mais les enseignants également, en exigeant de leurs élèves qu'ils se rangent, qu'ils ne courent pas ni ne crient dans les couloir, en punissant la moindre infraction au règlement intérieur. Combien parmi nous le font encore ?
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L’école est un lieu admirable. J’aime que les bruits extérieurs n’y entrent point. (Alain)
L'esprit critique, c'est, au minimum, un esprit qui n’a pas peur des mots. (Jean-Claude Michéa)
- JaneMonarque
Euphémia a écrit:Jane a écrit:Merci pour ton témoignage Euphémia. J'espère que ces événements sont désormais derrière toi.
Je suis dans un établissement dit tranquille depuis 10 ans, mais je constate que les incidents envers les profs se multiplient depuis ces dernières années. A chaque fois qu'un de nous a été confronté à un problème de violence (insultes graves, de celles punissables par la loi, s'entend, ou encore menaces), il a dû se débrouiller seul aussi. Aucun soutien de la part de l'administration, qui a chaque fois tenté de minimiser les faits et systématiquement refusé de porter plainte au nom de l'établissement. Les élèves impliqués ont été également sanctionnés de manière très variable, depuis quelques jours d'exclusion temporaire à rien. Aucun conseil de discipline n'a été tenu. Bon, on ne parle pas non plus d'agression physique.
S'agit-il d'injonctions faites aux CDE pour ne "pas faire de vagues" ou des choix individuels ?
Je pense que les agressions physiques se multiplient parce que les agressions verbales, à force de ne pas être sanctionnées, se sont banalisées. Et de cette banalisation, nous avons une grande part de responsabilité. Les CDE et les CPE ont un rôle primordial dans la bonne tenue d'un établissement, mais les enseignants également, en exigeant de leurs élèves qu'ils se rangent, qu'ils ne courent pas ni ne crient dans les couloir, en punissant la moindre infraction au règlement intérieur. Combien parmi nous le font encore ?
Je pense que beaucoup essaient, sans grand résultat puisque les punitions et/ou heures de colles ne sont plus faites, que les sanctions sont inappliquées (inapplicables ?) et que les rapports ne servent à rien (si ce n'est à s'attirer le ressentiment des familles, dont on sait qu'elles ne sont pas les dernières à commettre des actes de violence contre les enseignants).
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- the educatorFidèle du forum
J'aime beaucoup, à nouveau, les analyses d'Elyas sur le système et les injonctions paradoxales. Les rôles des uns et des autres évoluent, beaucoup. Je suis rentré dans un métier ou clairement on ne me demande pas d'être surveillant général (sinon je ne l'aurais jamais choisi), et où la commande entre parfois en collision avec celle de mes collègues professeurs. Je ne travaille pas à la même échelle, ni sur le même calendrier, et au fond avec des objectifs parfois très différents. Quand tu es CPE, ton travail dépend beaucoup de ton chef, mais aussi de ton equipe de profs, et force et de constater AUSSI que toutes les salles des profs n'ont pas la meme culture professionnelle ni la même relation à la fonction éducative. Se positionner au milieu de tout ça, représenter parfois les profs en réunion de direction, parfois la direction dans les discussions de prof, et continuer a proposer un avis objectif et constructif quand tout le monde pense connaitre boulot mieux que moi, c'est parfois difficile aussi.
- the educatorFidèle du forum
Je ne crois pas DU TOUT à cette causalité là. Je suis aux premières loges pour les sanctions, je vois des trajectoires d'élèves qui ont pas mal mangé, y compris au niveau judiciaire avec parfois de l'enfermement, et pour lesquels l'effet est presque nul. Pour certains, à vrai dire, on ne peut plus vraiment taper plus fort.Euphémia a écrit:Je pense que les agressions physiques se multiplient parce que les agressions verbales, à force de ne pas être sanctionnées, se sont banalisées.
La violence, qu'elle soit verbale, physique, entre pairs, vis à vis de l'institution ne s'exprime que parce qu'elle est devenue un système de valeur, vanté par les médias, pratiqué un peu partout dans sa version soft dans les rapports entre individus. J'aime parler de prédation, pour décrire cela. Pour moi, ça n'a RIEN à voir avec l'application de la sanction, et l'exemple de la justice devrait nous l'apprendre.
Notre système de répression, punitions et sanctions, ne fonctionnera que dans un ecosystème ou la règle est admise et ou la collectivité est reconnue, et où on cessera de produire des individus complètement sociopathes (et parfois psychopathes).
- Reine MargotDemi-dieu
Une petite analyse d'une cause possible:
http://www.mezetulle.fr/vous-ne-pouviez-pas-vous-offrir-une-opel/
Mezetulle a écrit:Vous n’avez pas pu échapper à cette fascinante vidéo publicitaire d’Opel.
Scène de voisinage dans une périphérie pavillonnaire bon chic bon genre. Un pré-ado blondinet, accoudé à la clôture mitoyenne, apostrophe son voisin qui s’apprête à monter dans une voiture noire plutôt chic elle aussi. Derrière le garçon se profile une rutilante voiture rouge. On va assister à une exemplaire leçon d’arrogance et d’insolence, à l’exaltation de la mise en déroute d’un adulte (qui n’a pas une Opel) par une petite racaille bien comme il faut (dont le père possède une Opel).
Le gamin a pris l’initiative du dialogue par une appréciation de connaisseur en matière de bagnole : – « Classe, votre voiture ! ». Et l’autre de répondre, poliment ringard : « – Merci ! » ; ce nigaud compassé n’a pas compris que c’était un appât destiné à mettre l’adversaire (car il s’agit d’un combat) à découvert. En effet, cette sensibilité avouée à la « classe » d’une voiture va le mettre sur le terrain et à la merci du petit rapace bien léché, bien peigné, qui a parfaitement assimilé les valeurs et les techniques de la compétition libérale moderne.
Menée de main de maître, l’agression verbale enchaîne les coups directs : -« Vous la contrôlez avec votre portable ? » – « N..non.. » – « Et elle prévient les secours en cas d’accident, non ? » – « …. ». Jusqu’à l’humiliation finale – « Vous ne pouviez pas vous offrir une Opel ? ». Il ne reste plus au vaincu qu’à baisser la tête et à ruminer sa défaite en prenant la faute sur lui : c’est vrai ça, que n’a-t-il acheté l’Opel….. non pas pour ce qu’elle est, mais pour pouvoir soutenir son rang dans l’arène bling-bling où s’affrontent les matuvu ?
Changement de plan. Avec un regard de triomphe, le mioche se détache de la clôture au moment où le maître de la voiture rouge sort de la maison et fait un bref salut de la main au voisin qui lui répond pensivement. C’est à l’évidence le père de l’insolent. Il respire l’aisance, la force, la sûreté de soi, la santé, l’allégresse, la jubilation d’avoir une voiture « contrôlée avec son portable ». Père et fils montent à bord : c’est le moment pour Opel de prendre la main en voix off et d’illustrer, pour les quelques secondes qui restent, certaines capacités de la voiture.
C’est très bien fait : en quelques cruelles salves décochées par l’enfant, on a appris bien des choses sur cette merveilleuse voiture – c’était l’objectif principal.
http://www.mezetulle.fr/vous-ne-pouviez-pas-vous-offrir-une-opel/
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- CeladonDemi-dieu
Il faudrait un remake de cette pétasserie montrant le père se manger un poteau. Avec réactions adéquates du bijou opellien.
- Dw4rF_NaheulbeukNiveau 5
Reine Margot a écrit:Une petite analyse d'une cause possible: [...]
http://www.mezetulle.fr/vous-ne-pouviez-pas-vous-offrir-une-opel/
Ce n'est pourtant que la dernière itération d'un mouvement de fond qui a commencé tellement plus tôt! Il y a quelques années déjà (entre 5 et 10 ans) dans n'importe quelle série TV américaine on se retrouvait avec un schéma infantilisant l'adulte et adultisant les enfant (pour être tout à fait clair il suffit de jeter un oeil à n'importe quel épisode des première saisons de The Good Wife)
La situation est devenue tellement récurrente dans les soaps qu'il est on ne peut plus logique qu'on la retrouve dans les publicités; je pense même qu'on n'en n'est encore qu'au début.
Ps: c'est tombé sur The Good Wife mais je suis presque certain que n'importe quel soap obéit à la même règle (l'ado de Blue Bloods en est un autre exemple, le jeune Bruce Wayne de Gotham...)
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Les Annales du Disque-Monde, Tome 18 : Masquarade de Terry Pratchett
Et, comme le Q.I. D'une populace équivaut au Q.I. de son membre le plus crétin divisé par le nombre de participants, personne ne sut jamais vraiment ce qui s'était passé.
- PabloPEExpert
the educator a écrit:Je ne crois pas DU TOUT à cette causalité là. Je suis aux premières loges pour les sanctions, je vois des trajectoires d'élèves qui ont pas mal mangé, y compris au niveau judiciaire avec parfois de l'enfermement, et pour lesquels l'effet est presque nul. Pour certains, à vrai dire, on ne peut plus vraiment taper plus fort.Euphémia a écrit:Je pense que les agressions physiques se multiplient parce que les agressions verbales, à force de ne pas être sanctionnées, se sont banalisées.
La violence, qu'elle soit verbale, physique, entre pairs, vis à vis de l'institution ne s'exprime que parce qu'elle est devenue un système de valeur, vanté par les médias, pratiqué un peu partout dans sa version soft dans les rapports entre individus. J'aime parler de prédation, pour décrire cela. Pour moi, ça n'a RIEN à voir avec l'application de la sanction, et l'exemple de la justice devrait nous l'apprendre.
Notre système de répression, punitions et sanctions, ne fonctionnera que dans un ecosystème ou la règle est admise et ou la collectivité est reconnue, et où on cessera de produire des individus complètement sociopathes (et parfois psychopathes).
J'attendais cette réaction... les pauvres victimes de la société. Bon leurs victimes vivent dans la même société et ne veulent pas pour autant tout détruire mais bon tant qu'on trouve des excuses aux bourreaux
Voilà voilà la boucle est bouclée. On se demande bien de quel type de CPE parle l'auteur de l’article :lol:
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"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- InvitéInvité
Mais ne fait-on pas souvent la confusion dans la discussion entre excuses et causes. Parce que, si on quitte la thématique de l'excuse, il est quand même difficile de nier que notre société de plus plus inégalitaire et foutraque "produit" bien des gens au comportement de plus en plus problématique non?
- Reine MargotDemi-dieu
J'ai l'impression que les inégalités sociales et la pauvreté ne sont pas la première cause (en effet au sortir de la guerre la France était ruinée, majoritairement rurale et on a même institué la collation en maternelle pour ceux qui n'avaient pas à manger chez eux), 'cest surtout la crise des institutions, politiques et sociales, il n'y a plus rien qui incarne une véritable autorité (et non autoritarisme), quelque chose que les gens respectent vraiment.
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La famille Bélier
- LaotziSage
Tamerlan a écrit:Mais ne fait-on pas souvent la confusion dans la discussion entre excuses et causes. Parce que, si on quitte la thématique de l'excuse, il est quand même difficile de nier que notre société de plus plus inégalitaire et foutraque "produit" bien des gens au comportement de plus en plus problématique non?
Oui mais n'oublions pas ce qu'a dit Manuel Valls, "expliquer, c'est déjà vouloir un peu excuser"
Bernard Lahire a sorti un petit ouvrage pour combattre cette antienne : http://www.laviedesidees.fr/La-sociologie-sans-excuses.html
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- InvitéInvité
Reine Margot a écrit:J'ai l'impression que les inégalités sociales et la pauvreté ne sont pas la première cause (en effet au sortir de la guerre la France était ruinée, majoritairement rurale et on a même institué la collation en maternelle pour ceux qui n'avaient pas à manger chez eux), 'cest surtout la crise des institutions, politiques et sociales, il n'y a plus rien qui incarne une véritable autorité (et non autoritarisme), quelque chose que les gens respectent vraiment.
Oui il s'agit plus de délitement social à long terme que d'une simple question de revenu moyen. Par exemple l'affaiblissement des structures familiales et la montée de l'individualisme dans un contexte croissant d'inégalité. Le tout en système dans un cercle pas bien vertueux...
- ZagaraGuide spirituel
A côté des inégalités, discriminations, etc. notre société produit aussi des antisociaux du fait de la suppression d'à peu près tous les réseaux symboliques qui donnaient l'impression aux Français qu'ils faisaient parties du même groupe humain (la nation). Ça partait d'un bon sentiment de "déstructurer le patriotisme" et de supprimer l'idée d'appartenance à la nation, mais je pense que ça a eu un effet de long terme en renforçant l'individualisme et en laissant le champ symbolique aux idéologies concurrentes. D'une part ceux qui ne gardent de la nation que le nationalisme (FN), d'autre part ceux qui font de la nation française un gros repoussoir, porteuse de toutes les maladies et qu'il faut tenir à distance voire détruire (salafisme, djihadisme).
- the educatorFidèle du forum
C'est l'opposition qu'on établit parfois entre la pauvreté et la misère.Tamerlan a écrit:Oui il s'agit plus de délitement social à long terme que d'une simple question de revenu moyen. Par exemple l'affaiblissement des structures familiales et la montée de l'individualisme dans un contexte croissant d'inégalité. Le tout en système dans un cercle pas bien vertueux...
Je ne crois pas non plus que la pauvreté ou les inégalités soient en cause immédiatement. En revanche le principe de croissance, le fait de générer toujours plus de revenu, d'avoir son produit en concurrence sauvage avec 50 autres concurrents et être prêt à s'attaquer au cerveau du client pour faire son trou, surstimuler ledit client pour qu'il intègre des nouveaux besoins, besoins individualistes qui prennent le pas sur tous les autres mecanismes sociaux...
edit: j'ai parlé de produit, mais quand on voit comme la vie politique, au sens premier, ressemble de plus en plus a du placement d eproduit, avec les memes mecanismes, on peut je crois se demander quels sont les moments ou l'individu n'est plus un client et devient un citoyen. Et a terme si les organes developpés par le client sont viable dans un environnement de cité.
Sans compter les PE qui ne comprennent visiblement pas ce qu'ils lisent. Il ne me semble avoir excusé nulle part les travers que je décris, mais puisque dans ta tête c'est ainssi... Par ailleurs ton argument sur le souhait individuel des victimes qui s'opposerait à la volonté individuelle des bourreaux ne semble pas tenir la route, en tout cas l’expérience démontre que ce n'est pas le cas.PabloPE a écrit:J'attendais cette réaction... les pauvres victimes de la société. Bon leurs victimes vivent dans la même société et ne veulent pas pour autant tout détruire mais bon tant qu'on trouve des excuses aux bourreaux Rolling Eyes
Voilà voilà la boucle est bouclée. On se demande bien de quel type de CPE parle l'auteur de l’article Laughing
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