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- sifiÉrudit
Cette femme m'épuise.
Il est temps que ça s'arrête... bientôt, elle parlera d'envoyer les élèves sur Mars, ou d'instaurer l'internat pour tous!
Quand je pense que l'on constate que quotidien que le collège unique est déjà quelque chose qui ne fonctionne pas, que certains élèves seraient bien mieux à apprendre un métier plutôt qu'à s'ennuyer avec de la poésie lyrique... et elle veut aggraver les choses?
Le manque de réalisme de cette femme devient de l'ordre de la grosse blague.
Il est temps que ça s'arrête... bientôt, elle parlera d'envoyer les élèves sur Mars, ou d'instaurer l'internat pour tous!
Quand je pense que l'on constate que quotidien que le collège unique est déjà quelque chose qui ne fonctionne pas, que certains élèves seraient bien mieux à apprendre un métier plutôt qu'à s'ennuyer avec de la poésie lyrique... et elle veut aggraver les choses?
Le manque de réalisme de cette femme devient de l'ordre de la grosse blague.
- BalthamosDoyen
Graisse-Boulons a écrit:" faire reculer ou stagner les chiffres du chômage quelques temps".
Tout est dit !
Ou rien est dit.
On a une vague proposition et on ne sait absolument pas ce qui se cache derrière.
Il y a environ 50 ans, la scolarité obligatoire est passée de 14 à 16 ans pour les jeunes de 6 ans. Autrement dit la mesure entrait en action 10 ans après. Le temps pour l'état de se préparer, d'investir, de former, de construire.
Pour qu'on puisse y réfléchir sérieusement, il faudrait connaître les modalités, la proposition concrète qui n'existe pas et qui n'existera pas avant le prochain mandat. Bref aucun débat possible autre qu'idéologique et dogmatique.
Peut être est (entre autre) une stratégie pour orienter le débat sur l'éducation autour de cette proposition et non sur le bilan, et non en insistant sur la réforme du collège.
- egometDoyen
C'est vrai qu'on a besoin de connaître les modalités pour savoir si ce serait seulement inutile (les élèves capables de suivre des études et qui le souhaitent le font déjà) ou carrément désastreux.Balthamos a écrit:Graisse-Boulons a écrit:" faire reculer ou stagner les chiffres du chômage quelques temps".
Tout est dit !
Ou rien est dit.
On a une vague proposition et on ne sait absolument pas ce qui se cache derrière.
Il y a environ 50 ans, la scolarité obligatoire est passée de 14 à 16 ans pour les jeunes de 6 ans. Autrement dit la mesure entrait en action 10 ans après. Le temps pour l'état de se préparer, d'investir, de former, de construire.
Pour qu'on puisse y réfléchir sérieusement, il faudrait connaître les modalités, la proposition concrète qui n'existe pas et qui n'existera pas avant le prochain mandat. Bref aucun débat possible autre qu'idéologique et dogmatique.
Peut être est (entre autre) une stratégie pour orienter le débat sur l'éducation autour de cette proposition et non sur le bilan, et non en insistant sur la réforme du collège.
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Primum non nocere.
Ubi bene, ibi patria.
Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- XIIINeoprof expérimenté
Darcos nous a épuisé, Chatel, Peillon et maintenant NVB...Avant il y a eu Fillon et sa loi d'Orientation, son socle commun et sa Loi Montchamps! Pour ne remonter que d'une dizaine d'années! J'avais oublié Hamon et son décret sur les rythmes qui permet aux mairies qui le souhaitent de libérer une après midi dans la semaine en conservant les mêmes horaires que pendant l'école à 4 jours...
Tous ces gens passent mais cette mentalité, cette volonté de casser demeure!
Tous ces gens passent mais cette mentalité, cette volonté de casser demeure!
- Ignatius ReillyFidèle du forum
C'est pratique en tous cas pour ne plus parler des gamins qui quittent l'école à 16 ans sans rien avoir appris. On parlera désormais de jeunes en âge de travailler qui n'ont aucune qualification. Les autres, ceux à qui ont aura donné le bac stmg, iront se casser la figure à la fac, ou rien foutre à la fac.
- egometDoyen
XIII a écrit:Darcos nous a épuisé, Chatel, Peillon et maintenant NVB...Avant il y a eu Fillon et sa loi d'Orientation, son socle commun et sa Loi Montchamps! Pour ne remonter que d'une dizaine d'années! J'avais oublié Hamon et son décret sur les rythmes qui permet aux mairies qui le souhaitent de libérer une après midi dans la semaine en conservant les mêmes horaires que pendant l'école à 4 jours...
Tous ces gens passent mais cette mentalité, cette volonté de casser demeure!
Oh! Il n'y a pas de volonté de casser, plutôt le contraire, celle de tout contrôler. Je crains plus la vanité et l'incompétence des politiciens que leur cynisme.
Ils sont sincères dans leurs méfaits, les bougres.
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