- JaneMonarque
Lectures des mois de mai et juin:
Dans la chaleur d'une île grecque, un homme se cache pour échapper à ses poursuivants. Il évoque sa vie hors du commun et tente de démêler l'écheveau de son destin. Fils d'un modeste pelletier, il est devenu l'homme le plus riche de France. Il a permis à Charles VII de terminer la guerre de Cent Ans. Il a changé le regard sur l'Orient. Avec lui, l'Europe est passée du temps des croisades à celui de l'échange. Comme son palais à Bourges, château médiéval d'un côté et palais Renaissance de l'autre, c'est un être à deux faces. Aussi familier des rois et du pape que des plus humbles maisons, il a voyagé à travers tout le monde connu. Au faîte de sa gloire, il a vécu la chute, le dénuement, la torture avant de retrouver la liberté et la fortune. Parmi tous les attachements de sa vie, le plus bouleversant fut celui qui le lia à Agnès Sorel, la Dame de Beauté, première favorite royale de l'Histoire de France, disparue à vingt-huit ans. Son nom est Jacques Cœur. Il faut tout oublier de ce que l'on sait sur le Moyen Âge et plonger dans la fraîcheur de ce livre. Il a la puissance d'un roman picaresque, la précision d'une biographie et le charme mélancolique des confessions.
Le portrait dit des Époux Arnolfini a été peint par Jan Van Eyck en 1434 : énigmatique, étrangement beau, sans précédent ni équivalent dans l’histoire de la peinture... Cet ouvrage offre un voyage au cœur de ce tableau, qui aimante par sa composition souveraine et suscite l’admiration par sa facture. Touche après touche, l’auteur décrypte les leurres et symboles semés par l’artiste sur sa toile, à l’image d’un roman policier à énigmes. Alors le tableau prend corps, son histoire se tisse de manière évidente et les personnages qui nous regardent dans cette scène immuable prennent vie devant nous...
Paris, un atelier d'artiste caché au fond d'une allée verdoyante.
Madeline l'a loué pour s'y reposer et s'isoler.
À la suite d'une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L'atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l'assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd'hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d'unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Florence, 1478. Laurent de Médicis réchappe à l'attentat qui le vise, lui et sa famille, plongeant la ville dans un climat de stupeur et d'effroi. Florence, de nos jours. Ana étudie les carnets du peintre Pierpaolo Masoni, témoin du drame. Que s'est'il passé? Qui a trahi? Et qui a fomenté le complot? En ravivant cette affaire, la thésrde en histoire de l'art est loin d'imaginer qu'elle va devenir la cible d'une police parallèle et des hommes de main du Vatican...
Elle fut une gosse de Brooklyn rêvant d'un destin grandiose dans les cinémas de quartier. Elle fut la première it girl, immense star du muet, à qui les fans envoyaient des lettres par milliers. Elle fut l'âme des années vingt, icône virevoltante de l'âge du jazz, adoubée par Francis Scott Fitzgerald. Elle fut une amoureuse ardente, aux bras de Gary Cooper ou de Victor Fleming. Elle fut une femme à qui on reprocha sa liberté, sans reculer devant les fables les plus sordides. Elle fut l'une des victimes inaugurales de cette machine à broyer les êtres : Hollywood. En 1933, la fulgurante carrière de Clara Bow s'achevait. Elle avait vingt-huit ans.
Un an après le décès accidentel de Lydia, l'une de leurs filles jumelles, Angus et Sarah Moorcroft quittent Londres pour oublier le drame. Ils s'installent sur une petite île écossaise, qu'ils ont héritée de la grand-mère d'Angus, au large de Skye.
Mais l'emménagement ne se passe pas aussi bien que prévu. Le comportement de Kirstie, leur fille survivante, devient étrange : elle se met à affirmer qu'elle est en réalité Lydia. Alors qu'un brouillard glacial enveloppe l'île, l'angoisse va grandissant... Que s'est-il vraiment passé en ce jour fatidique où l'une des deux sœurs a trouvé la mort ?
Corruption, assassinat, pouvoir, passion : tels sont les maîtres mots de l'histoire légendaire de Cosimo de Médicis et de sa descendance. Son histoire est aussi celle de la République de Florence, de son évolution artistique, politique, industrielle et commerciale alors qu'elle dominait l'Europe des XIVe et XVe siècles.
Un curé traverse la route en portant une pendule. Un canon anglais passe au grand galop, les chevaux fouettés par les artilleurs français. Un colonel sans capote et nu-tête fait ses grands pas dans l'herbe. De sa main gauche, il tient une boîte de sardines ouverte. Il trempe le pain dans l'huile et il pompe à pleine bouche. Un officier anglais, penché derrière un arbre, allume sa pipe à l'abri. Tout ça s'en va vers le mont Cassel. Un réquisitoire contre la guerre.
Vous roulez en pleine nuit avec votre meilleur ami, tous feux éteints.
Devant vous, un champ d'éoliennes désert.
Soudain le choc, d'une violence inouïe. Un corps gît près de votre véhicule. À ses côtés, un sac de sport. Dedans, deux millions d'euros.
Une femme à bout de souffle court dans l'orage. Dans le creux de sa main, un message gravé en lettres de sang : " Pr de retour ". Elle pense être en février, nous sommes fin avril. Elle croit sa mère vivante, celle-ci s'est suicidée voilà trois ans dans un hôpital psychiatrique... Quatre minutes. C'est pour elle la durée approximative d'un souvenir. Après, sans le secours de son précieux organiseur électronique, les mots, les sons, les visages... tout disparaît. Pourquoi ces traces de corde sur ses poignets ? Que signifient ces scarifications, ces phrases inscrites dans sa chair ? Quel rapport entre cette jeune femme et les six victimes retrouvées scalpées et torturées quatre années plus tôt ? Pour Lucie Henebelle, lieutenant de police de la brigade criminelle de Lille, la soirée devait être tranquille. Elle deviendra vite le pire de ses cauchemars... Une lutte s'engage, qui fera ressurgir ses plus profonds démons.
Dans la chaleur d'une île grecque, un homme se cache pour échapper à ses poursuivants. Il évoque sa vie hors du commun et tente de démêler l'écheveau de son destin. Fils d'un modeste pelletier, il est devenu l'homme le plus riche de France. Il a permis à Charles VII de terminer la guerre de Cent Ans. Il a changé le regard sur l'Orient. Avec lui, l'Europe est passée du temps des croisades à celui de l'échange. Comme son palais à Bourges, château médiéval d'un côté et palais Renaissance de l'autre, c'est un être à deux faces. Aussi familier des rois et du pape que des plus humbles maisons, il a voyagé à travers tout le monde connu. Au faîte de sa gloire, il a vécu la chute, le dénuement, la torture avant de retrouver la liberté et la fortune. Parmi tous les attachements de sa vie, le plus bouleversant fut celui qui le lia à Agnès Sorel, la Dame de Beauté, première favorite royale de l'Histoire de France, disparue à vingt-huit ans. Son nom est Jacques Cœur. Il faut tout oublier de ce que l'on sait sur le Moyen Âge et plonger dans la fraîcheur de ce livre. Il a la puissance d'un roman picaresque, la précision d'une biographie et le charme mélancolique des confessions.
Le portrait dit des Époux Arnolfini a été peint par Jan Van Eyck en 1434 : énigmatique, étrangement beau, sans précédent ni équivalent dans l’histoire de la peinture... Cet ouvrage offre un voyage au cœur de ce tableau, qui aimante par sa composition souveraine et suscite l’admiration par sa facture. Touche après touche, l’auteur décrypte les leurres et symboles semés par l’artiste sur sa toile, à l’image d’un roman policier à énigmes. Alors le tableau prend corps, son histoire se tisse de manière évidente et les personnages qui nous regardent dans cette scène immuable prennent vie devant nous...
Paris, un atelier d'artiste caché au fond d'une allée verdoyante.
Madeline l'a loué pour s'y reposer et s'isoler.
À la suite d'une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L'atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l'assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd'hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d'unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Florence, 1478. Laurent de Médicis réchappe à l'attentat qui le vise, lui et sa famille, plongeant la ville dans un climat de stupeur et d'effroi. Florence, de nos jours. Ana étudie les carnets du peintre Pierpaolo Masoni, témoin du drame. Que s'est'il passé? Qui a trahi? Et qui a fomenté le complot? En ravivant cette affaire, la thésrde en histoire de l'art est loin d'imaginer qu'elle va devenir la cible d'une police parallèle et des hommes de main du Vatican...
Elle fut une gosse de Brooklyn rêvant d'un destin grandiose dans les cinémas de quartier. Elle fut la première it girl, immense star du muet, à qui les fans envoyaient des lettres par milliers. Elle fut l'âme des années vingt, icône virevoltante de l'âge du jazz, adoubée par Francis Scott Fitzgerald. Elle fut une amoureuse ardente, aux bras de Gary Cooper ou de Victor Fleming. Elle fut une femme à qui on reprocha sa liberté, sans reculer devant les fables les plus sordides. Elle fut l'une des victimes inaugurales de cette machine à broyer les êtres : Hollywood. En 1933, la fulgurante carrière de Clara Bow s'achevait. Elle avait vingt-huit ans.
Un an après le décès accidentel de Lydia, l'une de leurs filles jumelles, Angus et Sarah Moorcroft quittent Londres pour oublier le drame. Ils s'installent sur une petite île écossaise, qu'ils ont héritée de la grand-mère d'Angus, au large de Skye.
Mais l'emménagement ne se passe pas aussi bien que prévu. Le comportement de Kirstie, leur fille survivante, devient étrange : elle se met à affirmer qu'elle est en réalité Lydia. Alors qu'un brouillard glacial enveloppe l'île, l'angoisse va grandissant... Que s'est-il vraiment passé en ce jour fatidique où l'une des deux sœurs a trouvé la mort ?
Corruption, assassinat, pouvoir, passion : tels sont les maîtres mots de l'histoire légendaire de Cosimo de Médicis et de sa descendance. Son histoire est aussi celle de la République de Florence, de son évolution artistique, politique, industrielle et commerciale alors qu'elle dominait l'Europe des XIVe et XVe siècles.
Un curé traverse la route en portant une pendule. Un canon anglais passe au grand galop, les chevaux fouettés par les artilleurs français. Un colonel sans capote et nu-tête fait ses grands pas dans l'herbe. De sa main gauche, il tient une boîte de sardines ouverte. Il trempe le pain dans l'huile et il pompe à pleine bouche. Un officier anglais, penché derrière un arbre, allume sa pipe à l'abri. Tout ça s'en va vers le mont Cassel. Un réquisitoire contre la guerre.
Vous roulez en pleine nuit avec votre meilleur ami, tous feux éteints.
Devant vous, un champ d'éoliennes désert.
Soudain le choc, d'une violence inouïe. Un corps gît près de votre véhicule. À ses côtés, un sac de sport. Dedans, deux millions d'euros.
Une femme à bout de souffle court dans l'orage. Dans le creux de sa main, un message gravé en lettres de sang : " Pr de retour ". Elle pense être en février, nous sommes fin avril. Elle croit sa mère vivante, celle-ci s'est suicidée voilà trois ans dans un hôpital psychiatrique... Quatre minutes. C'est pour elle la durée approximative d'un souvenir. Après, sans le secours de son précieux organiseur électronique, les mots, les sons, les visages... tout disparaît. Pourquoi ces traces de corde sur ses poignets ? Que signifient ces scarifications, ces phrases inscrites dans sa chair ? Quel rapport entre cette jeune femme et les six victimes retrouvées scalpées et torturées quatre années plus tôt ? Pour Lucie Henebelle, lieutenant de police de la brigade criminelle de Lille, la soirée devait être tranquille. Elle deviendra vite le pire de ses cauchemars... Une lutte s'engage, qui fera ressurgir ses plus profonds démons.
- ParrhesiaNiveau 1
Je dévore en ce moment le cycle de Dune, de Frank Herbert. Je lis habituellement peu de SF, mais il se pourrait bien que je me mette à ce genre plus assidûment quand j'en aurai terminé avec Dune !
- LilipommeNiveau 8
Je relance. Pas d'avis sur L'insoutenable légèreté de l'être ?
- cavatineNiveau 9
Prune a écrit:Je relance. Pas d'avis sur L'insoutenable légèreté de l'être ?
Je ne l'avais pas beaucoup apprécié, quand je l'avais lu - vers mes 18 ans -. J'avais trouvé ça un peu... (que les admirateurs de Kundera me pardonnent) pédant, et alambiqué. Je n'ai du coup jamais souhaité le relire, ni me tourner vers d'autres bouquins de Kundera (à part L'art du roman).
- LilipommeNiveau 8
Merci. Je ne trouve pas ça si philosophique que cela...
- HonchampDoyen
Moi, j'avais bien aimé. C'était à un moment où je lisais beaucoup sur l'Europe de l'Est. Donc, je cherchais à lire sur l'Europe de l'Est (en tant que prof d'histoire) , et non à lire du Kundera, ou de la littérature.
Et j'avoue que quand un passage m'ennuie, je survole.
Et j'avoue que quand un passage m'ennuie, je survole.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- LouisBarthasExpert
"Dans nos sociétés si régulées, visant le contrôle et l'optimisation de toute situation, l'usage délibéré et revendiqué de nos sens revient à mettre à distance ces logiques toujours plus dominantes et asphyxiantes. Il revient à accepter la part d'incertitude, d'inattendu, d'ambiguïté propre au réel, et à admettre qu'il nous excède, finissant toujours par se dérober à notre acharnement à tenter de le contenir."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- LucreziaNiveau 9
Lecture-détente pour bien commencer les vacances: « J'adore la mode mais c'est tout ce que je déteste » : pépiements de Loïc Prigent, chez Grasset, sorti en Septembre 2016.
« Dans la volière dorée de la mode pépient créateurs, mannequins, attachées de presse, assistants, clientes du monde entier. Ce tout petit monde d'une grande importance rit, raille, persifle, percute, se pâme, se mord. Rien n'est assez exagéré dans la sophistication, assez excessif dans la frivolité. Depuis plusieurs saisons, Loïc Prigent récolte leurs mots d'esprit, volontaires ou non. Les voici, frivoles et féroces, ahuris et perfides, perchés et poétiques. Le livre le plus drôle jamais écrit sur la mode. »
Très drôle à lire, et en même temps un peu déprimant. En fait, ça m'a fait penser aux livres répertoriant les perles du bac: comique à raconter, mais triste à vivre.
Le livre doit comporter à la louche environ 2300 citations; je vous en livre une cinquantaine, histoire de vous donner une idée de la chose.
« Dans la volière dorée de la mode pépient créateurs, mannequins, attachées de presse, assistants, clientes du monde entier. Ce tout petit monde d'une grande importance rit, raille, persifle, percute, se pâme, se mord. Rien n'est assez exagéré dans la sophistication, assez excessif dans la frivolité. Depuis plusieurs saisons, Loïc Prigent récolte leurs mots d'esprit, volontaires ou non. Les voici, frivoles et féroces, ahuris et perfides, perchés et poétiques. Le livre le plus drôle jamais écrit sur la mode. »
Très drôle à lire, et en même temps un peu déprimant. En fait, ça m'a fait penser aux livres répertoriant les perles du bac: comique à raconter, mais triste à vivre.
Le livre doit comporter à la louche environ 2300 citations; je vous en livre une cinquantaine, histoire de vous donner une idée de la chose.
- Spoiler:
« -T'as mangé ? - Oui, du coca zéro. »
« Ça rouille, l'or ? »
« Les gens veulent du bling crasseux. C'est ça qui cartonne. »
« Elle est imperméable à la culpabilité. Essaie plutôt la manipulation positive. »
« Le mec il te drague avec une voix grave et après il boit sa vodka à la paille. »
« C'est le dernier de mes anniversaires de 35 ans, l'année prochaine ce sera mon premier 39 ans. »
« Elle devrait se taire quand elle parle. »
« -C'est noir. -Non, c'est merle. »
« -C'est du python qu'on a déteint pour y imprimer un effet python. -Vous avez dépythoné pour repythoner ? -Oui. »
« Je travaillais dans le conseil et on me prenait pour une dingue. Maintenant je suis dans la mode et je suis normale. »
« -Ça se lave comment ? -Ça ne se lave pas. Tu le mets une fois, tout le monde te voit avec et tu le jettes. »
« -Tu penses qu'il est mytho ? -Non, il n'est pas assez intelligent pour inventer. »
« Elle est mignonne mais trop. Elle a du sang rose dans les veines et des os en bonbon. »
« -Bonjour -Bonjour on voudrait une salade et quatre couverts. -Une salade pour quatre ? -Oui merci ! »- Spoiler:
« Le profil du stagiaire qu'on cherche c'est Sciences-Po Givenchy Couture. »
« C'est qui la styliste ? Une vieille copine aveugle ? »
« J'ai tellement faim je pourrais manger. »
« Ne le prends pas personnellement, elle déteste tout le monde. Rien à voir avec toi. Même si moins de parfum aiderait. »
« -C'est quoi ce vert ? -Vomi de la Reine. »
« C'est une vraie Parisienne. Elle met du Chanel comme si c'était du Monoprix et du Monoprix comme si c'était du Chanel. »
« -Tu veux du champagne ? -Non merci, ça me rappelle trop le boulot. »
« Son mot de passe c'est motdepasse. Je parie qu'il a voté Bayrou en 2007. »
« Elle est persuadée de ressembler à Charlize Theron mais elle ressemble au flacon de J'adore. »
« Il me fait penser à Grenouille dans Le Parfum mais sans l'odorat. »
« Il a écrit Cartier « Quartier » dans un mail. Il dit que c'est le correcteur d'orthographe, mais je répands la rumeur quand même. »
« Oh merde, des escaliers... » (avec des talons de 18)
« Il est tellement sûr de lui que dans son business plan il a prévu les rentrées d'argent des procès qu'il gagnera contre les copieurs. »
« On a fini la minirobe en cuir verni. On pensait à la fille atroce qui allait acheter ça et si on allait alimenter le monstre. »
« En même temps je comprends ; Qui serait normal à sa place ? »
« Elle s'appelle Anne-Marie mais sans tiret ni E. Annmari. »
« Dans sa bouche, sublime ça veut dire tarte. »
« Méfie-toi. Plus elles sont gentilles plus elles sont méchantes. »- Spoiler:
« -C'était clivant. -You mean, moche ? -Oui. »
« Elle a une peau parfaite. Comme quoi, la cruauté ça conserve. »
« Il faut les choquer. Pas les intimider. Nuance... »
« Elle va manger au Flore, ça lui donne l'impression de lire. »
« La stagiaire a un prénom trop ethnique qu'on n'arrive pas à prononcer donc on l'appelle Lala. »
« Il a inventé le tee-shirt à 500 euros. C'est un génie. »
« Il voulait se faire virer alors il est venu en costume saumon au studio pendant un mois. »
« -Elle a quel âge ? -Impossible à dire. Elle fait des liftings pervers où le chirurgien laisse de vraies fausses rides. »
« -Regarde, c'est le petit que j'ai formé. Depuis qu'il est entré chez LVMH il ne me dit plus bonjour. -Tu l'as bien formé. »
« Elle écoute les idées de ses clients A et B. Elle leur fout le doute, et les sauve en vendant à A l'idée de B et inversement. Génie. »
« Elles vont encore toutes être en Valentino noir. C'est le retour des clonasses. »
« Tu trouves la collection pas assez sexy ? A part faire un trou dans le cul des jupes je vois pas comment on peut faire plus sexy. »
« Ses défilés étaient vachement bien jusqu'à ce qu'il se mette à réfléchir. Là j'y vais plus. »
« Mais oui je mange, je prends des vitamines C le matin. » (dit avec la plus grande sincérité)
« Elle se parfume énormément. On l'appelle « Le Sephora A Explosé ». »
« Tu dis pas importable, tu dis avant-garde. Tu dis pas indécent, tu dis jeu de transparences. »
« -Qui c'est ? -Elle a une tête de 4ème rang. »
« Tu dis pas elle est virée tu dis elle s'éloigne de la Maison pour se consacrer à un projet personnel dans l'édition. »
« C'est tellement moche on dirait une fringue de l'an prochain. »
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« Ὁ βίος βραχύς, ἡ δὲ τέχνη μακρή, ὁ δὲ καιρὸς ὀξύς, ἡ δὲ πεῖρα σφαλερή, ἡ δὲ κρίσις χαλεπή. » Hippocrate
- IphigénieProphète
Je poste pas souvent ici, tiens!
mes dernières lectures sympa en ce début de vacances:
-Vargas, La recluse: on en a déjà parlé, c'est du bon Vargas, quoi.
-A.Perez-Reverte: Deux hommes de bien:
promenade dans le XVIIIe
À la fin du XVIIIe siècle, deux membres de l'Académie royale d'Espagne sont mandatés par leurs collègues pour se rendre à Paris et en rapporter les 28 tomes de l'Encyclopédie, alors interdite dans leur pays. Le bibliothécaire don Hermógenes Molina et l'amiral don Pedro Zárate, hommes de bien intègres et courageux, entreprennent alors de Madrid à Paris un long voyage semé de difficultés et de dangers.
-Tanguy Viel: Article 353 du code penal
Derrière ce titre austère, le récit, qui se lit d'un trait, d'un homme qui raconte comment il a balancé à la mer un promoteur immobilier, suivi du récit de ce qui l'a amené à ce geste. On comprend vite qu'il s'agit de sa déposition devant le juge d'instruction.
PS pour L'insoutenable légèreté de l'être, c'est le premier Kundera que j'ai lu, il y a fort longtemps, et ce n'est pas celui qui m'a le plus plu. A vrai dire, je n'en ai pas gardé un grand souvenir. Idem pour la vie est ailleurs. Pourtant j'aime bien tous les autres.
mes dernières lectures sympa en ce début de vacances:
-Vargas, La recluse: on en a déjà parlé, c'est du bon Vargas, quoi.
-A.Perez-Reverte: Deux hommes de bien:
promenade dans le XVIIIe
À la fin du XVIIIe siècle, deux membres de l'Académie royale d'Espagne sont mandatés par leurs collègues pour se rendre à Paris et en rapporter les 28 tomes de l'Encyclopédie, alors interdite dans leur pays. Le bibliothécaire don Hermógenes Molina et l'amiral don Pedro Zárate, hommes de bien intègres et courageux, entreprennent alors de Madrid à Paris un long voyage semé de difficultés et de dangers.
-Tanguy Viel: Article 353 du code penal
Derrière ce titre austère, le récit, qui se lit d'un trait, d'un homme qui raconte comment il a balancé à la mer un promoteur immobilier, suivi du récit de ce qui l'a amené à ce geste. On comprend vite qu'il s'agit de sa déposition devant le juge d'instruction.
PS pour L'insoutenable légèreté de l'être, c'est le premier Kundera que j'ai lu, il y a fort longtemps, et ce n'est pas celui qui m'a le plus plu. A vrai dire, je n'en ai pas gardé un grand souvenir. Idem pour la vie est ailleurs. Pourtant j'aime bien tous les autres.
- AlancyaNiveau 3
Prune : Je n'avais pas beaucoup aiméL'insoutenable légèreté de l'être. Comme certains l'ont déjà dit, je l'ai trouvé plutôt alambiqué, pour une "philosophie" qui ne le demandait pas.
En revanche j'ai adoré La valse aux adieux. Donc, si je puis permettre, ne rejette pas Kundera pas en bloc
En revanche j'ai adoré La valse aux adieux. Donc, si je puis permettre, ne rejette pas Kundera pas en bloc
- Kozmic BluesNiveau 1
Khomeiny, Sade et moi, Abnousse Shalmani : Je l'ai commencé puis laissé de côté pendant deux mois sans savoir si c'était juste mon quotidien qui faisait que je n'avais pas vraiment envie de lire ou si je n'accrochais tout simplement pas à cette lecture. En vacances, plus aucune excuse, j'ai repris la lecture.
Globalement, je ne regrette pas du tout d'avoir lu ce livre, j'ai trouvé le point de vue d'Abnousse Shalmani, arrivée en France après avoir quitté l'Iran de Khomeiny, très intéressant, alternant notes graves et traits d'humour.
Cependant, j'ai souvent été assez ennuyée par son manichéisme. Paradoxalement, c'est aussi cela qui donne du charme à son écriture : Abnousse Shalmani est une passionnée, lorsque quelque chose ne lui convient pas, elle le rejette en bloc, de la même manière, lorsqu'elle aime quelque chose, elle le place au rang de merveille absolue.
Les dernières pages du roman étaient un peu fourre-tout. J'ai été plus intéressée par les parties du livre qui concernaient son enfance en Iran et son adolescence en France que par ses analyses de la coupe du monde 1998 au 21 avril 2002 en passant par le 9/11.
Asking for it, Louise O'Neill : Emma O'Donovan est une irlandaise de 18 ans. Elle est très belle, elle le sait et adore plaire. Convoitée par les garçons et jalousée et admirée par les filles, elle est considérée comme une aguicheuse. Un soir elle se fait violer, par quatre garçons, toutes les photos se retrouvent sur les réseaux sociaux et tout le monde lui tourne le dos. S'ensuit la tristement célèbre ritournelle : Ce n'est pas elle la victime, elle l'a bien cherché.
C'est une réflexion intéressante et plus que nécessaire sur les réseaux sociaux mais surtout sur la culture du viol ainsi que le slut-shaming.
J'étais intriguée par ce livre, conseillé par the Guardian dans une liste de lectures destinées aux jeunes adultes. Je l'ai lu d'une traite, en une nuit. Grâce à la narration à la première personne, le lecteur se retrouve vraiment dans la tête du personnage principal. Dans sa tête et surtout dans ce corps meurtri qui n'est plus qu'un objet. Lecture passionnante mais oppressante, suffocante, dont on ne sort pas indemne.
Wonder, par R.J. Palacio, aurait pu être un énième livre qui joue la carte du pathos pour faire pleurer dans les chaumières, ça aurait pu être plein de bons sentiments dégoulinants mais non, c'est juste doux, tendre et agréable à lire. Une ode à la tolérance et à la solidarité. J'ai apprécié que ce soit un roman choral étant donné l'importance des points de vues et opinions dans ce récit. Je suis même en train de réfléchir à une exploitation pédagogique, sur le harcèlement, sur le mouvement "choose kind" créé après le succès de ce livre.
Globalement, je ne regrette pas du tout d'avoir lu ce livre, j'ai trouvé le point de vue d'Abnousse Shalmani, arrivée en France après avoir quitté l'Iran de Khomeiny, très intéressant, alternant notes graves et traits d'humour.
Cependant, j'ai souvent été assez ennuyée par son manichéisme. Paradoxalement, c'est aussi cela qui donne du charme à son écriture : Abnousse Shalmani est une passionnée, lorsque quelque chose ne lui convient pas, elle le rejette en bloc, de la même manière, lorsqu'elle aime quelque chose, elle le place au rang de merveille absolue.
Les dernières pages du roman étaient un peu fourre-tout. J'ai été plus intéressée par les parties du livre qui concernaient son enfance en Iran et son adolescence en France que par ses analyses de la coupe du monde 1998 au 21 avril 2002 en passant par le 9/11.
Asking for it, Louise O'Neill : Emma O'Donovan est une irlandaise de 18 ans. Elle est très belle, elle le sait et adore plaire. Convoitée par les garçons et jalousée et admirée par les filles, elle est considérée comme une aguicheuse. Un soir elle se fait violer, par quatre garçons, toutes les photos se retrouvent sur les réseaux sociaux et tout le monde lui tourne le dos. S'ensuit la tristement célèbre ritournelle : Ce n'est pas elle la victime, elle l'a bien cherché.
C'est une réflexion intéressante et plus que nécessaire sur les réseaux sociaux mais surtout sur la culture du viol ainsi que le slut-shaming.
J'étais intriguée par ce livre, conseillé par the Guardian dans une liste de lectures destinées aux jeunes adultes. Je l'ai lu d'une traite, en une nuit. Grâce à la narration à la première personne, le lecteur se retrouve vraiment dans la tête du personnage principal. Dans sa tête et surtout dans ce corps meurtri qui n'est plus qu'un objet. Lecture passionnante mais oppressante, suffocante, dont on ne sort pas indemne.
Wonder, par R.J. Palacio, aurait pu être un énième livre qui joue la carte du pathos pour faire pleurer dans les chaumières, ça aurait pu être plein de bons sentiments dégoulinants mais non, c'est juste doux, tendre et agréable à lire. Une ode à la tolérance et à la solidarité. J'ai apprécié que ce soit un roman choral étant donné l'importance des points de vues et opinions dans ce récit. Je suis même en train de réfléchir à une exploitation pédagogique, sur le harcèlement, sur le mouvement "choose kind" créé après le succès de ce livre.
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Flickr
- BabaretteDoyen
J'ai lu la Lettre aux escrocs de l'islamophobie qui font le jeu des racistes, de Charb. Superbe texte, incisif et drôle, qui analyse l'islamophobie et l'intégrisme religieux... entre autre. Ce texte a été terminé le 5 janvier 2015. Il est à lire absolument !
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- User27372Niveau 7
Découverte avec grand plaisir du Magellan de Zweig après Marie Stuart.
- IsiaSage
Je viens de terminer Ceux qui restent de Marie Laberge.
C'était intense, et riche en questionnement.
Je recommande.
C'était intense, et riche en questionnement.
Je recommande.
- anthinéaGuide spirituel
J'ai lu
Vernon subutex tome 1 et 2 de V. Despentes ❤️❤️❤️❤️❤️
Pars avec lui de A. Ledig. ❤️❤️❤️
Je me suis tue et un fils parfait de M.Menegaux ❤️❤️❤️❤️❤️ Et ❤️❤️❤️❤️
Le cas Malaussene de Pennac ❤️❤️❤️❤️
Le Montéspan et Charly 9 de J. Teulé ❤️❤️❤️
Dans le jardin de l'ogre de L. Slimani ❤️❤️❤️❤️
Vernon subutex tome 1 et 2 de V. Despentes ❤️❤️❤️❤️❤️
Pars avec lui de A. Ledig. ❤️❤️❤️
Je me suis tue et un fils parfait de M.Menegaux ❤️❤️❤️❤️❤️ Et ❤️❤️❤️❤️
Le cas Malaussene de Pennac ❤️❤️❤️❤️
Le Montéspan et Charly 9 de J. Teulé ❤️❤️❤️
Dans le jardin de l'ogre de L. Slimani ❤️❤️❤️❤️
- anthinéaGuide spirituel
dorémy a écrit:
Un bon moment de lecture mais pas LE livre de l'année, n'en déplaise au jury du Goncourt.
Je n'ai pas été secouée, ni transcendée. J'ai regretté que le personnage de Stéphanie n'ait pas plus d'épaisseur.
Quelque chose dans le style me gène, sans l'avoir vraiment identifié. La froideur peut être qui est sans doute un parti pris, pour être en accord avec le personnage de cette nounou maniaque.
Des petites pépites tout de même, plutôt dans les derniers chapitres, où les phrases s'envolent parfois. Un livre sur la mythologie du monde moderne.
- Spoiler:
« La nounou est comme ces silhouettes qui, au théâtre, déplacent dans le noir le décor sur la scène. Elles soulèvent un divan, poussent d‘une main une colonne en carton, un pan de mur. Louise s’agite en coulisses, discrète et puissante. C’est elle qui tient les fils transparents sans lesquels la magie ne peut pas advenir. Elle est Vishnou, divinité nourricière, jalouse et protectrice. Elle est la louve à la mamelle de qui ils viennent boire, la source infaillible de leur bonheur familiale. »
"Elle émerge du sommeil comme on remonte des profondeurs, quand on a nagé trop loin, que l'oxygène manque, que l'eau n'est plus qu'un magma noir et gluant et qu'on prie pour avoir assez d'air encore, assez de force pour regagner la surface et prendre une vorace inspiration."
Et mon Dieu, la scène du poulet !!
100/100 d'accord!
Je préfère largement Magyd Cherfy !
- anthinéaGuide spirituel
dorémy a écrit:
en déballant des cartons je suis retombée sur ce spécimen enseignant passé inaperçu à la fin de l'année dernière. Un roman émouvant qui raconte le traitement d'un prisonnier de camp de concentration à travers les yeux d'une enfant. Le décalage entre la violence de la barbarie et l'interprétation naïve est très fort.Un style enfantin mais très poétique et métaphorique qui m'a beaucoup plu.
Je vais le faire lire en cursive à mes 3e pendant les vacances. Les plus faibles comprendront l'essentiel, les bons lecteurs arriveront à lire entre les lignes de ce père qui "a" le camp comme on a une maladie incurable.
Je l'ai lu aussi en début de vacances. J'ai adoré!
- MictlantecuhtliNiveau 9
Je commence ce livre dont on m'avait dit le plus grand bien, il y a déjà bien longtemps :
_________________
Ō miserās hominum mentēs, ō pectora cæca !
Quālibus in tenebrīs uītæ quantīsque perīclīs
dēgitur hoc æuī quodcumquest ! Nōnne uidēre
nīl aliud sibi nātūram lātrāre, nisi ut quī
corpore sēiūnctus dolor absit — mente fruātur
iūcundō sēnsū, cūrā sēmōta metūque ?
- OxfordNeoprof expérimenté
Découverte d'un auteur et coup de coeur :
_________________
Tutti i ghjorna si n'impara.
- gauvain31Empereur
A lire absolument : JC Milner est vraiment brillant. Des passages sont consacrés à l'école et à son évolution
- AnatoliNiveau 4
J'ai lu au début de l'été Le Monde d'hier de Stefan Zweig et j'ai adoré. Et là je viens de finir du même auteur Amerigo, que j'avais sur une étagère mais que j'avais du oublier de lire C’est agréable à lire (très, trop court à mon goût). L'histoire de l'origine du nom du continent "Amérique" est pour le moins surprenante et le résultat d'une succession de coïncidences. Où comment un homme assez banal qui n'aurait jamais du rentrer dans l'histoire a donné son nom à tout un continent, probablement sans même le savoir.
- CeladonDemi-dieu
Je viens d'entamer Noirs dessins de Brighelli et pour l'instant je me régale.
Des oeuvres spoliées aux Juifs pendant la seconde GM, des morts, des tueurs, des journalistes qui en savent trop, et un prof d'université qui s'écoute parler et ferait mieux d'être attentif à ce qui se passe autour de lui. Bref, de bons ingrédients, une bonne et solide écriture, et sûrement un dénouement à la hauteur. Mais je n'en suis pas encore là, pour l'instant je savoure.
Polar aux Editions l'Archipel, je l'ai trouvé à la Fnac hier.
Je l'ai fini et je le recommande, il est passionnant.
Des oeuvres spoliées aux Juifs pendant la seconde GM, des morts, des tueurs, des journalistes qui en savent trop, et un prof d'université qui s'écoute parler et ferait mieux d'être attentif à ce qui se passe autour de lui. Bref, de bons ingrédients, une bonne et solide écriture, et sûrement un dénouement à la hauteur. Mais je n'en suis pas encore là, pour l'instant je savoure.
Polar aux Editions l'Archipel, je l'ai trouvé à la Fnac hier.
Je l'ai fini et je le recommande, il est passionnant.
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