- LouisBarthasExpert
"L'homme européen qui part à la découverte et à la conquête du monde est un homme libre - le servage vit alors ses dernières heures en Europe -, un homme curieux, ouvert à toutes les expériences, toujours à l'affût des informations sur des peuples et des pays dont il ignorait l'existence. Il est audacieux, souvent dénué de scrupules et de préjugés, aventurier jusqu'à la déraison, désireux de tenter sa chance et de s'enrichir, alors que, dans le même temps, l'Islam meurtri tente de retrouver ses valeurs religieuses en replongeant dans le passé des temps prophétiques et la Chine, drapée dans sa superbe et sa condescendance, convaincue plus que jamais d'être la mère des civilisations, se ferme aux vents extérieurs."
- OxfordNeoprof expérimenté
En s'inspirant de Schopenhauer, Nicolas Tenaillon nous livre 50 stratagèmes, leur mode d'emploi et leur parade (votre adversaire fait de l’humour? Soyez d’une gravité inaltérable. Il répète le même argument en boucle? Traitez-le de perroquet...etc). De plus, chaque stratagème est illustré par une anecdote.
Une lecture délicieuse et...utile ! Et cette nouvelle collection Folio entre guillemets est vraiment jolie.
- Ignatius ReillyFidèle du forum
liskaya a écrit:
J'adore l'écriture de Pierre Lemaître.Je trouve qu'il est extrêmement doué pour nous faire entrer dans la tête de ses personnages...
Ceci dit, Trois jours et vie est celui que j'ai le moins aimé, mais ça reste un bon livre.
Je conseille Au-revoir là haut, bien sûr. Et si vous voulez frissonner, trembler, être horrifié... ses polars Alex ou Sacrifice. Impressionnants !
Je viens justement d'acheter Trois jours et une vie. On verra bien.
Je viens de lire Meursault, contre- enquête. Daoud est un bon écrivain. J'ai aimé. Il aurait aussi très bien pu appeler ce roman l’Étranger, finalement.
- Reine MargotDemi-dieu
Très bon roman, prenant, pendant les bombardements de St Malo en 1944, deux jeunes gens qui n'ont rien en commun vont être réunis: Marie-Laure Leblanc, la jeune fille aveugle d'un serrurier réfugiée à St Malo, et Werner Pfennig, jeune soldat allemand expert en éléctricité. Prix Pulitzer 2015, bien écrit, la narration par tranches de vie est efficace.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- lottaFidèle du forum
Un roman que j'ai dévoré en quelques heures :
Je vous conseille également celui-ci, du même auteur :
Je vous conseille également celui-ci, du même auteur :
- patteNiveau 5
Moi aussi, la très bonne surprise de cette rentrée littéraire. J'avais entendu les bonnes critiques au Masque et la Plume à son sujet et pour une fois, je suis en accord avec eux.lotta a écrit:Un roman que j'ai dévoré en quelques heures :
L'histoire terrible. Voici le début pour donner un aperçu :
Extrait a écrit:Le bébé est mort. Il a suffi de quelques secondes. Le médecin a assuré qu'il n'avait pas souffert. On l'a couché dans une housse grise et on a fait glisser la fermeture éclair sur le corps désarticulé qui flottait au milieu des jouets.
La petite, elle, était encore vivante quand les secours sont arrivés. Elle s'est battue comme un fauve.
Tout au long de l'histoire on va essayer de comprendre le pourquoi du comment de ce terrible acte.
C'est bien écrit, la narration très maitrisée. Les personnages assez nuancés.
- dorémyExpert spécialisé
Je vient d'attaquer :
C'est le 1er Despentes que je lis. Je connais le "personnage" pour l'avoir entendu plusieurs fois à la radio.
Mitigée pour le moment, un peu peur que le bouquin tourne en rond...
C'est le 1er Despentes que je lis. Je connais le "personnage" pour l'avoir entendu plusieurs fois à la radio.
Mitigée pour le moment, un peu peur que le bouquin tourne en rond...
- Reine MargotDemi-dieu
Fini
Accessible et écrit pour le grand public, le livre est très agréable. J de Romilly n'entre pas dans les détails mais cerne les enjeux des différentes étapes de la vie d'Alcibiade, en faisant le parallèle avec la crise de nos démocraties modernes. Un style enlevé et réjouissant.
Accessible et écrit pour le grand public, le livre est très agréable. J de Romilly n'entre pas dans les détails mais cerne les enjeux des différentes étapes de la vie d'Alcibiade, en faisant le parallèle avec la crise de nos démocraties modernes. Un style enlevé et réjouissant.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Tem-toGrand sage
Ben moi, à part Je pense trop, ou comment canaliser un flux mental envahissant, j'ai lu en français Born to run, l'autobiographie de Bruce Springsteen.
Ca laisse à désirer au niveau écriture mais j'aime beaucoup l'homme dont je crois que le pacte de sincérité est honnête. Bruce est très touchant et de l'apparition d'Elvis au Rolling Stones en passant par les Beatles au moment de la conscription pour le Viet-Nam et du combat pour les droits civiques, il y a un côté docu qui n'est pas sans intérêt, même sous la plume d'un homme qui n'est pas un intellectuel mais un témoin social.
Là ou j'ai le plus appris c'est sans doute sur les différences d'identités étasuniennes entre les côtes est et ouest et bien sûr dans le New Jersey. Il y a là des anecdotes savoureuses.
Côté musique, l'aventure des débuts dans des petits groupes de rock jusqu'à l'assemblage du E street band tient en haleine les fans dont je suis pour une partie de l'oeuvre.
A noter que Springsteen a tout de même été influencé et ami d'un Prix Nobel : Bob Dylan (hi hi) dont les maisons de disque voulaient à tout prix que, pour des raisons commerciales, il le copie. Ses rapport avec ses parents pauvres et les lignées irlandaises et italiennes sont très éclairantes sur sa personnalité. Rien sur les ancêtres hollandais en revanche.
Vous l'avez compris j'ai aimé, mais pas pour des raisons littéraires. Quoique
Ca laisse à désirer au niveau écriture mais j'aime beaucoup l'homme dont je crois que le pacte de sincérité est honnête. Bruce est très touchant et de l'apparition d'Elvis au Rolling Stones en passant par les Beatles au moment de la conscription pour le Viet-Nam et du combat pour les droits civiques, il y a un côté docu qui n'est pas sans intérêt, même sous la plume d'un homme qui n'est pas un intellectuel mais un témoin social.
Là ou j'ai le plus appris c'est sans doute sur les différences d'identités étasuniennes entre les côtes est et ouest et bien sûr dans le New Jersey. Il y a là des anecdotes savoureuses.
Côté musique, l'aventure des débuts dans des petits groupes de rock jusqu'à l'assemblage du E street band tient en haleine les fans dont je suis pour une partie de l'oeuvre.
A noter que Springsteen a tout de même été influencé et ami d'un Prix Nobel : Bob Dylan (hi hi) dont les maisons de disque voulaient à tout prix que, pour des raisons commerciales, il le copie. Ses rapport avec ses parents pauvres et les lignées irlandaises et italiennes sont très éclairantes sur sa personnalité. Rien sur les ancêtres hollandais en revanche.
Vous l'avez compris j'ai aimé, mais pas pour des raisons littéraires. Quoique
- SoirHabitué du forum
Lu Ceux qui vont mourir te saluent de Vargas
''L'éditeur d'art parisien Henri Valhubert est contacté par un collectionneur pour expertiser un dessin de Michel-Ange jusqu'alors inconnu. Il reconnaît la patte du maître italien et estime qu'il s'agit d'une gravure volée. À l'odeur du papier, il pense qu'elle pourrait provenir d'un fonds d'archives inexploré de la Bibliothèque vaticane. Pour faire la lumière sur cette affaire, l'éditeur décide de se rendre à Rome où son fils Claude poursuit en dilettante ses études en compagnie de deux amis, Thibault dit Tibère et David dit Néron, tous deux amoureux de Laura, la belle-mère de Claude. Chaque mois, celle-ci se rend à Rome, et tout le monde se retrouve chez Gabriella, une jeune femme qui a été élevée par l'évêque Lorenzo Vitelli, correspondant des trois étudiants. À peine arrivé, Henri Valhubert se met en quête de son rejeton au cœur d'une grande fête devant le palais Farnèse. Mais bientôt, Tibère le retrouve mort, empoisonné par un cocktail contenant de la ciguë.'' dixit Amazon
Lecture agréable bien que j'ai préféré L'homme aux cercles bleus, j'ai en effet trouvé les personnages un peu moins attachants dans celui-ci.
''L'éditeur d'art parisien Henri Valhubert est contacté par un collectionneur pour expertiser un dessin de Michel-Ange jusqu'alors inconnu. Il reconnaît la patte du maître italien et estime qu'il s'agit d'une gravure volée. À l'odeur du papier, il pense qu'elle pourrait provenir d'un fonds d'archives inexploré de la Bibliothèque vaticane. Pour faire la lumière sur cette affaire, l'éditeur décide de se rendre à Rome où son fils Claude poursuit en dilettante ses études en compagnie de deux amis, Thibault dit Tibère et David dit Néron, tous deux amoureux de Laura, la belle-mère de Claude. Chaque mois, celle-ci se rend à Rome, et tout le monde se retrouve chez Gabriella, une jeune femme qui a été élevée par l'évêque Lorenzo Vitelli, correspondant des trois étudiants. À peine arrivé, Henri Valhubert se met en quête de son rejeton au cœur d'une grande fête devant le palais Farnèse. Mais bientôt, Tibère le retrouve mort, empoisonné par un cocktail contenant de la ciguë.'' dixit Amazon
Lecture agréable bien que j'ai préféré L'homme aux cercles bleus, j'ai en effet trouvé les personnages un peu moins attachants dans celui-ci.
- DimkaVénérable
J’ai lu le nouveau Harry Potter, et je dois dire que je suis assez troublé. J’ai énormément aimé la série initiale de Harry Potter, mais en voyant la sortie de ce nouveau volume, je me suis senti plutôt sceptique : les sept volumes sont vraiment une œuvre terminée, avec sa logique propre, et son aboutissement. J’avais l’impression qu’en rajouter, c’était un peu… je ne sais pas comment dire… un peu trop. Un ajout, une tentative un peu vaine de poursuivre un truc fini. D’un autre côté, j’ai tellement aimé l’univers d’Harry Potter que l’idée de se dire « c’est fini », c’est vraiment trop triste. Donc évidemment, j’ai acheté ce nouveau tome.
J’ai également lu, avant de l’acheter, cet article : http://www.liberation.fr/debats/2016/10/16/harry-potter-ou-apprendre-a-mourir_1522324
J’avais lu Harry Potter à l’école de la philosophie de cette auteure, qui m’avait beaucoup plu, et qui m’avait encore plus fait apprécier Harry Potter. Et en ce qui concerne l’article, j’ai été assez frappé par ce passage : « Ma certitude : J.K. Rowling, comme ses lecteurs, aime à ce point l’univers qu’elle a créé qu’elle semble ne pas pouvoir s’empêcher de le parcourir et de le déployer ». Voilà… Harry Potter, c’est certes sept volumes qui présentent une histoire finie, mais c’est également un univers complet (un univers, et une écriture… et une façon de poser des questions), dans lequel on a envie de retourner, dans lequel on a envie de lire de nouvelles aventures. Du coup, j’ai entamé ma lecture du nouveau tome de façon plus convaincue, moins sceptique.
Et… bah, je ne sais pas.
Ça fait vraiment plaisir de retrouver cet univers. Et je crois que j’ai bien aimé l’histoire. La forme théâtrale est un peu troublante (mais c’est toujours troublant de lire du théâtre : c’est pas fait pour être lu…). Puis, Harry Potter… je ne sais pas. J’aime bien les nouveaux personnages, les fils… et leurs problématiques de fils de. À nouveau, je trouve qu’il y a des questions intéressantes dans ce livres, comme il y avait des questions intéressantes dans les tomes initiaux (ce que présente Chaillan). Mais les personnages initiaux (Ron, Hermione, accessoirrement Ginny, mais surtout Harry), ça fait vraiment bizarre de les voir adultes : ça ne colle pas vraiment. D’un autre côté, avoir le point de vue de Drago sur l’histoire, c’est sympa aussi, parce que comme les nouveaux personnages, il montre le problème qu’il y a à être un peu enfermé dans sa réputation, dans les actes de sa famille.
…
En fait, je crois que j’aimerais que Rowling refasse une grande série, dans l’univers qu’elle a créé…
J’ai également lu, avant de l’acheter, cet article : http://www.liberation.fr/debats/2016/10/16/harry-potter-ou-apprendre-a-mourir_1522324
J’avais lu Harry Potter à l’école de la philosophie de cette auteure, qui m’avait beaucoup plu, et qui m’avait encore plus fait apprécier Harry Potter. Et en ce qui concerne l’article, j’ai été assez frappé par ce passage : « Ma certitude : J.K. Rowling, comme ses lecteurs, aime à ce point l’univers qu’elle a créé qu’elle semble ne pas pouvoir s’empêcher de le parcourir et de le déployer ». Voilà… Harry Potter, c’est certes sept volumes qui présentent une histoire finie, mais c’est également un univers complet (un univers, et une écriture… et une façon de poser des questions), dans lequel on a envie de retourner, dans lequel on a envie de lire de nouvelles aventures. Du coup, j’ai entamé ma lecture du nouveau tome de façon plus convaincue, moins sceptique.
Et… bah, je ne sais pas.
Ça fait vraiment plaisir de retrouver cet univers. Et je crois que j’ai bien aimé l’histoire. La forme théâtrale est un peu troublante (mais c’est toujours troublant de lire du théâtre : c’est pas fait pour être lu…). Puis, Harry Potter… je ne sais pas. J’aime bien les nouveaux personnages, les fils… et leurs problématiques de fils de. À nouveau, je trouve qu’il y a des questions intéressantes dans ce livres, comme il y avait des questions intéressantes dans les tomes initiaux (ce que présente Chaillan). Mais les personnages initiaux (Ron, Hermione, accessoirrement Ginny, mais surtout Harry), ça fait vraiment bizarre de les voir adultes : ça ne colle pas vraiment. D’un autre côté, avoir le point de vue de Drago sur l’histoire, c’est sympa aussi, parce que comme les nouveaux personnages, il montre le problème qu’il y a à être un peu enfermé dans sa réputation, dans les actes de sa famille.
…
En fait, je crois que j’aimerais que Rowling refasse une grande série, dans l’univers qu’elle a créé…
_________________
- Spoiler:
- SoirHabitué du forum
Dimka a écrit:
En fait, je crois que j’aimerais que Rowling refasse une grande série, dans l’univers qu’elle a créé…
+1 mais je n'ai pas encore fini la pièce, la lisant en anglais.
- Tem-toGrand sage
Soir a écrit:Lu Ceux qui vont mourir te saluent de Vargas
''L'éditeur d'art parisien Henri Valhubert est contacté par un collectionneur pour expertiser un dessin de Michel-Ange jusqu'alors inconnu. Il reconnaît la patte du maître italien et estime qu'il s'agit d'une gravure volée. À l'odeur du papier, il pense qu'elle pourrait provenir d'un fonds d'archives inexploré de la Bibliothèque vaticane. Pour faire la lumière sur cette affaire, l'éditeur décide de se rendre à Rome où son fils Claude poursuit en dilettante ses études en compagnie de deux amis, Thibault dit Tibère et David dit Néron, tous deux amoureux de Laura, la belle-mère de Claude. Chaque mois, celle-ci se rend à Rome, et tout le monde se retrouve chez Gabriella, une jeune femme qui a été élevée par l'évêque Lorenzo Vitelli, correspondant des trois étudiants. À peine arrivé, Henri Valhubert se met en quête de son rejeton au cœur d'une grande fête devant le palais Farnèse. Mais bientôt, Tibère le retrouve mort, empoisonné par un cocktail contenant de la ciguë.'' dixit Amazon
Lecture agréable bien que j'ai préféré L'homme aux cercles bleus, j'ai en effet trouvé les personnages un peu moins attachants dans celui-ci.
Ceux qui vont mourir te saluent est pour moi le moins bon des Vargas dont j'ai lu tous les romans. Bon, le commissaire Adamsberg n'y figure pas et c'est un personnage que j'adore (voir, sous mon avatar, Emploi/Loisirs). Vu le tien (d'avatar), tu devrais essayer L'homme à l'envers si tu ne l'as pas déjà lu.
- dorémyExpert spécialisé
dorémy a écrit:Je vient d'attaquer :
- Spoiler:
C'est le 1er Despentes que je lis. Je connais le "personnage" pour l'avoir entendu plusieurs fois à la radio.
Mitigée pour le moment, un peu peur que le bouquin tourne en rond...
Une lecture rapide et agréable. Son point de vue la pornographie est intéressant. Je vais peut être essayer de lire son grand succès Baise-moi.
Mais avant j'attaque :
- SoirHabitué du forum
Petitfils a écrit:Soir a écrit:Lu Ceux qui vont mourir te saluent de Vargas
''L'éditeur d'art parisien Henri Valhubert est contacté par un collectionneur pour expertiser un dessin de Michel-Ange jusqu'alors inconnu. Il reconnaît la patte du maître italien et estime qu'il s'agit d'une gravure volée. À l'odeur du papier, il pense qu'elle pourrait provenir d'un fonds d'archives inexploré de la Bibliothèque vaticane. Pour faire la lumière sur cette affaire, l'éditeur décide de se rendre à Rome où son fils Claude poursuit en dilettante ses études en compagnie de deux amis, Thibault dit Tibère et David dit Néron, tous deux amoureux de Laura, la belle-mère de Claude. Chaque mois, celle-ci se rend à Rome, et tout le monde se retrouve chez Gabriella, une jeune femme qui a été élevée par l'évêque Lorenzo Vitelli, correspondant des trois étudiants. À peine arrivé, Henri Valhubert se met en quête de son rejeton au cœur d'une grande fête devant le palais Farnèse. Mais bientôt, Tibère le retrouve mort, empoisonné par un cocktail contenant de la ciguë.'' dixit Amazon
Lecture agréable bien que j'ai préféré L'homme aux cercles bleus, j'ai en effet trouvé les personnages un peu moins attachants dans celui-ci.
Ceux qui vont mourir te saluent est pour moi le moins bon des Vargas dont j'ai lu tous les romans. Bon, le commissaire Adamsberg n'y figure pas et c'est un personnage que j'adore (voir, sous mon avatar, Emploi/Loisirs). Vu le tien (d'avatar), tu devrais essayer L'homme à l'envers si tu ne l'as pas déjà lu.
Merci du conseil je viens seulement de m'atteler aux Vargas.
- liskayaNeoprof expérimenté
L'homme à l'envers est, de loin, mon préféré ! Mais bon, je ne les ai pas tous lus...
Je commence
Mais comme je dois aussi me fader quelques lectures jeunesse infligées à mes élèves...
Je commence
Mais comme je dois aussi me fader quelques lectures jeunesse infligées à mes élèves...
- JennyMédiateur
Jprtlm, merci d'utiliser des majuscules.
Tu peux éditer ton message à l'aide du bouton en haut à gauche.
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- User26836Niveau 9
Oh tiens un topic bouquins, yay!!
Bon mes derniers bouquins (je ne crois pas avoir déjà posté ici donc je mets en bloc mes lectures des 6 (?) mois). Donc voilà!
- Northanger Abbey, Jane Austen
- The Interestings, Meg Wolitzer
- Eats, Shoots & Leaves, Lynn Truss
- The Picture of Dorian Gray, Oscar Wilde
- A Room with a View, E. M. Foster
- What I Loved, Siri Husvedt
- Tender Is the Night, F. S. Fitzgerald
- L'Inhabitée, Maïa Brami
- The Accidental Tourist, Ann Tyler
- Harvest, Jim Crace
- Stone Mattress, Margaret Atwood
Oui y'a beaucoup de livres d'auteurs anlo-saxons car vu que j'ai l'impression que mon niveau de langue baisse, quoi de mieux qu'un livre pour l'entretenir?
Bon mes derniers bouquins (je ne crois pas avoir déjà posté ici donc je mets en bloc mes lectures des 6 (?) mois). Donc voilà!
- Northanger Abbey, Jane Austen
- The Interestings, Meg Wolitzer
- Eats, Shoots & Leaves, Lynn Truss
- The Picture of Dorian Gray, Oscar Wilde
- A Room with a View, E. M. Foster
- What I Loved, Siri Husvedt
- Tender Is the Night, F. S. Fitzgerald
- L'Inhabitée, Maïa Brami
- The Accidental Tourist, Ann Tyler
- Harvest, Jim Crace
- Stone Mattress, Margaret Atwood
Oui y'a beaucoup de livres d'auteurs anlo-saxons car vu que j'ai l'impression que mon niveau de langue baisse, quoi de mieux qu'un livre pour l'entretenir?
- LeilEsprit éclairé
Hier le classique Tomek !
http://www.bricabook.fr/2016/10/la-riviere-a-lenvers-tomek-mourlevat/
Aujourd'hui un premier roman au style remarquable ! (épique presque)
http://www.bricabook.fr/2016/10/fils-du-feu-guy-boley/
http://www.bricabook.fr/2016/10/la-riviere-a-lenvers-tomek-mourlevat/
Aujourd'hui un premier roman au style remarquable ! (épique presque)
http://www.bricabook.fr/2016/10/fils-du-feu-guy-boley/
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http://www.bricabook.fr/
- CathEnchanteur
Petit pays n'est pas mal du tout.
Peut-être pas aussi bien qu'on l'entend partout, mais prometteur.
Peut-être pas aussi bien qu'on l'entend partout, mais prometteur.
- JaneBNeoprof expérimenté
Lisak35 a écrit:Oh tiens un topic bouquins, yay!!
Bon mes derniers bouquins (je ne crois pas avoir déjà posté ici donc je mets en bloc mes lectures des 6 (?) mois). Donc voilà!
- Northanger Abbey, Jane Austen
- The Interestings, Meg Wolitzer
- Eats, Shoots & Leaves, Lynn Truss
- The Picture of Dorian Gray, Oscar Wilde
- A Room with a View, E. M. Foster
- What I Loved, Siri Husvedt
- Tender Is the Night, F. S. Fitzgerald
- L'Inhabitée, Maïa Brami
- The Accidental Tourist, Ann Tyler
- Harvest, Jim Crace
- Stone Mattress, Margaret Atwood
Oui y'a beaucoup de livres d'auteurs anlo-saxons car vu que j'ai l'impression que mon niveau de langue baisse, quoi de mieux qu'un livre pour l'entretenir?
On me l'a offert récemment. Je ne l'ai pas encore lu : ça t'a plu?
- dorémyExpert spécialisé
Lu en diagonale il y a quelques années, pour rédiger un mini mémoire de Master, j'ai enfin pris le temps de savourer cet essai.
Éclairant notamment le parallèle entre la photographie et la mort (parallèle qui prend tout son sens quand on sait que l'écriture de ce texte est lié au décès de sa mère) et la coexistence du studium et du punctum .
"Le punctum d'une photo est un détail, un objet partiel qui lance le désir au-delà de ce que l'image donne à voir"
"Quoique contingente, hors sens, une photo parle, elle induit à penser".
"Dans toute photographie, ce qui est photographié est un spectre : il y a retour du mort."
"La photographie n'est pas une copie du réel, mais une émanation du réel passé : c'est une magie, non un art."
"L'essence de la Photographie, qui la rend unique, c'est qu'elle ne se distingue jamais de son référent; ce qu'elle reproduit à l'infini n'a eu lieu qu'une fois."
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