- DalvaVénérable
De toute façon, la solution est claire : interdire les hôtels aux parents. On laisse les enfants là-dedans, au bout d'une semaine on vient chercher les éventuels survivants, on les place en maison de repos, et on peut commencer ses vacances.
- DaphnéDemi-dieu
kamasolou a écrit: Doit-on interdire les hôtels aux enfants qui ne portent pas des couches lavables ?
Ou avec une mère qui allaite
Grillée, ça a été dit !
Comme quoi on connaît bien les sujets sensibles sur neo :lol:
- Thalia de GMédiateur
J'ai ainsi giflé mon fils publiquement, le public n'était pas très nombreux non plus, pour l'empêcher de se jeter sur la chaussée parce qu'il était affolé par une guêpe.Dalva a écrit:Et tes nombreux enfants ont ... ans ?kamasolou a écrit:Dalva a écrit:
Je signale en passant que, quand on n'était pas traité en monstre pour avoir fessé son gamin en public, on observait moins de problèmes. Il faut savoir ce qu'on veut : un enfant, on ne lui crie pas dessus, on ne lui interdit rien sans expliquer d'abord (longuement, hein, faut négocier), on ne fesse pas, on ne tape pas la menotte, mais on obtient quand même de lui sagesse et silence. Ben non, c'est pas possible. L'enfant a besoin de limites fermes, et s'il a décidé de tester les limites en public, il faudra les lui poser en public.
Et félicitations future tata
Les parents qui frappent leurs enfants, c'est choquant, oui. Aurait-on autant d'indulgence pour un homme qui frappe sa femme ?
Un enfant, on ne le frappe pas, on évite de lui crier dessus et on peut obtenir de biens meilleurs résultats en expliquant. On peut expliquer tout en ayant des limites fermes, je ne vois pas où est la contradiction.
Expliquer, poser des limites en parlant, tout à fait. Gronder et punir, aussi, si nécessaire. Avec certains enfants, ça fonctionne parfaitement. Je n'ai qu'à dire à ma grande ado, qui a testé une fois : "Mais tu ne me dis pas "non" !" :shock: :shock: pour la remettre dans le droit chemin. Mais je peux te dire que le jour où, petite, elle a décidé tout à coup de faire une crise (sans qu'on sache pourquoi, sans doute ne voulait-elle pas rentrer à la maison) au milieu de la chaussée, entre deux virages hyper dangereux (nous étions dans un village complètement mal fichu à cette époque), je n'ai pas tenté de lui expliquer que peut-être une voiture allait arriver et nous écraser, je n'avais pas le temps. Je n'ai pas eu d'autre choix que de la brutaliser (l'attraper et la maintenir très fortement) pour l'emmener de force sur le trottoir. Et que là, elle a reçu une fessée, la seule de sa vie, mémorable. Et que je ne le regrette pas.
Cela nous éloigne du débat.
En somme, l'enfer c'est les autres. Pardon du poncif.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- MrBrightsideEmpereur
- kamasolouHabitué du forum
C'est surtout une grosse perte d'argent: allaiter donne trèèès soif
- MrBrightsideEmpereur
On a dit UNE boisson gratuite !
- phil(...)Niveau 10
happy hour?
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Un peu comme si on se rasait. On est tout doux, on sent bon...
- PluiedetoilesExpert
Ah oui, on a bien dévié depuis ce matin ... c'est vrai qu'avec une bonne torgnole, les gamins ça obéit direct.
Comme les chiens, quoi : il faut les dresser.
Pffff.
Sinon, il faudrait aussi penser à interdire les vieux : ils parlent fort, sentent mauvais et sont déprimants.
Comme les chiens, quoi : il faut les dresser.
Pffff.
Sinon, il faudrait aussi penser à interdire les vieux : ils parlent fort, sentent mauvais et sont déprimants.
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Mon blog :https://lalegeretedeslettres.wixsite.com/website
- User5899Demi-dieu
Je n'ai aucune réponse à toutes ces questions et je vais dire poliment qu'elles m'indiffèrent. Je vapote partout, c'est ma concession personnelle à l'abandon du tabac et ça, on ne me l'ôtera pas. Quand nous ne respirerons plus que de la vapeur d'eau comme élément nocif, nous reparlerons d'une interdiction. Pour l'instant, félicitez-moi : je ne fume plus ma pipe dans les toilettes ou les salles inoccupées des centres d'examen où je sévissaisDalva a écrit:Tiens, question dont je ne connais pas la réponse : on a le droit de vapoter en train ou dans les restos, par exemple ? Je sais qu'on n'a pas le droit dans les établissements scolaires (il s'agit davantage d'une question d'exemple que de santé, semble-t-il), mais pour le reste ?
Est-on sûr que ce qui sort du machin qui vapote (désolée, je ne connais aucun des termes techniques), l'espèce de vapeur, n'est pas chargé en éléments nocifs ?
- User5899Demi-dieu
Hermiony a écrit:phil(...) a écrit:Allaiter dans le train?
Et brancher le Thermomix à une prise à côté du siège pour le plus grand, tout en cousant ses couches lavables ?
Ca va faire sauter le contacteur de puissance
- DalvaVénérable
Tu peux étendre ton débat retourné à toutes les boîtes de nuit (ou presque) : le fait qu'elles offrent l'entrée gratuite aux femmes avant telle heure, est-ce discriminatoire pour les garçons ? (Je dirais plutôt que c'est discriminatoire pour les filles, mais bon.)
C'est exactement ce qu'on a dit, c'est fou, tu viens de résumer en une phrase toute ma philosophie de l'éducation !Pluiedetoiles a écrit:Ah oui, on a bien dévié depuis ce matin ... c'est vrai qu'avec une bonne torgnole, les gamins ça obéit direct.
Comme les chiens, quoi : il faut les dresser.
Pffff.
Pfff.Cripure a écrit:Je n'ai aucune réponse à toutes ces questions et je vais dire poliment qu'elles m'indiffèrent. Je vapote partout, c'est ma concession personnelle à l'abandon du tabac et ça, on ne me l'ôtera pas. Quand nous ne respirerons plus que de la vapeur d'eau comme élément nocif, nous reparlerons d'une interdiction. Pour l'instant, félicitez-moi : je ne fume plus ma pipe dans les toilettes ou les salles inoccupées des centres d'examen où je sévissaisDalva a écrit:Tiens, question dont je ne connais pas la réponse : on a le droit de vapoter en train ou dans les restos, par exemple ? Je sais qu'on n'a pas le droit dans les établissements scolaires (il s'agit davantage d'une question d'exemple que de santé, semble-t-il), mais pour le reste ?
Est-on sûr que ce qui sort du machin qui vapote (désolée, je ne connais aucun des termes techniques), l'espèce de vapeur, n'est pas chargé en éléments nocifs ?
Aucune pitié pour ma soif de connaissance ni pour ma curiosité (féminine, bien sûr).
- DalvaVénérable
Je vais donc être obligée de recourir à une recherche chronophage sur internet, glissant d'une page intéressante à une autre, pour finir dans deux heures par apprendre que les bébés koalas ne peuvent plus se nourrir.
Aucune pitié.
Aucune pitié.
- RogerMartinBon génie
Dalva a écrit:Je vais donc être obligée de recourir à une recherche chronophage sur internet, glissant d'une page intéressante à une autre, pour finir dans deux heures par apprendre que les bébés koalas ne peuvent plus se nourrir.
Aucune pitié.
En tout cas, ne te mêle pas d'essayer d'emmener un bébé koala dans l'un des trois hôtels français mentionnés sur le site
- DalvaVénérable
Loin de moi cette idée ! Je ne m'y emmènerais pas moi-même, j'ai tendance à regarder les gens qui m'intéressent (je suis très curieuse, comme je l'ai dit) et j'ai une conversation digne d'une plante verte. En plus, étant très maladroite, je mange salement. Et enfin, il me suffit d'une gorgée d'un liquide alcoolisé pour me mettre à rire fort et bêtement. La totale.
- RogerMartinBon génie
J'ai cru un instant que tu avais laissé de côté les regards appuyés, mais je vois que non
- DalvaVénérable
Je suis insortable, je te dis.
- Marie LaetitiaBon génie
Cripure a écrit:Je n'ai aucune réponse à toutes ces questions et je vais dire poliment qu'elles m'indiffèrent. Je vapote partout, c'est ma concession personnelle à l'abandon du tabac et ça, on ne me l'ôtera pas. Quand nous ne respirerons plus que de la vapeur d'eau comme élément nocif, nous reparlerons d'une interdiction. Pour l'instant, félicitez-moi : je ne fume plus ma pipe dans les toilettes ou les salles inoccupées des centres d'examen où je sévissaisDalva a écrit:Tiens, question dont je ne connais pas la réponse : on a le droit de vapoter en train ou dans les restos, par exemple ? Je sais qu'on n'a pas le droit dans les établissements scolaires (il s'agit davantage d'une question d'exemple que de santé, semble-t-il), mais pour le reste ?
Est-on sûr que ce qui sort du machin qui vapote (désolée, je ne connais aucun des termes techniques), l'espèce de vapeur, n'est pas chargé en éléments nocifs ?
Cripure ne fume plus! :shock:
Un monde s'écroule...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- BlackMailExpert
Dalva a écrit:Tu peux étendre ton débat retourné à toutes les boîtes de nuit (ou presque) : le fait qu'elles offrent l'entrée gratuite aux femmes avant telle heure, est-ce discriminatoire pour les garçons ? (Je dirais plutôt que c'est discriminatoire pour les filles, mais bon.)
Je pense comme toi (si c'est gratuit, c'est que tu es le produit).
En ce qui concerne les hôtels ou wagons sans enfants, ça ne me choque pas du tout. En même temps, je n'aime pas les enfants et n'en veux pas, donc bon :lol: .
- SaphyrNiveau 9
C'est très excessif de comparer l'offre d'hôtel sans enfants, à celle de burkinis.Dalva a écrit:Un peu comme pour les burkinis, donc.Saphyr a écrit:Cette liste ne me choque pas. Si l'offre existe c'est qu'il y a une demande!
Et puis bon, les enfants en vacances ont un rythme différent de celui du quotidien et s'excitent pour un rien.
Ça peut rapidement devenir épuisant... Je comprend alors qu'on veuille les éviter.
Tout va bien, alors.
Sinon...
...
Je vais être tata !
Un gosse de plus dans la famille pour faire suer tout le monde ! Et je peux vous dire que le premier conseil que je vais donner à ma sœur, c'est de ne surtout pas s'embêter à aller entre deux wagons quand son bébé pleurera, parce que ça ne se fait pas en France.
Précision pour les restaurateurs ou hôteliers qui n'auraient plus de clientèle : ben si, ils auront les clients qui seront contents de pouvoir venir dans un endroit où règne un calme au moins relatif. Parce que c'est clair, si j'ai une mauvaise expérience dans un resto ou un hôtel liée aux autres clients, je n'y remets plus les pieds. Et il ferait beau voir qu'une mère me reproche d'avoir fait une remarque à son enfant : elle s'en prendrait une en retour, et une belle.
Comme le dit Roxanne, un parent "normal" peut être fort soulagé d'obtenir un peu d'aide extérieure dans une situation tendue.
Je signale en passant que, quand on n'était pas traité en monstre pour avoir fessé son gamin en public, on observait moins de problèmes. Il faut savoir ce qu'on veut : un enfant, on ne lui crie pas dessus, on ne lui interdit rien sans expliquer d'abord (longuement, hein, faut négocier), on ne fesse pas, on ne tape pas la menotte, mais on obtient quand même de lui sagesse et silence. Ben non, c'est pas possible. L'enfant a besoin de limites fermes, et s'il a décidé de tester les limites en public, il faudra les lui poser en public.
Oui, l'enfant à besoin de limites et tout ce qui s'ensuit, mais en attendant beaucoup n'en ont pas. Et je ne crois pas que cela soit un crime de vouloir être en vacances dans un lieu sans enfants. D'ailleurs, je trouve bizarre que personne n'évoque les couples qui auraient des difficultés à concevoir et qui, en vacances, ne voudraient pas se voir jeter à la face le bonheur de ceux qui ont des enfants...
Bref, peu importe les motivations, la possibilité de choisir un lieu sans enfants pour passer ses vacances, ne me semble pas monstrueuse. Bon, il faut dire aussi que dans la liste, il y a l'hôtel où je pars en août et que j'ai choisi justement pour cette raison...
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"Ecoutez, mon vieux, peu importe qu'un homme vive trente ou cent ans, dans la mesure où il fait quelque chose qui en vaut la peine avant de casser sa pipe", Etats d'urgence, André Brink.
“I'm right and you're wrong, I'm big and you're small, and there's nothing you can do about it.”, Matilda, Roald Dahl
- DaphnéDemi-dieu
RogerMartin a écrit:Dalva a écrit:Je vais donc être obligée de recourir à une recherche chronophage sur internet, glissant d'une page intéressante à une autre, pour finir dans deux heures par apprendre que les bébés koalas ne peuvent plus se nourrir.
Aucune pitié.
En tout cas, ne te mêle pas d'essayer d'emmener un bébé koala dans l'un des trois hôtels français mentionnés sur le site
Tout ce tapage pour trois hôtels seulement, mais je rêve là
- DalvaVénérable
Désolée par avance pour le mode de réponse un peu cavalier, je suis pressée.Saphyr a écrit:C'est très excessif de comparer l'offre d'hôtel sans enfants, à celle de burkinis. (1)Dalva a écrit:Un peu comme pour les burkinis, donc.Saphyr a écrit:Cette liste ne me choque pas. Si l'offre existe c'est qu'il y a une demande!
Et puis bon, les enfants en vacances ont un rythme différent de celui du quotidien et s'excitent pour un rien.
Ça peut rapidement devenir épuisant... Je comprend alors qu'on veuille les éviter.
Tout va bien, alors.
Je signale en passant que, quand on n'était pas traité en monstre pour avoir fessé son gamin en public, on observait moins de problèmes. Il faut savoir ce qu'on veut : un enfant, on ne lui crie pas dessus, on ne lui interdit rien sans expliquer d'abord (longuement, hein, faut négocier), on ne fesse pas, on ne tape pas la menotte, mais on obtient quand même de lui sagesse et silence. Ben non, c'est pas possible. L'enfant a besoin de limites fermes, et s'il a décidé de tester les limites en public, il faudra les lui poser en public.
Oui, l'enfant à besoin de limites et tout ce qui s'ensuit, mais en attendant beaucoup n'en ont pas. Et je ne crois pas que cela soit un crime de vouloir être en vacances dans un lieu sans enfants. D'ailleurs, je trouve bizarre que personne n'évoque les couples qui auraient des difficultés à concevoir et qui, en vacances, ne voudraient pas se voir jeter à la face le bonheur de ceux qui ont des enfants... (2)
Bref, peu importe les motivations, la possibilité de choisir un lieu sans enfants pour passer ses vacances, ne me semble pas monstrueuse. Bon, il faut dire aussi que dans la liste, il y a l'hôtel où je pars en août et que j'ai choisi justement pour cette raison...
(1) Cette comparaison n'est rendue possible que par ta phrase qui s'applique à absolument toutes les "offres" (S'il y a une offre, c'est qu'il y a de la demande.), censée justifier ce que certains trouvent choquant.
(2) Du coup, encore une petite comparaison osée, je trouve bizarre que personne n'ait encore pensé à créer des hôtels réservés aux gens bien portants, parce que les unijambistes et les polyhandicapés ne voudraient certainement pas se voir jeter à la face le bonheur de ceux qui ont deux jambes et tiennent debout.
Pour tes vacances, puisque l'offre existe, pourquoi n'en profiterais-tu pas ? Tu nous raconteras comment c'était.
Moi, comme l'offre existe, j'ai décidé de partir en Afrique subsaharienne dans un hôtel 5 étoiles qui a privatisé un oasis. J'ai aussi envie de m'installer aux USA pour pouvoir doter mes filles d'une carabine rose et mon fils d'une carabine bleue.
- Reine MargotDemi-dieu
Le truc c'est qu'on ne voit pas bien ce que le concept a de choquant en fait.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DaphnéDemi-dieu
Reine Margot a écrit:Le truc c'est qu'on ne vois pas bien ce que le concept a de choquant en fait.
C'est ce qu'on explique depuis un moment en fait.
- DalvaVénérable
Eh bien certains ne le voient pas, et certains le ressentent aussi fortement que les burkinis, les ventes d'arme libres ou la néo-colonisation.
Et si ça nous paraît choquant à ce point-là, c'est sans doute qu'il y a quelque chose, ou alors on est complètement cons. Remarque, c'est plutôt ça, à mon avis. De base, nous avons des enfants ou acceptons qu'il y ait des enfants autour de nous en dehors du boulot, nous devons être cons.
Et si ça nous paraît choquant à ce point-là, c'est sans doute qu'il y a quelque chose, ou alors on est complètement cons. Remarque, c'est plutôt ça, à mon avis. De base, nous avons des enfants ou acceptons qu'il y ait des enfants autour de nous en dehors du boulot, nous devons être cons.
- DaphnéDemi-dieu
La question n'est pas là.
On peut aussi avoir envie d'être dans un lieu sans enfants. Point.
On peut aussi avoir envie d'être dans un lieu sans enfants. Point.
- Reine MargotDemi-dieu
Daphné a écrit:Reine Margot a écrit:Le truc c'est qu'on ne vois pas bien ce que le concept a de choquant en fait.
C'est ce qu'on explique depuis un moment en fait.
On explique ce qu'il y a de choquant ou qu'on ne voit pas ce qu'il y a de choquant ?
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