- PascalNiveau 9
Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
- ysabelDevin
Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
Monsieur est trop bon !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- PascalNiveau 9
ysabel a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
Monsieur est trop bon !
C'est ça le problème, trop bon.... trop c....
- atriumNeoprof expérimenté
Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
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It's okay to be a responsible member of society if only you know what you're going to be held responsible for.
John Brunner, The Jagged Orbit
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
Je vais t'expliquer quelque chose; les obligations pédagogiques, je m'en bats les flancs. Le dernier inspecteur qui est passé dans mon établissement (qui ne pas m'a inspectée, d'ailleurs, estimant sans doute que deux inspections en 18 ans c'était trop), nous a doctement expliqué que les nouvelles obligations pédagogiques étaient les suivantes: en finir avec l'analyse du texte et, en sortant du collège, être en mesure d'identifier le verbe conjugué.
En tant qu'enseignante avec un tant soit peu d'ancienneté (grosso modo au milieu de ma carrière), j'ai vu passer pas mal d'élèves, expérimenté pas mal de méthodes, et usé de jargons parfois ineptes mais toujours fluctuants au gré des réformes diverses et variées. J'ai l'outrecuidance de penser que si je ne crois pas un minimum au contenu que je transmets et au moyen que je mets en oeuvre pour ce faire, j'ai peu de chance d'atteindre mon but.
Etant oubliée, comme beaucoup, du ministère, inconnue (ou presque) au rectorat, inconnue (à quelque chose près) de l'inspection, je me contrefous de ce que la réforme veut que je fasse.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- PascalNiveau 9
atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
- JaneMonarque
Pascal a écrit:atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
On peut aussi laisser les profs faire leur boulot comme ils l'entendent, du moment qu'ils ont du résultat (c'est pas ce qu'on souhaite ? Ah, ben, non, ce qui est souhaité, c'est faire des économies).
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- PascalNiveau 9
Jane a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
Je vais t'expliquer quelque chose; les obligations pédagogiques, je m'en bats les flancs. Le dernier inspecteur qui est passé dans mon établissement (qui ne pas m'a inspectée, d'ailleurs, estimant sans doute que deux inspections en 18 ans c'était trop), nous a doctement expliqué que les nouvelles obligations pédagogiques étaient les suivantes: en finir avec l'analyse du texte et, en sortant du collège, être en mesure d'identifier le verbe conjugué.
En tant qu'enseignante avec un tant soit peu d'ancienneté (grosso modo au milieu de ma carrière), j'ai vu passer pas mal d'élèves, expérimenté pas mal de méthodes, et usé de jargons parfois ineptes mais toujours fluctuants au gré des réformes diverses et variées. J'ai l'outrecuidance de penser que si je ne crois pas un minimum au contenu que je transmets et au moyen que je mets en oeuvre pour ce faire, j'ai peu de chance d'atteindre mon but.
Etant oubliée, comme beaucoup, du ministère, inconnue (ou presque) au rectorat, inconnue (à quelque chose près) de l'inspection, je me contrefous de ce que la réforme veut que je fasse.
Ben voilà ! Et ceux qui sont contre feront pareil ! Alors je ne vois pas où est le problème.
- PascalNiveau 9
Jane a écrit:Pascal a écrit:atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
On peut aussi laisser les profs faire leur boulot comme ils l'entendent, du moment qu'ils ont du résultat (c'est pas ce qu'on souhaite ? Ah, ben, non, ce qui est souhaité, c'est faire des économies).
Il faudrait savoir combien coûte la mise en place de cette Réforme.
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
Je vais t'expliquer quelque chose; les obligations pédagogiques, je m'en bats les flancs. Le dernier inspecteur qui est passé dans mon établissement (qui ne pas m'a inspectée, d'ailleurs, estimant sans doute que deux inspections en 18 ans c'était trop), nous a doctement expliqué que les nouvelles obligations pédagogiques étaient les suivantes: en finir avec l'analyse du texte et, en sortant du collège, être en mesure d'identifier le verbe conjugué.
En tant qu'enseignante avec un tant soit peu d'ancienneté (grosso modo au milieu de ma carrière), j'ai vu passer pas mal d'élèves, expérimenté pas mal de méthodes, et usé de jargons parfois ineptes mais toujours fluctuants au gré des réformes diverses et variées. J'ai l'outrecuidance de penser que si je ne crois pas un minimum au contenu que je transmets et au moyen que je mets en oeuvre pour ce faire, j'ai peu de chance d'atteindre mon but.
Etant oubliée, comme beaucoup, du ministère, inconnue (ou presque) au rectorat, inconnue (à quelque chose près) de l'inspection, je me contrefous de ce que la réforme veut que je fasse.
Ben voilà ! Et ce qui sont contre feront pareil ! Alors je ne vois pas où est le problème.
Se plaindre de ceux qui auraient tenu des propos injurieux à leur collègues et chercher une solution pour éventuellement leur nuire ?
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- atriumNeoprof expérimenté
Pascal a écrit:atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
Sors le nez de ton nombril, relis l'article que j'ai posté et explique-nous pourquoi ce qui a été mauvais pour les petits Québécois serait bon pour les petits Français.
Pour la partie que j'ai mis en gras, c'est une réforme qui s'impose à tous. Je te renvoie donc la question: pourquoi flinguer des élèves, des collègues et des établissements pour en favoriser (peut-être) d'autres?
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It's okay to be a responsible member of society if only you know what you're going to be held responsible for.
John Brunner, The Jagged Orbit
- PascalNiveau 9
Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
Je vais t'expliquer quelque chose; les obligations pédagogiques, je m'en bats les flancs. Le dernier inspecteur qui est passé dans mon établissement (qui ne pas m'a inspectée, d'ailleurs, estimant sans doute que deux inspections en 18 ans c'était trop), nous a doctement expliqué que les nouvelles obligations pédagogiques étaient les suivantes: en finir avec l'analyse du texte et, en sortant du collège, être en mesure d'identifier le verbe conjugué.
En tant qu'enseignante avec un tant soit peu d'ancienneté (grosso modo au milieu de ma carrière), j'ai vu passer pas mal d'élèves, expérimenté pas mal de méthodes, et usé de jargons parfois ineptes mais toujours fluctuants au gré des réformes diverses et variées. J'ai l'outrecuidance de penser que si je ne crois pas un minimum au contenu que je transmets et au moyen que je mets en oeuvre pour ce faire, j'ai peu de chance d'atteindre mon but.
Etant oubliée, comme beaucoup, du ministère, inconnue (ou presque) au rectorat, inconnue (à quelque chose près) de l'inspection, je me contrefous de ce que la réforme veut que je fasse.
Ben voilà ! Et ce qui sont contre feront pareil ! Alors je ne vois pas où est le problème.
Se plaindre de ceux qui auraient tenu des propos injurieux à leur collègues et chercher une solution pour éventuellement leur nuire ?
Pourquoi parler de nuisance et non pas d'aide aux collègues qui s'en prennent plein la tête plutôt?
- OsmieSage
Pascal a écrit:Osmie a écrit:Anaxagore a écrit:Pascal a écrit:Quel spectacle désolant, vraiment !
Errare humanum est, perseverare diabolicum.
J'injurie : élitiste !
Ce n'est pas une insulte, mais un comportement déviant d'un enseignant en mal de pouvoir et de reconnaissance.
Mince, on m'a cernée ; il est vrai que je suis en mal de reconnaissance depuis 6 ans, date du gel du point d'indice.
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:atrium a écrit:
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
On peut aussi laisser les profs faire leur boulot comme ils l'entendent, du moment qu'ils ont du résultat (c'est pas ce qu'on souhaite ? Ah, ben, non, ce qui est souhaité, c'est faire des économies).
Il faudrait savoir combien coûte la mise en place de cette Réforme.
Dans mon établissement:
perte: 54h hebdo
gain: 49h
Je ne compte pas les dédoublements que nous avions (techno et physique sur deux des 4 niveaux) et que nous devrons désormais prendre sur la marge, mais juste de la différence entre 2015 et 2016.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- PascalNiveau 9
atrium a écrit:Pascal a écrit:atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
Sors le nez de ton nombril, relis l'article que j'ai posté et explique-nous pourquoi ce qui a été mauvais pour les petits Québécois serait bon pour les petits Français.
Pour la partie que j'ai mis en gras, c'est une réforme qui s'impose à tous. Je te renvoie donc la question: pourquoi flinguer des élèves, des collègues et des établissements pour en favoriser (peut-être) d'autres?
Je ne sais pas lire le québécois désolé.
- HérodouteGrand sage
Honchamp a écrit:Isis39 a écrit:Honchamp a écrit:coqenstock a écrit:
Ca ne l'a pas empêché de se faire insulter et menacer.
Je crois même qu'on lui a crevé ses pneux et qu'on a mis de la farine dans le ventilateur de son TNI.
On l'a menacé physiquement.
Si c'est le cas, c'est inepte.
J'arrête la discussion car je contribue à la faire repartir en sucette. (Je ne dis pas ça pour toi, Isis).
Moi j'aimerais bien qu'on vienne me menacer physiquement parce que j'aime bien l'idée de devoir faire des EPI l'année prochaine...
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:
Je vais t'expliquer quelque chose; les obligations pédagogiques, je m'en bats les flancs. Le dernier inspecteur qui est passé dans mon établissement (qui ne pas m'a inspectée, d'ailleurs, estimant sans doute que deux inspections en 18 ans c'était trop), nous a doctement expliqué que les nouvelles obligations pédagogiques étaient les suivantes: en finir avec l'analyse du texte et, en sortant du collège, être en mesure d'identifier le verbe conjugué.
En tant qu'enseignante avec un tant soit peu d'ancienneté (grosso modo au milieu de ma carrière), j'ai vu passer pas mal d'élèves, expérimenté pas mal de méthodes, et usé de jargons parfois ineptes mais toujours fluctuants au gré des réformes diverses et variées. J'ai l'outrecuidance de penser que si je ne crois pas un minimum au contenu que je transmets et au moyen que je mets en oeuvre pour ce faire, j'ai peu de chance d'atteindre mon but.
Etant oubliée, comme beaucoup, du ministère, inconnue (ou presque) au rectorat, inconnue (à quelque chose près) de l'inspection, je me contrefous de ce que la réforme veut que je fasse.
Ben voilà ! Et ce qui sont contre feront pareil ! Alors je ne vois pas où est le problème.
Se plaindre de ceux qui auraient tenu des propos injurieux à leur collègues et chercher une solution pour éventuellement leur nuire ?
Pourquoi parler de nuisance et non pas d'aide aux collègues qui s'en prennent plein la tête plutôt?
Parce que, je te cite, "Bonjour, Lorsque nous sommes favorables à la réforme et que les collègues se comportent mal envers nous dans le cadre du travail (insultes, propos grossiers), y a-t-il des recours? Merci."
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- OsmieSage
Pascal a écrit:atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
C'est sûr : on ôte des heures, on fait mourir des disciplines, etc. Je suis par exemple curieuse de savoir comment les élèves trouveront leur compte en latin quand cette discipline aura disparu.
- PascalNiveau 9
Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
On peut aussi laisser les profs faire leur boulot comme ils l'entendent, du moment qu'ils ont du résultat (c'est pas ce qu'on souhaite ? Ah, ben, non, ce qui est souhaité, c'est faire des économies).
Il faudrait savoir combien coûte la mise en place de cette Réforme.
Dans mon établissement:
perte: 54h hebdo
gain: 49h
Je ne compte pas les dédoublements que nous avions (techno et physique sur deux des 4 niveaux) et que nous devrons désormais prendre sur la marge, mais juste de la différence entre 2015 et 2016.
Perdez-vous des élèves? Tout n'est pas encore joué sur les dotations, si vous calculez avec seulement les heures postes, c'est sûr que vous ne vous y retrouverez pas.
- PascalNiveau 9
Osmie a écrit:Pascal a écrit:atrium a écrit:Pascal a écrit:Chacun est libre de penser ce qu'il veut ! Même un fonctionnaire ! Mais les faits sont là: il y aura des obligations pédagogiques à la rentrée, qui doit les assumer? Les enseignants? Après, si ça ne gêne pas une personne d'agir en contradiction avec ses idées, tant mieux !
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
C'est sûr : on ôte des heures, on fait mourir des disciplines, etc. Je suis par exemple curieuse de savoir comment les élèves trouveront leur compte en latin quand cette discipline aura disparu.
J'ai beau cherché, je ne vois pas comment le Latin peut disparaître? Surtout que les syndicats anti-réforme ont fait rétablir le Latin en Complément.
- Invité ElExpert spécialisé
Pascal nous a gentiment indiqué quelle matière il enseignait sous son avatar.
Il se définit alors parfaitement: c'est un cuistre.
Il se définit alors parfaitement: c'est un cuistre.
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:
On peut aussi laisser les profs faire leur boulot comme ils l'entendent, du moment qu'ils ont du résultat (c'est pas ce qu'on souhaite ? Ah, ben, non, ce qui est souhaité, c'est faire des économies).
Il faudrait savoir combien coûte la mise en place de cette Réforme.
Dans mon établissement:
perte: 54h hebdo
gain: 49h
Je ne compte pas les dédoublements que nous avions (techno et physique sur deux des 4 niveaux) et que nous devrons désormais prendre sur la marge, mais juste de la différence entre 2015 et 2016.
Perdez-vous des élèves? Tout n'est pas encore joué sur les dotations, si vous calculez avec seulement les heures postes, c'est sûr que vous ne vous y retrouverez pas.
Non, notre effectif est en augmentation (nous accueillerons dans mon acad près de 3000 élèves supplémentaires).
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- PascalNiveau 9
Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:
Ben voilà ! Et ce qui sont contre feront pareil ! Alors je ne vois pas où est le problème.
Se plaindre de ceux qui auraient tenu des propos injurieux à leur collègues et chercher une solution pour éventuellement leur nuire ?
Pourquoi parler de nuisance et non pas d'aide aux collègues qui s'en prennent plein la tête plutôt?
Parce que, je te cite, "Bonjour, Lorsque nous sommes favorables à la réforme et que les collègues se comportent mal envers nous dans le cadre du travail (insultes, propos grossiers), y a-t-il des recours?
Merci."
Oui, des recours pour protéger le personnel agressé !!!
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Osmie a écrit:Pascal a écrit:atrium a écrit:
On peut tout à fait soutenir une réforme dont la nocivité a déjà été prouvée (voir l'article du café pédagogique que j'ai posté plus haut) notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés. On pourra dire ensuite: "Je suis fonctionnaire et j'avais des ordres."
On peut aussi dire: "Vous voyez, elle n'était pas si nocive que ça: certains élèves, collègues et établissements y ont même trouvé leur compte ! Dire qu'il y avait tout un foin autour de cette réforme..."
C'est sûr : on ôte des heures, on fait mourir des disciplines, etc. Je suis par exemple curieuse de savoir comment les élèves trouveront leur compte en latin quand cette discipline aura disparu.
J'ai beau cherché, je ne vois pas comment le Latin peut disparaître? Surtout que les syndicats anti-réforme ont fait rétablir le Latin en Complément.
Il suffit de lire le programme de LCA pour se rendre compte que le latin disparaît :lol:
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- PascalNiveau 9
Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:
Il faudrait savoir combien coûte la mise en place de cette Réforme.
Dans mon établissement:
perte: 54h hebdo
gain: 49h
Je ne compte pas les dédoublements que nous avions (techno et physique sur deux des 4 niveaux) et que nous devrons désormais prendre sur la marge, mais juste de la différence entre 2015 et 2016.
Perdez-vous des élèves? Tout n'est pas encore joué sur les dotations, si vous calculez avec seulement les heures postes, c'est sûr que vous ne vous y retrouverez pas.
Non, notre effectif est en augmentation (nous accueillerons dans mon acad près de 3000 élèves supplémentaires).
Donc pas d'affolement, ta DGH sera identique et même en légère augmentation, si ce n'est pas le cas il faut le faire remonter.
- JaneMonarque
Pascal a écrit:Jane a écrit:Pascal a écrit:Jane a écrit:
Se plaindre de ceux qui auraient tenu des propos injurieux à leur collègues et chercher une solution pour éventuellement leur nuire ?
Pourquoi parler de nuisance et non pas d'aide aux collègues qui s'en prennent plein la tête plutôt?
Parce que, je te cite, "Bonjour, Lorsque nous sommes favorables à la réforme et que les collègues se comportent mal envers nous dans le cadre du travail (insultes, propos grossiers), y a-t-il des recours?
Merci."
Oui, des recours pour protéger le personnel agressé !!!
J'avais bien compris, merci. Donc, le personnel agressé doit être sanctionné par un recours. En quoi consiste l'agression (désolée si j'ai zappé).
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