- kamasolouHabitué du forum
coqenstock a écrit:carpemuette a écrit:coqenstock a écrit:kamasolou a écrit:
HIS aujourd'hui pour préparer nos formations d'après les vacances : on est parés. Il y aura beaucoup de monde à signaler !
C'est précisément ce genre d'attitude qui pose question non ?
Imaginons des élèves (ou des étudiants) avoir ce genre d'attitude... tout le monde ici hurlerait pour des sanctions lourdes.
Tu rigoles, là, non ? On se fait entendre où, si on ne peut pas intervenir dans les formations imposées ? Il ne s'agit pas de bordéliser les formateurs, mais de souligner les incohérences de la réforme. Si on obtient des réponses sensées et argumentées, il ne devrait y avoir aucun problème. Malheureusement, je n'ai pas écho jusqu'à présent de formation qui permette cela. Je me demande bien pourquoi.
Si si il s'agit bien de ça dans les appels au sabotage.
Les questions qui circulent et qui sont proposées par certains syndicats n'ont pas d'autre but que de saboter les formations.
Elles ne portent pas sur la mise en oeuvre pratique mais sur des choix politiques, et là les formation ne sont pas là pour ça il me semble.
Des élèves qui tentent de saboter un cours, on a déjà (presque) tous vécu ça. Pour ma part, j'ai tendance à me remettre en question... Et à demander de l'aide et des conseils aux collègues pour débloquer la situation. Et même à demander aux élèves pourquoi ils agissent comme cela et ce qu'on peut faire ensemble pour avancer. Rétablir le dialogue, quoi... Faut-il rappeler que le MEN refuse tout dialogue avec les organisations syndicales ? Qu'une collègue qui s'inquiétait du sort réservé aux profs d'allemand et de LC s'est vue répondre en formation de "penser en silence" ?
Poser des questions auxquelles la réforme n'apporte soit pas de réponse, soit des réponses bancales ou contradictoires... C'est la réforme qui est un sabotage (de l'Ecole).
Et si, les questions portent à la fois sur le bien-fondé idéologique de la réforme que les aspects pratiques... Et humains !
Nous n'avons aucun moyen pour nous exprimer et poser nos questions à part ces "formations". Elles ont d'ailleurs été présentées comme un temps d'échange où on nous expliquerait la réforme et où nous nous serions enfin rassurés...
- tschaiNiveau 7
Coqenstock tient un discours que j'assimile à celui de la taupe ou du troll... Faire mine d'être scandalisé par le refus (unanime dans mon collège) de cette réforme contre le collège, parler de sabotage (avec l'accent de papa schultz ça serait parfait), c'est à se demander si ce bonhomme nous vient du recteur?!
- Marie LaetitiaBon génie
coqenstock a écrit:Vous réagissez comme si les questions étaient spontanées et constructives... alors que vous avez tous connaissance des opération de sabotages organisées. Et donc l'objectif n'est pas d'avoir des réponses aux questions mais de jouer à pourrir les formations.
Soyez un peu honnête dans votre contestation...
Mais si sabotage il y a, ce n'est pas par plaisir de saboter. C'est parce que le ministère reste sourd au constat de la majorité des collègues de collège, à savoir qu'il faut une réforme mais que celle-là ne résoud rien, pire, elle aggrave la situation. Cela se fait après avoir lu les textes (le décret de mai notamment), après avoir écouté la ministre et Robine, après avoir écouté les chefs d'établissement et les DASEN, après être arrivé à la conclusion que la réforme du collège qui est prévue pour 2016 ne correspond pas à ce que l'on peut souhaiter de bon pour nos élèves. Une grande partie des questions posées sont réfléchies et ont pour but d'éclaircir les ambiguïtés de la réforme. Pour les autres, comment s'en étonner puisque le ministère reste sourd et passe en force, sans écouter les enseignants (ni les parents...)?
Au hasard, tu trouves normal, toi, que les élèves du Limousin n'aient pas les mêmes droits que ceux de Versailles, comme je le pointais ici (clic) ? L'injustice est un des facteurs de la violence...
Pour Tschai: coqenstock réagit comme les collègues très pro-réforme. Dans mon établissement, comme ils sont très minoritaires, ils deviennent bizarrement, des interlocuteurs privilégiés du CDE, presque les adjoints qui nous manquent (ou pas, en l'occurence ). Cela me sidère que l'on puisse être aussi sourd aux remarques des collègues et aussi zélés, mais enfin... C'est ainsi.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- MoonchildSage
Si les formateurs n'arrivent pas à désamorcer ces oppositions en démontrant les bienfaits de cette formidable réforme alors il doivent se remettre en question ; c'est tout simplement une leçon que j'ai retenue de mon passage à l'IUFM où on m'a répété à l'envi que, lorsque qu'un prof est chahuté, c'est parce que sa pédagogie n'est pas au point.coqenstock a écrit:Vous réagissez comme si les questions étaient spontanées et constructives... alors que vous avez tous connaissance des opération de sabotages organisées. Et donc l'objectif n'est pas d'avoir des réponses aux questions mais de jouer à pourrir les formations.
Soyez un peu honnête dans votre contestation...
- AnaxagoreGuide spirituel
Moonchild a écrit:Si les formateurs n'arrivent pas à désamorcer ces oppositions en démontrant les bienfaits de cette formidable réforme alors il doivent se remettre en question ; c'est tout simplement une leçon que j'ai retenue de mon passage à l'IUFM où on m'a répété à l'envi que, lorsque qu'un prof est chahuté, c'est parce que sa pédagogie n'est pas au point.coqenstock a écrit:Vous réagissez comme si les questions étaient spontanées et constructives... alors que vous avez tous connaissance des opération de sabotages organisées. Et donc l'objectif n'est pas d'avoir des réponses aux questions mais de jouer à pourrir les formations.
Soyez un peu honnête dans votre contestation...
Un argument qui sonne faux, même avec la meilleure pédagogie du monde, est un argument qui sonne faux; sinon c'est de manipulation dont il est question, mais c'est un art florissant, il est vrai.
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"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- BritLétyHabitué du forum
coqenstock a écrit:Vous réagissez comme si les questions étaient spontanées et constructives... alors que vous avez tous connaissance des opération de sabotages organisées. Et donc l'objectif n'est pas d'avoir des réponses aux questions mais de jouer à pourrir les formations.
Soyez un peu honnête dans votre contestation...
Mince alors, si poser des questions c'est saboter volontairement la formation!!!!
Et d'après la rectrice de Grenoble, je n'ai pas le droit de me taire non plus.
Bon, OK, je fais quoi alors?
Blague à part, vous considérez cela alors que ce ne sont que des questions. Mais comme vous n'avez aucune réponse à apporter, vous ne comprenez pas que certains s'énervent de cette absence de réponse et insistent.
Mais si vous n'avez pas de réponses à ces questions, c'est précisément qu'il y a un problème et que la réforme est mal faite, non?
C'est trop facile de s'en prendre aux collègues qui posent des questions. Certes, on sait très bien - depuis le temps - que vous n'avez pas de réponse. Mais c'est peut être pour vous faire comprendre que quelque chose ne va pas, et que votre discours de bisounours ne prend pas. Non, cette réforme n'est pas " bonne ". Non cette réforme ne va pas aider les élèves en difficulté, comment le pourrait-on avec moins de cours, et les EPI qui sont quand même des tâches complexes - là où bon nombre sont déjà en échec sur des tâches simples -. Et non cette réforme ne va pas apporter plus d'égalite, comment le pourrait-elle, , selon notre répartition des heures marges et des EPI ainsi que de notre progression annuelle, on va tous se retrouver à faire des choses différentes. Certes, théoriquement, en fin de 3ème les élèves sont censés en être au même point ( et encore même sur cela j'ai un doute ). Mais quid de l'élève qui déménage en cours de 4ème?
- Presse-puréeGrand sage
Moi j'ai posé des questions constructives:
* Comment apprend-on les langues anciennes à des élèves lorsqu'on divise les champs de cette discipline en trois parties distinctes?
* Qui doit-on écouter lorsqu'on évoque cette question: les concepteurs de la réforme, pour qui on devrait apprendre la langue éventuellement en EC (voire, pour les plus taquins, à la fac "parce que ça sert à rien") ou alors l'inspection, pour qui séparer langue et culture est un crime?
* En quoi une réduction du champ disciplinaire à un projet sur un temps plus ou moins long (de un trimestre à uin an) va-t-il "remonter les effectifs", effectifs qui seraient plus hauts si on nous laissaient la possibilité d'ouvrir plusieurs groupes?
* Comment anticiper sur un effectif de groupe d'enseignement de complément alors que les élèves n'ont pas encore suivi l'EPI? Pourquoi un enseignement de complément à un enseignement pas encore commencé?
* Qui assurera l'EPI LCA? Le prof de LC (version DGESCO), n'importe quel prof sous le patronage du prof de LC et de son expertise (version Ministère)?
A tout cela, on a dit que je faisais du mauvais esprit.
C'est con, j'avais d'autres questions:
* Que pensez-vous de responsables syndicaux ou pédagogiques qui disent explicitement qu'ils veulent la disparition du latin dans le secondaire?
* Pourquoi les LCA sont-elles devenues des EPI alors que dans la première mouture, ce n'était pas le cas: elles restaient comme elles étaient, et même les profs de LC avaient la possibilité de participer en tant que LC aux EPI?
* Pourquoi les LCA, qui étaient mentionnées dans le pilier 1 du nouveau socle en ont été retirées du décret final?
* Pourquoi des associations non-disciplinaires ont-elles participé à la conception des programmes de LC, des gens qui sont concernés par ma question 1 de cette partie?
Bref, la merde, je sais l'identifier de loin et je n'ai pas envie de la faire goûter à mes élèves, qui ne méritent pas ça.
* Comment apprend-on les langues anciennes à des élèves lorsqu'on divise les champs de cette discipline en trois parties distinctes?
* Qui doit-on écouter lorsqu'on évoque cette question: les concepteurs de la réforme, pour qui on devrait apprendre la langue éventuellement en EC (voire, pour les plus taquins, à la fac "parce que ça sert à rien") ou alors l'inspection, pour qui séparer langue et culture est un crime?
* En quoi une réduction du champ disciplinaire à un projet sur un temps plus ou moins long (de un trimestre à uin an) va-t-il "remonter les effectifs", effectifs qui seraient plus hauts si on nous laissaient la possibilité d'ouvrir plusieurs groupes?
* Comment anticiper sur un effectif de groupe d'enseignement de complément alors que les élèves n'ont pas encore suivi l'EPI? Pourquoi un enseignement de complément à un enseignement pas encore commencé?
* Qui assurera l'EPI LCA? Le prof de LC (version DGESCO), n'importe quel prof sous le patronage du prof de LC et de son expertise (version Ministère)?
A tout cela, on a dit que je faisais du mauvais esprit.
C'est con, j'avais d'autres questions:
* Que pensez-vous de responsables syndicaux ou pédagogiques qui disent explicitement qu'ils veulent la disparition du latin dans le secondaire?
* Pourquoi les LCA sont-elles devenues des EPI alors que dans la première mouture, ce n'était pas le cas: elles restaient comme elles étaient, et même les profs de LC avaient la possibilité de participer en tant que LC aux EPI?
* Pourquoi les LCA, qui étaient mentionnées dans le pilier 1 du nouveau socle en ont été retirées du décret final?
* Pourquoi des associations non-disciplinaires ont-elles participé à la conception des programmes de LC, des gens qui sont concernés par ma question 1 de cette partie?
Bref, la merde, je sais l'identifier de loin et je n'ai pas envie de la faire goûter à mes élèves, qui ne méritent pas ça.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- User5899Demi-dieu
C'était jadis le nom de la classe de seconde...Juanlino a écrit:Les Humanités?
Quels élèves savent encore ce que cela signifie? :shock:
Première : classe de rhétorique.
Terminale : classe de philosophie.
- User5899Demi-dieu
Voilà. Les économies sont faciles à faire : il suffit de virer l'ensemble des personnels administratifs des rectorats et du ministèreOsmie a écrit:Que l'on remette une bois fois pour toutes en primaire le paquet sur la lecture, l'écriture et le calcul, que l'on cesse de désespérer la profession, que les IEN laissent travailler en paix les PE, que l'on remette les disciplines au cœur du métier de professeur. Qu'on nous foute la paix, on a un travail sérieux à faire, nous, avec des élèves et une discipline.
Moins d'argent dépensé et plus d'efficacité.
- RendashBon génie
MUTIS a écrit:coqenstock a écrit:Vous réagissez comme si les questions étaient spontanées et constructives... alors que vous avez tous connaissance des opération de sabotages organisées. Et donc l'objectif n'est pas d'avoir des réponses aux questions mais de jouer à pourrir les formations.
Soyez un peu honnête dans votre contestation...
Vous réagissez comme s'il n'y avait pas de problèmes et que les questions étaient illégitimes.
Je vous invite à vous documenter en lisant ces quelques mises au point et questionnements :
https://www.neoprofs.org/t92085-reforme-2016-12-inepties-ou-le-triomphe-des-inegalites?highlight=triomphe
Ceux qui se posent des questions ont raison. Ceux qui ne s'en posent pas ou n'en posent pas, n'ont pas vraiment étudié la réforme à mon avis...Outre l'infantilisation que sous-entend votre discours, il s'agit pour moi d'un manque certain de conscience professionnelle et de sérieux.
+1.
Coqenstock fait mine de considérer que ce sont les questions qui pourrissent les "formations". Alors que c'est l'absence de réponse des "formateurs" à ces questions qui pourrit ces "formations". ET il parle d'honnêteté? La corneille reproche au corbeau d'être noir?
phychi67 a écrit:
Un enseignant qui prépare son cours, fais en sorte qu'il soit intéressant, croit à sa matière et répond aux questions que lui posent les élèves n'a jamais le bordel dans son cours !
Aux formateurs de cette réforme et à ses concepteurs de se remettre sérieusement en question : On ne forme pas à un vide cosmique !
Pardon, mais j'espère que c'est une maladresse d'expression. Parce que sinon, c'est une connerie de la plus belle eau, façon ESPE. Ça revient à dire qu'un enseignant qui subit le bordel dans son cours est forcément inintéressant, ne répond pas aux questions, ne croit pas à sa matière. Que le bordel est de sa faute, donc. Merde à la fin, qui le fout, le bordel?
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- IphigénieProphète
Voilà.Osmie a écrit:Que l'on remette une bonne fois pour toutes en primaire le paquet sur la lecture, l'écriture et le calcul, que l'on cesse de désespérer la profession, que les IEN laissent travailler en paix les PE, que l'on remette les disciplines au cœur du métier de professeur. Qu'on nous foute la paix, on a un travail sérieux à faire, nous, avec des élèves et une discipline.
Enfin un programme limpide, économique, et applicable, à la satisfaction de tous.
Je vote pour celui-là.[/quote]
- LefterisEsprit sacré
Je pense poser les mêmes à la première journée de formatage (la deuxième, je pense être gréviste, si je n'ai plus rien à leur dire). Je demanderai aussi si j'ai l'occasion pourquoi des mensonges ont été sciemment proférés (qu'il n'y avait pas de programmes de latin, qu'on ne faisait pas de civilisation , etc. ) par des gens supposés savoir de quoi ils parlaient ? pourquoi le programme de français ne compte plus les mots de "culture humaniste" (à moins que j'aie mal lu) ? Pourquoi il n'est plus en lien avec celui d'histoire ?Presse-purée a écrit:Moi j'ai posé des questions constructives:
* Comment apprend-on les langues anciennes à des élèves lorsqu'on divise les champs de cette discipline en trois parties distinctes?
* Qui doit-on écouter lorsqu'on évoque cette question: les concepteurs de la réforme, pour qui on devrait apprendre la langue éventuellement en EC (voire, pour les plus taquins, à la fac "parce que ça sert à rien") ou alors l'inspection, pour qui séparer langue et culture est un crime?
* En quoi une réduction du champ disciplinaire à un projet sur un temps plus ou moins long (de un trimestre à uin an) va-t-il "remonter les effectifs", effectifs qui seraient plus hauts si on nous laissaient la possibilité d'ouvrir plusieurs groupes?
* Comment anticiper sur un effectif de groupe d'enseignement de complément alors que les élèves n'ont pas encore suivi l'EPI? Pourquoi un enseignement de complément à un enseignement pas encore commencé?
* Qui assurera l'EPI LCA? Le prof de LC (version DGESCO), n'importe quel prof sous le patronage du prof de LC et de son expertise (version Ministère)?
A tout cela, on a dit que je faisais du mauvais esprit.
C'est con, j'avais d'autres questions:
* Que pensez-vous de responsables syndicaux ou pédagogiques qui disent explicitement qu'ils veulent la disparition du latin dans le secondaire?
* Pourquoi les LCA sont-elles devenues des EPI alors que dans la première mouture, ce n'était pas le cas: elles restaient comme elles étaient, et même les profs de LC avaient la possibilité de participer en tant que LC aux EPI?
* Pourquoi les LCA, qui étaient mentionnées dans le pilier 1 du nouveau socle en ont été retirées du décret final?
* Pourquoi des associations non-disciplinaires ont-elles participé à la conception des programmes de LC, des gens qui sont concernés par ma question 1 de cette partie?
Bref, la merde, je sais l'identifier de loin et je n'ai pas envie de la faire goûter à mes élèves, qui ne méritent pas ça.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- SergeMédiateur
Ca on le découvrira avec le nouveau programme qu'il semble avoir tant de mal concevoir ... ou à publier ...
- OlympiasProphète
Je pense que la Dgesco n'a nullement anticipé le souk que ça va être dans les établissements
- Invité ElExpert spécialisé
Je pense sincèrement qu'elle s'en fout complètement.
- CarnyxNeoprof expérimenté
La dgesco (et la depp) ont-elles jamais anticipé correctement quoi que ce soit ?Olympias a écrit:Je pense que la Dgesco n'a nullement anticipé le souk que ça va être dans les établissements
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- henrietteMédiateur
Je trouve cette remarque hallucinante : justement, coqenstock, nous ne sommes pas des élèves, mais des professionnels compétents, et cela fait une sacré différence !coqenstock a écrit:kamasolou a écrit:Carnyx a écrit:En tout cas, on devine qui signalera les « attitudes d’opposition ».
HIS aujourd'hui pour préparer nos formations d'après les vacances : on est parés. Il y aura beaucoup de monde à signaler !
C'est précisément ce genre d'attitude qui pose question non ?
Imaginons des élèves (ou des étudiants) avoir ce genre d'attitude... tout le monde ici hurlerait pour des sanctions lourdes.
Que tu ne le perçoives pas me laisse pantoise.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- phychi67Niveau 5
Rendash a écrit:phychi67 a écrit:
Un enseignant qui prépare son cours, fais en sorte qu'il soit intéressant, croit à sa matière et répond aux questions que lui posent les élèves n'a jamais le bordel dans son cours !
Aux formateurs de cette réforme et à ses concepteurs de se remettre sérieusement en question : On ne forme pas à un vide cosmique !
Pardon, mais j'espère que c'est une maladresse d'expression. Parce que sinon, c'est une connerie de la plus belle eau, façon ESPE. Ça revient à dire qu'un enseignant qui subit le bordel dans son cours est forcément inintéressant, ne répond pas aux questions, ne croit pas à sa matière. Que le bordel est de sa faute, donc. Merde à la fin, qui le fout, le bordel?
Ce que je veux dire par là c'est que les élèves n'ont aucune raison de faire le bazar dans un cours bien construit dans lequel l'enseignant sait ce qu'il fait et où il va ! Il est évident que les élèves essaient parfois de "flinguer" des cours, mais un "bon" prof va pouvoir retourner la situation et peut se remettre en question si le problème vient de son cours (seul ou avec l'aide de ses collègues). Si cela vient de la "méchanceté" des élèves, c'est généralement le fait d'un "meneur" que l'on peut neutraliser.
Avec les formations à cette réforme on nous dit que les profs mettent le souk "par plaisir de poser des questions qui fâchent" ! C'est totalement stupide et nous ne faisons que pointer les très nombreuses incohérences de cette réforme, comme cela a été très bien dit plus haut.
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"The first principle is that you must not fool yourself–and you are the easiest person to fool."
R. Feynman
- Marie LaetitiaBon génie
Cripure a écrit:Voilà. Les économies sont faciles à faire : il suffit de virer l'ensemble des personnels administratifs des rectorats et du ministèreOsmie a écrit:Que l'on remette une bois fois pour toutes en primaire le paquet sur la lecture, l'écriture et le calcul, que l'on cesse de désespérer la profession, que les IEN laissent travailler en paix les PE, que l'on remette les disciplines au cœur du métier de professeur. Qu'on nous foute la paix, on a un travail sérieux à faire, nous, avec des élèves et une discipline.
Moins d'argent dépensé et plus d'efficacité.
Y compris ceux du service des paies? :diable:
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- HonchampDoyen
Serge a écrit:Ca on le découvrira avec le nouveau programme qu'il semble avoir tant de mal concevoir ... ou à publier ...
Article dans le monde daté de ce jour.
latin-Grec : des programmes pour rassurer.
J'ai envoyé des PM à quelques Néos, avec l'essentiel de l'article, mais ma boite "éléments envoyés" ne les affiche pas : sont-ils partis ou pas ? L'avez-vous reçu ?
Avant de sortir jusqu'à fin d'Après-midi, je ne peux en faire que des citations ici.
L'article :
"Latin-Grec: des programmes pour rassurer.
[...]
Dans le document que Le Monde s’est procuré, le CSP entend pourtant démontrer qu’il ne participera pas à cette mise à mal des Humanités dénoncée, depuis le printemps, bien au-delà des cercles d’enseignants. Pas de renoncement aux ambitions linguistiques dites « classiques » au profit d’une approche strictement culturelle ou civilisationnelle. « La connaissance que les élèves acquièrent de l’Antiquité se fonde, d’abord, sur l’étude des textes authentiques que l’on fait lire en latin et en grec, mais également, de manière cursive, en traduction », peut-on lire dès la première page.
[...]
Et pourtant, dans les rangs des opposants à la réforme du collège, il ne fait guère de doute que ces nouveaux programmes, quelle que soit leur ambition – presque trop élevée en termes de maîtrise de la langue, estiment déjà certains –, pourront difficilement emporter l’adhésion sur le terrain, tant le temps et les modalités pour faire vivre les langues anciennes en classe, à partir de septembre, restent sujets à caution.
Le point de blocage n’a pas varié : la transformation du latin et du grec en un « enseignement pratique interdisciplinaire » (EPI), même baptisé « Langues et cultures de l’Antiquité », même adossé à ces « enseignements de complément », ne convainc pas. D’autant que cet enseignement est réduit à 1 heure hebdomadaire en 5e, 2 heures en 4e et 3e (contre 2 heures puis deux fois 3 heures pour l’option jusqu’à présent). Un redimensionnement d’autant plus mal vécu que l’EPI ne dispose pas, lui, d’« horaires fléchés »,
[...]
Si, à écouter Mme Vallaud-Belkacem, l’objectif est de rendre les langues anciennes plus accessibles aux 3 millions de collégiens, le pronostic inverse émane du terrain : celui de la disparition pure et simple du latin et du grec comme disciplines au collège. C’est en janvier, avec la répartition des moyens aux établissements – les « dotations horaires globales » –, qu’on pourra passer du pronostic aux travaux pratiques.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/education/article/2015/12/18/latin-et-grec-des-programmes-pour-rassurer_4834587_1473685.html#3F6okgxgbwmQiRBg.99"
Je dois partir, je l'envoie à ceux qui le souhaitent au retour, mais pas avant ce soir.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- CeladonDemi-dieu
Marie Laetitia a écrit:Cripure a écrit:Voilà. Les économies sont faciles à faire : il suffit de virer l'ensemble des personnels administratifs des rectorats et du ministèreOsmie a écrit:Que l'on remette une bois fois pour toutes en primaire le paquet sur la lecture, l'écriture et le calcul, que l'on cesse de désespérer la profession, que les IEN laissent travailler en paix les PE, que l'on remette les disciplines au cœur du métier de professeur. Qu'on nous foute la paix, on a un travail sérieux à faire, nous, avec des élèves et une discipline.
Moins d'argent dépensé et plus d'efficacité.
Y compris ceux du service des paies? :diable:
- Presse-puréeGrand sage
henriette a écrit:Je trouve cette remarque hallucinante : justement, coqenstock, nous ne sommes pas des élèves, mais des professionnels compétents, et cela fait une sacré différence !coqenstock a écrit:kamasolou a écrit:Carnyx a écrit:En tout cas, on devine qui signalera les « attitudes d’opposition ».
HIS aujourd'hui pour préparer nos formations d'après les vacances : on est parés. Il y aura beaucoup de monde à signaler !
C'est précisément ce genre d'attitude qui pose question non ?
Imaginons des élèves (ou des étudiants) avoir ce genre d'attitude... tout le monde ici hurlerait pour des sanctions lourdes.
Que tu ne le perçoives pas me laisse pantoise.
Des professionnels compétents qui ont le devoir de prévenir leur hiérarchie que cette réforme ne donnera pas de meilleurs acquis aux élèves et qu'elle ne résoudra pas les inégalités, mais qu'au contraire elle les fera augmenter.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- Marie LaetitiaBon génie
Celadon a écrit:Marie Laetitia a écrit:Cripure a écrit:Voilà. Les économies sont faciles à faire : il suffit de virer l'ensemble des personnels administratifs des rectorats et du ministèreOsmie a écrit:Que l'on remette une bois fois pour toutes en primaire le paquet sur la lecture, l'écriture et le calcul, que l'on cesse de désespérer la profession, que les IEN laissent travailler en paix les PE, que l'on remette les disciplines au cœur du métier de professeur. Qu'on nous foute la paix, on a un travail sérieux à faire, nous, avec des élèves et une discipline.
Moins d'argent dépensé et plus d'efficacité.
Y compris ceux du service des paies? :diable:
Je ne sais, moi, on me dit qu'ils sont tous inutiles...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- ErgoDevin
:shock:phychi67 a écrit:
Ce que je veux dire par là c'est que les élèves n'ont aucune raison de faire le bazar dans un cours bien construit dans lequel l'enseignant sait ce qu'il fait et où il va ! Il est évident que les élèves essaient parfois de "flinguer" des cours, mais un "bon" prof va pouvoir retourner la situation et peut se remettre en question si le problème vient de son cours (seul ou avec l'aide de ses collègues). Si cela vient de la "méchanceté" des élèves, c'est généralement le fait d'un "meneur" que l'on peut neutraliser.
C'est vrai. Des élèves de 4e, à tout hasard, qui arrivent en 4e sans savoir lire et écrire correctement, encore moins comprendre ce qu'ils déchiffrent, encore moins comprendre les implications, sous-entendus et attentes d'un système qui les a fait passer de classe en classe alors qu'ils n'avaient pas les bases, n'ont vraiment aucune raison de ne pas avoir envie d'écouter un cours bien construit dont ils ne peuvent, en fait, pas comprendre qu'il est bien construit et que l'enseignant sait ce qu'il fait et où il va. Car pour eux, un cours, quel que soit son plan brillant et cohérent est totalement incohérent. Pour les besoins de la réponse, on imaginera 6 ou 7 élèves dans une classe de 21 qui sont dans ce cas. Nul besoin de meneur pour que ces 6 ou 7 élèves mettent le bazar (en n'écoutant pas, en s'apostrophant les uns les autres, en parlant à voix haute comme au salon de thé etc.). Retourner la situation dans un cas comme celui-là ne requiert pas un changement de cours, une pirouette ou une remise en question existentielle de l'enseignant avec la coopération de ses collègues et de feu l'IUFM.
Toute ressemblance etc. est volontaire. Ceux qui n'arrivent pas à envisager cette situation ou qui ne l'ont jamais connue ont bien de la chance. Mais cette chance ne repose pas sur leurs cours bien construits avec un enseignant qui savait où il allait et ce qu'il faisait.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- LefterisEsprit sacré
Ergo a écrit:
:shock:
C'est vrai. Des élèves de 4e, à tout hasard, qui arrivent en 4e sans savoir lire et écrire correctement, encore moins comprendre ce qu'ils déchiffrent, encore moins comprendre les implications, sous-entendus et attentes d'un système qui les a fait passer de classe en classe alors qu'ils n'avaient pas les bases, n'ont vraiment aucune raison de ne pas avoir envie d'écouter un cours bien construit dont ils ne peuvent, en fait, pas comprendre qu'il est bien construit et que l'enseignant sait ce qu'il fait et où il va. Car pour eux, un cours, quel que soit son plan brillant et cohérent est totalement incohérent. Pour les besoins de la réponse, on imaginera 6 ou 7 élèves dans une classe de 21 qui sont dans ce cas. Nul besoin de meneur pour que ces 6 ou 7 élèves mettent le bazar (en n'écoutant pas, en s'apostrophant les uns les autres, en parlant à voix haute comme au salon de thé etc.). Retourner la situation dans un cas comme celui-là ne requiert pas un changement de cours, une pirouette ou une remise en question existentielle de l'enseignant avec la coopération de ses collègues et de feu l'IUFM.
Toute ressemblance etc. est volontaire. Ceux qui n'arrivent pas à envisager cette situation ou qui ne l'ont jamais connue ont bien de la chance. Mais cette chance ne repose pas sur leurs cours bien construits avec un enseignant qui savait où il allait et ce qu'il faisait.
Ce que j'ai mis en gras, ça sent le vécu ...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User5899Demi-dieu
Non, une calamar. Euh canular.coqenstock a écrit:Reine Margot a écrit:coqenstock a écrit:Osmie a écrit:Que l'on remette une bois fois pour toutes en primaire le paquet sur la lecture, l'écriture et le calcul, que l'on cesse de désespérer la profession, que les IEN laissent travailler en paix les PE, que l'on remette les disciplines au cœur du métier de professeur. Qu'on nous foute la paix, on a un travail sérieux à faire, nous, avec des élèves et une discipline.
Les disciplines sont la clé de voute de toute l'organisation scolaire dans le secondaire depuis des lustres...
Et perdent des heures depuis des lustres...Par ailleurs il est nécessaire que l'enseignement soit disciplinaire avant tout, car l'école ne peut être soumise à des buts extérieurs à elle-même, et seuls les savoirs disciplinaires peuvent permettre de construire un être humain critique et conscient. Quand on fait autre chose, on "amuse" l'élève, on fait en sorte qu'il ne s'ennuie pas, mais on ne l'aide pas à former son esprit.
C'est une vision plus que caricaturale non ?
Le monde n'est pas cloisonné en disciplines... d'ailleurs des disciplines universitaires naissent du croisement de 2 autres.
"seuls les savoirs disciplinaires peuvent permettre de construire un être humain critique et conscient" --> C'est un blague non ?
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