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- RabelaisVénérable
Mezzo voce a écrit:Pour ce qui est des copies, ma collègue m'a tout simplement demandé de l'aider. Je ne comprends pas pourquoi cela vous fait "tiquer", en fait. Je suis du genre "trop bon-trop con" ? Peut-être aussi cherchais-je à m'intégrer. Franchement, je ne sais pas. Je me voyais mal refuser.
Pas de problème, nous somme nombreux à rendre des services dont nous ne mesurons pas les mplications.
J'ai lu ton post et je viens de mettre un terme à une nouvelle relation ( nouveau bahut) qui tournait mal, reproches , sarcasme, humour public à mes dépends , bref, trop toxique pour moi.
Finalement, j'étais devenue trop proche trop vite sans vraiment connaître la collègue et je me sentais un peu prisonnière dans cette relation et jàvais peur de ses réactions si je m'échappais .
Je crois que je voulais revivre une relation amicale que j'avais eue l'an dernier mais je sais aujourd'hui que c'est plutôt rare et qu'il faut faire attention au travail .
Bilan: certes je suis seule ( puisque je n'ai pas pris le temps de connaître les autres collègues), certes je suis sur des œufs et je pense qu'elle ne s'est pas gênée pour me casser un peu en SDP ou à la cantine mais je suis soulagée et c'est le principal.
Sois le aussi: les autres apprendront à te connaître avec le temps et à reconnaître la vérité du mensonge.( sauf les c....mais ça , tu t'en fiches) .
N'aie pas peur d'être seule un petit moment et surtout, respire, plus personne pour te faire des réflexions sur tes jupes ou ton Travail . Elle te critique derrière ton dos en SDP, qu'importe?
Tu mènes ton concours et tu le réussis, ça fait des jaloux chez les fainéants et les incompétents .
Sois toi même et reconnais les tiens.
Courage !!!
- roxanneOracle
Euh, les profs qui ne font pas de concours ne sont pas forcément feignants et incompétents..Au contraire d'ailleurs. Et j'ai aussi vécu la collègue qui se balade avec ses kilos de sacs , ses yeux cernés , qui fait bien comprendre qu'elle passe des heures à faire des projets, des concours, qu'on applaudit en SDp...parfois, c'est vrai que c'est un peu gonflant. Je ne dis pas que c'est ton cas bien-sûr.
- Ma'amÉrudit
Je te comprends Mezzo voce, si une collègue en dépression me demandait de corriger ses cahier ou ses évaluations pour la dépanner, franchement je le ferais sans hésiter.
C'est compliqué de dire non.
Enfin pour moi en tout cas !
C'est compliqué de dire non.
Enfin pour moi en tout cas !
- Mezzo voceNiveau 9
Merci Maîtresse. Roxane, je me balade avec des tas de sacs, en effet, mais je ne me plains jamais, ni du salaire, ni de ma fatigue, ni de travailler ! Je suis toujours souriante, gaie, motivée, sur place. Et je ne suis même pas du genre à parler de mon travail, de mes projets : il faut me tirer les vers du nez ! En revanche, ma collègue travaille peu mais ne cesse de mettre en avant la quantité de travail, de fatigue, etc. qui est sienne. Si on se fonde sur ce que les gens disent, on doit penser que la vie est belle pour MV, et que ma collègue bosse comme une dingue. Alors...
- roxanneOracle
Si tu ne te plains pas un peu en plus, c'est pire! Tu es trop parfaite! D'ailleurs, tu vois, elle cherche à t'imiter en s'habillant comme toi.
Sérieusement, elle te cherche des noises peut-être à cause de ce côté " parfait" qui en plus sourit et rend service. Mais, bon, en fait, tu t'en fous. Ou gueule un bon coup, ça cassera le mythe et tu leur feras peur en plus..
Sérieusement, elle te cherche des noises peut-être à cause de ce côté " parfait" qui en plus sourit et rend service. Mais, bon, en fait, tu t'en fous. Ou gueule un bon coup, ça cassera le mythe et tu leur feras peur en plus..
- Ma'amÉrudit
Les gens ne sont pas dupes Mezzo voce.
Si tu l'as aidée l'année dernière, ça dit de toi que tu es une belle personne et si elle réagit mal cette année, ça dit d'elle qu'elle n'a même pas la reconnaissance du ventre.
Après, j'ai envie de te demander pourquoi c'est si important pour toi que les collègues pensent qu'elle bosse comme une dingue et que tu te la coules douce.
Tu as ta conscience pour toi, tu bosses pour tes élèves, pour ta propre satisfaction, mais pas pour en jeter plein la vue à tes collègues.
Dis-toi bien une chose, il vaut mieux être jalousée que plainte.
Si tu l'as aidée l'année dernière, ça dit de toi que tu es une belle personne et si elle réagit mal cette année, ça dit d'elle qu'elle n'a même pas la reconnaissance du ventre.
Après, j'ai envie de te demander pourquoi c'est si important pour toi que les collègues pensent qu'elle bosse comme une dingue et que tu te la coules douce.
Tu as ta conscience pour toi, tu bosses pour tes élèves, pour ta propre satisfaction, mais pas pour en jeter plein la vue à tes collègues.
Dis-toi bien une chose, il vaut mieux être jalousée que plainte.
- RabelaisVénérable
roxanne a écrit:Euh, les profs qui ne font pas de concours ne sont pas forcément feignants et incompétents..Au contraire d'ailleurs. Et j'ai aussi vécu la collègue qui se balade avec ses kilos de sacs , ses yeux cernés , qui fait bien comprendre qu'elle passe des heures à faire des projets, des concours, qu'on applaudit en SDp...parfois, c'est vrai que c'est un peu gonflant. Je ne dis pas que c'est ton cas bien-sûr.
Je répète: ça fait des JALOUX chez les fainéants et les incompétents.
Je ne pense pas être jalouse des profs débordées par les projets ou se la jouant gravement : le mot serait plutôt " dubitative" ( si c'est tellement pénible, qu'est-ce qui t'y oblige?)
Pour les autres, comme Mezzo, qui font des concours seulement parce qu'ils en ont envie, au pire je m'en balance un peu, au mieux je les félicite.
Mais oui, certains sont jaloux et malveillants, et on les trouve souvent parmi ceux qui ne font jamais rien , parce que des profs comme Mezzo les renvoient à leur propre incompétence ou fainéantise.
( j'ajouterais que , d'ailleurs, tous les fainéants ne sont pas jaloux, il y a les fainéants bienveillants, cool, agréables, catégorie à laquelle j'aimerais adhérer , lorsque j'aurai enfin créé tous mes cours,dans quelques années )
- Mezzo voceNiveau 9
maîtresse a écrit:Les gens ne sont pas dupes Mezzo voce.
Si tu l'as aidée l'année dernière, ça dit de toi que tu es une belle personne et si elle réagit mal cette année, ça dit d'elle qu'elle n'a même pas la reconnaissance du ventre.
Après, j'ai envie de te demander pourquoi c'est si important pour toi que les collègues pensent qu'elle bosse comme une dingue et que tu te la coules douce.
Tu as ta conscience pour toi, tu bosses pour tes élèves, pour ta propre satisfaction, mais pas pour en jeter plein la vue à tes collègues.
Dis-toi bien une chose, il vaut mieux être jalousée que plainte.
Non, mais je ne me posais pas la question avant de noter la remarque de Roxane : je répondais à Roxane.
Sinon, entre parenthèses, je croyais que l'expression la "reconnaissance du ventre" avait un caractère purement sexuel.
- Mezzo voceNiveau 9
Rabelais a écrit:roxanne a écrit:Euh, les profs qui ne font pas de concours ne sont pas forcément feignants et incompétents..Au contraire d'ailleurs. Et j'ai aussi vécu la collègue qui se balade avec ses kilos de sacs , ses yeux cernés , qui fait bien comprendre qu'elle passe des heures à faire des projets, des concours, qu'on applaudit en SDp...parfois, c'est vrai que c'est un peu gonflant. Je ne dis pas que c'est ton cas bien-sûr.
Je répète: ça fait des JALOUX chez les fainéants et les incompétents.
Je ne pense pas être jalouse des profs débordées par les projets ou se la jouant gravement : le mot serait plutôt " dubitative" ( si c'est tellement pénible, qu'est-ce qui t'y oblige?)
Pour les autres, comme Mezzo, qui font des concours seulement parce qu'ils en ont envie, au pire je m'en balance un peu, au mieux je les félicite.
Mais oui, certains sont jaloux et malveillants, et on les trouve souvent parmi ceux qui ne font jamais rien , parce que des profs comme Mezzo les renvoient à leur propre incompétence ou fainéantise.
( j'ajouterais que , d'ailleurs, tous les fainéants ne sont pas jaloux, il y a les fainéants bienveillants, cool, agréables, catégorie à laquelle j'aimerais adhérer , lorsque j'aurai enfin créé tous les cours' dans quelques années )
- Ma'amÉrudit
Ah bon ?
Pour moi, c'est alimentaire !
Il n'est pas impossible que j'aie utilisé cette expression devant des élèves !
Pour moi, c'est alimentaire !
Il n'est pas impossible que j'aie utilisé cette expression devant des élèves !
- Mezzo voceNiveau 9
C'est une question. J'ai peut-être les idées mal placées...
- Ma'amÉrudit
Voici ce que j'ai trouvé dans le dico (CNRTL)
"Loc. verb. fam., parfois iron. ou péj. Avoir la reconnaissance du ventre. Manifester sa gratitude envers la personne qui vous a nourri, servi à manger, à boire, entretenu."
Donc, oui tu as les idées mal placées ! :lol:
"Loc. verb. fam., parfois iron. ou péj. Avoir la reconnaissance du ventre. Manifester sa gratitude envers la personne qui vous a nourri, servi à manger, à boire, entretenu."
Donc, oui tu as les idées mal placées ! :lol:
- DalvaVénérable
Ouf, moi aussi j'employais l'expression pour le côté alimentaire !
Je me suis inquiétée un instant.
Je crois que c'est un bon conseil, si toutefois c'est dans ton caractère. On me trouve toujours "douce, gentille, patiente, et tellement souriante, et patati patata" et pourtant je n'ai jamais rendu personne jaloux ni envieux ni las de ma perfection : il m'arrive une ou deux fois par an de pousser une bonne gueulante ou de me montrer vraiment très désagréable avec un collègue (qui l'a bien cherché, hein, je ne suis pas non plus complètement caractérielle). Du coup, il paraît que je fais peur. C'est cool. Le collègue qui se moquera de moi n'est pas encore né.
Alors qu'en dehors du boulot, c'est-à-dire là où l'on me connaît moins et où l'on ne m'a jamais vue fâchée, on ne s'est pas gêné !
Je me suis inquiétée un instant.
roxanne a écrit:Si tu ne te plains pas un peu en plus, c'est pire! Tu es trop parfaite! D'ailleurs, tu vois, elle cherche à t'imiter en s'habillant comme toi.
Sérieusement, elle te cherche des noises peut-être à cause de ce côté " parfait" qui en plus sourit et rend service. Mais, bon, en fait, tu t'en fous. Ou gueule un bon coup, ça cassera le mythe et tu leur feras peur en plus..
Je crois que c'est un bon conseil, si toutefois c'est dans ton caractère. On me trouve toujours "douce, gentille, patiente, et tellement souriante, et patati patata" et pourtant je n'ai jamais rendu personne jaloux ni envieux ni las de ma perfection : il m'arrive une ou deux fois par an de pousser une bonne gueulante ou de me montrer vraiment très désagréable avec un collègue (qui l'a bien cherché, hein, je ne suis pas non plus complètement caractérielle). Du coup, il paraît que je fais peur. C'est cool. Le collègue qui se moquera de moi n'est pas encore né.
Alors qu'en dehors du boulot, c'est-à-dire là où l'on me connaît moins et où l'on ne m'a jamais vue fâchée, on ne s'est pas gêné !
- Mezzo voceNiveau 9
Il n'est pas non plus question que je me laisse vomir dessus. Nous verrons. J'ai déjà supprimé la collègue de mon Facebook, qui imitait là aussi pas mal de choses. J'imagine qu'elle va engager un duel saignant. Nous verrons. Pour l'heure, je ne souhaite pas lui accorder d'importance outre mesure.
- Reine MargotDemi-dieu
Je dirais rester strictement professionnelle, donner le moins prise possible, elle sera bien obligée de s'y faire et si elle pique des crises, ça sera elle qui passera pour l'hystérique.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- scot69Modérateur
Pour avoir vécu une situation de harcèlement de la part d'une collègue, j'avais procédé de la façon suivante:
- l'éviter au maximum
- ne pas me trouver dans la même conversation qu'elle
- ne pas manger avec elle
- ne surtout pas répondre à ses remarques, elle n'est pas intéressantes (je finissais par mettre mon lecteur mp3)
En gros, ne pas lui donner d'occasions de pouvoir te rabaisser. Un seul mot: l'ignorance.
A la fin, je passais les pauses assis en salle des profs, en bout de table, à bosser ou bouquiner pendant qu'elle pavanait ou se fichait de moi. Au bout d'un moment, les autres collègues en ont eu aussi ras le bol et ont aussi fini par s'éloigner d'elle.
Courage!!!
- l'éviter au maximum
- ne pas me trouver dans la même conversation qu'elle
- ne pas manger avec elle
- ne surtout pas répondre à ses remarques, elle n'est pas intéressantes (je finissais par mettre mon lecteur mp3)
En gros, ne pas lui donner d'occasions de pouvoir te rabaisser. Un seul mot: l'ignorance.
A la fin, je passais les pauses assis en salle des profs, en bout de table, à bosser ou bouquiner pendant qu'elle pavanait ou se fichait de moi. Au bout d'un moment, les autres collègues en ont eu aussi ras le bol et ont aussi fini par s'éloigner d'elle.
Courage!!!
- RabelaisVénérable
Il y a Vraiment de sacrés boulets dans notre profession..comme partout, j'en conviens,mais pour avoir multiplié les expériences professionnelles, je dirais que c'est un repère quand même.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- RendashBon génie
CarmenLR a écrit: la compétence "je me pourris la vie et je pourris celle des autres" est validée, des fois avec des odeurs de sueur et du pwaaal, c'est rigolo à observer.
Oui, mais le pwâl, c'est la vie
Mezzo voce a écrit:je croyais que l'expression la "reconnaissance du ventre" avait un caractère purement sexuel.
C'est plutôt la reconnaissance du bas-ventre, ça.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Rabelais a écrit:Il y a Vraiment de sacrés boulets dans notre profession..comme partout, j'en conviens,mais pour avoir multiplié les expériences professionnelles, je dirais que c'est un repère quand même.
Tu trouves ? J'ai l'impression que c'est le cas partout, mais que dans l'enseignement, on s'en étonne parce que c'est une profession supposément intellectuelle. En fac, ce n'est pas toujours très reluisant, et je pense qu'on trouve ça plus insupportable que dans de plus hauts lieux de pouvoir, parce qu'on s'imagine que les lieux de savoir sont des abbayes de Thélème et des banquets du partage... (Mwarf...)
Dans les autres administrations, les trucs à statut associatif et tout un panel de lieux de travail supposés être imperméables à la concurrence entre salariés, il s'en passe aussi de belles...
Vaut mieux en rire et relire Marc-Aurèle...
- Mezzo voceNiveau 9
Rendash a écrit:CarmenLR a écrit: la compétence "je me pourris la vie et je pourris celle des autres" est validée, des fois avec des odeurs de sueur et du pwaaal, c'est rigolo à observer.
Oui, mais le pwâl, c'est la vieMezzo voce a écrit:je croyais que l'expression la "reconnaissance du ventre" avait un caractère purement sexuel.
C'est plutôt la reconnaissance du bas-ventre, ça.
:lol:
- RabelaisVénérable
J'ai peut-être eu de la chance, alors.CarmenLR a écrit:Rabelais a écrit:Il y a Vraiment de sacrés boulets dans notre profession..comme partout, j'en conviens,mais pour avoir multiplié les expériences professionnelles, je dirais que c'est un repère quand même.
Tu trouves ? J'ai l'impression que c'est le cas oartout, mais que daans l'enseignement, on s'en étonne parce que c'est une profession supposément intellectuelle. En fac, ce n'est pas toujours très reluisant, et je pense qu'on trouve ça pkus insupportable que dans de plus hauts lieux de pouvoir, parce qu'on s'imagine que les lieux de savoir sont censés être des abbayes de Theleme et des banquets du partage... (Mwarf...)
Dans les autres administrations, les trucs à statut associatifs et tout un panel de lieux de travaul supposés être imperméables à la concurrence entre salariés, il s'en passe aussi de belles...
Vaut mieux en rire et relire Marc-Aurèle...
Mais dans le privé comme dans d'autres fonctions publiques, pas un seul probleme d'ego..et pourtant il y avait ( par exemple chez pôle emploi), des primes de l'ordre de 300 euros par mois distribuées par le chef pour l'investissement perso, je n'imagine même pas le délire si cela se faisait dans les etb. :
Bah non, on se désolait quand nos collègues ne l'avaient pas, on comprenait quand on ne l'avait pas,nous.
Je crois qu'en fait, partout où j'ai bossé, les rôles étaient clairement définis et les postes hiérarchisés.
Du coup, pas de problèmes d'ego entre agents ou employés au même statut.
Et pour les carriéristes, il y avait toujours possibilité d'être reconnu sur le papier ,en changeant de poste , pas en essayant de se faire mousser .
Franchement, c`était plus zen.
_________________
Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- CasparProphète
Rabelais a écrit:J'ai peut-être eu de la chance, alors.CarmenLR a écrit:Rabelais a écrit:Il y a Vraiment de sacrés boulets dans notre profession..comme partout, j'en conviens,mais pour avoir multiplié les expériences professionnelles, je dirais que c'est un repère quand même.
Tu trouves ? J'ai l'impression que c'est le cas oartout, mais que daans l'enseignement, on s'en étonne parce que c'est une profession supposément intellectuelle. En fac, ce n'est pas toujours très reluisant, et je pense qu'on trouve ça pkus insupportable que dans de plus hauts lieux de pouvoir, parce qu'on s'imagine que les lieux de savoir sont censés être des abbayes de Theleme et des banquets du partage... (Mwarf...)
Dans les autres administrations, les trucs à statut associatifs et tout un panel de lieux de travaul supposés être imperméables à la concurrence entre salariés, il s'en passe aussi de belles...
Vaut mieux en rire et relire Marc-Aurèle...
Mais dans le privé comme dans d'autres fonctions publiques, pas un seul probleme d'ego..et pourtant il y avait ( par exemple chez pôle emploi), des primes de l'ordre de 300 euros par mois distribuées par le chef pour l'investissement perso, je n'imagine même pas le délire si cela se faisait dans les etb. :
Bah non, on se désolait quand nos collègues ne l'avaient pas, on comprenait quand on ne l'avait pas,nous.
Je crois qu'en fait, partout où j'ai bossé, les rôles étaient clairement définis et les postes hiérarchisés.
Du coup, pas de problèmes d'ego entre agents ou employés au même statut.
Et pour les carriéristes, il y avait toujours possibilité d'être reconnu sur le papier ,en changeant de poste , pas en essayant de se faire mousser .
Franchement, c`était plus zen.
Comme la hiérarchie est assez peu présente au quotidien, ça laisse en effet la place à certains problèmes qui n'existent peut-être pas ailleurs. De là à dire que le monde du travail est très zen en dehors de l'EN il ne faut pas exagérer...
- RabelaisVénérable
Mais non, j'ai eu de la chance jusqu'à maintenant, c'est tout'
C'était zen, mais c'est loin d'être une généralité.
En revanche, ce qui hélas est une généralité, c'est ce besoin de reconnaissance problématique des profs.
C'était zen, mais c'est loin d'être une généralité.
En revanche, ce qui hélas est une généralité, c'est ce besoin de reconnaissance problématique des profs.
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- CarmenLRNeoprof expérimenté
Rendash a écrit:CarmenLR a écrit: la compétence "je me pourris la vie et je pourris celle des autres" est validée, des fois avec des odeurs de sueur et du pwaaal, c'est rigolo à observer.
Oui, mais le pwâl, c'est la vie .
Absolument. Les temps imberbes sont derrière nous, et c'est très bien comme ça !
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