- ditaNeoprof expérimenté
Bonjour,
j'arrive très bientôt en fin de séquence sur les moralistes, dans le cadre de l'argumentation au XVIIè siècle, en seconde, donc.
La problématique est : comment l'homme peut-il faire face à son propre néant ?
Nous avons lu un passage de L'Ecclésiaste, abordé le memento mori,observé des peintures montrant des vanités.
Bossuet : extrait du Sermon sur la mort,
La Rochefoucauld, quelques extraits des Maximes. Concept de l'honnête homme,
Pascal, Pensées, extrait sur l'imagination,
La Bruyère, Caractères, "de la mode", le fleuriste.
Ca leur a beaucoup plu.
J'aimerais, en fin de séquence, leur proposer une dissertation. Avez-vous des idées ?
j'arrive très bientôt en fin de séquence sur les moralistes, dans le cadre de l'argumentation au XVIIè siècle, en seconde, donc.
La problématique est : comment l'homme peut-il faire face à son propre néant ?
Nous avons lu un passage de L'Ecclésiaste, abordé le memento mori,observé des peintures montrant des vanités.
Bossuet : extrait du Sermon sur la mort,
La Rochefoucauld, quelques extraits des Maximes. Concept de l'honnête homme,
Pascal, Pensées, extrait sur l'imagination,
La Bruyère, Caractères, "de la mode", le fleuriste.
Ca leur a beaucoup plu.
J'aimerais, en fin de séquence, leur proposer une dissertation. Avez-vous des idées ?
- Invité ElExpert spécialisé
M. Yourcenar dit, dans ses Mémoires d'Hadrien: ""Tâchons d'entrer dans la mort les yeux ouverts." Pensez-vous que la littérature puisse nous aider à y parvenir?
- ditaNeoprof expérimenté
Très intéressant, elpenor, je vais y penser, merci !
- Invité ElExpert spécialisé
Il y a deux ans, dans le même esprit, après un cours sur le Père Goriot pendant lequel j'avais notamment étudié le portrait de Vautrin, j'avais fait une petite anthologie de personnages a priori détestables (il y avait l'incipit de L'Enfant, une lettre des Liaisons dangereuses, le portrait de La Thénardier, un extrait de Faust, la première page des Bienveillantes de Littell, etc) et j'avais donné en dissertation: "Peut-on s'attacher à un personnage maléfique?" Difficile évidemment, mais au-delà des maladresses, j'ai le souvenir d'un intérêt singulier des élèves qui avaient alors produit un vrai travail. C'était une "bonne classe". Cette année, je ne pourrai pas me le permettre...
- ditaNeoprof expérimenté
J'ai bien envie de te piquer cette idée ! Merci, elpenor.
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