- ElyasEsprit sacré
Elle est passée de 2100 euros à 1250 euros.
- AudreyOracle
Oui, c'est sur 2014-15 que l'indemnité a été baissée.
- AudreyOracle
Et surtout, Elyas, on touchait vraiment les 2000€, là, les 1250, c'est en brut, donc en net, seulement un peu plus de 1100 euros.
- VicomteDeValmontGrand sage
C'est sans doute pour encourager les vocations dans un contexte, comme on le sait, extrêmement favorable.
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- RendashBon génie
Audrey a écrit:Allez, je vais prendre une gélule d'ataraxie et arrêter de te répondre. Je m'en voudrais de causer encore, par smiley interposé, un regard de mépris que j'aurais du mal à encaisser.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- ElyasEsprit sacré
En plus de la réduction, l'encadrement des tuteurs a été accru. Les ESPE cherchant à contrôler les tuteurs dans certaines académies.
- madigoùNiveau 5
Pour répondre à Audrey, ce n'est pas parce qu'on parle de tuteurs nocifs, et la mienne l'était sacrément, que tous les tuteurs sont à jeter. Moi j'étais très contente d'avoir une tutrice, je pensais vraiment pouvoir apprendre énormément. J'ai été pendant deux années contractuelle avant de passer le concours et j'ai toujours eu des collègues qui m'ont aidée, mais qui ne pouvaient pas venir m'observer. Ils ne me proposaient pas non plus de venir les voir dans leur classe et je n'ai pas osé leur demander. Et j'étais vraiment convaincue que ça me serait utile. ça l'aurait été en effet si je n'étais pas tombée sur une perverse. J'ai eu une collègue stagiaire qui a échappé au couperet de la non-titularisation grâce à sa tutrice qui a réussi à faire revenir l'inspectrice qui a finalement accepté de la valider. Donc, non, tous les tuteurs ne sont pas des pervers, ou même des incompétents. Beaucoup font d'ailleurs ce qu'ils peuvent, et c'est déjà beaucoup. Personne ne détient la vérité absolue. Encore heureux ! Le problème c'est en effet ceux qui pensent détenir cette vérité, et surtout qui se délectent des souffrances qu'ils infligent grâce à ce petit pouvoir qu'on leur a octroyé.
Moonie, pour te répondre. On ne m'a pas dit pourquoi on m'a licenciée, c'est bien là le problème. Sur la lettre m'informant de mon licenciement, il était simplement indiqué que le jury après s'être concerté (ils n'ont pas dû se concerter longtemps, puisque la décision j'en suis sûre était déjà prise avant même mon entretien) avait décidé de ne pas me valider et de ne pas m'accorder une 2e année de stage. Circulez, y'a rien à voir ! En gros tel est le message. Ils se gardent bien de te dire pourquoi, justement pour que tu ne puisses pas contester auprès du TA la décision, ils ne veulent surtout pas te donner des billes. Quant à ce fameux entretien, je le traite sous forme de farce dans mon livre, car c'était une véritable fumisterie doublée d'une foire d'empoigne. J'avais cinq personnes en face de moi, dont mon inspectrice et j'ai dû essuyer des attaques frontales et des propos diffamatoires. Le problème c'est que tout se passe à huis clos, tu n'as pas le droit de te faire accompagner. Alors même que l'oral du CAPES, autrement plus pro, est ouvert ! Et donc, c'est ta parole contre ce fameux "jury souverain". Franchement c'était honteux et indigne. A la fin de l'entretien, il y a même une dame du Rectorat qui m'attendait à la sortie et qui m'a raccompagnée très gentiment. Elle avait l'air plus accablée que moi. Je pense qu'elle avait déjà dû voir quelques stagiaires en larmes ou en colère sortir de ce type d'entretien.
Moonie, pour te répondre. On ne m'a pas dit pourquoi on m'a licenciée, c'est bien là le problème. Sur la lettre m'informant de mon licenciement, il était simplement indiqué que le jury après s'être concerté (ils n'ont pas dû se concerter longtemps, puisque la décision j'en suis sûre était déjà prise avant même mon entretien) avait décidé de ne pas me valider et de ne pas m'accorder une 2e année de stage. Circulez, y'a rien à voir ! En gros tel est le message. Ils se gardent bien de te dire pourquoi, justement pour que tu ne puisses pas contester auprès du TA la décision, ils ne veulent surtout pas te donner des billes. Quant à ce fameux entretien, je le traite sous forme de farce dans mon livre, car c'était une véritable fumisterie doublée d'une foire d'empoigne. J'avais cinq personnes en face de moi, dont mon inspectrice et j'ai dû essuyer des attaques frontales et des propos diffamatoires. Le problème c'est que tout se passe à huis clos, tu n'as pas le droit de te faire accompagner. Alors même que l'oral du CAPES, autrement plus pro, est ouvert ! Et donc, c'est ta parole contre ce fameux "jury souverain". Franchement c'était honteux et indigne. A la fin de l'entretien, il y a même une dame du Rectorat qui m'attendait à la sortie et qui m'a raccompagnée très gentiment. Elle avait l'air plus accablée que moi. Je pense qu'elle avait déjà dû voir quelques stagiaires en larmes ou en colère sortir de ce type d'entretien.
- RendashBon génie
madigoù a écrit:Pour répondre à Audrey, ce n'est pas parce qu'on parle de tuteurs nocifs, et la mienne l'était sacrément, que tous les tuteurs sont à jeter. Moi j'étais très contente d'avoir une tutrice, je pensais vraiment pouvoir apprendre énormément. J'ai été pendant deux années contractuelle avant de passer le concours et j'ai toujours eu des collègues qui m'ont aidée, mais qui ne pouvaient pas venir m'observer. Ils ne me proposaient pas non plus de venir les voir dans leur classe et je n'ai pas osé leur demander. Et j'étais vraiment convaincue que ça me serait utile. ça l'aurait été en effet si je n'étais pas tombée sur une perverse. J'ai eu une collègue stagiaire qui a échappé au couperet de la non-titularisation grâce à sa tutrice qui a réussi à faire revenir l'inspectrice qui a finalement accepté de la valider. Donc, non, tous les tuteurs ne sont pas des pervers, ou même des incompétents. Beaucoup font d'ailleurs ce qu'ils peuvent, et c'est déjà beaucoup. Personne ne détient la vérité absolue. Encore heureux ! Le problème c'est en effet ceux qui pensent détenir cette vérité, et surtout qui se délectent des souffrances qu'ils infligent grâce à ce petit pouvoir qu'on leur a octroyé.
Je crois que tout le monde en général, et Audrey en particulier, est d'accord avec ce que tu écris, notamment ce que j'ai graissé
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- madigoùNiveau 5
Rendash a écrit:MazingerZ a écrit:
Je ne pense pas que ça m'arriverait, étant sympa et un bon collègue... Pas du tout autoritariste et très conscient de ne pas détenir la vérité absolue.
Et modeste, aussi
"Bon, mon tuteur il était bien gentil, hein, mais alors quel branque...il ne servait à rien le mec, quoi, aucun conseil, rien de concret, il arrêtait pas de me dire "fais comme tu le sens, expérimente, je n'ai pas la vérité absolue", mais à aucun moment il ne m'a dit quoi faire ou comment le faire, trop naze."
J'aurais préféré de loin avoir un tuteur comme ça, avec ou sans l'ironie de Rendash
- RendashBon génie
madigoù a écrit:Rendash a écrit:MazingerZ a écrit:
Je ne pense pas que ça m'arriverait, étant sympa et un bon collègue... Pas du tout autoritariste et très conscient de ne pas détenir la vérité absolue.
Et modeste, aussi
"Bon, mon tuteur il était bien gentil, hein, mais alors quel branque...il ne servait à rien le mec, quoi, aucun conseil, rien de concret, il arrêtait pas de me dire "fais comme tu le sens, expérimente, je n'ai pas la vérité absolue", mais à aucun moment il ne m'a dit quoi faire ou comment le faire, trop naze."
J'aurais préféré de loin avoir un tuteur comme ça, avec ou sans l'ironie de Rendash
On est d'accord, madigou. Je disais simplement qu'un tel tuteur pourrait enchanter certains stagiaires, et être maudit par d'autres, et, par voie de conséquence, se retrouver au pilori comme l'indiquait fort justement Tamerlan.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- madigoùNiveau 5
Oui, sauf que pour un tuteur être cloué au pilori par un stagiaire, ça ne fait pas très mal. alors qu'un stagiaire cloué au pilori par un tuteur, je peux dire que ça laisse des traces.. Les conséquences sont autrement plus terribles. De toute façon un stagiaire, du fait de son statut (complètement illégal d'ailleurs à mon sens : un stage d'une année ! après un concours, c'est déjà du grand n'importe quoi ! En formation d'accord, mais qu'on traite les stagiaires comme des enseignants) on ne l'écoute pas, et il n'a aucun pouvoir, surtout pas celui de nuire.
- scot69Modérateur
Le mien était plutôt sympa.
Quand je suis arrivé, il a commencé par me dire "méfie toi de X, elle casse du sucre sur les gens, fais gaffe à Y, il me doit du fric, et surtout ne fais pas confiance au CPE, il est inutile, et te gare pas à côté de la PA, elle ne sait pas faire une marche arrière..."
en dehors, il était très (trop) pragmatique: "ouais, bah ça tu le fais le jour de l'inspection mais sinon ne le fais surtout pas, ça va dégénérer" "non mais avec une classe comme ça, tu fais juste de l'écrit, ils ne savent pas se tenir..." bref, vraiment un mec de terrain...
Quand je suis arrivé, il a commencé par me dire "méfie toi de X, elle casse du sucre sur les gens, fais gaffe à Y, il me doit du fric, et surtout ne fais pas confiance au CPE, il est inutile, et te gare pas à côté de la PA, elle ne sait pas faire une marche arrière..."
en dehors, il était très (trop) pragmatique: "ouais, bah ça tu le fais le jour de l'inspection mais sinon ne le fais surtout pas, ça va dégénérer" "non mais avec une classe comme ça, tu fais juste de l'écrit, ils ne savent pas se tenir..." bref, vraiment un mec de terrain...
- AudreyOracle
Ben un stagiaire qui pourrit son tuteur, si, ça peut être douloureux... épuisant, décourageant, et ça peut même semer le doute sur tes capacités à être un bon tuteur... alors ça n'a pas la même gravité quant à l'avenir professionnel, on est d'accord, mais ça n'est pas sans conséquence non plus.
- madigoùNiveau 5
Personne n'évalue un tuteur, pas au sens strict du terme. Quant aux capacités à être un bon tuteur... On ne demande pas à un tuteur d'être bon, on lui demande d'accompagner un stagiaire, en fait un collègue plus ou moins débutant, ça ne remet pas en question le fait qu'il soit un bon enseignant. Et si le tuteur tombe sur un boulet, il n'est pas obligé de se le traîner, alors que quand le stagiaire tombe sur un boulet, on fait tout pour qu'il se le traîne toute l'année. "douloureux", "épuisant", "décourageant"... tu as peut-être eu une mauvaise expérience, et je ne veux pas lancer un concours de la douleur, de l'épuisement ou du découragement, mais les conséquences autrement plus terribles dont je parlais ne sont pas que professionnelles. Je me suis reconnue dans le témoignage de LMarine, car on ne parle pas simplement d'un bon ou d'un mauvais tuteur (même si je ne sais pas ce que ça veut dire), on parle de perversité et de harcèlement moral. Or, je ne vois pas comment un stagiaire pourrait harceler moralement un tuteur, ou alors, c'est qu'il est vraiment un as de la perversité !
- InvitéInvité
Non, effectivement il y a une certaine dissymétrie, ce qui est tout de même normal étant donné les statuts. Néanmoins contrairement à ce que vous dites si le stagiaire est un boulet le tuteur doit continuer à se le "traîner". C'est la mission qu'il a accepté et il est payé pour ça. Il arrive tout de même assez fréquemment qu'un stagiaire en difficulté ne se gène pas non plus pour débiner son tuteur en faisant glisser la responsabilité de l'échec sur l'accompagnement de celui-ci. Et ceci après du CDE, des visiteurs ESPE ou de l'inspection. J'ai même vu le cas d'une jeune fille qui pleurait de manière très touchante et avait réussi à transformer une partie de ma salle des profs en chevaliers blancs partis en croisade contre la tutrice.
- madigoùNiveau 5
Tamerlan a écrit:Non, effectivement il y a une certaine dissymétrie, ce qui est tout de même normal étant donné les statuts.
Désolée, mais moi je ne trouve pas ça normal...
- RendashBon génie
madigoù a écrit:Désolée, mais moi je ne trouve pas ça normal...Tamerlan a écrit:Non, effectivement il y a une certaine dissymétrie, ce qui est tout de même normal étant donné les statuts.
Ce qui est anormal, c'est qu'une mauvaise entente puisse à ce point bousiller une année de stage, et qu'un tuteur dont plusieurs stagiaires successifs se plaignent n'ait pas de compte à rendre. Mais la dissymétrie n'est en soi pas anormale, elle est logique dans le cadre d'une formation où l'un des deux sait et l'autre apprend.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- InvitéInvité
Rendash a écrit:Ce qui est anormal, c'est qu'une mauvaise entente puisse à ce point bousiller une année de stage, et qu'un tuteur dont plusieurs stagiaires successifs se plaignent n'ait pas de compte à rendre. Mais la dissymétrie n'est en soi pas anormale, elle est logique dans le cadre d'une formation où l'un des deux sait et l'autre apprend.madigoù a écrit:Désolée, mais moi je ne trouve pas ça normal...Tamerlan a écrit:Non, effectivement il y a une certaine dissymétrie, ce qui est tout de même normal étant donné les statuts.
Oui, bien sûr. En principe il ne devrait pas pouvoir continuer.Le stagiaire est entendu par les visiteurs et l'inspecteur. C'est des choses qu'ils ont les moyens de repérer en principe.
- JennyMédiateur
Rendash : Entièrement d'accord...
Tamerlan : En parler à l'Ipr est souvent délicat.
Tamerlan : En parler à l'Ipr est souvent délicat.
- moonieNiveau 9
Madigou: j'ai un collègue qui ne sait toujours pas les raisons de son redoublement. L'inspectrice du moment lui a juste suggéré qu'il n'était pas prêt , qu'il était trop fragile et qu'elle s'en voudrait de l'envoyer sur le terrain dans l'état. Il refait l'année mais en a gros sur le cœur, à vrai dire. Le licenciement ne peut être justifié que par une faute professionnelle grave. Je me demande si ton tribunal de l'Inquisition n'a pas été dans l'injustice totale.
As- tu repassé le concours?
As- tu repassé le concours?
- InvitéInvité
Je ne comprends pas trop comment on ne peut pas savoir les raisons. Être d'accord ou pas c'est autre chose. Mais savoir ? Il y des rapports, des compétences cochées... On sait normalement si c'est pour des raisons de gestion de classe, de fonctionnement didactique, de sérieux professionnel...
- JennyMédiateur
Moonie : ton collègue a consulté son dossier au rectorat ?
- moonieNiveau 9
Normalement les rapports et la commission désignent les manquements. Il arrive simplement qu' on ne soit pas d'accord avec les conclusions d'un rapport injuste ou accablant; d'autant plus, sur fond de mésentente avec un tuteur (trice).
- moonieNiveau 9
Jenny: Je ne sais pas. Sans doute que oui. Il n' a pas souhaité s'épancher sur son redoublement.
- madigoùNiveau 5
Moonie : quand l'inspectrice est venue me voir, elle m'a fait des reproches implicites sur mes relations avec ma tutrice. Mais elle est partie en me disant : "il ne m'appartient pas de me dire si vous êtes validée ou non". Je suis certaine, même si je passe pour parano, que ma tutrice a dit pis que pendre de moi dans mon dos, me faisant passer pour une abominable contestatrice, qui ne voulait pas se former. C'est d'ailleurs un des reproches que m'a fait en direct l'inspectrice lors de l'entretien final. C'est aussi un des reproches de la CDE qui a juste repris les propos de sa titulaire. Ce qui est paradoxal, c'est que le rapport de l'espé fait état de mon engagement dans la formation. Vraiment, comme le disait LMarine c'est à devenir fou. J'ai même une collègue qui m'a hurlé dessus en salle des profs lorsque j'ai voulu discuter du rapport final avec ma tutrice, me disant que je n'avais pas mon mot à dire. Je suis sûre que j'ai été jugée sur des rumeurs, des bruits de couloir. D'ailleurs les rapports sont (en dehors des mensonges) uniquement basés sur du ressenti, du subjectif pur, rien n'est motivé. Et aucune faute professionnelle grave n'a été relevée : ma CDE a bien évidemment reconnu que je veillais à la sécurité de mes élèves. Dans sa première notation, elle indiquait que j'étais ponctuelle, consciencieuse, appliquée... Pour deux mois plus tard me reprocher de refuser de me former et d'avoir entretenu des rapports tendus avec ma tutrice (évidemment c'est ce que cette dernière a écrit dans son dernier rapport)... Franchement, il y a des personnes très très douées pour manipuler et rendre les choses complètement confuses. Et ma tutrice j'en suis sûre fait partie de ces gens-là. Quant à repasser le capes, non, j'en ai parlé à un syndicat : il me déconseille de le repasser dans la même académie, puisque si je le réussis je risque de retrouver les mêmes qui ne me rateront pas (il m'a parlé d'un traquenard qui avait été tendu à un de ses collègues qui avait été dans le même cas que moi), et comme je suis mariée, j'ai des enfants, c'est hors de question. De toute façon, j'ai réussi le capes, j'étais même bien classée, et je ne veux pas repasser un concours que j'ai réussi. Je préfère faire autre chose de ma vie, et surtout évoluer dans un milieu avec une hiérarchie qui ne valide pas des comportements aussi lamentables.
- RendashBon génie
J'espère que ton livre permettra de mettre en lumière tout ce qu t'est arrivé, madigoù. C'est assez effarant
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Quel est le poids de l'avis du cde dans la titularisation ?
- Tuteur de terrain pour prof doc stagiaire
- Stagiaire cherche prof de latin à observer (pas de tuteur LC)
- Temps plein ou pas ? Et quel salaire en tant que stagiaire ?
- [Sondage] Que pensez-vous de la toute-puissance de l'inspecteur dans une décision de titularisation d'un prof stagiaire qui se veut théoriquement collégiale ?
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