Je suis déjà à bout

J'ai pas compris florestan...

Asha Kraken a écrit:J'ai pas compris florestan...

Dans mon bahut, j'ai déjà été plusieurs fois obligée de m'absenter en catastrophe pour cause de problème avec fiston... Ils sont au courant et compréhensifs. Mais ça me gave....

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mlle Andromède: la seule chose que tu risques c'est la prolongation de ton stage. Tu n'as pas à te soucier du reste.Surtout: repose-toi et prends du recul.

Mlle_Andromede a écrit:Le fait que je sois stagiaire n'est-il vraiment pas un frein à un arrêt de travail? En effet, j'imagine que peu de stagiaires prennent des arrêts maladie, surtout au bout de deux mois, non?
Sans compter que j'ai déjà été arrêtée une journée, il y a un mois de cela, car j'étais malade. Aujourd'hui, mon médecin souhaite m'arrêter une semaine et désire me revoir jeudi prochain pour voir si ça va mieux.

...ce qui répond à ta question. Ton médecin juge qu'il doit t'arrêter, c'est que tu en as besoin. Que tu sois stagiaire n'entre pas en ligne de compte, ça se saurait si les stagiaires étaient des surhommes : ils peuvent être malades comme tout le monde, donc ils peuvent être arrêtés.

Dimka a parfaitement résumé la situation. Petit bilan à la fin de chaque journée ; tu notes ce qui a bien marché, ce qui a échoué, et petit à petit tu te constitues ton arsenal. C'est comme ça que ça marche.
La deuxième chance que tu évoques, par exemple : dans ce cas précis, tu perçois après coup la dimension foutage de gueule de l'attitude du gamin ; OK, noté pour la prochaine. Etc.

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Non. Si les jours d'arrêt sont trop nombreux, tu renouvelleras ton stage l'an prochain, comme expliqué (edit : pardon, c'est une prolongation, pas un renouvellement). Ce qui, en l'occurrence, serait tout benef pour toi.
Mais licenciement pour cause d'arrêt maladie, comment dire...

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Mlle_Andromede a écrit:Le fait que je sois stagiaire n'est-il vraiment pas un frein à un arrêt de travail? En effet, j'imagine que peu de stagiaires prennent des arrêts maladie, surtout au bout de deux mois, non?
Sans compter que j'ai déjà été arrêtée une journée, il y a un mois de cela, car j'étais malade. Aujourd'hui, mon médecin souhaite m'arrêter une semaine et désire me revoir jeudi prochain pour voir si ça va mieux.

Mais si tu es malade, tu es malade !
Et ton médecin veut t'arrêter, donc c'est que tu as besoin de cet arrêt.

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Ne t'inquiète pas pour l'arrêt. Le rectorat ne saura pas pourquoi tu es arrêtée de toute façon. Aucune raison de te déclarer inapte, tu peux très bien avoir eu la grippe !

Pour les notes, ce n'est pas énorme mais bon... Je pense que personne ne te le reprochera au conseil. Si tu n'es pas arrêtée, tu peux toujours faire une petite évaluation de plus la semaine prochaine. Sinon, tant pis !

Quand j'étais stagiaire, j'avais été arrêtée trois semaines suite au décès de mon père. Le rectorat n'a, bien sûr, pas connu le motif de mon arrêt-maladie. J'ai été titularisée. Tu as le droit d'être malade. Arrête de culpabiliser...

Tu as suffisamment de notes. Ne t'inquiète pas.

Une petite note de participation orale, sur 20, où tu évalues sans le dire, l'attitude face au travail, et l'investissement, l'apport du matériel de travail....
Et d'ici la semaine prochaine, une rédaction.
Et Pif, t'as 4 et 5 notes.

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Mlle_Andromede a écrit:Justement, concernant les notes de participation orale, comment faire avec les élèves qui ne participent jamais? Dois-je tout de même les noter?

Les as-tu prévenus que tu les noterais ? Parce que sinon, ça me semble difficile de mettre une note.

A mon avis, il ne faut pas que tu te tracasses trop pour cette histoire de notes. Au pire, ils en auront plus au trimestre prochain, et voilà. En plus, les notes s'arrêtent tôt dans ton établissement, car il me semble (je n'en suis même pas sûre, c'est dire...), que dans le mien, c'est à la fin du mois.

Mouaih, une note comme ça, ça ressemble à de la notation à la tête, c'est à mon avis la porte ouverte à un sentiment d'injustice et donc à de l'animosité. Il aurait fallu la prévoir. Deux ou trois notes, ça fait une moyenne, je m'en tiendrais là.

Tu es en français ? Tu peux prévoir de petites éval' sur des points de grammaire vus en cours, c'est rapide à faire et rapide à corriger, si vraiment tu as besoin de notes supplémentaires.

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Si tu les as prévenus, tu le fais, et comme cela dépend d'eux de passer de 10 à plus eh bien, tant pis pour eux (et moi je trouve ça très généreux).
Te voilà avec une note en plus !

Ah, mais si tu as prévu, tu mets la note, point barre! Moi j'enlève même des points quand ils perturbent le cours, certains ont donc 0 et oui, ça compte, puisqu'ils sont prévenus !

De façon personnelle, j'ai toujours eu du mal avec les notes de participations imposées. J'étais brillant à l'écrit mais plutôt timide, je n'aimais pas participer, étant un peu tête de mule à l'adolescence quand j'avais décidé de ne pas participer je ne participais pas. Un peu comme aux états unis: "vous avez le droit de garder le silence", rester à 10/20 toute l'année ou même à 0/20 pour non participation ne me dérangeait pas du tout. Mon raisonnement était : nous sommes dans un pays libre, je suis libre de me taire ( ce serait pas mal si certains l'appliquaient... )

Cependant comme dit plus haut, tu dois tenir tes engagements si tu as promis que tu noterais l'oral/participation fait le.

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Je comprends que tu te sentes dans une position délicate, mais rassure-toi aussi : il est - d'après mon expérience - très rare que les parents contestent la validité d'une note.
Je ne sais pas vraiment à quel type de contrôle tu songes, mais, par exemple, un contrôle de lecture sur un texte court et déjà étudié en classe, je ne suis pas sûre que ça ait grand intérêt. Ne te complique pas trop la vie juste pour une note en plus.
Si tu cherches à faire une évaluation sans les avoir prévenus, tu peux toujours faire un exercice d'écriture ou une dictée (mais là, les notes sont en général plus basses).

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