- SeiGrand Maître
JPhMM a écrit:Ça lui fait une belle publicité tout de même.
Avant le bac, je ne savais qui il était.
PS : pourquoi écrit-on "qui il était" et "s'il était" (et non "si il était") ?
Peut-être pour ne pas confondre avec la conjonction "que" qui elle s'élide ? Cela dit, on (enfin, pas les élève) se débrouille bien pour faire la part des choses entre "que" pronom et "que" conjonction.
Edit : ah, WAbiSabi a apporté la réponse. Je n'avais pas suffisamment réfléchi, c'est logique.
- JPhMMDemi-dieu
Merci.
Oui, je comprends le risque de confusion.
Oui, je comprends le risque de confusion.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- WabiSabiHabitué du forum
Sei
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"De duobus malis, minus est semper eligendum."
"Plus je travaille moins, moins je glande plus. C'est shadokien." Lefteris
T2 ('17-'18) : TZR 2 collèges REP/REP+, 5e/4e/3e
T1 ('16-'17) : TZR AFA Collège, 2 5e + 2 4e
Stage ('15-'16) : Lycée GT, 1 2de + 1 1re S
- SeiGrand Maître
WabiSabi a écrit: Sei
Ah, ah, non ! je me suis trompée ! J'ai pensé à la conjonction, et non au pronom "que" !
- Thalia de GMédiateur
Sorry, j'avions mal compris. Moi non plus je ne l'étudierais pas en classe.roxanne a écrit:Ah mais je n'ai pas dit que c'était pas dit que c'était mal écrit, j'ai apprécié mais je ne me vois pas l'étudier en classe.Thalia de G a écrit:On peut être sensible à certains passages quand on est Pouilleux (originaire des Pouilles). La scène du repas chez Raffaele m'émeut, elle est l'image de mon propre vécu.roxanne a écrit:
Il n'était pas tombé au bac pro? J'avais lu Le soleil des Scorta un été, c'était plombant.
- NLM76Grand Maître
Evidemment. Et bien peu auront choisi la dissert. Mais je dirais que cette maturité s'acquiert si le professeur a eu le temps de leur apprendre à faire une dissertation. Cette année, avec les STMG que j'avais, je n'ai pas eu le temps. Il y a deux ans, j'y étais parvenu (avec les quelques élèves de bonne volonté, évidemment!).Sei a écrit:alma_mater a écrit:Moi ce qui me choque encore plus c'est l'une des réponses de Laurent Gaudé sur twiter :
"Chez internautes du web,
Je m'occuperais personnellement de corriger vos copies
Pour la notation 20€ par point
Note négative je change pas"
voici le lien
C'est un faux profil.
Nlm, bien sûr, mais le corpus induit tout autre chose, et partir en cette direction demande de la maturité (en matière de littérature) et je crains que peu n'y aient pensé.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- totoroMonarque
http://www.legorafi.fr/2015/06/22/bac-francais-leducation-nationale-reconnait-avoir-pense-aussi-que-le-tigre-bleu-etait-un-animal-et-non-un-fleuve/
L’épreuve de Français du baccalauréat 2015 devra être repassée suite à une erreur du ministère de l’Éducation nationale. En effet, les membres du ministère qui avaient sélectionné les textes pour cette épreuve ont admis avoir eux aussi pensé que le désormais fameux Tigre Bleu était un animal et non un fleuve. « On a vu les réactions des lycéens, au début on a été amusés, puis on a compris que oui, ils avaient raison en fait ». Plusieurs correcteurs se sont replongés dans le livre de Laurent Gaudé et l’auteur lui-même a été sollicité pour s’expliquer. Placer sous protection policière depuis le début de la colère des lycéens, Laurent Gaudé a admis sa responsabilité dans l’emploi de la formule et la regrette amèrement. « Je la trouvais très belle cette métaphore, je ne me suis jamais rendu compte qu’on pouvait se tromper, tout est de ma faute » a-t-il expliqué, affirmant vivre très mal le fait que par sa faute et une simple facétie littéraire des millions de jeunes ont vu leur avenir brisé net. Et de fait c’est toute l’épreuve qui devra être repassée à la rentrée. Dans l’immédiat, Les responsables de l’épreuve cherchaient déjà un nouveau texte et s’orienteraient vers un passage du livre du Trône de Fer, parlant de Noces Pourpres. Et le ministère de conclure « On dirait que ça parle de mariage, ça ne peut être que quelque chose de sympa et de positif sans malentendu ».
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- User5899Demi-dieu
Parce que "qu'il" est déjà réservé pour la conjonction "que" suivie de "il".JPhMM a écrit:Ça lui fait une belle publicité tout de même.
Avant le bac, je ne savais qui il était.
PS : pourquoi écrit-on "qui il était" et "s'il était" (et non "si il était") ?
Les conjonctions "que" ou "si" remplissent un office assez visible pour qu'on puisse les puisse élider. Avec le pronom interrogatif, plus rare, il est préférable, manifestement, de maintenir la voyelle.
Il faut bien distinguer :
"Je ne savais pas qui il était"
de
"Je ne savais pas qu'il était".
- NLM76Grand Maître
Pas trop d'accord. Le sujet signifie : relisez en esprit les poèmes que vous connaissez, et demandez-vous dans quelle mesure ils sont une invitation au voyage. Très beau sujet.Sei a écrit:J'aime bien le corpus du sujet des L, mais je trouve que la dissertation renvoie la poésie à un thème. Or, la poésie, ce n'est pas un thème, même si elle est de plus en plus enseignée comme ça.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
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