Najat Vallaud-Belkacem s'exprime au sujet de la réforme sur France 3

http://pluzz.francetv.fr/videos/12_13_dimanche_,121243240.html

Emission disponible quelques jours sur ce lien en replay (entre 3 et 17 minutes)

Quelle malhonnêteté quand elle dit que Brighelli est satisfait du collège actuel!
C'est vraiment la pire ministre qu'on ait jamais eue à l'EN. je crois qu'à côté Allègre ce n'était rien.
Heureusement que les vidéos Jiminy Cricket m'ont bien fait rire parce que la voir persister et signer ainsi ça fait vraiment vraiment peur.

Aliceinwonderland a écrit:Quelle malhonnêteté quand elle dit que Brighelli est satisfait du collège actuel!
C'est vraiment la pire ministre qu'on ait jamais eue à l'EN. je crois qu'à côté Allègre ce n'était rien.
Heureusement que les vidéos Jiminy Cricket m'ont bien fait rire parce que la voir persister et signer ainsi ça fait vraiment vraiment peur.

j'étais venu dire mot pour mot la même chose.

Je ne la supporte plus avec son petit sourire. Ceci dit, là, le journaliste aurait dû réagir car Brighelli n'a pas dit qu'il voulait garder le collège tel quel mais bien réattribuer des heures...

C'est vrai que Jean-Paul Brighelli s'est illustré dès 2005 par sa satisfaction de l'état de l'école...

Sur les langues anciennes, comme d'habitude : des options "réservées" à quelques-uns qui ont de la "chance", les autres n'y ayant pas "accès"...

Elle nous fatigue. Ça va encore se payer dans les urnes

C'est comme l'EPI LCA et l'enseignement complémentaire (enfin, quand il sera possible), certains le prendront, d'autres pas.  Il est probable que ceux qui s'inscriront à l'EPI Latin + enseignement complémentaire seront les mêmes que ceux qui se seraient inscrits à l'option latin, puisque l'option actuelle est déjà ouverte à tous.
Il faudra logiquement qu'elle considère aussi que cet enseignement est "réservé" à ceux qui s'y inscrivent, les autres "n'y ayant pas accès" ...   Les EPI sont donc à combattre, en tant que nouvelle forme d'élitisme accessible uniquement à quelques-uns. Sauf si elle impose que tous les élèves prennent l'EPI et l'enseignement complémentaire. Sinon, ça reviendrait au même. Enfin ... nous aurions juste bien moins de moyens avec cette formule, puisque ce temps serait pris sur les disciplines. Cohérence, quand tu nous tiens.

Difficile de taper sur les options tout en garantissant leur maintien.

Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Je sais pas vous mais moi :

Tate a écrit:Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Oui. Je t'invite à lire la "désintox de la désintox" faite par le SNALC : http://www.snalc.fr/national/article/1411/

Je crois que Jiminy Cricket va encore avoir du travail !

Tate a écrit:Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Sur les horaires officiels: 1/2h perdue en 3e, 1/2h de plus en sixième.

MAIS:
actuellement l'AP en 6e est en plus. Si 1h d'AP est confiée au profs de maths, il a 5h avec sa classe. Avec la réforme les 3h d'AP de sixième sont confiées à des enseignants qui doivent les prendre dans leurs horaires, donc si 1h d'AP est confiée au prof de maths il aura 3h30 + 1h d'AP au lieu de 4h30. À comparer au 5h dans la situation actuelle. Avec la demi-heure perdue en 3e, on arrive bien à une heure.

En remarque:
On pourrait se dire que le professeur de mathématiques n'aura qu'à refuser l'AP et il gardera ses heures de cours. Il risque de ne pas avoir le choix, puisque c'est le CdE qui va décider et qu'il devra trouver 3 enseignants qui devront «donner» une heure pour cela. Regarde les matières qui ont suffisamment d'heures en sixième, je ne vois pas comment les mathématiques pourraient y échapper.

(En 5e/4e/3e il y aussi l'AP et les EPI à prendre dans les horaires).

Celeborn a écrit:

Tate a écrit:Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Oui. Je t'invite à lire la "désintox de la désintox" faite par le SNALC : http://www.snalc.fr/national/article/1411/

Vous pourriez ajouter, pour les programmes, que la consultation se fera sans connaitre l'évolution du DNB (qui sera annoncée après) ce qui est tout de même embêtant, et que l'idée de les changer tous et d'appliquer la réforme pour tous les niveaux dès la rentrée 2016 est juste n'importe quoi (pour les élèves qui sont au milieu du gué, pour les enseignants qui −la ministre doit l'ignorer− préparent leurs cours, pour les impôts qui financent les manuels…)

ycombe a écrit:

Celeborn a écrit:

Tate a écrit:Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Oui. Je t'invite à lire la "désintox de la désintox" faite par le SNALC : http://www.snalc.fr/national/article/1411/

Vous pourriez ajouter, pour les programmes, que la consultation se fera sans connaitre l'évolution du DNB (qui sera annoncée après) ce qui est tout de même embêtant, et que l'idée de les changer tous et d'appliquer la réforme pour tous les niveaux dès la rentrée 2016 est juste n'importe quoi (pour les élèves qui sont au milieu du gué, pour les enseignants qui −la ministre doit l'ignorer− préparent leurs cours, pour les impôts qui financent les manuels…)

On préférait répondre précisément aux points mentionnés.

Mais pas d'inquiétude (si j'ose dire…) : on a prévu autre chose cette semaine pour mieux faire comprendre le fonctionnement de la réforme.

Celeborn a écrit:

Tate a écrit:Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Oui. Je t'invite à lire la "désintox de la désintox" faite par le SNALC : http://www.snalc.fr/national/article/1411/

Merci pour le lien. J'entends certains "professeurs de sciences" dire que puisqu'il y aura une heure en moins en maths, il vaudrait mieux supprimer le latin et l'espagnol qui ne servent à rien. Quand je pense que ces gens-là feront grève le 19.

La réforme Châtel au lycée et la réforme Vallaud-Belkacem (et surtout les baisses de DGH) invitent à la division : c'est leur meilleure arme. Il y a un gros travail à faire auprès de certains collègues à qui il faut apprendre le terme de solidarité, puis à montrer que ce type de réforme c'est du "perdant-perdant". Venez-voir au lycée les dégâts. Plus personne n'est volontaire pour le travail interdisciplinaire chez nous par exemple.
Après cela, quand certains décident que certaines disciplines devraient exister plutôt que d'autres... .... il faut leur répliquer : "et toi à quoi tu sers ?" Mais bon, on n'est pas obligé de tomber si bas... Quoique, quand le collègue de sciences de ton bahut viendra te voir parce que son poste est supprimé au profit du professeur de techno qui aura eu les sixièmes : tu pourras lui faire un doux sourire...
La solidarité et l'esprit collectif, cela s'apprend aussi : il faut que les nouveaux collègues le comprennent et l'apprennent...
Pour les anciens qui disent "moi plutôt que toi" : discréditer leur raisonnement auprès des autres et faire très attention à ce qu'ils disent aux élèves.
J'en ai connu une (je ne dirais pas la matière) qui disait : "Le latin, mais arrêtez, ça ne sert à rien..."... voyez après qui est pris en prépa ou pas.
Il faut se rassurer aussi en disant que beaucoup d'autres collègues d'autres matières (et notamment des scientifiques, des bons )se sentent aussi tout à fait concernés par ce combat contre la réforme, par leur parcours, pour leurs enfants, pour les leurs élèves, pour leurs convictions, par leur intelligence...
C'est d'eux qu'il faut se rapprocher.

trompettemarine a écrit:La réforme Châtel au lycée et la réforme Vallaud-Belkacem (et surtout les baisses de DGH) invitent à la division : c'est leur meilleure arme. Il y a un gros travail à faire auprès de certains collègues à qui il faut apprendre le terme de solidarité, puis à montrer que ce type de réforme c'est du "perdant-perdant". Venez-voir au lycée les dégâts. Plus personne n'est volontaire pour le travail interdisciplinaire chez nous par exemple.
Après cela, quand certains décident que certaines disciplines devraient exister plutôt que d'autres... .... il faut leur répliquer : "et toi à quoi tu sers ?" Mais bon, on n'est pas obligé de tomber si bas... Quoique, quand le collègue de sciences de ton bahut viendra te voir parce que son poste est supprimé au profit du professeur de techno qui aura eu les sixièmes : tu pourras lui faire un doux sourire...
La solidarité et l'esprit collectif, cela s'apprend aussi : il faut que les nouveaux collègues le comprennent et l'apprennent...
Pour les anciens qui disent "moi plutôt que toi" : discréditer leur raisonnement auprès des autres et faire très attention à ce qu'ils disent aux élèves.
J'en ai connu une (je ne dirais pas la matière) qui disait : "Le latin, mais arrêtez, ça ne sert à rien..."... voyez après qui est pris en prépa ou pas.
Il faut se rassurer aussi en disant que beaucoup d'autres collègues d'autres matières (et notamment des scientifiques, des bons )se sentent aussi tout à fait concernés par ce combat contre la réforme, par leur parcours, pour leurs enfants, pour les leurs élèves, pour leurs convictions, par leur intelligence...
C'est d'eux qu'il faut se rapprocher.

J'espère qu'il y en a beaucoup qui pensent comme toi.

ycombe a écrit:

Tate a écrit:Est-ce vrai que les profs de mathématiques perdront 1h à la rentrée 2016?

Sur les horaires officiels: 1/2h perdue en 3e, 1/2h de plus en sixième.

MAIS:
actuellement l'AP en 6e est en plus. Si 1h d'AP est confiée au profs de maths, il a 5h avec sa classe. Avec la réforme les 3h d'AP de sixième sont confiées à des enseignants qui doivent les prendre dans leurs horaires, donc si 1h d'AP est confiée au prof de maths il  aura 3h30 + 1h d'AP au lieu de 4h30. À comparer au 5h dans la situation actuelle. Avec la demi-heure perdue en 3e, on arrive bien à une heure.

En remarque:
On pourrait se dire que le professeur de mathématiques n'aura qu'à refuser l'AP et il gardera ses heures de cours. Il risque de ne pas avoir le choix, puisque c'est le CdE qui va décider et qu'il devra trouver 3 enseignants qui devront «donner» une heure pour cela. Regarde les  matières qui ont suffisamment d'heures en sixième, je ne vois pas comment les mathématiques pourraient y échapper.

(En 5e/4e/3e il y aussi l'AP et les EPI à prendre dans les horaires).

c'est la même chose en français !

Tate a écrit:

trompettemarine a écrit:La réforme Châtel au lycée et la réforme Vallaud-Belkacem (et surtout les baisses de DGH) invitent à la division : c'est leur meilleure arme. Il y a un gros travail à faire auprès de certains collègues à qui il faut apprendre le terme de solidarité, puis à montrer que ce type de réforme c'est du "perdant-perdant". Venez-voir au lycée les dégâts. Plus personne n'est volontaire pour le travail interdisciplinaire chez nous par exemple.
Après cela, quand certains décident que certaines disciplines devraient exister plutôt que d'autres... .... il faut leur répliquer : "et toi à quoi tu sers ?" Mais bon, on n'est pas obligé de tomber si bas... Quoique, quand le collègue de sciences de ton bahut viendra te voir parce que son poste est supprimé au profit du professeur de techno qui aura eu les sixièmes : tu pourras lui faire un doux sourire...
La solidarité et l'esprit collectif, cela s'apprend aussi : il faut que les nouveaux collègues le comprennent et l'apprennent...
Pour les anciens qui disent "moi plutôt que toi" : discréditer leur raisonnement auprès des autres et faire très attention à ce qu'ils disent aux élèves.
J'en ai connu une (je ne dirais pas la matière) qui disait : "Le latin, mais arrêtez, ça ne sert à rien..."... voyez après qui est pris en prépa ou pas.
Il faut se rassurer aussi en disant que beaucoup d'autres collègues d'autres matières (et notamment des scientifiques, des bons )se sentent aussi tout à fait concernés par ce combat contre la réforme, par leur parcours, pour leurs enfants, pour les leurs élèves, pour leurs convictions, par leur intelligence...
C'est d'eux qu'il faut se rapprocher.

J'espère qu'il y en a beaucoup qui pensent comme toi.

J'essaie de voir le verre à moitié plein...
Bon, j'avoue, certaines fois, j'ai besoin de vider une bouteille pour le voir ainsi !

Sinon je fais partie des professeurs lexomil-dépendants  (Gaspard Proust et les programmes scolaires : les deux premières minutes du sketch):

Tate a écrit:

trompettemarine a écrit:La réforme Châtel au lycée et la réforme Vallaud-Belkacem (et surtout les baisses de DGH) invitent à la division : c'est leur meilleure arme. Il y a un gros travail à faire auprès de certains collègues à qui il faut apprendre le terme de solidarité, puis à montrer que ce type de réforme c'est du "perdant-perdant". Venez-voir au lycée les dégâts. Plus personne n'est volontaire pour le travail interdisciplinaire chez nous par exemple.
Après cela, quand certains décident que certaines disciplines devraient exister plutôt que d'autres... .... il faut leur répliquer : "et toi à quoi tu sers ?" Mais bon, on n'est pas obligé de tomber si bas... Quoique, quand le collègue de sciences de ton bahut viendra te voir parce que son poste est supprimé au profit du professeur de techno qui aura eu les sixièmes : tu pourras lui faire un doux sourire...
La solidarité et l'esprit collectif, cela s'apprend aussi : il faut que les nouveaux collègues le comprennent et l'apprennent...
Pour les anciens qui disent "moi plutôt que toi" : discréditer leur raisonnement auprès des autres et faire très attention à ce qu'ils disent aux élèves.
J'en ai connu une (je ne dirais pas la matière) qui disait : "Le latin, mais arrêtez, ça ne sert à rien..."... voyez après qui est pris en prépa ou pas.
Il faut se rassurer aussi en disant que beaucoup d'autres collègues d'autres matières (et notamment des scientifiques, des bons )se sentent aussi tout à fait concernés par ce combat contre la réforme, par leur parcours, pour leurs enfants, pour les leurs élèves, pour leurs convictions, par leur intelligence...
C'est d'eux qu'il faut se rapprocher.

J'espère qu'il y en a beaucoup qui pensent comme toi.

C'est le message qu'il faut faire passer.

Si je regarde, je mords.

trompettemarine a écrit:

Tate a écrit:

trompettemarine a écrit:La réforme Châtel au lycée et la réforme Vallaud-Belkacem (et surtout les baisses de DGH) invitent à la division : c'est leur meilleure arme. Il y a un gros travail à faire auprès de certains collègues à qui il faut apprendre le terme de solidarité, puis à montrer que ce type de réforme c'est du "perdant-perdant". Venez-voir au lycée les dégâts. Plus personne n'est volontaire pour le travail interdisciplinaire chez nous par exemple.
Après cela, quand certains décident que certaines disciplines devraient exister plutôt que d'autres... .... il faut leur répliquer : "et toi à quoi tu sers ?" Mais bon, on n'est pas obligé de tomber si bas... Quoique, quand le collègue de sciences de ton bahut viendra te voir parce que son poste est supprimé au profit du professeur de techno qui aura eu les sixièmes : tu pourras lui faire un doux sourire...
La solidarité et l'esprit collectif, cela s'apprend aussi : il faut que les nouveaux collègues le comprennent et l'apprennent...
Pour les anciens qui disent "moi plutôt que toi" : discréditer leur raisonnement auprès des autres et faire très attention à ce qu'ils disent aux élèves.
J'en ai connu une (je ne dirais pas la matière) qui disait : "Le latin, mais arrêtez, ça ne sert à rien..."... voyez après qui est pris en prépa ou pas.
Il faut se rassurer aussi en disant que beaucoup d'autres collègues d'autres matières (et notamment des scientifiques, des bons )se sentent aussi tout à fait concernés par ce combat contre la réforme, par leur parcours, pour leurs enfants, pour les leurs élèves, pour leurs convictions, par leur intelligence...
C'est d'eux qu'il faut se rapprocher.

J'espère qu'il y en a beaucoup qui pensent comme toi.

J'essaie de voir le verre à moitié plein...
Bon, j'avoue, certaines fois, j'ai besoin de vider une bouteille pour le voir ainsi !



Sinon je fais partie des professeurs lexomil-dépendants  (Gaspard Proust et les programmes scolaires : les deux premières minutes du sketch):

Les programmes scolaires - Gaspard Proust du 02/05

Sérieusement, j'adore ce sketch. C'est criant de vérité.
Et je suis impatiente de tester la méthode "et toi, tu sers à quoi ?" ft. sourire doux ^^ :malmaisbien:

Najat ne s'exprime pas que sur FR 3. Nouvelle tribune, très longue, dans Le Monde de ce soir.

"« La réforme du collège garantit la mission républicaine de l’école », par Najat Vallaud-Belkacem

Tribune. La ministre de l’éducation nationale appelle à remettre la méritocratie au cœur du dispositif pour que tous les élèves progressent, y compris les meilleurs."

Citation , entres autres affirmations :

"S’agissant de l’allemand, la possibilité de l’apprendre en première langue dès l’école primaire sera assurée sur tout le territoire grâce à une carte académique des langues et un fléchage de postes de professeur d’école adapté. Elle sera même encouragée avec la garantie apportée aux enfants concernés qu’ils pourront commencer l’anglais en deuxième langue vivante dès la classe de 6e. Et on évoque un recul ? Alors même que notre engagement pour enrayer la baisse d’attractivité de l’allemand est porté par une augmentation massive des recrutements de professeurs, plus de 500 en 2015, contre moins de 200 en 2010 ? Il y a là un contresens complet.

La même tentative de mystification est à l’œuvre s’agissant du latin : alors qu’il est aujourd’hui une option choisie par 20 % des élèves qui l’abandonnent pour les trois quarts en fin de collège, la réforme permet de rendre accessible le latin, sa culture et sa civilisation à tous les élèves grâce à un enseignement interdisciplinaire spécifique dès la 5e. Pour ceux qui le souhaitent, la possibilité de bénéficier d’un enseignement complémentaire de latin est préservée. Loin d’un abandon, c’est la marque d’une ambition de démocratisation du latin. Au moment où nous créons un parcours citoyen, cette richesse ne doit pas être réservée à quelques-uns, mais proposée à tous au service de la maîtrise de notre langue et de la transmission des valeurs humanistes dont le latin et le grec sont porteurs."

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/05/04/la-reforme-du-college-garantit-la-mission-republicaine-de-l-ecole-par-najat-vallaud-belkacem_4626723_3232.html#efDX2S6KQ1SwLH65.99

Développement aussi sur l'histoire.

Rien de nouveau, le ministère ne lâche rien, mais on voit bien qu'il y a une volonté d'occuper le terrain.

J'ai peur que le grand public et beaucoup de collègues ne gobent toute cette comm'...

Elle se répète...