- SashkaJe viens de m'inscrire !
Bonjour!
Pour me présenter en quelques lignes... Je suis originaire du Pas de Calais et je vis aujourd'hui en Bretagne, où j'élève mes enfants (des jumelles de 12 ans et des jumeaux de 23 mois...) et accessoirement mon mari :Lool:
Je suis prof d'anglais certifiée depuis 1999 et j'ai envie de quitter l'EN depuis... à peu près 10 ans! Pour faire bref, j'ai adoré mes études, j'adore l'anglais, la culture britannique. Ça ne se passe même pas mal du tout avec les élèves, mais voilà, je n'en peux plus de ce boulot.
En gros, j'ai été contrariée dès le départ: je suis issue d'une longue lignée de profs et instits et lorsque j'ai annoncé que je souhaitais exercer un métier manuel, mes parents m'ont ri au nez et envoyée à la fac (où je me suis pas trop mal débrouillée par ailleurs )
Mon objectif est de passer le CAP bijouterie/joaillerie d'ici peu. En attendant, j'ai besoin de temps, de sous et d'un chouïa de confiance en moi
Suite à la naissance de mes jumeaux, j'ai repris à mi-temps. Comme je suis TZR, j'ai été expédiée un peu partout pour des remplacements de 15 jours / 3 semaines, de la 6ème au BTS2 en passant par la SEGPA. Un vrai bonheur quoi! (notamment pour trouver une nounou: "Bonjour! J'en ai deux à faire garder, je bosse à mi-temps et j'ai un emploi du temps susceptible de changer toutes les semaines!", sans parler de mes jumelles en 5ème...) Du coup, cette année, j'ai pris un mi-temps annualisé: j'ai donc bossé à plein temps de septembre à fin janvier (avec, ô joie, tout mon service dans le même établissement) et je ne reprendrai qu'en février 2016 puisque j'ai redemandé un mi-temps annualisé mais en 2ème partie d'année cette fois. J'ai donc quelques mois devant moi pour peaufiner mon projet, mais une chose est sûre, je suis déterminée!
Je ne souhaite pas démissionner (du moins pas dans un premier temps) mais prendre plutôt une dispo afin de conserver un "garde-fou" au cas où...
Je me pose néanmoins (et évidemment!) quelques questions:
- Première question bête: peut-on bénéficier d'un financement ou une aide financière quelconque quand on est fonctionnaire et qu'on a l'outrecuidance de vouloir se barrer? (comme le Fongecif dans le privé par exemple) Et a fortiori pour préparer un CAP? J'ai de gros doutes mais bon, je pose quand même la question, on ne sait jamais...
- Peut-on prétendre à une IDV en cas de création d'auto-entreprise? (mais dans ce cas, il faut démissionner...)
- Et, euuuuh... je suis sûre que j'aurai encore plein de questions plus tard!
Voilà!!!!
À bientôt j'espère!
Pour me présenter en quelques lignes... Je suis originaire du Pas de Calais et je vis aujourd'hui en Bretagne, où j'élève mes enfants (des jumelles de 12 ans et des jumeaux de 23 mois...) et accessoirement mon mari :Lool:
Je suis prof d'anglais certifiée depuis 1999 et j'ai envie de quitter l'EN depuis... à peu près 10 ans! Pour faire bref, j'ai adoré mes études, j'adore l'anglais, la culture britannique. Ça ne se passe même pas mal du tout avec les élèves, mais voilà, je n'en peux plus de ce boulot.
En gros, j'ai été contrariée dès le départ: je suis issue d'une longue lignée de profs et instits et lorsque j'ai annoncé que je souhaitais exercer un métier manuel, mes parents m'ont ri au nez et envoyée à la fac (où je me suis pas trop mal débrouillée par ailleurs )
Mon objectif est de passer le CAP bijouterie/joaillerie d'ici peu. En attendant, j'ai besoin de temps, de sous et d'un chouïa de confiance en moi
Suite à la naissance de mes jumeaux, j'ai repris à mi-temps. Comme je suis TZR, j'ai été expédiée un peu partout pour des remplacements de 15 jours / 3 semaines, de la 6ème au BTS2 en passant par la SEGPA. Un vrai bonheur quoi! (notamment pour trouver une nounou: "Bonjour! J'en ai deux à faire garder, je bosse à mi-temps et j'ai un emploi du temps susceptible de changer toutes les semaines!", sans parler de mes jumelles en 5ème...) Du coup, cette année, j'ai pris un mi-temps annualisé: j'ai donc bossé à plein temps de septembre à fin janvier (avec, ô joie, tout mon service dans le même établissement) et je ne reprendrai qu'en février 2016 puisque j'ai redemandé un mi-temps annualisé mais en 2ème partie d'année cette fois. J'ai donc quelques mois devant moi pour peaufiner mon projet, mais une chose est sûre, je suis déterminée!
Je ne souhaite pas démissionner (du moins pas dans un premier temps) mais prendre plutôt une dispo afin de conserver un "garde-fou" au cas où...
Je me pose néanmoins (et évidemment!) quelques questions:
- Première question bête: peut-on bénéficier d'un financement ou une aide financière quelconque quand on est fonctionnaire et qu'on a l'outrecuidance de vouloir se barrer? (comme le Fongecif dans le privé par exemple) Et a fortiori pour préparer un CAP? J'ai de gros doutes mais bon, je pose quand même la question, on ne sait jamais...
- Peut-on prétendre à une IDV en cas de création d'auto-entreprise? (mais dans ce cas, il faut démissionner...)
- Et, euuuuh... je suis sûre que j'aurai encore plein de questions plus tard!
Voilà!!!!
À bientôt j'espère!
- ZenxyaGrand sage
Bienvenue
Pour l'IDV, je pense que oui, créer une auto-entreprise rentre dans le cas d'attribution, voir le lien :
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=84075
Pour le financement .... vite fait comme ça, je dirais non, mais il faudrait chercher.
As-tu poser ces questions à la cellule reconversion du rectorat ?
Pour l'IDV, je pense que oui, créer une auto-entreprise rentre dans le cas d'attribution, voir le lien :
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=84075
Pour le financement .... vite fait comme ça, je dirais non, mais il faudrait chercher.
As-tu poser ces questions à la cellule reconversion du rectorat ?
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Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres - La Boétie
La folie c’est faire toujours la même chose et s’attendre à un résultat différent - Albert Einstein
L'École est le lieu où l'on va s'instruire de ce que l'on ignore ou de ce que l'on sait mal pour pouvoir, le moment venu, se passer de maître - Jacques Muglioni
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Très Très Très difficile pour plusieurs raisons (j'ai moi aussi creusé la question). J'ai souhaité une reconversion pile en même temps qu'un copain qui bossait dans le privé, et dans la même chose. Aujourd'hui lui a réussit, moi je suis toujours là !
- On ne va surtout pas vous aider à financer une formation sans rapport avec le métier de prof alors même que l'on arrive plus à recruter des profs dans certaines matières. Par contre, dans le privé, il y a tout un tas de loi qui imposent aux patrons de dépenser de l'argent pour les formations de leurs personnels et ils peuvent pour suivre les textes, être amenés à accorder un DIF en couture à un bûcheron. Bien entendu, les lois imposées aux boites par l'état ne sont pas aussi contraignantes pour l'état employeur. Si vous ne demandez pas une formation en compétences/référentiel et autres Meirieuseries, vous pouvez vous brosser.
- On va par tous les moyens éviter de vous donner la possibilité de vous valoriser pour l'extérieur. Par exemple, le CNAM ne donnera jamais de diplôme d'ingénieur à un prof, même titulaire d'une agreg, on trouvera toujours un prétexte comme l'"expérience" alors que celle d'un magasinier en entreprise va être suffisante.
- Si vous voulez passer par exemple un TOEFL ou un TOEIC pour faire de l'anglais en section euro par exemple, on va vous dire non (car ces certifications sont reconnues à l'extérieur)...on va plutôt vous demander de passer un "truc" interne sans valeur sur le marché.
- Là, alors que vos amis du privé ont obtenu une aide, vous allez décider à payer votre formation vous même et vous allez vous mettre à la recherche d'une formation privée...et dès le premier jour vous allez comprendre que toutes ces formations sont sur des "jeudi/vendredi/samedi" dix fois par ans par exemple. Vous allez vite comprendre que ce système ne fonctionne que si vous pouvez "poser des jours" ou, le rêve, si on vous "envoie en formation"...bien entendu, même y penser est déjà de l'abus lorsqu'on est prof. Lorsqu'on est dans le privé, c'est pas pareil : c'est du courage et de la détermination, c'est "faire preuve d'initiative, pas comme les fonctionnaires".
- Autre point : comme on doit continuer à vire il faut une période transitoire pour "démarrer". Là, vos amis du privé se montent en "auto-entreprise" et modulent progressivement l'ancienne et la nouvelle activité. Lorsqu'on est prof, on a le droit, mais pas dans toutes les activités : en gros seulement "cours particuliers", "aide à la personne" c'est à dire encore prof ou laver des personnes agées (allez savoir pourquoi ? Ironie méprisante de la part du législateur ?)
- Dernier point -mais scandaleux celui là- et pas du tout enviable : les patrons du privé "sympa" peuvent vous "arranger" pour que vous ayez deux ans de chaumage (licenciement de convenance) en même temps que votre démarrage d'auto-entreprise, ce qui est du vol bien entendu, mais ça change tout. Est-il utile de rappeler que même si nous voulions faire la même manoeuvre crapuleuse, notre patron à nous, c'est l'état ! Et qu'en plus, nous n'avons pas le droit au chaumage?
- On ne va surtout pas vous aider à financer une formation sans rapport avec le métier de prof alors même que l'on arrive plus à recruter des profs dans certaines matières. Par contre, dans le privé, il y a tout un tas de loi qui imposent aux patrons de dépenser de l'argent pour les formations de leurs personnels et ils peuvent pour suivre les textes, être amenés à accorder un DIF en couture à un bûcheron. Bien entendu, les lois imposées aux boites par l'état ne sont pas aussi contraignantes pour l'état employeur. Si vous ne demandez pas une formation en compétences/référentiel et autres Meirieuseries, vous pouvez vous brosser.
- On va par tous les moyens éviter de vous donner la possibilité de vous valoriser pour l'extérieur. Par exemple, le CNAM ne donnera jamais de diplôme d'ingénieur à un prof, même titulaire d'une agreg, on trouvera toujours un prétexte comme l'"expérience" alors que celle d'un magasinier en entreprise va être suffisante.
- Si vous voulez passer par exemple un TOEFL ou un TOEIC pour faire de l'anglais en section euro par exemple, on va vous dire non (car ces certifications sont reconnues à l'extérieur)...on va plutôt vous demander de passer un "truc" interne sans valeur sur le marché.
- Là, alors que vos amis du privé ont obtenu une aide, vous allez décider à payer votre formation vous même et vous allez vous mettre à la recherche d'une formation privée...et dès le premier jour vous allez comprendre que toutes ces formations sont sur des "jeudi/vendredi/samedi" dix fois par ans par exemple. Vous allez vite comprendre que ce système ne fonctionne que si vous pouvez "poser des jours" ou, le rêve, si on vous "envoie en formation"...bien entendu, même y penser est déjà de l'abus lorsqu'on est prof. Lorsqu'on est dans le privé, c'est pas pareil : c'est du courage et de la détermination, c'est "faire preuve d'initiative, pas comme les fonctionnaires".
- Autre point : comme on doit continuer à vire il faut une période transitoire pour "démarrer". Là, vos amis du privé se montent en "auto-entreprise" et modulent progressivement l'ancienne et la nouvelle activité. Lorsqu'on est prof, on a le droit, mais pas dans toutes les activités : en gros seulement "cours particuliers", "aide à la personne" c'est à dire encore prof ou laver des personnes agées (allez savoir pourquoi ? Ironie méprisante de la part du législateur ?)
- Dernier point -mais scandaleux celui là- et pas du tout enviable : les patrons du privé "sympa" peuvent vous "arranger" pour que vous ayez deux ans de chaumage (licenciement de convenance) en même temps que votre démarrage d'auto-entreprise, ce qui est du vol bien entendu, mais ça change tout. Est-il utile de rappeler que même si nous voulions faire la même manoeuvre crapuleuse, notre patron à nous, c'est l'état ! Et qu'en plus, nous n'avons pas le droit au chaumage?
- sophiette74Niveau 1
Bonjour,
Tu peux prendre rdv avec un ou une conseillere mobilité carrière.
Ils sont au courant des dispositfs, c'est leur metier !
Egalement de la dmission, conditions...
Bon courage
Sophie
Tu peux prendre rdv avec un ou une conseillere mobilité carrière.
Ils sont au courant des dispositfs, c'est leur metier !
Egalement de la dmission, conditions...
Bon courage
Sophie
- SashkaJe viens de m'inscrire !
Hi there! Merci pour votre accueil!
Bon ben, Graisse-Boulons, je crois que tu as trèèèèès bien résumé la situation! Disons que je supputais tout cela mais là, tu as mis des mots sur mes doutes
Pour le moment, j'ai trouvé un pis-aller: l'école de bijouterie/joaillerie qui m'intéresse propose des stages aux particuliers pendant les vacances d'été. Je vais déjà tâter le terrain de ce côté là...
Pour ce qui est de l'auto-entreprise, fabriquer et vendre des bijoux, c'est de l' "aide à la personne", nan? C'est pour les aider à se trouver plus joli(e)s! (just kidding ) Du coup, autre question bête: l'AE peut-elle être au nom de mon mari??? (lui qui bosse dans le privé, qui a des chèques-vacances, des tickets resto, des challenges réguliers où il peut gagner avec son équipe des lots de malade, un CE qui organise plein de trucs, et qui gagne bien plus que moi avec mon ancienneté de 14 ans et mes années d'études pour un poste où son Master d'histoire ne lui sert strictement à rien et où en gros il a pu être recruté sans qualification particulière... :p )
La cellule "reconversion" du rectorat, mouais, j'irai y faire un tour, mais je sens que ça va être du temps perdu...
Donc concrètement, à part la dispo ou la démission, point de salut quoi...
Bon ben, Graisse-Boulons, je crois que tu as trèèèèès bien résumé la situation! Disons que je supputais tout cela mais là, tu as mis des mots sur mes doutes
Pour le moment, j'ai trouvé un pis-aller: l'école de bijouterie/joaillerie qui m'intéresse propose des stages aux particuliers pendant les vacances d'été. Je vais déjà tâter le terrain de ce côté là...
Pour ce qui est de l'auto-entreprise, fabriquer et vendre des bijoux, c'est de l' "aide à la personne", nan? C'est pour les aider à se trouver plus joli(e)s! (just kidding ) Du coup, autre question bête: l'AE peut-elle être au nom de mon mari??? (lui qui bosse dans le privé, qui a des chèques-vacances, des tickets resto, des challenges réguliers où il peut gagner avec son équipe des lots de malade, un CE qui organise plein de trucs, et qui gagne bien plus que moi avec mon ancienneté de 14 ans et mes années d'études pour un poste où son Master d'histoire ne lui sert strictement à rien et où en gros il a pu être recruté sans qualification particulière... :p )
La cellule "reconversion" du rectorat, mouais, j'irai y faire un tour, mais je sens que ça va être du temps perdu...
Donc concrètement, à part la dispo ou la démission, point de salut quoi...
- SashkaJe viens de m'inscrire !
Merci Sophiette!
Ce conseiller est consultable au rectorat?
Ce conseiller est consultable au rectorat?
- sophiette74Niveau 1
Oui, moi j'ai vu celle de mon rectorat. Faut prendre rdv et s'y rendre en préparant nos questions ou les lui envoyer avant pour qu'elle prépare les réponses (ce qui est franchement le mieux, ca evite d'y aller 2 fois surtout si c'est loin, mais ils sont pas toujours partants... Ca depend de leur charge de travail...)
Sinon, tu as sans doute déjà regardé mais sur les sites du MEN il y a bcq de réponses à nos questions. Faut juste être attentif et patient car pas forcément facile de naviguer...
Ma conseillere m'avait expliquée qu'elle etait prof de francais, que ca ne lui a pas plu dès le debut, mais qu'il fallait bien qu'elle nourrisse sa famille. Elle n'a pas démissionné, mais mariée, elle a profité du salaire de son mari et a pris un congé sans solde pour reprendre des études. Et elle n'a pas trouvé de nouveau job mais elle a dû reprendre (prof) apres un divorce. Et en qq mois, a obtenu le job de conseillere mobilité.
Tout cela pour dire qu'il ne faut pas démissionné trop vite... On ne connait pas à l'avance notre avenir. Elle, c'etait un divorce, mais plus simple, la santé defaillante ( perso j'ai eu un accident et 2 ans 1/2 d'arrêt où j'ai apprécié avoir une bonne secu et mutuelle...).
Les dispositifs existent pour se mettre entre parenthèses et voir ;-)
Sinon, tu as sans doute déjà regardé mais sur les sites du MEN il y a bcq de réponses à nos questions. Faut juste être attentif et patient car pas forcément facile de naviguer...
Ma conseillere m'avait expliquée qu'elle etait prof de francais, que ca ne lui a pas plu dès le debut, mais qu'il fallait bien qu'elle nourrisse sa famille. Elle n'a pas démissionné, mais mariée, elle a profité du salaire de son mari et a pris un congé sans solde pour reprendre des études. Et elle n'a pas trouvé de nouveau job mais elle a dû reprendre (prof) apres un divorce. Et en qq mois, a obtenu le job de conseillere mobilité.
Tout cela pour dire qu'il ne faut pas démissionné trop vite... On ne connait pas à l'avance notre avenir. Elle, c'etait un divorce, mais plus simple, la santé defaillante ( perso j'ai eu un accident et 2 ans 1/2 d'arrêt où j'ai apprécié avoir une bonne secu et mutuelle...).
Les dispositifs existent pour se mettre entre parenthèses et voir ;-)
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Au fait, lorsque comme moi vous aurez fait le tour du grand corps mou sans jamais trouver de surface dure sur laquelle vous appuyer pour bâtir votre projet, vous serez certainement tentée par la bouée tendue fort opportunément par un prof ayant réussit SA reconversion. J'ai nommé : MR Rémi Boyer. Conscient de la relative captivité des enseignants (je dis "relative" pour éviter que l'on me dise que je peux partir quand je veux), ce collègue à eu l'idée de génie de se présenter comme l'homme de la situation. J'ai acheté deux de ces livres : "Enseignant...et après ? Comment préparer et réussir sa seconde carrière" et "Enseignants et mobilité professionnelle conseils et outils pour choisir la vôtre". -Il n'y a rien dedans-. Le seul mérite qu'ils pourraient avoir est du même ordre que celui de la réussite de Rémi Boyer : prouver qu'il y a un problème. Malheureusement, ce problème ne suscite guère d'émotion aux alentours. Pensez donc : pourquoi des privilégiés voudraient partir ? Alors autant leurs mettre des bâtons dans les roues, comme ça, juste pour le sport...
Bref, j'ai cessé de m'intéresser aux "services" de cet ancien-collègue-ayant-réussit-sa-reconversion quand on m'a demandé de payer une adhésion à "aide aux profs", son association...il faut bien que tout le monde vive !
Bref, j'ai cessé de m'intéresser aux "services" de cet ancien-collègue-ayant-réussit-sa-reconversion quand on m'a demandé de payer une adhésion à "aide aux profs", son association...il faut bien que tout le monde vive !
- SashkaJe viens de m'inscrire !
Merci pour l'info Graisse-Boulons J'ai en effet visité ce site et ai tiqué quant à l'adhésion à payer...
- yves76Niveau 1
Il y a toujours un salut, et je sais de quoi je sors.
Je suis d'accord sur la nécessité de bien réfléchir quand à quitter le métier, même si l'on rencontre de graves difficultés conjoncturelles. Etre mobile ne veux pas dire se jeter à l'eau.
Pour l'AE, tu peux demander effectivement à ton mari. Si l'AE ne réalise pas de recettes, il n'aura qu'une micro-contribution CFE à payer. Si elle ne fait pas de dette, il ne prendra aucun risque. Par correction, il peut en informer son entreprise, qui ne doit pas pouvoir l'en empêcher dès lors qu'il ne s'agit pas d'une concurrence déloyale par rapport à elle. Or, il ne
semble pas que ce soit le cas.
Après c'est affaire de confiance entre les deux conjoints: si vous avez pris l'habitude de vous épauler pour ce genre de problème de gestion de carrière, ce sera plus facile.
De toute façon, même si tu ajournes ton projet ou le diffères dans l'attente d'une ouverture ultérieure, c'est un bon moyen prendre de la distance face à un métier parfois décevant et parfois passionnant.
Sinon, tu peux toujours essayer d'enseigner ta matière en CAP Bijouterie!
Je me souviens
d'un collègue qui m'avait dit avoir passé son CAP de cuisine pour se sentir plus légitime
dans son enseignement d'anglais je crois dans la filière hôtellerie, mais peut-être que c'était une fanfaronnade de sa part !
Je suis d'accord sur la nécessité de bien réfléchir quand à quitter le métier, même si l'on rencontre de graves difficultés conjoncturelles. Etre mobile ne veux pas dire se jeter à l'eau.
Pour l'AE, tu peux demander effectivement à ton mari. Si l'AE ne réalise pas de recettes, il n'aura qu'une micro-contribution CFE à payer. Si elle ne fait pas de dette, il ne prendra aucun risque. Par correction, il peut en informer son entreprise, qui ne doit pas pouvoir l'en empêcher dès lors qu'il ne s'agit pas d'une concurrence déloyale par rapport à elle. Or, il ne
semble pas que ce soit le cas.
Après c'est affaire de confiance entre les deux conjoints: si vous avez pris l'habitude de vous épauler pour ce genre de problème de gestion de carrière, ce sera plus facile.
De toute façon, même si tu ajournes ton projet ou le diffères dans l'attente d'une ouverture ultérieure, c'est un bon moyen prendre de la distance face à un métier parfois décevant et parfois passionnant.
Sinon, tu peux toujours essayer d'enseigner ta matière en CAP Bijouterie!
Je me souviens
d'un collègue qui m'avait dit avoir passé son CAP de cuisine pour se sentir plus légitime
dans son enseignement d'anglais je crois dans la filière hôtellerie, mais peut-être que c'était une fanfaronnade de sa part !
- PseudoDemi-dieu
Pour le financement de la formation (enfin, au moins une partie) tu peux tenter de débloquer ton DIF. C'est une longue et périlleuse galère, mais qui m'a rapporté environ 1000 euros.
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
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