- alprechac2Expert
+ 1 ; je trouve le mail nauséabond.Lora a écrit:Je viens de lire ce fameux mail. Je suis atterrée. J'ai presque envie de lui répondre mais ce serait sur le coup de l'émotion. J'ai presque envie de pleurer.
Les IA-IPR de notre académie ne servent vraiment à rien quand il faut nous défendre ... (passif avec l'un d'entre eux qui nous reprochaient d'avoir fait une répartition avec une classe partagée, mais n'a pas levé le petit doigt pour nous aider quand on lui a fait part du problème ... -ah si, il est venu inspecter les collègues en charge de la classe partagée à la rentrée ... )
- LefterisEsprit sacré
Presse-purée a écrit:
Ce qu'il faut, c'est exiger (contrairement à ce que veulent certains) que TOUS LES PROFS DE LETTRES aient une solide formation en latin. L'unification du CAPES doit se faire dans ce sens, et pas dans le sens actuel, où il est largement plus "rentable" de s'inscrire en LM qu'en LC.
- ...:
Maintenant, vous pouvez me lapider.
D'accord avec ça, je le dis d'ailleurs depuis le début, sans avoir attendu cette réforme scélérate, ni même
Remarquons quand même que cela n'a rien d'irréaliste et que nous ne réinventons pas l'eau chaude : les professeurs de lettres modernes, par le passé, avaient tous fait du latin au lycée et en fac, et souvent au concours. La différence majeure étant l'absence de grec la plupart du temps. Pour le latin, c'était un dosage différent, et pas la même optique, mais nombreux étaient ceux qui n'auraient pas eu à rougir face à la version du Capes de LC.
Dans un premier temps, ça ne sauve pas le grec, déjà fort mal en point, mais si le latin survit, ça entretient le flamme, sait-on jamais, le feu peut repartir.
De plus, quoique fervent helléniste, je pense que la priorité absolue est le latin. Par le latin, on peut (et l'on doit) aborder la civilisation hellénique.
Mettons le paquet sur les jeunes professeurs de LM, faisons-en des latinistes (certains ont vraiment des lacunes béantes en latin, je connais même une étudiante qui parvient à esquiver le latin en licence de LM :shock: ) . Avec les profs de LC sur le carreau, il y a un vivier de formateurs in situ
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- OudemiaBon génie
Oui, mais ça ne dépend pas de nous...Lefteris a écrit:Presse-purée a écrit:
Ce qu'il faut, c'est exiger (contrairement à ce que veulent certains) que TOUS LES PROFS DE LETTRES aient une solide formation en latin. L'unification du CAPES doit se faire dans ce sens, et pas dans le sens actuel, où il est largement plus "rentable" de s'inscrire en LM qu'en LC.
- ...:
Maintenant, vous pouvez me lapider.
D'accord avec ça, je le dis d'ailleurs depuis le début, sans avoir attendu cette réforme scélérate, ni mêmele massacrela réforme du Capes.
Remarquons quand même que cela n'a rien d'irréaliste et que nous ne réinventons pas l'eau chaude : les professeurs de lettres modernes, par le passé, avaient tous fait du latin au lycée et en fac, et souvent au concours. La différence majeure étant l'absence de grec la plupart du temps. Pour le latin, c'était un dosage différent, et pas la même optique, mais nombreux étaient ceux qui n'auraient pas eu à rougir face à la version du Capes de LC.
Dans un premier temps, ça ne sauve pas le grec, déjà fort mal en point, mais si le latin survit, ça entretient le flamme, sait-on jamais, le feu peut repartir.
De plus, quoique fervent helléniste, je pense que la priorité absolue est le latin. Par le latin, on peut (et l'on doit) aborder la civilisation hellénique.
Mettons le paquet sur les jeunes professeurs de LM, faisons-en des latinistes (certains ont vraiment des lacunes béantes en latin, je connais même une étudiante qui parvient à esquiver le latin en licence de LM :shock: ) . Avec les profs de LC sur le carreau, il y a un vivier de formateurs in situ
- LefterisEsprit sacré
Je sais, je fais le naïf, et je suis même persuadé que ce scénario n'a aucune chance d'advenir, car ce n'est pas à un obstacle technique que nous nous heurtons, mais à une volonté idéologique farouche de raser les langues anciennes.Oudemia a écrit:Oui, mais ça ne dépend pas de nous...Lefteris a écrit:
Mettons le paquet sur les jeunes professeurs de LM, faisons-en des latinistes (certains ont vraiment des lacunes béantes en latin, je connais même une étudiante qui parvient à esquiver le latin en licence de LM :shock: ) . Avec les profs de LC sur le carreau, il y a un vivier de formateurs in situ[/b]
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User14996Niveau 10
Le mail est déplorable, en effet. Mais bon... le cirage de pompes fait aussi partie du job.
- Natacha RostovNiveau 3
Presse-purée a écrit:
Juste un truc: on a BESOIN des profs de LM pour maintenir les options. Si l'option ferme dans un bahut Z, elle ne rouvrira pas. Point.
Merci Presse-purée. Ça fait chaud au coeur.
Edité.
- GrypheMédiateur
C'est compatible dans les emplois du temps (là où il y a une volonté, il y a un chemin...), sous réserve que ton établissement ouvre sur une certaine amplitude horaire.actuellement je me bats pour que l'option euro qui ouvre à la rentrée prochaine (pour un an?) soit compatible avec le latin (les forces obscures œuvrent pour que ce ne soit pas le cas). D'ailleurs, si vous avez des idées...
- DesolationRowEmpereur
Lefteris a écrit:Je sais, je fais le naïf, et je suis même persuadé que ce scénario n'a aucune chance d'advenir, car ce n'est pas à un obstacle technique que nous nous heurtons, mais à une volonté idéologique farouche de raser les langues anciennes.Oudemia a écrit:Oui, mais ça ne dépend pas de nous...Lefteris a écrit:
Mettons le paquet sur les jeunes professeurs de LM, faisons-en des latinistes (certains ont vraiment des lacunes béantes en latin, je connais même une étudiante qui parvient à esquiver le latin en licence de LM :shock: ) . Avec les profs de LC sur le carreau, il y a un vivier de formateurs in situ[/b]
+1
Dans un monde normal, il devrait être évident qu'il est absurde de mener des études de lettres modernes sans également connaître du latin. Le seul fait que cela soit possible montre qu'à terme le seul objectif de ceux qui organisent les concours de recrutement est purement et simplement de faire disparaître les langues anciennes.
- alprechac2Expert
Pour le problème des postes non pourvus en LC, il y a tout de même aussi une très mauvaise gestion du rectorat (du moins dans mon académie) dans la répartition des postes : dans mon collège, nous sommes deux profs de LC pour 3 groupes de latin (4 groupes les bonnes années) ; dans le lycée hyper huppé où j'étais avant, il y avait 5 profs de LC pour 3 groupes de latin (à 2h chacun ...). Dans l'autre lycée huppé de la ville, ils sont à ma connaissance 3 pour 3 groupes.
J'en parle d'autant plus à l'aise que s'il y avait une redistribution des postes, c'est le mien qui saute ...
Sinon, j'ai une question : dans le mail charmant de notre IA évoqué plus haut, elle précise que le latin est un EPI dérogatoire puisqu'il peut être mené trois ans de suite. Mais dans ce cas, le respect des 6 EPI / élèves durant le cycle 4 ne sera pas respecté ? Donc il n'y a aucune chance que l'EPI "langues et cultures de l'Antiquité" soit choisi dans un établissement, non ?
J'en parle d'autant plus à l'aise que s'il y avait une redistribution des postes, c'est le mien qui saute ...
Sinon, j'ai une question : dans le mail charmant de notre IA évoqué plus haut, elle précise que le latin est un EPI dérogatoire puisqu'il peut être mené trois ans de suite. Mais dans ce cas, le respect des 6 EPI / élèves durant le cycle 4 ne sera pas respecté ? Donc il n'y a aucune chance que l'EPI "langues et cultures de l'Antiquité" soit choisi dans un établissement, non ?
- SergeMédiateur
Lora a écrit:Je viens de lire ce fameux mail. Je suis atterrée. J'ai presque envie de lui répondre mais ce serait sur le coup de l'émotion.
Il faut répondre à ce mail, hors coup de l'émotion, sinon ils vont croire en plus qu'on est d'accord.
- LoraNeoprof expérimenté
Je ne sais pas si je trouverai les mots...
- mayouNiveau 5
Je viens de lire ça :-(
http://www.vousnousils.fr/2015/03/31/reforme-du-college-les-cours-de-complement-en-latin-et-grec-absents-de-la-nouvelle-grille-horaire-566125
http://www.vousnousils.fr/2015/03/31/reforme-du-college-les-cours-de-complement-en-latin-et-grec-absents-de-la-nouvelle-grille-horaire-566125
- henrietteMédiateur
Oui, si ça reste comme ça, ça sent vraiment le sapin.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Thalia de GMédiateur
Je n'écrirai pas le gros mot que je viens de proférer.La réforme a écrit:Le ministère a quelque peu revu sa copie depuis les négociations du 25 mars, notamment en ce qui concerne la grille fixant le volume horaire des enseignements obligatoires (défini par arrêté). Ainsi, en 6e, les élèves perdent 30 minutes hebdomadaires de français, au profit de 30 minutes de LV1
Non seulement (non solum...)c'est une aberration que même les profs de toutes les disciplines ne vont pas manquer de dénoncer, puisque tout le monde se plaint des carences de plus en plus criantes de nos élèves pour s'exprimer, mais encore (sed etiam), je trouve d'une habileté infâme ce procédé qui risque de créer sinon des dissensions du moins du ressentiment.
D'énervement je me suis trompée de topic.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Luigi_BGrand Maître
Déclaration de l'Arelabor...
http://arelabor.com/une-position-prise-par-le-bureau-de-larelabor/
http://arelabor.com/une-position-prise-par-le-bureau-de-larelabor/
- Spoiler:
- Une position prise par le bureau de l’Arelabor
Publié le 31 mars 2015 par Arelabor
Chers collègues et amis,
A l’occasion de la rencontre au Ministère entre les responsables de la réforme et les associations signatrices de la pétition (dont je vous rappelle le lien), et en sus de ce que nous avons déjà envoyé comme réactions, voici une position adoptée par le bureau de l’Arelabor.
Les membres du bureau de l’ARELABOR (Association Régionale des Enseignements de Langues Anciennes de l’Académie de Bordeaux) renouvellent leurs inquiétudes quant à ce qu’il va advenir dans les années prochaines des enseignements de latin et de grec, fortement impactés par la nouvelle réforme du collège. Nous rappelons notre attachement à un enseignement le plus généralisé possible de ces langues et cultures fondatrices des grandes cultures européennes et méditerranéennes, dans un souci d’égalité républicaine et de chances égales offertes à tous les élèves de France. Nous dénonçons depuis longtemps le raccourci trop vite fait entre élitisme et langues anciennes, tant nous vivons au quotidien l’hétérogénéité sociale, culturelle et géographique des élèves qui suivent ces enseignements. Nos collègues ont su depuis longtemps prendre le train des nouvelles technologies, diversifier leur enseignement, mettre en place de nouvelles pédagogies comme le rappelle leur participation régulière au Forum des Enseignants Innovants, ou le résultat des journées organisées par le Ministère lui-même sur le thème « Langues anciennes, mondes modernes ».
Nous avons certes entendu les dernières précisions émanant du Ministère, et le rétablissement partiel des heures d’option. Nous maintenons qu’elles ne sont pas suffisantes en l’état pour fournir un enseignement de qualité à tous. Nous refusons l’idée du saupoudrage, et préférerions une réelle découverte en sixième de ces langues et cultures, découverte prolongée les années suivantes par un enseignement de qualité avec des horaires suffisants, comme ceux actuellement en place, pour approfondir et élargir les visions culturelles, linguistiques, historiques, sociales et sociétales des élèves. Nous demandons notamment à ce que ces horaires d’enseignements complémentaires ne figurent pas dans les 20 pour cent laissés à la merci des chefs d’établissement par le biais d’une supposée autonomie, mais dans la DHG du tronc commun. Nous connaissons chaque année trop de situations conflictuelles entre des équipes motivées et des chefs d’établissement désireux de se débarrasser de langues et cultures qui ne les intéressent pas et dont ils souhaitent récupérer le volume horaire, dans notre académie comme dans d’autres, pour ne pas craindre les problèmes que cette absence de vision nationale de nos enseignements vont entraîner.
Si le retour aux horaires précédents s’avérait impossible, comme cela semble devoir être le cas pour des raisons aussi bien budgétaires qu’idéologiques, nous demandons alors, car nous n’avons rien contre l’esprit d’une réforme qui nous semble surtout pécher par l’absence de concertation et de réflexion qui s’en dégage:
- que l’EPI dédié aux langues anciennes soit obligatoire pour les élèves prenant une option langues anciennes tout au long de leurs trois années de cursus, et dérogatoire quant au nombre d’EPI suivis; nous accepterions bien entendu tous les autres élèves volontaires sur cet EPI;
- que cette heure d’EPI soit prioritairement confiée à des enseignants de langues anciennes partout où ils sont présents, ou sinon à un enseignant de lettres modernes motivé;
- qu’un programme clair et cohérent avec les attentes du lycée soit mis en oeuvre; nous restons attachés au tissu actuel de l’enseignement au moins du latin, dont nous connaissons l’efficacité, et favorables à un élargissement des collèges enseignant le grec;
- qu’une concertation efficace entre les collègues du lycée et des collèges soit mise en place au sein d’une même zone de recrutement scolaire.
Nous espérons sincèrement que ce n’est pas au détricotage massif et à la disparition programmée des Humanités en france que nous assistons actuellement.
Le Bureau de l’Arelabor.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- trompettemarineMonarque
Cela ressemble à un aveu d'échec.
- julie2010Niveau 2
De nouveau une catastrophe. Et pourtant, nous commencions à avancer...
- AudreyOracle
Super.... ya pas à dire, ils savent se faire entendre...
- CeladonDemi-dieu
"A l’occasion de la rencontre au Ministère entre les responsables de la réforme et les associations signatrices de la pétition"
signatrices ? :gratte: masculin signateur ?
Cèkoiça ?
J'avoue avoir du mal à poursuivre la lecture.
signatrices ? :gratte: masculin signateur ?
Cèkoiça ?
J'avoue avoir du mal à poursuivre la lecture.
- julie2010Niveau 2
Oui... Mais je voulais tellement me mettre au parfum que je suis passée outre. Je pensais tellement que nous avions avancé cette semaine... En fait, non.
J'ai suivi le conseil trouvé je ne sais plus où d'écrire aux députés de notre circonscription membre de la commission des affaires culturelles.
Mon député a pris le temps de me répondre. Sa réponse, sous couvert de toutes les formules de politesses requises, fait peur. J'ai donc moi aussi pris le temps de lui expliquer en long, en large et en travers en quoi consistait de nos jours l'enseignement du latin.
J'ai suivi le conseil trouvé je ne sais plus où d'écrire aux députés de notre circonscription membre de la commission des affaires culturelles.
Mon député a pris le temps de me répondre. Sa réponse, sous couvert de toutes les formules de politesses requises, fait peur. J'ai donc moi aussi pris le temps de lui expliquer en long, en large et en travers en quoi consistait de nos jours l'enseignement du latin.
- mayouNiveau 5
julie2010 a écrit:Oui... Mais je voulais tellement me mettre au parfum que je suis passée outre. Je pensais tellement que nous avions avancé cette semaine... En fait, non.
J'ai suivi le conseil trouvé je ne sais plus où d'écrire aux députés de notre circonscription membre de la commission des affaires culturelles.
Mon député a pris le temps de me répondre. Sa réponse, sous couvert de toutes les formules de politesses requises, fait peur. J'ai donc moi aussi pris le temps de lui expliquer en long, en large et en travers en quoi consistait de nos jours l'enseignement du latin.
Il a au moins pris le temps de te répondre ... pour ma part, je n'ai eu aucun retour. Quels étaient ces propos effrayants ?
- SibylleNeoprof expérimenté
Oui, j'aimerais aussi les avoir en message privé, ces propos qui font peur sur l'image qu'il a du cours de latin.
- julie2010Niveau 2
C'était plus des propos sur la réforme que sur le latin en particulier... mais l'esprit de la réforme y était : pas de diminution du temps d'apprentissage consacré aux langues anciennes et autres.
- Luigi_BGrand Maître
Même chose de mon député.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- GrypheMédiateur
La situation des LC est évoquée dans l'article 7 de l'arrêté.
Cf. ici : https://www.neoprofs.org/t88295p100-reforme-du-college-la-3e-reunion-de-negociations#2997741
Cf. ici : https://www.neoprofs.org/t88295p100-reforme-du-college-la-3e-reunion-de-negociations#2997741
- LisaZenideExpert spécialisé
@Gryphe, je remets le texte de l'art.7 ci-dessous tel que tu l'as publié (passages en gras compris)
Par ailleurs, j'ai reçu l'info suivante :
Article 7
Outre la dotation horaire correspondant aux enseignements obligatoires, une dotation horaire est mise à la disposition des établissements afin de favoriser le travail en groupes à effectifs réduits et les interventions conjointes de plusieurs enseignants, conformément à l’article D. 332-51 du code de l’éducation. Son volume pour l’établissement est arrêté par le recteur d’académie, sur la base de deux heures quarante-cinq minutes par semaine et par division pour la rentrée scolaire 2016, puis sur la base de trois heures par semaine et par division à compter de la rentrée scolaire 2017. L’emploi de cette dotation est réparti proportionnellement aux besoins définis dans le projet d’établissement pour chaque niveau d’enseignement conformément au II de l’article D. 332-3 du code de l’éducation.
Cette dotation horaire attribuée à l’établissement lui permet également, dans le cadre de son projet pédagogique, de proposer, pour les élèves volontaires, un enseignement de complément aux enseignements pratiques interdisciplinaires prévus à l’article 4, qui porte sur un enseignement de langues et cultures de l’antiquité ou sur un enseignement de langue et culture régionales. Cet enseignement peut être suivi au cours des trois années du cycle 4, dans la limite d’une heure hebdomadaire en classe de cinquième et de deux heures hebdomadaires pour les classes de quatrième et de troisième.
Par ailleurs, j'ai reçu l'info suivante :
SNES / Lettres a écrit:En cliquant sur le lien ci-dessous vous accéderez à la consultation mise en place par le SNES-FSU sur les langues anciennes dans la reforme du collège. Cette consultation est destinée aux professeurs de Lettres Classiques. N’hésitez pas à la diffuser, elle est ouverte aux non syndiqués.
https://fr.surveymonkey.com/r/LCA_college
- De l'avenir des langues anciennes au collège en 2016: sortez vos mouchoirs.
- Professeurs d'allemand et de langues rares : la réalité du terrain, réforme 2016. (reconversion PE /CDE !)
- Entrée en vigueur des nouveaux programmes d'hist-géo collège : en 2016 ou à partir de 2016?
- 11 mai 2016 : audience du Conseil d'État sur les recours contre collège 2016
- Collège 2016 : "Pour une réforme qui mette fin au collège à deux vitesses !" (Communiqué de presse commun)
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