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- OlympiasProphète
Et recopier sans fautes est une des compétences du socle.trompettemarine a écrit:piesco a écrit:http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006418555&dateTexte=20150112e
Je fais la même remarque que Reine Margot, si c'est ce que tu voulais dire, Piesco.
Une punition ne doit pas être agréable (sans être une humiliation).
Les punitions qu'on disait "intelligentes" à mon époque (et j'ai eu le malheur d'en donner) comme "écrire une rédaction du genre auto critique, argumenter sur le bien, le mal, le respect, la politesse etc." sont à la limite de la perversion (car elles inversent les places du maître et de l'élève, brouillent les limites, institue une forme de mensonge institutionnalisé et oublient que l'enfant n'est pas un adulte.)
En revanche, copier des mots (avec leur définition donc) permet de travailler l'orthographe, la graphie.... et surtout, c'est fort ennuyeux et désagréable.
- piescoModérateur
trompettemarine a écrit:piesco a écrit:Reine Margot a écrit:erreur du serveur...Veux-tu dire que copier des lignes est interdit? -assimilé à une brimade- il me semblait que ça avait été abrogé...
C'était le lien vers l'article qui concerne les faits: outrage à fonctionnaire, 6 mois de prison et 7500 euros d'amende.
J'ai édité et copié-collé le contenu.
- le revoici:
CODE PÉNAL Article 433-5
Modifié par Loi n°2002-1138 du 9 septembre 2002 - art. 45 JORF 10 septembre 2002
"Constituent un outrage puni de 7 500 euros d'amende les paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l'envoi d'objets quelconques adressés à une personne chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie.
Lorsqu'il est adressé à une personne dépositaire de l'autorité publique, l'outrage est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende.
Lorsqu'il est adressé à une personne chargée d'une mission de service public et que les faits ont été commis à l'intérieur d'un établissement scolaire ou éducatif, ou, à l'occasion des entrées ou sorties des élèves, aux abords d'un tel établissement, l'outrage est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende.
Lorsqu'il est commis en réunion, l'outrage prévu au premier alinéa est puni de six mois d'emprisonnement et de 7500 euros d'amende, et l'outrage prévu au deuxième alinéa est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende."
Pourquoi cela ne fonctionne plus?
Je n'ai rien contre les punitions. Et recopier un texte sans fautes fait partie des compétences du socle.
Je lis seulement le message maintenant...
Bien vu Piesco !
Et je vais rejoindre Reine Margot et Cripure au piquet de ceux qui ont les idées mal placées...:
Puisqu'on en parle...
- Bonnie BlueNiveau 9
Parait que mettre au piquet et donner la fessée, c'est pas autorisé.
On a droit au fouet au moins ?
On a droit au fouet au moins ?
- Raoul VolfoniGrand sage
Bon, puisque vous n'êtes pas sages, j'ai changé le titre !
- BlackMailExpert
Quel sadisme.
_________________
- Spoiler:
I'm watching you.
- Raoul VolfoniGrand sage
J'aurais pu vous fouetter mais vous auriez été capables d'aimer ça.
Sinon, dans mon autre collège, une élève m'a sobrement indiqué que je lui pétais les couilles. Deuxième commission éducative en vue, donc. Ils vont me bénir.
Sinon, dans mon autre collège, une élève m'a sobrement indiqué que je lui pétais les couilles. Deuxième commission éducative en vue, donc. Ils vont me bénir.
- pitchounetteExpert
est ce que les commissions éducatives ont un réel impact aujourd'hui?? J'ai l'impression qu'on brasse du ventRaoul Volfoni a écrit:J Deuxième commission éducative en vue, donc. Ils vont me bénir.
- Fesseur ProGuide spirituel
Je suis au piquet itou.
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Pourvu que ça dure...
- Thalia de GMédiateur
Meuh non ! On va faire signer à l'élève qui a eu un comportement non conforme au RI un zoli petit contrat en le menaçant d'une autre comm éducative s'il ne respecte pas ledit contrat.pitchounette a écrit:est ce que les commissions éducatives ont un réel impact aujourd'hui?? J'ai l'impression qu'on brasse du ventRaoul Volfoni a écrit:J Deuxième commission éducative en vue, donc. Ils vont me bénir.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- karaokeNiveau 5
Les romains avaient relevé deux formes d’autorité : La « potestas » ou pouvoir légalement reconnu à la fonction exercée par une personne, et « l’auctoritas », basée sur l’ascendant, le prestige personnel.
"Avoir l’autorité" et "avoir de l’autorité" se complètent heureusement pour aider à la gestion de conflits.
- Les punitions scolaires peuvent être prononcées « par les personnels de direction, d’éducation, de surveillance et par les enseignants. » Elles pourront également être prononcées, sur proposition d’un autre membre de la communauté éducative, par les personnels de direction et d’éducation.
- Les sanctions disciplinaires dépendent du chef d’établissement ou du conseil de discipline.
L’acte éducatif fonctionne dans le registre de l’adhésion et l’autorité créée une tension qui fait barrage: il faut donc du courage pour faire « acte d'autorité ».
Mais pas seulement que du courage, de l'imagination également!
L’explication de la transgression par référence aux principes éthiques et moraux est indispensable pour aider l’enfant, l’adolescent à devenir un sujet autonome et responsable. Sinon on transforme l’éducation en dressage en agitant en permanence « la peur du gendarme», qui devient de plus en plus aléatoire.
La sanction fonctionne dans un système qui fait place au contradictoire ; chacun doit pouvoir exprimer son point de vue, sa vision de l’acte, donc posséder un espace de parole, même si certaines situations sont peu propices au dialogue. C'est ce qui me paraît le plus difficile à entendre par beaucoup d'entre nous.
S’il est souhaitable de prendre des mesures conservatoires dans l’urgence, il est fortement déconseillé de sanctionner sur le moment « à chaud », avant d’avoir toutes les informations. Les paroles des protagonistes, de la personne qui gère un conflit, qui explicite la transgression sont essentielles pour s’inscrire dans une dynamique éducative.
Grâce à la parole, l’enfant, l’adolescent, apprennent à gérer des situations conflictuelles de façon non-violente.
Sur l'événement rapporté par la collègue, peut-être il y a-t-il une traduction possible pour un éducateur expérimenté: l'élève a peut-être reconnu pour son professeur une autorité sur laquelle il désespère n'avoir aucune prise? (~Tous les profs sérieux sont des salauds parce qu'exigeants)
"Avoir l’autorité" et "avoir de l’autorité" se complètent heureusement pour aider à la gestion de conflits.
- Les punitions scolaires peuvent être prononcées « par les personnels de direction, d’éducation, de surveillance et par les enseignants. » Elles pourront également être prononcées, sur proposition d’un autre membre de la communauté éducative, par les personnels de direction et d’éducation.
- Les sanctions disciplinaires dépendent du chef d’établissement ou du conseil de discipline.
L’acte éducatif fonctionne dans le registre de l’adhésion et l’autorité créée une tension qui fait barrage: il faut donc du courage pour faire « acte d'autorité ».
Mais pas seulement que du courage, de l'imagination également!
L’explication de la transgression par référence aux principes éthiques et moraux est indispensable pour aider l’enfant, l’adolescent à devenir un sujet autonome et responsable. Sinon on transforme l’éducation en dressage en agitant en permanence « la peur du gendarme», qui devient de plus en plus aléatoire.
La sanction fonctionne dans un système qui fait place au contradictoire ; chacun doit pouvoir exprimer son point de vue, sa vision de l’acte, donc posséder un espace de parole, même si certaines situations sont peu propices au dialogue. C'est ce qui me paraît le plus difficile à entendre par beaucoup d'entre nous.
S’il est souhaitable de prendre des mesures conservatoires dans l’urgence, il est fortement déconseillé de sanctionner sur le moment « à chaud », avant d’avoir toutes les informations. Les paroles des protagonistes, de la personne qui gère un conflit, qui explicite la transgression sont essentielles pour s’inscrire dans une dynamique éducative.
Grâce à la parole, l’enfant, l’adolescent, apprennent à gérer des situations conflictuelles de façon non-violente.
Sur l'événement rapporté par la collègue, peut-être il y a-t-il une traduction possible pour un éducateur expérimenté: l'élève a peut-être reconnu pour son professeur une autorité sur laquelle il désespère n'avoir aucune prise? (~Tous les profs sérieux sont des salauds parce qu'exigeants)
- DimkaVénérable
Bonjour,
Je pense que ça dépend beaucoup de la personne qui mène la commission et de l’attitude de l’équipe, en fait. Si c’est juste pour éviter un conseil de discipline et sauver les stats, c’est nul, mais si c’est vraiment fait dans l’optique de remettre l’élève sur les rails, pourquoi pas ?
Dans le lycée où j’étais, l’année dernière (mais du coup, peut-être est-ce différent en collège), ça avait été assez efficace, avec un élève, qui était toujours à la limite (j’en-foutisme, lenteur volontaire, bavardages, insolence larvée) et qui avait dérapé une fois : après ça, il y avait eu un carnet où chaque prof mettait comment s’était déroulée chaque heure, du coup, tous les petits trucs qui ne font habituellement pas l’objet d’un rapport ou d’une sanction étaient mentionnés, et il avait fini par faire des efforts là-dessus. En plus, ça avait un peu réveillé son père (non pas que les parents étaient absents, mais le type se faisait des illusions sur sa future carrière sportive professionnelle et ne pigeait pas que cracher sur le lycée, c’était un peu cracher sur ses chances d’avoir un bon job).pitchounette a écrit:est ce que les commissions éducatives ont un réel impact aujourd'hui?? J'ai l'impression qu'on brasse du ventRaoul Volfoni a écrit:J Deuxième commission éducative en vue, donc. Ils vont me bénir.
Je pense que ça dépend beaucoup de la personne qui mène la commission et de l’attitude de l’équipe, en fait. Si c’est juste pour éviter un conseil de discipline et sauver les stats, c’est nul, mais si c’est vraiment fait dans l’optique de remettre l’élève sur les rails, pourquoi pas ?
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- Spoiler:
- skindiverÉrudit
Je ne sais pas si ce que j'avais fait était bien ou mal mais j'ai donné comme punition à un élève qui avait dit pendant mon cours "Mr Bidule c'est trop une pédale" à conjuguer à tous les temps et tous les modes "Je ne dois pas insulter Mr Bidule de pédale" (et à faire signer par Mr Bidule qui est hétéro, une masse, et viril).
Il s'était senti tellement bête....
Il s'était senti tellement bête....
- piescoModérateur
osteoboy a écrit:Je ne sais pas si ce que j'avais fait était bien ou mal mais j'ai donné comme punition à un élève qui avait dit pendant mon cours "Mr Bidule c'est trop une pédale" à conjuguer à tous les temps et tous les modes "Je ne dois pas insulter Mr Bidule de pédale" (et à faire signer par Mr Bidule qui est hétéro, une masse, et viril).
Il s'était senti tellement bête....
Pardon, mais :lol!:
- Thalia de GMédiateur
:malmaisbien:piesco a écrit:osteoboy a écrit:Je ne sais pas si ce que j'avais fait était bien ou mal mais j'ai donné comme punition à un élève qui avait dit pendant mon cours "Mr Bidule c'est trop une pédale" à conjuguer à tous les temps et tous les modes "Je ne dois pas insulter Mr Bidule de pédale" (et à faire signer par Mr Bidule qui est hétéro, une masse, et viril).
Il s'était senti tellement bête....
Pardon, mais :lol!:
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Bonnie BlueNiveau 9
Mais.. tu lui as fait écrire "insulter de". Hérétique ! Sois mortifié jusqu'à la treizième génération !
- skindiverÉrudit
ou traiter je ne sais plus
Je me courbe pour recevoir le fouet
Je me courbe pour recevoir le fouet
- oxaNiveau 9
Fais leur une petite gâterie , copier 500 fois "Ceci n'est pas une punition!' (hommage à Magritte)
- leyadeEsprit sacré
oxa a écrit:Fais leur une petite gâterie , copier 500 fois "Ceci n'est pas une punition!' (hommage à Magritte)
- PseudoDemi-dieu
Je vais avoir une voix discordante. Comme ça vous êtes avertis :lol:
D'abord, l'insulte ne t'étais pas "adressée". Le morveux l'a dite hors de ta présence, il pensait certainement qu'aucun adulte ne l'entendrait. Au sens pénal, donc, elle ne t'étais pas adressée. Le texte de loi sorti pour l'occasion plus haut ne peut donc pas s'appliquer.
Je trouve que le collègue qui est venu te rapporter le fait est fort étrange. Pourquoi diable n'a-t-il pas réglé cela directement avec le gosse ? Quand j'entends un truc et que ça me choque, je me charge du problème, je ne vais pas voir truc ou machin pour lui répéter ce que j'ai entendu.
Si on puni sévèrement tous les élèves qui profèrent des horreurs en parlant de leurs profs quand ils pensent être entre eux, on n'a pas fini de siéger en commission de truc et de machin. D'ailleurs, imaginez un élève qui pointe le bout de son nez en salle des profs, il serait édifié. Et imaginez un collègue (ou l'élève) qui aille raconter tout cela à la chef d'établissement. Si on vous suit, la moitié des profs seraient donc convoqués, avec dénonciation à l'inspection et tout le tremblement, parce qu'il faut reconnaître que les propos tenus sur les élèves ne sont pas tous très pédagogiques.
Dans le cas précis qui nous occupe là, le gamin a eu sa dose, il me semble, et il va passer en commission éducative. Tout ça pour avoir dit un truc dans un couloir, à quelques copains qui utilisent le même vocabulaire bien souvent, sans s'être rendu compte qu'un adulte traînait par là. Ca va peut-être aller, non ?
D'abord, l'insulte ne t'étais pas "adressée". Le morveux l'a dite hors de ta présence, il pensait certainement qu'aucun adulte ne l'entendrait. Au sens pénal, donc, elle ne t'étais pas adressée. Le texte de loi sorti pour l'occasion plus haut ne peut donc pas s'appliquer.
Je trouve que le collègue qui est venu te rapporter le fait est fort étrange. Pourquoi diable n'a-t-il pas réglé cela directement avec le gosse ? Quand j'entends un truc et que ça me choque, je me charge du problème, je ne vais pas voir truc ou machin pour lui répéter ce que j'ai entendu.
Si on puni sévèrement tous les élèves qui profèrent des horreurs en parlant de leurs profs quand ils pensent être entre eux, on n'a pas fini de siéger en commission de truc et de machin. D'ailleurs, imaginez un élève qui pointe le bout de son nez en salle des profs, il serait édifié. Et imaginez un collègue (ou l'élève) qui aille raconter tout cela à la chef d'établissement. Si on vous suit, la moitié des profs seraient donc convoqués, avec dénonciation à l'inspection et tout le tremblement, parce qu'il faut reconnaître que les propos tenus sur les élèves ne sont pas tous très pédagogiques.
Dans le cas précis qui nous occupe là, le gamin a eu sa dose, il me semble, et il va passer en commission éducative. Tout ça pour avoir dit un truc dans un couloir, à quelques copains qui utilisent le même vocabulaire bien souvent, sans s'être rendu compte qu'un adulte traînait par là. Ca va peut-être aller, non ?
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- skindiverÉrudit
Je ne suis pas d'accord avec toi Pseudo. Si tous les établissement sanctionnait de façon très forte les insultes envers les professeurs ( même si c'est dit dans le couloir) Çà les calmerait peut être un peu.
Quand on lit ton message on a l'impression que c'est anodin. Je trouve au contraire cette banalisation de la violence (orale ou physique) dramatique.
Dans mon établissement un élève qui aurait tenu ce genre de propos serait passé en conseil de discipline et aurait été exclus définitivement. Les élèves le savent et ce genre d'incident n'arrive pas plus d'une fois par an (si il arrive).
Quand on lit ton message on a l'impression que c'est anodin. Je trouve au contraire cette banalisation de la violence (orale ou physique) dramatique.
Dans mon établissement un élève qui aurait tenu ce genre de propos serait passé en conseil de discipline et aurait été exclus définitivement. Les élèves le savent et ce genre d'incident n'arrive pas plus d'une fois par an (si il arrive).
- karaokeNiveau 5
C'est notre boulot de rechercher les moyens éducatifs appropriés à ce genre de situation sans succomber au sentiment "de vengeance" et chercher "à faire mal, à blesser", ce qui serait la preuve d'incompétence suprême devant les jeunes qui ne cherchent évidemment qu'à provoquer.
On est payé pour faire cet effort sur nous-mêmes et continuer de croire coûte que coûte que les élèves sont capables de comprendre qu'un prof ne cherche qu'une chose: à les faire progresser autant dans les connaissances que sur le comportement. Les profs qui savent faire face ne sont plus chahutés; mieux, ils sont appréciés. Avant d'y parvenir, ils ont souvent entendu des mots qui avaient la force d'un pavé balancé en pleine poire.
Tous les adultes en présence d'enfants petits ou grands ont une responsabilité, y compris les politiques dont la réaction parfois trop "bon père de famille" peut être diversement appréciée!
On est payé pour faire cet effort sur nous-mêmes et continuer de croire coûte que coûte que les élèves sont capables de comprendre qu'un prof ne cherche qu'une chose: à les faire progresser autant dans les connaissances que sur le comportement. Les profs qui savent faire face ne sont plus chahutés; mieux, ils sont appréciés. Avant d'y parvenir, ils ont souvent entendu des mots qui avaient la force d'un pavé balancé en pleine poire.
Tous les adultes en présence d'enfants petits ou grands ont une responsabilité, y compris les politiques dont la réaction parfois trop "bon père de famille" peut être diversement appréciée!
- NicolatsarNiveau 9
Pour la punition :
Lire et recopier la deuxième page
http://www.playbacpresse.fr/documents/charlie/mq_charlie_4.pdf
Lire et recopier la deuxième page
http://www.playbacpresse.fr/documents/charlie/mq_charlie_4.pdf
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Quels enfants léguerons-nous à notre terre ?
- SergeMédiateur
Pas mal cet article
- PseudoDemi-dieu
osteoboy a écrit:
Dans mon établissement un élève qui aurait tenu ce genre de propos serait passé en conseil de discipline et aurait été exclus définitivement. Les élèves le savent et ce genre d'incident n'arrive pas plus d'une fois par an (si il arrive).
Tu crois vraiment que votre pouvoir va jusqu'à empêcher des garnements de traiter les profs de tous les noms en cachette dans la cour ? Ben dis donc...
Et si c'est l'exclusion définitive pour un mot ordurier, c'est quoi pour l'attaque à arme blanche ?
La prochaine fois qu'un collègue traite un élève de "petit con", ou de "débile", je le dénonce à qui ? Quelle sanction est prévue ? Et ne me réponds pas que lui est adulte et dit et fait ce qu'il veut, ça n'a aucun sens pour moi. Quand on élève des enfants, on leur apprends à être adulte, pas à rester des enfants qui n'ont aucun droit pour devenir le jour de leur 18 ans des adultes qui seront tout puissants.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- Bonnie BlueNiveau 9
oxa a écrit:Fais leur une petite gâterie , copier 500 fois "Ceci n'est pas une punition!' (hommage à Magritte)
Epouse-moi !
Je suis assez d'accord Pseudo. Je n'irais pas punir un élève qui dit du mal de moi quand il est avec ses camarades. En revanche, ayant connaissance des faits, je pourrais le lui dire pour qu'il ait honte.
Effectivement, s'il y a exclusion définitive pour ça, déjà, on n'aurait plus des masses d'élèves et en plus, pour une bagarre ou du harcèlement sexuel, on ferait quoi ?
- florestanGrand sage
Aïe aïe aïe, si jamais les élèves( ou certains collègues) entendaient ce que je dis de certains d'eux en dehors de leur présence, je morflerais grave.
Ca ne me dérange pas que les élèves me traitent de noms d'oiseaux dans mon dos. Je trouve ça normal du moment que ça n'est pas en ma présence et que ça n'arrive pas à mes oreilles. Bon je préfèrerais qu'ils disent que je suis géniale mais sinon ils peuvent bien penser et dire ce qu'ils veulent. Quand vous étiez élèves vous n'avez jamais proféré des propos fort peu amènes envers certains de vos enseignants?
Ca ne me dérange pas que les élèves me traitent de noms d'oiseaux dans mon dos. Je trouve ça normal du moment que ça n'est pas en ma présence et que ça n'arrive pas à mes oreilles. Bon je préfèrerais qu'ils disent que je suis géniale mais sinon ils peuvent bien penser et dire ce qu'ils veulent. Quand vous étiez élèves vous n'avez jamais proféré des propos fort peu amènes envers certains de vos enseignants?
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