- doctor whoDoyen
J'ai écrit un article pour essayer de contrer l'opinion commune selon laquelle les programmes du primaire sont trop lourds.
http://pedagoj.eklablog.com/primaire-contre-des-programmes-d-histoire-alleges-a114186454
L'intro :
http://pedagoj.eklablog.com/primaire-contre-des-programmes-d-histoire-alleges-a114186454
L'intro :
Les programmes actuels d’histoire au collège et au lycée sont presque unanimement critiqués pour leur lourdeur. Il en va de même au primaire, où les programmes de 2008 sont peu appliqués : la liste des connaissances historiques paraît souvent interminable, et le temps nécessaire pour les enseigner exorbitant.
Or, si l’on peut tout à fait critiquer le caractère excessivement national et événementiel de cette liste (les programmes de 2002 sont meilleurs sur ce point), il faut dire avec fermeté, et contre l’avis majoritaire, qu’il ne faut pas que les programmes d’Histoire de l’école primaire soient trop légers.
Si l’on optait pour un curriculum de connaissances plus restreint, laissant le champ libre aux enseignants ou aux équipes pédagogiques pour choisir quelques connaissances seulement, à traiter de manière approfondie dans de longues séquences ou des "projets" au long court, on rendrait plus difficile de les enseigner de manière pérenne.
Si l’on choisissait de privilégier les apprentissages de méthode (l’analyse des documents, le récit historique explicatif) au détriment de la quantité de connaissances, on obtiendrait l’effet inverse de ce qu’on en attendrait : l’absence de méthode suivrait de près l’absence de connaissances.
En effet, la méthode et la conscience historiques ne peuvent se construire sans une quantité suffisante de connaissances.
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- User5899Demi-dieu
Nous sommes bien d'accord. Et le malentendu perdure : je veux bien faire de la méthodologie de la dissertation en 1re en lettres. Mais en fait, la seule dissertation qui ait vraiment besoin d'une méthodologie me semble plutôt être celle de philosophie, parce qu'il y a une technique du traitement de la thèse et de la conceptualisation. En lettres, ce qui rend toute séance de méthodologie relativement vaine, c'est l'absence de lectures et donc de contenu, qui rend l'exercice complètement mécanique et vide de substance. Quand on a réfléchi à une question (mais ça demande des lectures et du temps), on voit très bien comment discuter dans une dissertation. La méthode est une route qu'on suit, mais pas à travers le désert.doctor who a écrit:J'ai écrit un article pour essayer de contrer l'opinion commune selon laquelle les programmes du primaire sont trop lourds.
http://pedagoj.eklablog.com/primaire-contre-des-programmes-d-histoire-alleges-a114186454
L'intro :
Les programmes actuels d’histoire au collège et au lycée sont presque unanimement critiqués pour leur lourdeur. Il en va de même au primaire, où les programmes de 2008 sont peu appliqués : la liste des connaissances historiques paraît souvent interminable, et le temps nécessaire pour les enseigner exorbitant.
Or, si l’on peut tout à fait critiquer le caractère excessivement national et événementiel de cette liste (les programmes de 2002 sont meilleurs sur ce point), il faut dire avec fermeté, et contre l’avis majoritaire, qu’il ne faut pas que les programmes d’Histoire de l’école primaire soient trop légers.
Si l’on optait pour un curriculum de connaissances plus restreint, laissant le champ libre aux enseignants ou aux équipes pédagogiques pour choisir quelques connaissances seulement, à traiter de manière approfondie dans de longues séquences ou des "projets" au long court, on rendrait plus difficile de les enseigner de manière pérenne.
Si l’on choisissait de privilégier les apprentissages de méthode (l’analyse des documents, le récit historique explicatif) au détriment de la quantité de connaissances, on obtiendrait l’effet inverse de ce qu’on en attendrait : l’absence de méthode suivrait de près l’absence de connaissances.
En effet, la méthode et la conscience historiques ne peuvent se construire sans une quantité suffisante de connaissances.
- RagnetrudeExpert spécialisé
Très intéressant !
- keroGrand sage
J'ai eu l'occasion de parcourir la liste de ce qu'on demande d'enseigner au primaire et je trouve que franchement, oui, c'est déraisonnable.
Nécessaire d'enseigner la date du traité de Rome ? Vraiment ?
C'est, je pense, en grande partie à cause de ce saupoudrage de détails que les élèves arrivent au collège sans avoir une vision d'ensemble, articulée, du temps historique. Qu'ils ne comprennent pas que le IIIe millénaire avant J.-C., c'est avant l'époque contemporaine.
Nécessaire d'enseigner la date du traité de Rome ? Vraiment ?
C'est, je pense, en grande partie à cause de ce saupoudrage de détails que les élèves arrivent au collège sans avoir une vision d'ensemble, articulée, du temps historique. Qu'ils ne comprennent pas que le IIIe millénaire avant J.-C., c'est avant l'époque contemporaine.
- doctor whoDoyen
Je le dis quelque part, le contenu est critiquable, pas le principe de programmes riches.
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- keroGrand sage
doctor who a écrit:Je le dis quelque part, le contenu est critiquable, pas le principe de programmes riches.
Alléger des programmes n'implique pas forcément de réduire le temps consacré à une matière, encore moins la quantité de connaissances transmises. Il peut aussi être l'occasion, au contraire, de mieux travailler un ensemble de connaissances mieux circonscrit. C'est dans ce sens que le programme de primaire me semble devoir être simplifié.
Pareil en collège d'ailleurs. Réduire un peu les programmes me permettrait, par exemple, d'expliquer vraiment - de manière plus riche - ce qu'est l'Église au Moyen Âge, sans expédier la question en un rien de temps (4 heures pour l'Église, autant pour la Seconde Guerre mondiale).
La richesse de ce qui est appris ne dépend pas des programmes, mais du contenu qu'on donne au cours. Richesse n'est pas saupoudrage. Ce qu'est actuellement notre enseignement, en raison de la masse des programmes. À vouloir tout faire, finalement on ne fait rien.
- doctor whoDoyen
kero a écrit:doctor who a écrit:Je le dis quelque part, le contenu est critiquable, pas le principe de programmes riches.
Alléger des programmes n'implique pas forcément de réduire le temps consacré à une matière, encore moins la quantité de connaissances transmises. Il peut aussi être l'occasion, au contraire, de mieux travailler un ensemble de connaissances mieux circonscrit. C'est dans ce sens que le programme de primaire me semble devoir être simplifié.
Pareil en collège d'ailleurs. Réduire un peu les programmes me permettrait, par exemple, d'expliquer vraiment - de manière plus riche - ce qu'est l'Église au Moyen Âge, sans expédier la question en un rien de temps (4 heures pour l'Église, autant pour la Seconde Guerre mondiale).
La richesse de ce qui est appris ne dépend pas des programmes, mais du contenu qu'on donne au cours. Richesse n'est pas saupoudrage. Ce qu'est actuellement notre enseignement, en raison de la masse des programmes. À vouloir tout faire, finalement on ne fait rien.
En primaire, je pense qu'on se leurre en faisant cela. Il ne faut pas du saupoudrage, mais un survol, une suite de tableaux.
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- keroGrand sage
doctor who a écrit:kero a écrit:doctor who a écrit:Je le dis quelque part, le contenu est critiquable, pas le principe de programmes riches.
Alléger des programmes n'implique pas forcément de réduire le temps consacré à une matière, encore moins la quantité de connaissances transmises. Il peut aussi être l'occasion, au contraire, de mieux travailler un ensemble de connaissances mieux circonscrit. C'est dans ce sens que le programme de primaire me semble devoir être simplifié.
Pareil en collège d'ailleurs. Réduire un peu les programmes me permettrait, par exemple, d'expliquer vraiment - de manière plus riche - ce qu'est l'Église au Moyen Âge, sans expédier la question en un rien de temps (4 heures pour l'Église, autant pour la Seconde Guerre mondiale).
La richesse de ce qui est appris ne dépend pas des programmes, mais du contenu qu'on donne au cours. Richesse n'est pas saupoudrage. Ce qu'est actuellement notre enseignement, en raison de la masse des programmes. À vouloir tout faire, finalement on ne fait rien.
En primaire, je pense qu'on se leurre en faisant cela. Il ne faut pas du saupoudrage, mais un survol, une suite de tableaux.
L'enseignement de l'histoire se présente dans tous les cas, nécessairement, comme une suite de tableau, étant entendu qu'il serait matériellement impossible d'enseigner l'ensemble de faits historiques.
Maintenant, j'ai l'impression, moi, qu'à force de faire du survol, comme tu le dis, on oublie d'inscrire ces tableaux dans le temps long, ce qu'on ne peut justement pas faire en raison du fait qu'il y a trop d'événements.
- doctor whoDoyen
Inscrire les tableaux dans le temps longs est prématuré au début de l'école primaire. Mais je crois que j'ai oublié de dire qu' il fallait que le cours d'histoire, avec un vrai contenu historique, devrait commencer bien plus tôt qu'actuellement, à mon avis dès le CP au plus tard.
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- keroGrand sage
doctor who a écrit:Inscrire les tableaux dans le temps longs est prématuré au début de l'école primaire. Mais je crois que j'ai oublié de dire qu' il fallait que le cours d'histoire, avec un vrai contenu historique, devrait commencer bien plus tôt qu'actuellement, à mon avis dès le CP au plus tard.
Après, il faut pas s'étonner si pour eux, Jules César a vécu à la même période que Napoléon.
Le récit n'est pas tout.
Note que j'ai dit le temps long, pas la longue durée.
- LangelotNiveau 9
"Jules César a vécu à la même période que Napoléon."
La plupart des gamins de CE1 peuvent classer les moyens de transport ou les différents habitats de l'antiquité à nos jours. (ils peuvent également penser que petit je me déplaçais en calèche...) En associant en primaire, personnage et environnement , on pourrait peut-être éviter cet écueil.
La plupart des gamins de CE1 peuvent classer les moyens de transport ou les différents habitats de l'antiquité à nos jours. (ils peuvent également penser que petit je me déplaçais en calèche...) En associant en primaire, personnage et environnement , on pourrait peut-être éviter cet écueil.
- doctor whoDoyen
zoupinette a écrit:"Jules César a vécu à la même période que Napoléon."
La plupart des gamins de CE1 peuvent classer les moyens de transport ou les différents habitats de l'antiquité à nos jours. (ils peuvent également penser que petit je me déplaçais en calèche...) En associant en primaire, personnage et environnement , on pourrait peut-être éviter cet écueil.
C'est le sens de mon article : des points de repères fonctionnant en réseaux de connaissances concrètes.
Sinon, je ne comprends pas la différence entre temps long et longue durée.
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- MarmontNiveau 9
C'est un des objectifs du cycle 2, il me semble. Faire distinguer aux élèves la différence entre le passé proche et le passé plus lointain, puis de tenter un classement simple par des activités de tri : moyens de transport, vêtements, oeuvres artistiques, personnages, etc.
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"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- doctor whoDoyen
Oui, mais le contenu historique est généralement maigrichon, à cause d'une formulation très "compétences".
AU CE1, il faudrait une à deux leçons d'histoire par semaine, avec découverte de dizaines d'époques et de civilisations différentes. A moins, on ne fera jamais vraiment la différence entre passés proche et lointain.
AU CE1, il faudrait une à deux leçons d'histoire par semaine, avec découverte de dizaines d'époques et de civilisations différentes. A moins, on ne fera jamais vraiment la différence entre passés proche et lointain.
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- LangelotNiveau 9
C'est vrai en partie. On ne fait des activités de tri sur les personnages au CE1. De plus, et c'est dommage, ces activités de tri ne sont pas reprises au cycle 3 à ma connaissance.
- doctor whoDoyen
Comment ça se passe, le tri de personnages? Jamais entendu parler.
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- LangelotNiveau 9
Moi non plus. On ne fait pas ce type de tri au CE1.
- doctor whoDoyen
Ah! Désolé! J'avais mal lu. :lol:zoupinette a écrit:Moi non plus. On ne fait pas ce type de tri au CE1.
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- NLM76Grand Maître
Assez d'accord avec ce que tu écris, Doctor who. Il me semble cependant qu'il manque un élément, lequel pourrait répondre à l'objection de Kéro. Cet élément, c'est l'évènement : entre deux tableaux qui représentent des époques, il faut l'événement qui fait passer d'une époque à l'autre. Je caricaturerais ainsi :
La préhistoire — L'invention de l'écriture — l'antiquité — La chute de Rome — Le Moyen Âge — La chute de Byzance — Les temps modernes — 1789 — La révolution industrielle — Les guerres mondiales — Le monde contemporain (qui à mon avis relève plus de la géographie que de l'histoire — mais ce n'est qu'une opinion : en l'espèce je suis fort peu compétent.)
La préhistoire — L'invention de l'écriture — l'antiquité — La chute de Rome — Le Moyen Âge — La chute de Byzance — Les temps modernes — 1789 — La révolution industrielle — Les guerres mondiales — Le monde contemporain (qui à mon avis relève plus de la géographie que de l'histoire — mais ce n'est qu'une opinion : en l'espèce je suis fort peu compétent.)
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- doctor whoDoyen
nlm76 a écrit:Assez d'accord avec ce que tu écris, Doctor who. Il me semble cependant qu'il manque un élément, lequel pourrait répondre à l'objection de Kéro. Cet élément, c'est l'évènement : entre deux tableaux qui représentent des époques, il faut l'événement qui fait passer d'une époque à l'autre. Je caricaturerais ainsi :
La préhistoire — L'invention de l'écriture — l'antiquité — La chute de Rome — Le Moyen Âge — La chute de Byzance — Les temps modernes — 1789 — La révolution industrielle — Les guerres mondiales — Le monde contemporain (qui à mon avis relève plus de la géographie que de l'histoire — mais ce n'est qu'une opinion : en l'espèce je suis fort peu compétent.)
Ca dépend quand.
Il ne me semble pas que cela soit utile en CP, CE1, CE2, sauf pour ce qui est d'événements à leur portée, frappants et mémorables. EN début de primaire, il me semble que l'événement ne doit pas être introduit dans les programmes seulement pour leur valeur explicative (j'ai dit "seulement" pour être nuancé, mais je l'enlèverais volontiers). Ou alors en très petit nombre.
L'événement à valeur explicative doit venir dans un second temps, à mon avis, quand l'élève connaît déjà un paquet d'objets historiques, quand ils se mettent à demander des explications, justement.
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- LangelotNiveau 9
ce qui est d'événements à leur portée, frappants et mémorables.
D'accord avec vous. Mais la difficulté est que ce qui est frappant pour les élèves n'a pas forcément une grande valeur historique. Par exemple, tous retiendront l'épisode du vase de Soissons alors que peu retiendront et comprendront le baptême de Clovis.
D'accord avec vous. Mais la difficulté est que ce qui est frappant pour les élèves n'a pas forcément une grande valeur historique. Par exemple, tous retiendront l'épisode du vase de Soissons alors que peu retiendront et comprendront le baptême de Clovis.
- NLM76Grand Maître
On est d'accord. Mais ils ont le temps pour approfondir, et ils auront quelques repères, qui permettront d'aller peu à peu vers des choses plus abstraite (le baptême de Clovis est plus abstrait que le vase de Soisson, mais le vase de Soisson évoque exactement la même chose : l'alliance entre Clovis et l'Eglise romaine).zoupinette a écrit: ce qui est d'événements à leur portée, frappants et mémorables.
D'accord avec vous. Mais la difficulté est que ce qui est frappant pour les élèves n'a pas forcément une grande valeur historique. Par exemple, tous retiendront l'épisode du vase de Soissons alors que peu retiendront et comprendront le baptême de Clovis.
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- doctor whoDoyen
nlm76 a écrit:On est d'accord. Mais ils ont le temps pour approfondir, et ils auront quelques repères, qui permettront d'aller peu à peu vers des choses plus abstraite (le baptême de Clovis est plus abstrait que le vase de Soisson, mais le vase de Soisson évoque exactement la même chose : l'alliance entre Clovis et l'Eglise romaine).zoupinette a écrit: ce qui est d'événements à leur portée, frappants et mémorables.
D'accord avec vous. Mais la difficulté est que ce qui est frappant pour les élèves n'a pas forcément une grande valeur historique. Par exemple, tous retiendront l'épisode du vase de Soissons alors que peu retiendront et comprendront le baptême de Clovis.
C'est déjà bien s'ils sortent de CE en connaissant l'histoire du vase de Soisson, où d'ailleurs le coup du baptême. On peut en parler ou le montrer en parlant de "légende historique".
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