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- BoubouleDoyen
Poitiers: dernières nouvelles
2014-12-13 22:02
Afin de vous mettre au courant des méthodes de M. Le Recteur, à toutes fins utiles:
- Sans attendre la décision du Ministère (pas encore donnée en ce 13 décembre 2014), le recteur a retiré une classe d'hypokhâgne et de PCSI sur APB. Suite à une demande du ministère de la remettre, il s'est exécuté puis il a de nouveau retiré la classe.
- Sans attendre la décision du Ministère des collègues ont reçu une lettre du rectorat leur demandant de faire des voeux de mutation puisque leur classe sera supprimée en 2015.
- Le rectorat a embauché comme conseiller en communication un journaliste de la presse locale spécialisé dans la couverture des faits éducatifs et ancien correspondant de l'AEF: http://www.ac-poitiers.fr/toute-l-actualite/romain-mudrak-nouveau-conseiller-en-communication-du-recteur-174363.kjsp?RH=ACTUALITES
Ce qui est bizarre, c'est que l'an passé, ce recteur s'est attaqué, au mépris des textes, aux ORS des collègues. Il a refusé le recours gracieux mais a rendu grâce face au TA (comme quoi le décret de 50...).
L'année suivante, il décide de supprimer les classes des collègues qui ont osé l'attaquer alors que c'est ed al compétence ministérielle.
Je suppose que les syndicats n'ont toujours pas compris que parfois c'est un problème de personne et non pas de système.
- fracfloNiveau 8
Lexiastein a écrit:Pour toi, quels élèves devrait-on accepter en prépa alors ? Seulement les bacheliers qui ont de fortes chances de réussir Normale Sup et X ?fracflo a écrit:Mais je défends aussi les classes préparatoires de province! Seulement, la meilleure façon de les défendre est de revoir leur recrutement, notamment en baissant les effectifs.
On trouve aujourd'hui des classes de cinquante, voire soixante élèves, ce qui est contre-productif quand on sait que la moitié des étudiants qui les composent n'y ont pas leur place (singulièrement dans les prépas littéraires), ne travaillent quasiment pas et passent leur temps à bavarder pendant les cours.
Les professeurs, surpris d'abord par l'arrivée de ce nouveau "public", finissent malheureusement par adapter leurs cours et leurs exigences à leur niveau. C'est regrettable...
Et je n'invente rien. J'ai déjà vu plusieurs professeurs obligés de faire de la discipline en prépa ; dans certains cours, on n'entend rien au-delà du deuxième rang. Voilà où mène l'"ouverture" prônée par nos amis contributeurs.
C'est dommage pour toi si ton expérience en prépa t'a laissé un goût amer. Personnellement, j'ai passé deux ans dans une prépa de province et les cours et exigences n'étaient pas adaptés au "nouveau public" que sont les bacheliers non brillants mais doués de potentiel. Merci pour eux.
Ces propos sont honteux.
Ce n'est pas aux professeurs de prépa de s'adapter aux élèves, mais l'inverse.
L'enfant-roi et l'élève au centre du système, décidément, on voit ça partout, maintenant! Ce n'est plus une mode, c'est une véritable philosophie, pour certains!
- marjoDoyen
J'ai fait deux années dans cette prépa à Poitiers, et j'estime y avoir eu de meilleurs profs que lors de ma 3e année dans une célèbre prépa à Sceaux...
Ma soeur est en prépa à Blum à Créteil cette année (en cube), et quand elle me rapporte le comportement de certains de ses camarades carrés, je suis horrifiée !
Ma soeur est en prépa à Blum à Créteil cette année (en cube), et quand elle me rapporte le comportement de certains de ses camarades carrés, je suis horrifiée !
- User17706Bon génie
C'est-à-dire ?marjolie.june a écrit: Ma soeur est en prépa à Blum à Créteil cette année (en cube), et quand elle me rapporte le comportement de certains de ses camarades carrés, je suis horrifiée !
- marjoDoyen
Ils trichent pendant les DS en apportant des dictionnaires bilingues au lieu de dictionnaires unilingues, ou bien avec leurs smartphones (à tel point que les téléphones sont désormais tous déposés sur le bureau du prof qui surveille le DS le samedi matin) ; ils pompent des traductions toutes faites sur Internet et les recopient in extenso ; ils implorent la clémence de leurs profs parce que le DST "était très difficile monsieur". J'hallucine complètement.
- fracfloNiveau 8
Il y a aujourd'hui de nombreux élèves de prépa qui n'ont aucune respect pour leurs professeurs et qui se comportent comme des collégiens immatures (bavardent, écoutent de la musique en cours, répondent...). C'est une réalité. Inutile de la cacher.
- InvitéL3Niveau 5
Ce qui est dommage, c'est que tu n'as pas bien lu ma phrase. Les professeurs nous ont fait des cours qui nous ont préparés à Normale Sup, ils ne se sont pas "adaptés au nouveau public". Ce sont tes propos qui sont honteux : les élèves en prépa provinciale ne sont pas des élèves de troisième zone. Tu te rends compte de ce que tu dis ?fracflo a écrit:Lexiastein a écrit:Pour toi, quels élèves devrait-on accepter en prépa alors ? Seulement les bacheliers qui ont de fortes chances de réussir Normale Sup et X ?fracflo a écrit:Mais je défends aussi les classes préparatoires de province! Seulement, la meilleure façon de les défendre est de revoir leur recrutement, notamment en baissant les effectifs.
On trouve aujourd'hui des classes de cinquante, voire soixante élèves, ce qui est contre-productif quand on sait que la moitié des étudiants qui les composent n'y ont pas leur place (singulièrement dans les prépas littéraires), ne travaillent quasiment pas et passent leur temps à bavarder pendant les cours.
Les professeurs, surpris d'abord par l'arrivée de ce nouveau "public", finissent malheureusement par adapter leurs cours et leurs exigences à leur niveau. C'est regrettable...
Et je n'invente rien. J'ai déjà vu plusieurs professeurs obligés de faire de la discipline en prépa ; dans certains cours, on n'entend rien au-delà du deuxième rang. Voilà où mène l'"ouverture" prônée par nos amis contributeurs.
C'est dommage pour toi si ton expérience en prépa t'a laissé un goût amer. Personnellement, j'ai passé deux ans dans une prépa de province et les cours et exigences n'étaient pas adaptés au "nouveau public" que sont les bacheliers non brillants mais doués de potentiel. Merci pour eux.
Ces propos sont honteux.
Ce n'est pas aux professeurs de prépa de s'adapter aux élèves, mais l'inverse.
L'enfant-roi et l'élève au centre du système, décidément, on voit ça partout, maintenant! Ce n'est plus une mode, c'est une véritable philosophie, pour certains!
- fracfloNiveau 8
marjolie.june a écrit:Ils trichent pendant les DS en apportant des dictionnaires bilingues au lieu de dictionnaires unilingues, ou bien avec leurs smartphones (à tel point que les téléphones sont désormais tous déposés sur le bureau du prof qui surveille le DS le samedi matin) ; ils pompent des traductions toutes faites sur Internet et les recopient in extenso ; ils implorent la clémence de leurs profs parce que le DST "était très difficile monsieur". J'hallucine complètement.
Je confirme que la triche est aujourd'hui généralisée, y compris dans les établissements les plus réputés (d'où je viens).
- InvitéL3Niveau 5
Quel bel esprit de nuance ! Bizarrement, je n'ai pas connu ça. Donc ce ne doit pas être généralisé.fracflo a écrit:marjolie.june a écrit:Ils trichent pendant les DS en apportant des dictionnaires bilingues au lieu de dictionnaires unilingues, ou bien avec leurs smartphones (à tel point que les téléphones sont désormais tous déposés sur le bureau du prof qui surveille le DS le samedi matin) ; ils pompent des traductions toutes faites sur Internet et les recopient in extenso ; ils implorent la clémence de leurs profs parce que le DST "était très difficile monsieur". J'hallucine complètement.
Je confirme que la triche est aujourd'hui généralisée, y compris dans les établissements les plus réputés (d'où je viens).
- User17706Bon génie
Ah ouais. Bon, mais ça, c'est parce que ça n'a pas été traqué assez en amont (faire le travail est douloureux pour qui ne l'a jamais fait). Il y a de gros efforts à faire dès le collège.marjolie.june a écrit:Ils trichent pendant les DS en apportant des dictionnaires bilingues au lieu de dictionnaires unilingues, ou bien avec leurs smartphones (à tel point que les téléphones sont désormais tous déposés sur le bureau du prof qui surveille le DS le samedi matin) ; ils pompent des traductions toutes faites sur Internet et les recopient in extenso ; ils implorent la clémence de leurs profs parce que le DST "était très difficile monsieur". J'hallucine complètement.
Effectivement je suis très surpris, cela dit. Une politique du genre « le premier étudiant pris à ce petit jeu est viré de la prépa » ne serait pas envisageable ?
- BoubousNiveau 6
C’est tout à fait envisageable. La triche et l’absentéisme sont des motifs suffisants et non négociables de renvoie dans certaines prépas. Je connais deux exemples assez récents dans une prépa de Versailles - l’un pour triche en 1A et l’autre pour absentéisme en 2A.PauvreYorick a écrit:Ah ouais. Bon, mais ça, c'est parce que ça n'a pas été traqué assez en amont (faire le travail est douloureux pour qui ne l'a jamais fait). Il y a de gros efforts à faire dès le collège.marjolie.june a écrit:Ils trichent pendant les DS en apportant des dictionnaires bilingues au lieu de dictionnaires unilingues, ou bien avec leurs smartphones (à tel point que les téléphones sont désormais tous déposés sur le bureau du prof qui surveille le DS le samedi matin) ; ils pompent des traductions toutes faites sur Internet et les recopient in extenso ; ils implorent la clémence de leurs profs parce que le DST "était très difficile monsieur". J'hallucine complètement.
Effectivement je suis très surpris, cela dit. Une politique du genre « le premier étudiant pris à ce petit jeu est viré de la prépa » ne serait pas envisageable ?
- User17706Bon génie
Bon, il me semblait bien, merci Boubous. (J'ai moi-même quitté la prépa il y a quasiment vingt ans...)
- MrBrightsideEmpereur
PauvreYorick a écrit:
Effectivement je suis très surpris, cela dit. Une politique du genre « le premier étudiant pris à ce petit jeu est viré de la prépa » ne serait pas envisageable ?
Nous sommes dans des lycées, nos avons la même administration que vous, si vous voyez ce que je veux dire
- User5899Demi-dieu
Oui. Mais ce n'est pas une raison pour que les enseignants, a priori, les traitent comme du lisier. On va en prépa pour apprendre, pas pour voir un clown faire son numéro. Et c'était déjà vrai en 83. Je n'ai jamais parlé de faire des cours au rabais.fracflo a écrit:Il y a aujourd'hui de nombreux élèves de prépa qui n'ont aucune respect pour leurs professeurs et qui se comportent comme des collégiens immatures (bavardent, écoutent de la musique en cours, répondent...). C'est une réalité. Inutile de la cacher.
- BRNiveau 9
Etant professeur en prépa, je suis bien placé pour répondre à e-Wanderer. Les cpge préparent des concours à bac+2 : il est tout à fait naturel qu'elles fassent la publicité de leurs résultats aux concours, qui reflètent le travail réalisés en prépa. Au delà des concours, les lycées n'ont pas les moyens de suivre le devenir de leurs élèves : ils ne vont donc pas faire état des réussites à l'agrégation ou les embauches comme MCF de tel ou tel ancien élève.e-Wanderer a écrit:C'est marrant que tu ne parles pas de l'université et des cursus brillants qu'on peut y mener. J'ai regardé le site de la prépa de ma ville, et j'ai été surpris d'y retrouver un peu les mêmes réflexes : les collègues ont l'air très fiers de voir certains étudiants intégrer une école de commerce ou une école de journalisme, mais ne disent quasiment mot de ceux qui, après avoir rejoint l'université, décrochent brillamment l'agrégation ou rédigent des thèses remarquables (certains ont pourtant été remarquablement bien classés, ont trouvé des postes de MCF etc – ce qui par les temps qui courent est loin d'être évident !).MrBrightside a écrit:La réalité c'est qu'aujourd'hui avec un recrutement plus large, nos prépa de proximités arrivent quand même à placer des étudiants en école véto, en IEP, dans les écoles de commerce du top 5, en école de journalisme...
De la même façon, un lycée est naturellement amené à faire la publicité de ses résultats au Bac, et reste muet sur le devenir de ses élèves après le Bac : je n'ai encore jamais connu de lycée faisant la promotion des résultats de leurs anciens élèves qui ont intégré une école de commerce ou d'ingénieur deux ans après le baccalauréat.
Par contre, nous prenons la peine d'expliquer à nos élèves qu'il y a des cursus intéressants à l'Université. Selon les profils, nous pouvons conseiller à certains élèves de postuler pour un magistère et nous pouvons lui conseiller de suivre un tel cursus de préférence à une intégration qui lui conviendrait moins. Certes, nous ne faisons pas de publicité pour ces cursus, qui sont très marginaux dans les prépas scientifiques et commerciales, mais nous ne les méprisons absolument pas. Quand aux prépas littéraires, il est tout à fait naturel qu'elles communiquent sur leurs rares admissibilités et/ou admission dans une école de commerce ou de journalisme : il s'agit là de concours extrêmement sélectifs et le fait d'avoir des élèves admissibles ou admis à ces concours est à juste titre un élément de fierté pour ces professeurs (de même qu'une mention TB en 1980 était un élément de fierté pour les professeurs...)
- ClodoaldNeoprof expérimenté
fracflo a écrit:MrBrightside a écrit:L'homme qui comparait Nabilla à la Nana de Zola me taxe de démagogie... J'aurais décidément tout vécu.
Je ne vois pas le rapport. Ce qui est démagogique, c'est de se complaire dans de petites leçons de morale niaises autour du personnage de Nabilla. Moi, je l'apprécie parce que je la trouve drôle, fantaisiste et qu'elle me rappelle en effet la Nana de Zola. Où est le problème?
Bravo encore une fois pour votre courageuse prise de position Fracflo.
Je suis complètement avec vous.
- BoubousNiveau 6
A mon avis, il est plus intéressant de faire la promotion des résultats d’admission des lycéens dans les filières sélectives (bi-cursus, BTS, prépas, Sciences Po, etc.). Et ça, beaucoup de lycées le font de façon détaillée lors des réunions d’orientation post-bac, avec les lycéens ou les parents, car les statistiques APB le permettent.BR a écrit:De la même façon, un lycée est naturellement amené à faire la publicité de ses résultats au Bac, et reste muet sur le devenir de ses élèves après le Bac : je n'ai encore jamais connu de lycée faisant la promotion des résultats de leurs anciens élèves qui ont intégré une école de commerce ou d'ingénieur deux ans après le baccalauréat.
https://sites.google.com/site/alfabuc/faq/et-aprs-le-bac#TOC-Promotion-2011-juin
http://www.sis-sevres.net/Ou-sont-partis-les-eleves-de-la,3164.html
Quant au suivi minutieux des élèves du bac jusqu’à l’intégration dans les écoles après 2 ou 3 ans de prépa, Albert de Mun à Nogent, par exemple, le fait. J’imagine que d’autres lycées (privés) en font de même.
- MrBrightsideEmpereur
Boubous a écrit:
Quant au suivi minutieux des élèves du bac jusqu’à l’intégration dans les écoles après 2 ou 3 ans de prépa, Albert de Mun à Nogent, par exemple, le fait. J’imagine que d’autres lycées (privés) en font de même.
En prépa, on a parfois du mal à suivre les élèves: on sait ce qu'ils intègrent après les concours, mais bien souvent les élèves ne nous tiennent pas au courant de la suite de leurs études (voire ne répondent pas aux e-mails de leurs anciens professeurs qui viennent aux nouvelles :/ )
- HerrelisGrand sage
fracflo a écrit:MrBrightside a écrit:fracflo a écrit:Que ces classes soient "ouvertes" ou non n'est pas l'essentiel. D'ailleurs, que signifie cette idée d'"ouverture"? Les étudiants des classes préparatoires sont sélectionnés sur dossier ; on ne prend que les meilleurs, point barre.
Si l'on s'embarrasse d'éléments plus faibles et qui se font remarquer pour leur indiscipline en cours, comme cela se fait déjà dans quelques prépas de province, comment voulez-vous former l'élite de notre pays?
Et ben, heureusement que les CPGE ont évolué depuis le siècle dernier.
Remarque absurde.
Je parle en connaissance de cause. Certaines prépas de province sont déjà contaminées par le laisser-aller propre à l'Université, du fait d'une sélection trop "bienveillante".
Pourquoi s'offusquer de la disparition des classes préparatoires si l'on s'oppose, comme Brightside, à une sélection drastique de ceux qui y étudient? Affirmer qu'on doit "ouvrir les classes préparatoires", c'est favoriser leur escamotage, c'est participer à ce mouvement de nivellement par le bas auquel on assiste depuis une trentaine d'années.
Je n'ai pas lu plus loin mais, si les Prépas n'avaient pas été plus ouvertes à certains endroits, jamais je n'aurais eu la chance de faire hypo et khâgne, parce que j'étais nulle en maths, et que même pour une prépa littéraire et même avec un 18 en philo au Bac (3ème au concours Gé hein...) on n'a pas voulu de moi à HIV et Louis le Grand. Parce que ma famille n'habitait pas le bon quartier, soyons claire. C'est beau l'élitisme mal placé...
S'il n'y a plus de prépas en province, ils vont faire comment les élèves? Parce que bon, faire ses études à Paris c'est pas donné!
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
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- DesolationRowEmpereur
Aux dernières nouvelles, la sélection à LLG et H4 ne se fait vraiment pas sur le quartier d'origine ?!
- HerrelisGrand sage
Officiellement, non, officieusement... de toute façon ma prépa remonte à un certain temps hein, j'enseigne depuis plus de 12 ans, et avant ça j'ai fait autre chose. ^^
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- BoubousNiveau 6
Si vous cliquez sur le premier lien que j’ai donné, vous verrez que l’accès aux prépas très sélectives est un peu "open bar" pour les élèves de ce lycée. Certes, ils sont bons mais …DesolationRow a écrit:Aux dernières nouvelles, la sélection à LLG et H4 ne se fait vraiment pas sur le quartier d'origine ?!
- JohnMédiateur
Je précise que je ne paie pas fracflo pour écrire des propos pareils : il les pense vraiment, et il les écrit spontanément.fracflo a écrit:Si l'on s'embarrasse d'éléments plus faibles et qui se font remarquer pour leur indiscipline en cours, comme cela se fait déjà dans quelques prépas de province, comment voulez-vous former l'élite de notre pays?
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- MrBrightsideEmpereur
John a écrit:Je précise que je ne paie pas fracflo pour écrire des propos pareils : il les pense vraiment, et il les écrit spontanément.fracflo a écrit:Si l'on s'embarrasse d'éléments plus faibles et qui se font remarquer pour leur indiscipline en cours, comme cela se fait déjà dans quelques prépas de province, comment voulez-vous former l'élite de notre pays?
Et je précise que fracflo n'est en rien représentatif de ce que pensent les profs de CPGE, hein. Des fois qu'on soit tenté de récupérer ses propos dans un "débat" futur
- JohnMédiateur
On n'est jamais trop prudent
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- User17706Bon génie
De toute façon qui ferait ça de son argent ?
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