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- PeinardNiveau 10
A moins que vous ayez déjà besoin d'un sonotone, votre tutrice exagère.lis-tes-ratures a écrit:Ma tutrice hésite à alerter l'IPR car je rencontre des problèmes concernant la gestion de classe. Il y a quelques bavardages notamment dans le fond de la classe que je n'entends pas toujours.
lis-tes-ratures a écrit:Elle est déjà venue plusieurs fois dans mes cours mais sans jamais mentionner ce problème de gestion de classe.
lis-tes-ratures a écrit:Ma tutrice est très exigeante, je pense que c'est pour mon bien mais je commence à être épuisée moralement. Je dois lui envoyer chaque séance, lui présenter mes séquences dès que possible.
Il me semble que votre tutrice utilise cette éventuelle alerte à l'IPR pour une raison bancale afin de s'assurer que vous allez continuer à être bien docile.lis-tes-ratures a écrit:Je suis très angoissée et j'ai peur pour ma titularisation.
Si votre tutrice évoque à nouveau cette alerte à l'IPR, vous pourriez simplement lui dire que vous ne partagez pas la raison de son avis (ou hésitation ou les deux...).
- totoroMonarque
Soit c'est moi qui suis une tutrice anormale (et il faudrait peut-être que je m'en inquiète), soit en effet, ta tutrice a un problème.
Au sujet de la gestion de classe, qu'en est-il de ses cours? N'y a-t-il jamais de bavardages?
Au sujet des préparations, j'avoue ne pas demander que ma stagiaire m'envoie ses séances. Je lui ai proposé de le faire, mais je préfère largement en discuter de vive voix avec elle, réfléchir à l'intérêt de telle ou telle question, à l'intérêt de telle ou telle activité... On se rencontre, on discute, on élabore ensemble. Finalement, je n'ai pas l'impression de la conseiller, mais plutôt d'orienter sa propre réflexion sur son travail. Elle m'a dit d'ailleurs la semaine dernière que certaines idées lui venaient lors de nos échanges.
Peut-être que ce système nous convient parce qu'elle a déjà enseigné un peu, parce que je ne suis pas moi-même toujours au fait des innovations pédagogiques à la mode, parce que la relation que j'entretenais avec ma tutrice il y a quelques années étaient de cet ordre-là...
Au sujet de la gestion de classe, qu'en est-il de ses cours? N'y a-t-il jamais de bavardages?
Au sujet des préparations, j'avoue ne pas demander que ma stagiaire m'envoie ses séances. Je lui ai proposé de le faire, mais je préfère largement en discuter de vive voix avec elle, réfléchir à l'intérêt de telle ou telle question, à l'intérêt de telle ou telle activité... On se rencontre, on discute, on élabore ensemble. Finalement, je n'ai pas l'impression de la conseiller, mais plutôt d'orienter sa propre réflexion sur son travail. Elle m'a dit d'ailleurs la semaine dernière que certaines idées lui venaient lors de nos échanges.
Peut-être que ce système nous convient parce qu'elle a déjà enseigné un peu, parce que je ne suis pas moi-même toujours au fait des innovations pédagogiques à la mode, parce que la relation que j'entretenais avec ma tutrice il y a quelques années étaient de cet ordre-là...
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- OsmieSage
C'est les sources syndicales : la titularisation dépend des académies et des disciplines. Par exemple, en allemand, c'est plus rude en Alsace en raison de la frontière ; le stagiaires sont censé être bilingues. Quant à mon expérience perso, elle confirme ces chiffres.Dimka a écrit:Bonsoir,Tu as des sources, ou c’est ton expérience perso ? Je n’ai pas de chiffres, mais quand j’étais stagiaire, en formation avec moi, il y avait des tas de redoublants, et des amis ont également dû refaire une année. Ainsi que sur ce forum. Ce n’était pas majoritaire, mais ce n’était pas non plus négligeable (en tous cas, plus que 3%). Et tous pour des motifs assez futiles, sans parler de ceux qui ont été pourris par un tuteur, par un chef d’établissement ou par quiconque ayant un quelconque pouvoir sur les stagiaires.Osmie a écrit:Ne t'angoisse pas, pour ne pas être titularisé (2 à 3%), il faut rencontrer de graves problèmes (bazar monstre, insultes, absence de maîtrise de la discipline, etc.).
Je ne sais pas si ça dépend des académies, ou s’il y a un changement par rapport à avant, mais il me semble qu’on ne puisse plus (ou pas systématiquement) dire que les redoublements sont exceptionnels et liés à de graves problèmes, d’autant que ça stigmatise parfois injustement les redoublants.
Du coup, j’aurais tendance à dire d’éviter à tout prix le signalement, l’année de stage, il vaut mieux être un peu parano, vu que la bienveillance, c’est surtout dans les discours.
- GilbertineNeoprof expérimenté
De mon point de vue de tutrice, le signalement n'est pas une aberration ou une pratique sadique. Des stagiaires qui ont un niveau lamentable (mais le concours aurait dû le juger), qui en savent moins que les élèves (ou autant en matière de règles orthographiques, par exemple ) qui ne préparent pas, qui photocopient une page de manuel sans savoir faire les exercices, qui parlent mal aux élèves et ne se rendent pas compte du problème, il y en a.
Le dialogue est parfois bloqué. Un stagiaire n'est pas un élève ou un étudiant, le tuteur à qui le stagiaire répond à tous les conseils "non, ça je le fais... non, ça j'ai testé... non, ça, ça ne marche pas...", a peu de prises sur la situation.
L'année de stage est une année au cours de laquelle il faut apprendre à faire son auto-critique pour progresser dans ses pratiques (oh, shi*, je parle comme l'ESPE !).
Lis-tes-ratures : Il me parait contradictoire de poster sur un fil ses difficultés avec ses classes et sur un autre écrire que tout va bien sauf quelques bavardages et une participation trop vive !
Le dialogue est parfois bloqué. Un stagiaire n'est pas un élève ou un étudiant, le tuteur à qui le stagiaire répond à tous les conseils "non, ça je le fais... non, ça j'ai testé... non, ça, ça ne marche pas...", a peu de prises sur la situation.
L'année de stage est une année au cours de laquelle il faut apprendre à faire son auto-critique pour progresser dans ses pratiques (oh, shi*, je parle comme l'ESPE !).
Lis-tes-ratures : Il me parait contradictoire de poster sur un fil ses difficultés avec ses classes et sur un autre écrire que tout va bien sauf quelques bavardages et une participation trop vive !
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"votre mystère étant resté là où est mort mon silence"
- pmullerHabitué du forum
Osmie a écrit:C'est les sources syndicales : la titularisation dépend des académies et des disciplines. Par exemple, en allemand, c'est plus rude en Alsace en raison de la frontière ; le stagiaires sont censé être bilingues. Quant à mon expérience perso, elle confirme ces chiffres.Dimka a écrit:Bonsoir,Tu as des sources, ou c’est ton expérience perso ? Je n’ai pas de chiffres, mais quand j’étais stagiaire, en formation avec moi, il y avait des tas de redoublants, et des amis ont également dû refaire une année. Ainsi que sur ce forum. Ce n’était pas majoritaire, mais ce n’était pas non plus négligeable (en tous cas, plus que 3%). Et tous pour des motifs assez futiles, sans parler de ceux qui ont été pourris par un tuteur, par un chef d’établissement ou par quiconque ayant un quelconque pouvoir sur les stagiaires.Osmie a écrit:Ne t'angoisse pas, pour ne pas être titularisé (2 à 3%), il faut rencontrer de graves problèmes (bazar monstre, insultes, absence de maîtrise de la discipline, etc.).
Je ne sais pas si ça dépend des académies, ou s’il y a un changement par rapport à avant, mais il me semble qu’on ne puisse plus (ou pas systématiquement) dire que les redoublements sont exceptionnels et liés à de graves problèmes, d’autant que ça stigmatise parfois injustement les redoublants.
Du coup, j’aurais tendance à dire d’éviter à tout prix le signalement, l’année de stage, il vaut mieux être un peu parano, vu que la bienveillance, c’est surtout dans les discours.
Alors, ton exemple n'est pas exact du tout. En Alsace, d'abord, ce n'est pas à cause d'une quelconque frontière, puisqu'il n'y a pas de frontière... Mais un espace commun, qui est culturel, économique et historique.
Ensuite, a priori, c'est plutôt l'anglais, dans l'académie de Strasbourg, qui est fatal aux stagiaires - mais pour d'autres raisons...
Tes sources syndicales sont erronées - mais évidemment, cela dépend quel syndicat, je suppose : un qui s'intéresse à la question ou un qui n'en sait rien.
- DimkaVénérable
Ah, et bien ça m’intéresserait, d’avoir les statistiques des titularisations/redoublements/licenciements/démissions par académie et discipline, d’ailleurs je trouve ça étonnant qu’on ne les trouve pas sur les sites officiels (peut-être ai-je mal cherché).Osmie a écrit:C'est les sources syndicales : la titularisation dépend des académies et des disciplines. Par exemple, en allemand, c'est plus rude en Alsace en raison de la frontière ; le stagiaires sont censé être bilingues. Quant à mon expérience perso, elle confirme ces chiffres.
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- Spoiler:
- OsmieSage
On croit rêver... :shock: ; il est vrai que j'adore parler de ce que je ne connais pas ; il est vrai que je n'ai pas été stagiaire en Alsace ; il est vrai que je connais pas la formation des stagiaires des différentes disciplines ; il est vrai que je ne sais pas combien de stagiaires sont recalés chaque année ; il est vrai que la proximité avec la frontière, oups ! avec l'espace commun (changement de langue dans cet espace commun quand même) n'implique aucune exigence et il est surtout vrai que je milite dans un syndicat nullissime qui ne s'occupe absolument pas de formation continue et d'entrée dans le métier et qui est réputé pour ne s'intéresser à aucun dossier. Vraiment, je suis sidérée de lire des choses pareilles.pmuller a écrit:Osmie a écrit:C'est les sources syndicales : la titularisation dépend des académies et des disciplines. Par exemple, en allemand, c'est plus rude en Alsace en raison de la frontière ; le stagiaires sont censé être bilingues. Quant à mon expérience perso, elle confirme ces chiffres.Dimka a écrit:Bonsoir,
Tu as des sources, ou c’est ton expérience perso ? Je n’ai pas de chiffres, mais quand j’étais stagiaire, en formation avec moi, il y avait des tas de redoublants, et des amis ont également dû refaire une année. Ainsi que sur ce forum. Ce n’était pas majoritaire, mais ce n’était pas non plus négligeable (en tous cas, plus que 3%). Et tous pour des motifs assez futiles, sans parler de ceux qui ont été pourris par un tuteur, par un chef d’établissement ou par quiconque ayant un quelconque pouvoir sur les stagiaires.
Je ne sais pas si ça dépend des académies, ou s’il y a un changement par rapport à avant, mais il me semble qu’on ne puisse plus (ou pas systématiquement) dire que les redoublements sont exceptionnels et liés à de graves problèmes, d’autant que ça stigmatise parfois injustement les redoublants.
Du coup, j’aurais tendance à dire d’éviter à tout prix le signalement, l’année de stage, il vaut mieux être un peu parano, vu que la bienveillance, c’est surtout dans les discours.
Alors, ton exemple n'est pas exact du tout. En Alsace, d'abord, ce n'est pas à cause d'une quelconque frontière, puisqu'il n'y a pas de frontière... Mais un espace commun, qui est culturel, économique et historique.
Ensuite, a priori, c'est plutôt l'anglais, dans l'académie de Strasbourg, qui est fatal aux stagiaires - mais pour d'autres raisons...
Tes sources syndicales sont erronées - mais évidemment, cela dépend quel syndicat, je suppose : un qui s'intéresse à la question ou un qui n'en sait rien.
- LeeloooNiveau 5
Est-ce qu'on a une visite de l'IPR avant la fin de l'année (par exemple en décembre) seulement si on a été signalé ? Ma tutrice me dit que l'inspection l'a contactée pour lui proposer une visite pour moi (et qu'elle a dit oui), est-ce que c'est effectivement ce qui se passe ?
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"Everything is theoretically impossible, until it is done." - Robert A. Heinlein
- JennyMédiateur
Ca me semble tôt.
Peut-être peux-tu poser la question à tes formateurs ?
Peut-être peux-tu poser la question à tes formateurs ?
- OsmieSage
Cela dépend des académies et du concours passé.
- LeeloooNiveau 5
Ok, je pense sincèrement qu'on me dit la vérité mais je trouve ça étonnant que ça vienne déjà, et que ce soit l'IPR et pas un formateur ESPE. Il y a déjà eu des trucs pas clairs avec l'administration, j'ai l'impression que la communication avec la tutrice n'est pas idéale. Ne pas savoir clairement ce qui se dit est source de stress.
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- doubledeckerSage
Leelooo a écrit:Est-ce qu'on a une visite de l'IPR avant la fin de l'année (par exemple en décembre) seulement si on a été signalé ? Ma tutrice me dit que l'inspection l'a contactée pour lui proposer une visite pour moi (et qu'elle a dit oui), est-ce que c'est effectivement ce qui se passe ?
En anglais dans mon académie c'est systématique. Une rencontre est programmée avec l'ipr avant les vacances de Noël et une autre en fin d'année.
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
La boutique de LolaDragibus : des petites choses futiles et inutiles pour embellir la vie (p'tites bricoles en tissu, papier, crochet....) : venez y jeter un oeil 😊
- JennyMédiateur
Je pense aussi que ça dépend. Tu peux aussi t'informer auprès d'un syndicat si tu as des doutes.
- LeeloooNiveau 5
Ca me rassure ce que vous dites.
doubledecker, ça ne doit pas être la même académie puisque je suis à l'est, mais savoir que c'est possible est déjà une bonne piste.
Je suis parano et hyper anxieuse, j'ai tendance à pencher toujours vers le pire. Merci pour vos réponses.
doubledecker, ça ne doit pas être la même académie puisque je suis à l'est, mais savoir que c'est possible est déjà une bonne piste.
Je suis parano et hyper anxieuse, j'ai tendance à pencher toujours vers le pire. Merci pour vos réponses.
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- doubledeckerSage
Leelooo a écrit:Ca me rassure ce que vous dites.
doubledecker, ça ne doit pas être la même académie puisque je suis à l'est, mais savoir que c'est possible est déjà une bonne piste.
Je suis parano et hyper anxieuse, j'ai tendance à pencher toujours vers le pire. Merci pour vos réponses.
Je confirme nous ne sommes pas dans la même académie. Mais pour calmer stress et angoisses tu ne peux pas demander à tes formateurs quelle est la procédure de validation ? J'avoue que je ssuis effarée de lire sur ce forums le nombreux de stagiaires qui sont dans le flou à ce sujet. Mais sérieusement, qu'est ce qu'ils font vos formateurs? Je ne parle que de ce que je connais (ma discipline, mon académie) mais vraiment les choses sont hyper cadrées : les tuteurs ont une réunion avec les ipr en septembre, ils expliquent comment se déroule l'année pour les stagiaires, insistent sur me fait que eux et seulement eux valident (ce qui ne met pas le tuteur dans une espèce de situation étrange) et j'ai l'impression que ça permet de bien rassurer les stagiaires et leur permettre ainsi de se concentrer sur la réalité et non pas de se ronger les sangs.
Bref, parles en avec tes formateurs et respire
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- Guillaume le GrandFidèle du forum
Le problème est que les tuteurs ont aussi des choses à rendre... aux ESPE, pas seulement aux IPR. Des documents différents, à des dates différentes selon l'institution, selon le statut du stagiaire. C'est-y pas beau?doubledecker a écrit:Leelooo a écrit:Ca me rassure ce que vous dites.
doubledecker, ça ne doit pas être la même académie puisque je suis à l'est, mais savoir que c'est possible est déjà une bonne piste.
Je suis parano et hyper anxieuse, j'ai tendance à pencher toujours vers le pire. Merci pour vos réponses.
Je confirme nous ne sommes pas dans la même académie. Mais pour calmer stress et angoisses tu ne peux pas demander à tes formateurs quelle est la procédure de validation ? J'avoue que je ssuis effarée de lire sur ce forums le nombreux de stagiaires qui sont dans le flou à ce sujet. Mais sérieusement, qu'est ce qu'ils font vos formateurs? Je ne parle que de ce que je connais (ma discipline, mon académie) mais vraiment les choses sont hyper cadrées : les tuteurs ont une réunion avec les ipr en septembre, ils expliquent comment se déroule l'année pour les stagiaires, insistent sur me fait que eux et seulement eux valident (ce qui ne met pas le tuteur dans une espèce de situation étrange) et j'ai l'impression que ça permet de bien rassurer les stagiaires et leur permettre ainsi de se concentrer sur la réalité et non pas de se ronger les sangs.
Bref, parles en avec tes formateurs et respire
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''C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde''. Boris Vian
''Nous n'acceptons pas de vérité promulguée : nous la faisons nôtre d'abord par l'étude et par la discussion et nous apprenons à rejeter l'erreur, fut-elle mille fois estampillée et patentée. Que de fois, en effet, le peuple ignorant a-t-il dû reconnaître que ses savants éducateurs n'avaient d'autre science à lui enseigner que celle de marcher paisiblement et joyeusement à l'abattoir, comme ce boeuf des fêtes que l'on couronne de guirlandes en papier doré." Elisée Reclus
- LeeloooNiveau 5
Oui un rapport en décembre et un en fin d'année, et on nous dit bien que tout ça compte (tuteurs, ipr, espe)
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- doubledeckerSage
Oui, je le sais que le tuteur redige des rapports mais ce que je veux dire c'est que si sur les 2 rapports du tuteurs, les avis des formateurs il y a un truc qui cloche en dernier ressort c'est l'ipr qui tranche. Et j'ai en mémoire l'exemple d'une tutrice assez peu bienveillante (c'est un euphémisme) rédigeant des rapports assez peu positifs et malgré cela une validation de la stagiaire. Au contraire un stagiaire avec des rapports élogieux inspecté par un IG qui a refusé de le valider.
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- pmullerHabitué du forum
Osmie a écrit:On croit rêver... :shock: ; il est vrai que j'adore parler de ce que je ne connais pas ; il est vrai que je n'ai pas été stagiaire en Alsace ; il est vrai que je connais pas la formation des stagiaires des différentes disciplines ; il est vrai que je ne sais pas combien de stagiaires sont recalés chaque année ; il est vrai que la proximité avec la frontière, oups ! avec l'espace commun (changement de langue dans cet espace commun quand même) n'implique aucune exigence et il est surtout vrai que je milite dans un syndicat nullissime qui ne s'occupe absolument pas de formation continue et d'entrée dans le métier et qui est réputé pour ne s'intéresser à aucun dossier. Vraiment, je suis sidérée de lire des choses pareilles.pmuller a écrit:Osmie a écrit:
C'est les sources syndicales : la titularisation dépend des académies et des disciplines. Par exemple, en allemand, c'est plus rude en Alsace en raison de la frontière ; le stagiaires sont censé être bilingues. Quant à mon expérience perso, elle confirme ces chiffres.
Alors, ton exemple n'est pas exact du tout. En Alsace, d'abord, ce n'est pas à cause d'une quelconque frontière, puisqu'il n'y a pas de frontière... Mais un espace commun, qui est culturel, économique et historique.
Ensuite, a priori, c'est plutôt l'anglais, dans l'académie de Strasbourg, qui est fatal aux stagiaires - mais pour d'autres raisons...
Tes sources syndicales sont erronées - mais évidemment, cela dépend quel syndicat, je suppose : un qui s'intéresse à la question ou un qui n'en sait rien.
Eh non, on ne change pas de langue, on parle la même - des 2 côtés de ce que tu appelles la frontière. Raison pour laquelle les gens se comprennent très bien. Sauf évidemment, ceux qui ne parlent pas la langue.
Maintenant, si ce que tu veux dire, c'est que quelqu'un stagiaire qui ne parle pas allemand ne peut être validé en allemand, je suis d'accord. Mais ce serait vraiment étonnant, après avoir réussi le concours. Bref, les gens sont généralement bons dans leurs savoirs disciplinaires, mais depuis l'ère de l'IUFM, c'est le pédagogique, ou ce qu'on y rattache, qui pose problème. C'est d'ailleurs le cas pour la stagiaire qui a lancé ce fil.
Comme je ne sais pas pour quel syndicat tu milites, je ne peux pas te dire. Il reste que les informations que tu donnes sont fausses. Et ce n'est pas parce que tu as été stagiaire (ce qu'on a tous été un jour où l'autre) que cela te qualifie pour parler de la formation des stagiaires.
- totoroMonarque
Gilbertine a écrit:De mon point de vue de tutrice, le signalement n'est pas une aberration ou une pratique sadique. Des stagiaires qui ont un niveau lamentable (mais le concours aurait dû le juger), qui en savent moins que les élèves (ou autant en matière de règles orthographiques, par exemple ) qui ne préparent pas, qui photocopient une page de manuel sans savoir faire les exercices, qui parlent mal aux élèves et ne se rendent pas compte du problème, il y en a.
Le dialogue est parfois bloqué. Un stagiaire n'est pas un élève ou un étudiant, le tuteur à qui le stagiaire répond à tous les conseils "non, ça je le fais... non, ça j'ai testé... non, ça, ça ne marche pas...", a peu de prises sur la situation.
L'année de stage est une année au cours de laquelle il faut apprendre à faire son auto-critique pour progresser dans ses pratiques (oh, shi*, je parle comme l'ESPE !).
Lis-tes-ratures : Il me parait contradictoire de poster sur un fil ses difficultés avec ses classes et sur un autre écrire que tout va bien sauf quelques bavardages et une participation trop vive !
Non mais franchement, il y en a tant que ça???? :shock:
Quand je vois les cours que prépare ma stagiaire, je me dis qu'elle est en effet exceptionnelle!
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- pmullerHabitué du forum
Non, il y en a très peu. Et c'est pourquoi Lis-tes-ratures devrait s'occuper de sa situation, en faisant avancer les choses, comme plusieurs personnes ici le lui ont bien expliqué. Sans chercher à charger la tutrice (déjà qu'on n'en trouve pas beaucoup), ni à se demander s'il y a des académies plus dures que d'autres - alors que l'administration a des chiffres de cadrage, et qu'ils s'y tiennent et qu'aucune académie ne veut sortir du lot.
- OsmieSage
Je vous trouve à la limite de l'insulte, Arrias.pmuller a écrit:Osmie a écrit:On croit rêver... :shock: ; il est vrai que j'adore parler de ce que je ne connais pas ; il est vrai que je n'ai pas été stagiaire en Alsace ; il est vrai que je connais pas la formation des stagiaires des différentes disciplines ; il est vrai que je ne sais pas combien de stagiaires sont recalés chaque année ; il est vrai que la proximité avec la frontière, oups ! avec l'espace commun (changement de langue dans cet espace commun quand même) n'implique aucune exigence et il est surtout vrai que je milite dans un syndicat nullissime qui ne s'occupe absolument pas de formation continue et d'entrée dans le métier et qui est réputé pour ne s'intéresser à aucun dossier. Vraiment, je suis sidérée de lire des choses pareilles.pmuller a écrit:
Alors, ton exemple n'est pas exact du tout. En Alsace, d'abord, ce n'est pas à cause d'une quelconque frontière, puisqu'il n'y a pas de frontière... Mais un espace commun, qui est culturel, économique et historique.
Ensuite, a priori, c'est plutôt l'anglais, dans l'académie de Strasbourg, qui est fatal aux stagiaires - mais pour d'autres raisons...
Tes sources syndicales sont erronées - mais évidemment, cela dépend quel syndicat, je suppose : un qui s'intéresse à la question ou un qui n'en sait rien.
Eh non, on ne change pas de langue, on parle la même - des 2 côtés de ce que tu appelles la frontière. Raison pour laquelle les gens se comprennent très bien. Sauf évidemment, ceux qui ne parlent pas la langue.
Maintenant, si ce que tu veux dire, c'est que quelqu'un stagiaire qui ne parle pas allemand ne peut être validé en allemand, je suis d'accord. Mais ce serait vraiment étonnant, après avoir réussi le concours.
Comme je ne sais pas pour quel syndicat tu milites, je ne peux pas te dire. Il reste que les informations que tu donnes sont fausses. Et ce n'est pas parce que tu as été stagiaire (ce qu'on a tous été un jour où l'autre) que cela te qualifie pour parler de la formation des stagiaires.
- pmullerHabitué du forum
En tout cas, Lis-tes-ratures, n'oublie pas de nous donner des nouvelles si la situation évolue, ou si tu en apprends davantage auprès de ta tutrice.
- reinedesabaEsprit éclairé
Bon courage avec ta tutrice !
J'espère que tu as de bons interlocuteurs à l'espé. j'ai eu beaucoup de problèmes avec ma première tutrice et l'erreur que j'ai faite a été de ne pas m'en ouvrir aux formateurs iufm qui, sans être forcément très "humains" étaient quand même beaucoup plus bienveillants que ma tutrice qui, elle, se dédouanait de tout en affirmant que rien n'était bien. La formatrice iufm avait dû lui écrire pour lui dire que, non, j'avais les compétences universitaires. Elle m'avait même encouragée à remettre ma tutrice à sa place quand elle exagérait ! Malheureusement, j'ai bien trop attendu pour parler de mes problèmes : ce n'est qu'au moment du stage en pratique accompagnée que je me suis rendu compte que, non, je n'étais pas particulièrement bornée ou susceptible, toutes sortes de choses qu'elle voulait me faire croire !
J'espère que tu as de bons interlocuteurs à l'espé. j'ai eu beaucoup de problèmes avec ma première tutrice et l'erreur que j'ai faite a été de ne pas m'en ouvrir aux formateurs iufm qui, sans être forcément très "humains" étaient quand même beaucoup plus bienveillants que ma tutrice qui, elle, se dédouanait de tout en affirmant que rien n'était bien. La formatrice iufm avait dû lui écrire pour lui dire que, non, j'avais les compétences universitaires. Elle m'avait même encouragée à remettre ma tutrice à sa place quand elle exagérait ! Malheureusement, j'ai bien trop attendu pour parler de mes problèmes : ce n'est qu'au moment du stage en pratique accompagnée que je me suis rendu compte que, non, je n'étais pas particulièrement bornée ou susceptible, toutes sortes de choses qu'elle voulait me faire croire !
- Helene_de_TroieNiveau 6
Mon tuteur affirme qu'il n'est pas sûr s'il doit rédiger un rapport sur moi ou pas. Étrange? :Descartes:
- NitaEmpereur
pmuller a écrit:Osmie a écrit:On croit rêver... :shock: ; il est vrai que j'adore parler de ce que je ne connais pas ; il est vrai que je n'ai pas été stagiaire en Alsace ; il est vrai que je connais pas la formation des stagiaires des différentes disciplines ; il est vrai que je ne sais pas combien de stagiaires sont recalés chaque année ; il est vrai que la proximité avec la frontière, oups ! avec l'espace commun (changement de langue dans cet espace commun quand même) n'implique aucune exigence et il est surtout vrai que je milite dans un syndicat nullissime qui ne s'occupe absolument pas de formation continue et d'entrée dans le métier et qui est réputé pour ne s'intéresser à aucun dossier. Vraiment, je suis sidérée de lire des choses pareilles.pmuller a écrit:
Alors, ton exemple n'est pas exact du tout. En Alsace, d'abord, ce n'est pas à cause d'une quelconque frontière, puisqu'il n'y a pas de frontière... Mais un espace commun, qui est culturel, économique et historique.
Ensuite, a priori, c'est plutôt l'anglais, dans l'académie de Strasbourg, qui est fatal aux stagiaires - mais pour d'autres raisons...
Tes sources syndicales sont erronées - mais évidemment, cela dépend quel syndicat, je suppose : un qui s'intéresse à la question ou un qui n'en sait rien.
Eh non, on ne change pas de langue, on parle la même - des 2 côtés de ce que tu appelles la frontière. Raison pour laquelle les gens se comprennent très bien. Sauf évidemment, ceux qui ne parlent pas la langue.
Maintenant, si ce que tu veux dire, c'est que quelqu'un stagiaire qui ne parle pas allemand ne peut être validé en allemand, je suis d'accord. Mais ce serait vraiment étonnant, après avoir réussi le concours. Bref, les gens sont généralement bons dans leurs savoirs disciplinaires, mais depuis l'ère de l'IUFM, c'est le pédagogique, ou ce qu'on y rattache, qui pose problème. C'est d'ailleurs le cas pour la stagiaire qui a lancé ce fil.
Comme je ne sais pas pour quel syndicat tu milites, je ne peux pas te dire. Il reste que les informations que tu donnes sont fausses. Et ce n'est pas parce que tu as été stagiaire (ce qu'on a tous été un jour où l'autre) que cela te qualifie pour parler de la formation des stagiaires.
Il y a belle lurette que la majorité des élèves ne parle plus l'alsacien , qui diffère d'ailleurs entre le Haut-Rhin et le Bas-Rhin. Quant au swytzer düütsch, c'est une maladie du larynx, ce n'est pas une langue.
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