- User17706Bon génie
Mais justement, comme la plaidoirie que tu cites le rappelle, il n'y a rien de plus différent qu'une vengeance et une peine de justicedandelion a écrit:Pour ma part, si j'avais l'opportunité de choisir ma vengeance concernant des faits graves, la peine de mort me semblerait bien aimable.
- BalthamosDoyen
choup78 a écrit:
oui, "vient" seulement, et encore je me demande dans quelle mesure elle sera appliquée.
Bon stop pour moi, sur ce débattez bien, vous pouvez dire ce que vous voulez, je ne changerai pas d'avis. Bye!
Encore une fois, faux.
C'est une mauvaise interprétation de l'actualité et des propos ici.
Le CEH vient de confirmer la loi française telle qu'elle existe. Autrement dit la CEH confirme que la loi française sur la perpétuité définitive est conforme aux droits humains tels définis actuellement.
Après la loi qui existe est très peu appliqué (3 cas de mémoire), et il y a une raison ...
- JPhMMDemi-dieu
Si la vengeance est appliquée, la peine de mort devient inutile.dandelion a écrit:Pour ma part, si j'avais l'opportunité de choisir ma vengeance concernant des faits graves, la peine de mort me semblerait bien aimable.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- SeiGrand Maître
Un des trucs que je trouve terrible dans la peine de mort, mais aussi, dans une certaine mesure, dans la prison à perpétuité, c'est cette manière de considérer que rien ne pourra plus jamais évoluer, que c'est fini, irrécupérable, que l'acte que l'on a pu commettre marque au point de retirer tout devenir possible. Je trouve que l'on confond l'acte - irrémédiable - et la personne.
C'est un déni féroce de l'essence de la vie elle-même, et une marque de dédain envers l'humanité effroyable.
C'est un déni féroce de l'essence de la vie elle-même, et une marque de dédain envers l'humanité effroyable.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- David30Niveau 9
1 er argument : la peine de mort n'a jamais fait reculer la criminalité ( voir aux Etats Unis)
2 ème argument : l'erreur judiciaire, savoir que l'on va exécuter un innocent est insupportable ( avec la peine de mort Raddad, Dils et bien d'autres auraient été les victimes de cette boucherie)
2 ème argument : l'erreur judiciaire, savoir que l'on va exécuter un innocent est insupportable ( avec la peine de mort Raddad, Dils et bien d'autres auraient été les victimes de cette boucherie)
- LefterisEsprit sacré
La question de la peine de mort et de peine en général ne se situe pas sur un seul terrain :
- la peine a selon les sociétés, différents buts qui peuvent s’additionner ou s'exclure :
- être dissuasive et spectaculaire, mais pas uniquement, et c'est contestable ("à travers celui qu'on pend, c'est les autres qu'on punit" - Montaigne)
- venger la société en nom collectif et éviter la vengeance individuelle
- éliminer définitivement un membre nocif de la société et la protéger
- purifier la société , dans les sociétés religieuses
Pour ma part je suis contre pour deux raisons (et pas par sensiblerie, la mort de certains individus m'indiffère , j'assume) :
- le caractère à géométrie variable. L'existence même de la peine de mort permet de l'appliquer pour ce qui dans telle autre société représente des broutilles.
- même si la notion de crime était universelle et infaillible, le risque d'erreur judiciaire.
- la peine a selon les sociétés, différents buts qui peuvent s’additionner ou s'exclure :
- être dissuasive et spectaculaire, mais pas uniquement, et c'est contestable ("à travers celui qu'on pend, c'est les autres qu'on punit" - Montaigne)
- venger la société en nom collectif et éviter la vengeance individuelle
- éliminer définitivement un membre nocif de la société et la protéger
- purifier la société , dans les sociétés religieuses
Pour ma part je suis contre pour deux raisons (et pas par sensiblerie, la mort de certains individus m'indiffère , j'assume) :
- le caractère à géométrie variable. L'existence même de la peine de mort permet de l'appliquer pour ce qui dans telle autre société représente des broutilles.
- même si la notion de crime était universelle et infaillible, le risque d'erreur judiciaire.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- SeiGrand Maître
David30 a écrit:1 er argument : la peine de mort n'a jamais fait reculer la criminalité ( voir aux Etats Unis)
2 ème argument : l'erreur judiciaire, savoir que l'on va exécuter un innocent est insupportable ( avec la peine de mort Raddad, Dils et bien d'autres auraient été les victimes de cette boucherie)
Rares doivent être les partisans de la peine de mort qui en appellent à son caractère dissuasif pour la défendre (ou peut-être qu'ils estiment ainsi pouvoir faire baisser la récidive).
J'ai l'impression que les gens en faveur de la peine de mort le sont surtout parce que c'est une punition qui leur paraît justifiée.
- David30Niveau 9
Sei a écrit:David30 a écrit:1 er argument : la peine de mort n'a jamais fait reculer la criminalité ( voir aux Etats Unis)
2 ème argument : l'erreur judiciaire, savoir que l'on va exécuter un innocent est insupportable ( avec la peine de mort Raddad, Dils et bien d'autres auraient été les victimes de cette boucherie)
Rares doivent être les partisans de la peine de mort qui en appellent à son caractère dissuasif pour la défendre (ou peut-être qu'ils estiment ainsi faire baisser la récidive).
J'ai l'impression que les gens en faveur de la peine de mort le sont surtout parce que c'est une punition qui leur paraît justifiée.
Giscard disait en 1974 " j'ai une aversion pour la peine de mort, mais je vais la maintenir pour son effet dissuasif" , les gens en faveur de la peine de mort sont des simples d'esprit qui n'ont que vengeance à la bouche, rien ne justifie la peine de mort, c'est de la barbarie.
- virgereNeoprof expérimenté
Toutes les victimes ne sont pas pour la mort de leur agresseur, fi des généralités.
Je suis contre la peine de mort car ce n'est pas de la justice, ce n'est que de la vengeance.
Je suis contre la peine de mort car ce n'est pas de la justice, ce n'est que de la vengeance.
- SeiGrand Maître
David30 a écrit:Sei a écrit:David30 a écrit:1 er argument : la peine de mort n'a jamais fait reculer la criminalité ( voir aux Etats Unis)
2 ème argument : l'erreur judiciaire, savoir que l'on va exécuter un innocent est insupportable ( avec la peine de mort Raddad, Dils et bien d'autres auraient été les victimes de cette boucherie)
Rares doivent être les partisans de la peine de mort qui en appellent à son caractère dissuasif pour la défendre (ou peut-être qu'ils estiment ainsi faire baisser la récidive).
J'ai l'impression que les gens en faveur de la peine de mort le sont surtout parce que c'est une punition qui leur paraît justifiée.
Giscard disait en 1974 " j'ai une aversion pour la peine de mort, mais je vais la maintenir pour son effet dissuasif" , les gens en faveur de la peine de mort sont des simples d'esprit qui n'ont que vengeance à la bouche, rien ne justifie la peine de mort, c'est de la barbarie.
En tout cas, personne sur ce fil n'a osé avancer un tel argument. Je pense que cette opinion est de moins en moins partagée, ou alors pour faire semblant, s'imaginer avoir un discours tout à fait rationnel, alors qu'on devine, au fond, que les passions dominent quand on s'exprime pour la peine de mort.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- JPhMMDemi-dieu
Le problème de la vengeance n'est pas que ce soit de la barbarie (si mon fils était victime d'un monstre, je ne suis pas certain de pouvoir me retenir de faire vengeance, je ne suis pas non plus certain d'avoir envie de me retenir de le faire. Serait-ce barbarie ?) mais que c'est le début d'un cycle sans fin et à dévastation croissante.David30 a écrit:Giscard disait en 1974 " j'ai une aversion pour la peine de mort, mais je vais la maintenir pour son effet dissuasif" , les gens en faveur de la peine de mort sont des simples d'esprit qui n'ont que vengeance à la bouche, rien ne justifie la peine de mort, c'est de la barbarie.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- David30Niveau 9
JPhMM a écrit:Le problème de la vengeance n'est pas que ce soit de la barbarie (si mon fils était victime d'un monstre, je ne suis pas certain de pouvoir me retenir de faire vengeance, je ne suis pas non plus certain d'avoir envie de me retenir de le faire. Serait-ce barbarie ?) mais que c'est le début d'un cycle sans fin et à dévastation croissante.David30 a écrit:Giscard disait en 1974 " j'ai une aversion pour la peine de mort, mais je vais la maintenir pour son effet dissuasif" , les gens en faveur de la peine de mort sont des simples d'esprit qui n'ont que vengeance à la bouche, rien ne justifie la peine de mort, c'est de la barbarie.
La peine de mort est rendue au nom de la justice et du peuple. C'est différent d'un particulier, qui ne représente pas le peuple. Vouloir se venger si l'on subit un crime effroyable me parait normal ou pas anormal. Par conséquent, rendre un verdict de peine de mort au nom du peuple, démonter bien la bêtise de cette barbarie.
- JPhMMDemi-dieu
Mais alors il est surtout non-sens de parler de vengeance à propos d'un verdict donné au nom de la justice.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- lilith888Grand sage
Ce que je trouve un peu étrange dans ce fil c'est la défense absolue de la vie humaine comme valeur fondamentale.
Ma main à couper que les personnes qui se sont exprimées ici sont pour l'avortement.
Pourtant, dans les deux cas, on met fin à une vie. Et dans l'avortement, on met fin à une vie qui n'a pas encore commencé (problème de potentialité)
Je n'ai aucun avis tranché sur ces deux questions, je m'interroge sur ce point, c'est tout.
Ma main à couper que les personnes qui se sont exprimées ici sont pour l'avortement.
Pourtant, dans les deux cas, on met fin à une vie. Et dans l'avortement, on met fin à une vie qui n'a pas encore commencé (problème de potentialité)
Je n'ai aucun avis tranché sur ces deux questions, je m'interroge sur ce point, c'est tout.
- User17706Bon génie
Pas chez tout le monde, me semble-t-il. (Quelle que soit par ailleurs la position sur la peine de mort.)lilith888 a écrit:Ce que je trouve un peu étrange dans ce fil c'est la défense absolue de la vie humaine comme valeur fondamentale.
- lilith888Grand sage
Il me semblait pourtant que les arguments étaient pour beaucoup dans le domaine de la morale.
(je suis en pleine réflexion personnelle sur ce sujet depuis quelques mois)
(je suis en pleine réflexion personnelle sur ce sujet depuis quelques mois)
- liliepingouinÉrudit
On ne peut pas mettre sur le même plan une personne et un foetus, l'existant autonome et le potentiel (dépendant pour son développement à venir d'un autre individu, la mère).
Lorsqu'on tue une personne, on lui porte un préjudice, on lui cause angoisse et souffrance.
Il me semble bien difficile de dire que l'on porte préjudice à un foetus: on ne peut pas porter préjudice à ce qui n'existe pas encore.
Lorsqu'on tue une personne, on lui porte un préjudice, on lui cause angoisse et souffrance.
Il me semble bien difficile de dire que l'on porte préjudice à un foetus: on ne peut pas porter préjudice à ce qui n'existe pas encore.
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Spheniscida qui se prend pour une Alcida.
"Laissons glouglouter les égouts." (J.Ferrat)
"Est-ce qu'on convainc jamais personne?" (R.Badinter)
Même si c'est un combat perdu d'avance, crier est important.
- User17706Bon génie
Je ne suis pas sûr du tout qu'on accorde le même sens à cette expression, mais l'argument le plus fréquemment rencontré est plutôt de nature logique, non ? Celui qui voit une forme de contradiction dans la rétribution du meurtre (condamné) par le meurtre (exigé). C'est précisément une telle rétribution qui aurait été, à en croire un mien contradicteur ci-dessus, justifiée par une « valeur absolue de la vie », un « interdit absolu » (de mémoire... peut-être vacillante), et il n'est pas étonnant dès lors que plusieurs se soient étonnés que l'absoluité même de l'interdit soit utilisée comme justification pour exhorter à l'enfreindre.lilith888 a écrit:Il me semblait pourtant que les arguments étaient pour beaucoup dans le domaine de la morale.
- JPhMMDemi-dieu
Absolument.PauvreYorick a écrit:il n'est pas étonnant dès lors que plusieurs se soient étonnés que l'absoluité même de l'interdit soit utilisée comme justification pour exhorter à l'enfreindre.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- lilith888Grand sage
liliepingouin a écrit:On ne peut pas mettre sur le même plan une personne et un foetus, l'existant autonome et le potentiel (dépendant pour son développement à venir d'un autre individu, la mère).
Lorsqu'on tue une personne, on lui porte un préjudice, on lui cause angoisse et souffrance.
Il me semble bien difficile de dire que l'on porte préjudice à un foetus: on ne peut pas porter préjudice à ce qui n'existe pas encore.
Je parlais surtout de la vie humaine. Pour moi, à partir du moment où un coeur bat, il y a vie, et j'ai du mal à comprendre qu'on puisse être contre la peine de mort (donc ôter une vie) et pour l'avortement (donc ôter une vie)
- ErgoDevin
Je ne me situe pas sur un plan moral - bien que j'aurais du mal à m'exprimer aussi clairement que PauvreYorick.
Pour l'avortement, j'ai le souvenir d'en avoir déjà débattu ici et le parallèle (et le coeur = vie) ne me convainc pas.
Pour l'avortement, j'ai le souvenir d'en avoir déjà débattu ici et le parallèle (et le coeur = vie) ne me convainc pas.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- lilith888Grand sage
Je vais au dodo, c'était juste une interrogation de passage, puisque je m'interroge moi-même beaucoup en ce moment sur le sujet des valeurs morales...
- ErgoDevin
A mon sens, toutes ces questions sont essentielles. Bonne nuit !
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- DimkaVénérable
Non, pas forcément la valeur absolue que l’on donne à la vie humaine, mais au sens que l’on donne à la justice. Tuer parce que tuer c’est mal, c’est contradictoire.lilith888 a écrit:Il me semblait pourtant que les arguments étaient pour beaucoup dans le domaine de la morale.
(je suis en pleine réflexion personnelle sur ce sujet depuis quelques mois)
Personnellement, ce qui me gêne énormément avec la peine de mort, c’est qu’elle est en général mentionnée par la passion : un fait divers, les médias font monter la mayonnaise et la foule en colère exige la mort. Quand on lit les histoires d’avocat (maître Éolas, maître Mô…), on se rend compte que les choses sont en général horriblement complexes, difficiles, subtiles, humaines… et la justice essaye de tendre vers une rigueur intellectuelle qui me fait penser à celle demandée en histoire. À partir de là, arriver avec ses gros sabots pour éructer que y a qu’à rétablir la peine de mort…
Par ailleurs, la volonté de réserver la peine de mort à des cas exceptionnels, outre qu’elle ouvre la porte à des dérives, donne l’impression d’un acte quasi magique consistant à trouver des « monstres », à les rejeter du corps social et à les sacrifier, la foule se rassurant ainsi en affirmant son anti-monstruosité.
Au contraire, l’avortement s’inscrit dans des considérations beaucoup plus rationnelles.
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- Spoiler:
- User17706Bon génie
Mais bon, poursuite de l'aparté, lorsqu'on parle de « valeurs morales » (de façon générale), n'est-ce pas toujours pour suggérer (pour faire passer en douce la thèse) qu'elles ont quelque chose d'irrémédiablement subjectif (subjectif, au sens de : légitimement différent d'un individu à l'autre) ? Autrement dit, parler de morale en termes de « valeurs », n'est-ce pas souvent implicitement adhérer à cette thèse-là ? (Ce qui expliquerait alors qu'on puisse estimer que discuter ne sert à rien, voire forcerait cette conclusion.)
- dandelionVénérable
Franquin l'avait démontré plus clairement.JPhMM a écrit:Absolument.PauvreYorick a écrit:il n'est pas étonnant dès lors que plusieurs se soient étonnés que l'absoluité même de l'interdit soit utilisée comme justification pour exhorter à l'enfreindre.
Pour ce qui est de l'argument moral, il faut savoir que le public américain y étant très peu sensible (influence de l'Ancien Testament perhaps), les opposants à la peine de mort ont recours à d'autres arguments: erreur judiciaire, cruauté de l'exécution (à cause du huitième amendement qui interdit les peines 'cruelles et sortant de l'ordinaire'), effet dissuasif peu probant et coût (notamment à cause des recours, le temps passé en prison peut finir par être très long).
Concernant l'avortement, en France l'avortement, hors avortement thérapeutique, s'effectue sur un embryon. Par ailleurs, on ne peut pas mourir sans être né, c'est à dire sans être considéré comme viable, la limite se situant autour d'une vingtaine de semaines.
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