- JPhMMDemi-dieu
Erreur.Pascal a écrit:Lizdarcy a écrit:Trouver antipathique, ne pas aimer un élève ne veut pas dire le mépriser pour autant.
Après, si certains font particulièrement la misère, bon, faut pas exagérer non plus, on ne va pas en redemander...
Oui, je comprends, nous aussi nous sommes limités émotionnellement, mais quand même... de là à leur vouloir du mal.
En fait, tu ne comprends pas.
- PascalNiveau 9
JPhMM a écrit:Ben voyons.Pascal a écrit:Mezzo voce a écrit:
Vous trouvez pas ces propos odieux?
Dire "Comme quoi la roue tourne", c'est odieux.
Essayer de pousser quelqu'un au suicide, ce n'est pas odieux.
Tout va bien...
Tu ne peux pas mettre sur le même plan les propos d'un élève et ceux d'un professeur.
- RendashBon génie
Pascal, tu as aussi la lecture, en plus de l'indignation, sélective?
Rendash a écrit:Et les coups et autres tentatives de strangulation, alors? Tu prends du recul? Tu analyses, comprends, excuses?
WW, on a trouvé ton CDE
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
Le jour où un élève de 19 ans te dira, le regard plein d'une haine inouïe : "Je sais où vous habitez, toi et ta famille", on en reparlera.Pascal a écrit:JPhMM a écrit:Ben voyons.Pascal a écrit:
Vous trouvez pas ces propos odieux?
Dire "Comme quoi la roue tourne", c'est odieux.
Essayer de pousser quelqu'un au suicide, ce n'est pas odieux.
Tout va bien...
Tu ne peux pas mettre sur le même plan les propos d'un élève et ceux d'un professeur.
- PascalNiveau 9
JPhMM a écrit:Le jour où un élève de 19 ans te dira, le regard plein d'une haine inouïe : "Je sais où vous habitez, toi et ta famille", on en reparlera.Pascal a écrit:JPhMM a écrit:
Ben voyons.
Dire "Comme quoi la roue tourne", c'est odieux.
Essayer de pousser quelqu'un au suicide, ce n'est pas odieux.
Tout va bien...
Tu ne peux pas mettre sur le même plan les propos d'un élève et ceux d'un professeur.
Là c'est pas la même chose. Moi je suis en collège.
- PascalNiveau 9
Rendash a écrit:Pascal, tu as aussi la lecture, en plus de l'indignation, sélective?Rendash a écrit:Et les coups et autres tentatives de strangulation, alors? Tu prends du recul? Tu analyses, comprends, excuses?
WW, on a trouvé ton CDE
Non, ça ne m'est jamais arrivé.
- PascalNiveau 9
J'aime bien ce texte :
Il a besoin de tous ses outils…
Il y avait une fois, il y a bien longtemps de cela, dans un petit village palestinien, un atelier de charpentier. Un jour que le maître était absent, les outils se réunirent en grand conseil sur l’établi. Les conciliabules furent longs et animés, ils furent même véhéments. Il s’agissait d’exclure de la communauté des outils un certain nombre de membres.
L’un prit la parole :
- Il faut, dit-il, exclure la scie, car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde.
Un autre dit :
- Nous ne pouvons conserver parmi nous notre frère le rabot qui a le caractère tranchant et qui épluche tout ce qu’il touche.
- Quant au frère marteau, dit un autre, je lui trouve le caractère assommant. Il est tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le.
- Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens qui ont le caractère aussi pointu ? Qu’ils s’en aillent !
- Et que la lime et la râpe s’en aillent aussi. À vivre avec elles, ce n’est que frottement perpétuel. Et qu’on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d’être dans cet atelier soit toujours froissé !
Ainsi discouraient en grand tumulte les outils du charpentier.
Tout le monde parlait à la fois. L’histoire ne dit pas si c’était la marteau qui accusait la scie et le rabot la lime, mais il est probable que c’était ainsi, car à la fin de la séance, tout le monde se trouvait exclu.
La réunion bruyante prit fin subitement par l’entrée du charpentier dans l’atelier. On se tut lorsqu’on le vit s’approcher de l’établi. Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec le frère rabot au ton tranchant qui épluche tout ce qu’il touche.
Le frère ciseau qui blesse cruellement, notre sœur la râpe au langage rude, le frère papier de verre qui froisse, entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne et fait du tapage. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un berceau.
Il a besoin de tous ses outils…
Il y avait une fois, il y a bien longtemps de cela, dans un petit village palestinien, un atelier de charpentier. Un jour que le maître était absent, les outils se réunirent en grand conseil sur l’établi. Les conciliabules furent longs et animés, ils furent même véhéments. Il s’agissait d’exclure de la communauté des outils un certain nombre de membres.
L’un prit la parole :
- Il faut, dit-il, exclure la scie, car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde.
Un autre dit :
- Nous ne pouvons conserver parmi nous notre frère le rabot qui a le caractère tranchant et qui épluche tout ce qu’il touche.
- Quant au frère marteau, dit un autre, je lui trouve le caractère assommant. Il est tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le.
- Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens qui ont le caractère aussi pointu ? Qu’ils s’en aillent !
- Et que la lime et la râpe s’en aillent aussi. À vivre avec elles, ce n’est que frottement perpétuel. Et qu’on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d’être dans cet atelier soit toujours froissé !
Ainsi discouraient en grand tumulte les outils du charpentier.
Tout le monde parlait à la fois. L’histoire ne dit pas si c’était la marteau qui accusait la scie et le rabot la lime, mais il est probable que c’était ainsi, car à la fin de la séance, tout le monde se trouvait exclu.
La réunion bruyante prit fin subitement par l’entrée du charpentier dans l’atelier. On se tut lorsqu’on le vit s’approcher de l’établi. Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec le frère rabot au ton tranchant qui épluche tout ce qu’il touche.
Le frère ciseau qui blesse cruellement, notre sœur la râpe au langage rude, le frère papier de verre qui froisse, entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne et fait du tapage. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un berceau.
- JPhMMDemi-dieu
Je suis en collège aussi.Pascal a écrit:JPhMM a écrit:Le jour où un élève de 19 ans te dira, le regard plein d'une haine inouïe : "Je sais où vous habitez, toi et ta famille", on en reparlera.Pascal a écrit:
Tu ne peux pas mettre sur le même plan les propos d'un élève et ceux d'un professeur.
Là c'est pas la même chose. Moi je suis en collège.
Mais je n'ai pas toujours été en collège.
Et d'ailleurs, je ne vois pas en quoi, de ton expérience particulière, tu pourrais en tirer des jugements moraux sur les actes de personnes qui ne vivent pas la même expérience.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LizdarcyFidèle du forum
Je crois comprendre quand même que l'énergumène a su largement dépasser les limites du supportable.
"Limités émotionnellement"... euh certains comportements peuvent laisser des traumatismes, des blessures très pénibles.
"Limités émotionnellement"... euh certains comportements peuvent laisser des traumatismes, des blessures très pénibles.
- RendashBon génie
Pascal a écrit:
Là c'est pas la même chose. Moi je suis en collège.
Pascal a écrit:
Non, ça ne m'est jamais arrivé.
C'est bien, de donner des leçons sans savoir de quoi on parle.
C'est bien, d'afficher une posture.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
Et le Bien, ça le connait.Rendash a écrit:Pascal a écrit:
Là c'est pas la même chose. Moi je suis en collège.Pascal a écrit:
Non, ça ne m'est jamais arrivé.
C'est bien, de donner des leçons sans savoir de quoi on parle.
C'est bien, d'afficher une posture.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ErgoDevin
Du mal, pas nécessairement. Peut-être en revanche, un minimum de justice.
L'élève violeur, tu vois, effectivement, je n'ai pas très très envie de l'apprécier.
L'élève qui, avec sa bande de potes, a mis une gamine de 12 ans en sous-vêtements en lui demandant de les sucer, en effet, c'est avec grand plaisir que j'ai appris son exclusion définitive.
De même que le gamin qui a aspergé les autres de bombe lacrymo.
Ou celui qui a balancé une chaise dans le cours d'une collègue en disant "ferme ta gueule, sale p***".
Ou ceux qui m'ont menacée.
Ou...
Et.
Alors oui, ce sont des nenfants. Mais ce sont aussi les nenfants qui sont cruels et odieux parfois. Et qui poussent les enseignants (qui au passage sont là pour exercer leur métier, pas pour se faire cracher dessus métaphoriquement et littéralement) à bout par leur comportement intolérable.
Mince alors.
L'élève violeur, tu vois, effectivement, je n'ai pas très très envie de l'apprécier.
L'élève qui, avec sa bande de potes, a mis une gamine de 12 ans en sous-vêtements en lui demandant de les sucer, en effet, c'est avec grand plaisir que j'ai appris son exclusion définitive.
De même que le gamin qui a aspergé les autres de bombe lacrymo.
Ou celui qui a balancé une chaise dans le cours d'une collègue en disant "ferme ta gueule, sale p***".
Ou ceux qui m'ont menacée.
Ou...
Et.
Alors oui, ce sont des nenfants. Mais ce sont aussi les nenfants qui sont cruels et odieux parfois. Et qui poussent les enseignants (qui au passage sont là pour exercer leur métier, pas pour se faire cracher dessus métaphoriquement et littéralement) à bout par leur comportement intolérable.
Mince alors.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- PascalNiveau 9
Je me bats juste pour ce qu'on est censé enseigner aux élèves: le bien-vivre ensemble, c'est tout.
- ProvenceEnchanteur
Pascal a écrit:J'aime bien ce texte :
Il a besoin de tous ses outils…
Il y avait une fois, il y a bien longtemps de cela, dans un petit village palestinien, un atelier de charpentier. Un jour que le maître était absent, les outils se réunirent en grand conseil sur l’établi. Les conciliabules furent longs et animés, ils furent même véhéments. Il s’agissait d’exclure de la communauté des outils un certain nombre de membres.
L’un prit la parole :
- Il faut, dit-il, exclure la scie, car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde.
Un autre dit :
- Nous ne pouvons conserver parmi nous notre frère le rabot qui a le caractère tranchant et qui épluche tout ce qu’il touche.
- Quant au frère marteau, dit un autre, je lui trouve le caractère assommant. Il est tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le.
- Et les clous ? Peut-on vivre avec des gens qui ont le caractère aussi pointu ? Qu’ils s’en aillent !
- Et que la lime et la râpe s’en aillent aussi. À vivre avec elles, ce n’est que frottement perpétuel. Et qu’on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d’être dans cet atelier soit toujours froissé !
Ainsi discouraient en grand tumulte les outils du charpentier.
Tout le monde parlait à la fois. L’histoire ne dit pas si c’était la marteau qui accusait la scie et le rabot la lime, mais il est probable que c’était ainsi, car à la fin de la séance, tout le monde se trouvait exclu.
La réunion bruyante prit fin subitement par l’entrée du charpentier dans l’atelier. On se tut lorsqu’on le vit s’approcher de l’établi. Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec le frère rabot au ton tranchant qui épluche tout ce qu’il touche.
Le frère ciseau qui blesse cruellement, notre sœur la râpe au langage rude, le frère papier de verre qui froisse, entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne et fait du tapage. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un berceau.
- ProvenceEnchanteur
Pascal a écrit:Je me bats juste pour ce qu'on est censé enseigner aux élèves: le bien-vivre ensemble, c'est tout.
Flûte! Les programmes ont changé et personne ne m'a rien dit? :shock:
- JPhMMDemi-dieu
Bon sang... :shock:Pascal a écrit:Je me bats juste pour ce qu'on est censé enseigner aux élèves: le bien-vivre ensemble, c'est tout.
Je pense que tu t'es trompé de topic.
Et de monde aussi.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ErgoDevin
Ma 1e réponse n'était pas très constructive alors j'en donne une autre: je suis censée, en tant que prof d'anglais, leur enseigner l'anglais. Le bien-vivre ensemble, ça ne veut rien dire.Pascal a écrit:Je me bats juste pour ce qu'on est censé enseigner aux élèves: le bien-vivre ensemble, c'est tout.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- PascalNiveau 9
Mais bon, je ne vois toujours pas l'intérêt de diffuser des propos insultants à l'égard des élèves sur un forum public. Vous n'avez qu'à le faire à la prochaine réunion parent-profs...
- JPhMMDemi-dieu
Je vois que tu ne comprends toujours pas.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User19866Expert
Pascal, je manque de mots pour te dire à quel point ton discours est odieux pour des personnes ayant été confrontées à la brutalité d'élèves, qu'elle soit physique ou verbale. Il me rappelle la dernière formation à laquelle j'ai assistée, et où l'on m'a expliqué que les comportements des élèves n'étaient jamais que le miroir de nos comportements envers eux. J'ai eu envie de hurler.
Il est bon que tu respectes tes élèves ; peut-être pourrais-tu respecter également la sensibilité des personnes qui fréquentent ce forum.
Il est bon que tu respectes tes élèves ; peut-être pourrais-tu respecter également la sensibilité des personnes qui fréquentent ce forum.
- LizdarcyFidèle du forum
Pascal a écrit:Je me bats juste pour ce qu'on est censé enseigner aux élèves: le bien-vivre ensemble, c'est tout.
Sauvés!
Tu es là pour nous suppléer car nous faisons tout le contraire!
- ProvenceEnchanteur
Pascal a écrit:Mais bon, je ne vois toujours pas l'intérêt de diffuser des propos insultants à l'égard des élèves sur un forum public. Vous n'avez qu'à le faire à la prochaine réunion parent-profs...
Rassure-toi: le monde ne se limite pas à ce qui peut t'intéresser ou te paraître utile.
- RendashBon génie
Pascal a écrit:Mais bon, je ne vois toujours pas l'intérêt de diffuser des propos insultants à l'égard des élèves sur un forum public. Vous n'avez qu'à le faire à la prochaine réunion parent-profs...
Dire qu'on n'aime pas quelqu'un n'est pas l'insulter.
Prétendre qu'on aime tout le monde, je trouve ça insultant pour la personne à qui on le dit, à qui on essaie de faire avaler une telle couleuvre.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
Dalathée2 a écrit:Pascal, je manque de mots pour te dire à quel point ton discours est odieux pour des personnes ayant été confrontées à la brutalité d'élèves, qu'elle soit physique ou verbale. Il me rappelle la dernière formation à laquelle j'ai assistée, et où l'on m'a expliqué que les comportements des élèves n'étaient jamais que le miroir de nos comportements envers eux. J'ai eu envie de hurler.
Il est bon que tu respectes tes élèves ; peut-être pourrais-tu respecter également la sensibilité des personnes qui fréquentent ce forum.
- SphinxProphète
Va falloir m'expliquer, quand même, ce qu'il y a d'insultant à déclarer que certaines personnes dont on ne donne ni le nom, ni le lieu de résidence/ de travail, ni la moindre caractéristique sont désagréables.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- PascalNiveau 9
Dire d'un élève qu'il est bête et méchant est pour moi insultant. Et je n'ai pas dit que je n'étais pas sensible aux collègues confrontés à la violence des élèves.
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