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- InvitéeLoChaHabitué du forum
idem mais je cours et fais du fitness.miss sophie a écrit:14 ans de métier et l'impression d'être quasiment tout le temps "dedans". Il faut dire que je n'ai pas d'enfants, que je ne suis pas sportive et que je suis plutôt casanière, ça n'aide pas !
L'an dernier j'ai fait du théâtre
Je fais des loisirs créatifs aussi.
Et pleins d'autres choses
Un métier manuel m'aurait bien plus je crois
- LefterisEsprit sacré
J'en croise quand même beaucoup, quand je fais mes courses par exemple, mais ça ne me gêne pas plus que ça. Et j'en vois plein glandouiller dans les rues d'ailleurs, circuler sur des "Vélibs" volés... J'ai vécu dans une toute petite ville de province , environ 4000 habitants alors , nous croisions les enseignants très souvent, et c'était totalement banal pour eux comme pour nous. Certains habitaient à plusieurs km , dans les villages environnants (c'est-à-dire très près quand même, pas d'embouteillages ) mais faisaient leurs course "en ville", allaient au bistrot où ils croisaient les élèves, dans les clubs de sport.Caspar Goodwood a écrit:@Lefteris: Tu vis à Paris donc ce n'est pas trop gênant de vivre près du collège. Dans une petite ville c'est autre chose, on ne peut pas mettre le nez dehors sans croiser des élèves ou des parents d'élèves.
Comme tu le dis plus loin, le détachement vient de la distance mentale, pas géographique . Horace avait raison, fuir ne sert à rien : post equitem sedet atra cura "le noir souci est assis derrière le cavalier".
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- HérodouteGrand sage
Compte tenu de mon emploi du temps personnel en dehors du boulot du collège, il m'est très facile de ne plus penser au collège :
- Elu local
- Président d'asso
- Apprenti-jardinier (genre grandes quantités)
- Apprenti-bûcheron avec les copains en pleine forêt
- Apprenti-maçon chez les copains
- Apprenti webmestre
Et bientôt :
- Salle de muscu plusieurs fois par semaine
- Elu local
- Président d'asso
- Apprenti-jardinier (genre grandes quantités)
- Apprenti-bûcheron avec les copains en pleine forêt
- Apprenti-maçon chez les copains
- Apprenti webmestre
Et bientôt :
- Salle de muscu plusieurs fois par semaine
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- CasparProphète
@Lefteris:J'essaierai de retenir cette citation, ces Anciens avaient décidément déjà tout dit.
Quant à moi je croise parfois des élèves en ville, ça ne me perturbe pas plus que ça mais j'aimerais autant ne pas les voir du tout je l'avoue. (Nous faisons dévier le fil vers un sujet déjà abondamment traité récemment il me semble).
Quant à moi je croise parfois des élèves en ville, ça ne me perturbe pas plus que ça mais j'aimerais autant ne pas les voir du tout je l'avoue. (Nous faisons dévier le fil vers un sujet déjà abondamment traité récemment il me semble).
- Mezzo voceNiveau 9
Pfff... Je dirais, quant à moi, que voilà un métier qui m'habite. J'ai le sentiment de travailler sans cesse, samedi et dimanche compris. Je me pose aussi sans cesse des questions afin de remédier aux problèmes pédagogiques et/ou de gestion rencontrés. Il m'arrive même de rêver des élèves (mais que font-ils dans mes rêves, ceux-là?). Je suis T1: peut-être est-ce là le pourquoi du comment? Mais je ne suis pas un exemple. Je dirais même, qu'au vu de mon perfectionnisme excessif et de ma nature anxieuse, je suis un contre-exemple. Bon courage pour cette année de stage. J'espère que tu fais partie des stagiaires 9 heures, et non 18 heures, ce qui te laisse plus de temps pour souffler.
- CasparProphète
C'est un métier qui peut bouffer la vie en effet, mais je suppose que c'est le cas de beaucoup de métiers où on exerce des responsabilités et nous sommes également constamment sous le regard d'un public peu indulgent.
Encore une fois, une certaine coolitude arrive avec l'expérience.
Encore une fois, une certaine coolitude arrive avec l'expérience.
- thebestchickenExpert
L'année de stage est difficile. Je ne décrochais pas, je travaillais le soir et le dimanche toute la journée. En plus, j'avais des mails de mon tuteur le week end...
Cette année, je travaille presque exclusivement au collège. J'y vais toujours à 8h30 et je travaille 30 min minimum le midi. Je travaille sur toutes mes heures de trou. Jamais de bavardages en dehors de la récré Résultat : je ne travaille pas le soir et très rarement le dimanche (deux fois depuis la rentrée, 3-4h). Ca me permet de me détacher du travail.
Par contre, j'y pense quand même, mais avec légèreté. Quand je lis quelque chose, je me dis que ce serait bien avec telle classe, etc., mais c'est tout.
Cette année, je travaille presque exclusivement au collège. J'y vais toujours à 8h30 et je travaille 30 min minimum le midi. Je travaille sur toutes mes heures de trou. Jamais de bavardages en dehors de la récré Résultat : je ne travaille pas le soir et très rarement le dimanche (deux fois depuis la rentrée, 3-4h). Ca me permet de me détacher du travail.
Par contre, j'y pense quand même, mais avec légèreté. Quand je lis quelque chose, je me dis que ce serait bien avec telle classe, etc., mais c'est tout.
- zeprofGrand sage
ce sont des questions récurrentes je crois dans notre métier
deux points importants à mon avis
- tu es stagiaire donc rien d'anormal, l'année est particulière
- tu t'interroges, tu te remets en question sur ta façon de travailler pour t'améliorer ... en soi c'est positif.
ensuite il faut en effet réussir à se ménager du temps pour soi, pour ne pas se faire bouffer.
12e rentrée et j'y arrive depuis peu.
désormais je ne bosse qu'un jour sur deux le week-end : pas de jour établi, je fais en fonction de nos obligations perso et familiales. En semaine, au moins deux soirées "off" pour le sport et pour mon conjoint.
pour le reste, je suis toujours en amélioration car je suis capable de parler boulot non stop, ou d'y penser tout le temps... je suis très anxieuse, toujours à me poser des questions, très perfectionniste donc mon mari me recadre régulièrement pour que je ne me fasse pas bouffer et pour remettre les choses à leur place.
deux points importants à mon avis
- tu es stagiaire donc rien d'anormal, l'année est particulière
- tu t'interroges, tu te remets en question sur ta façon de travailler pour t'améliorer ... en soi c'est positif.
ensuite il faut en effet réussir à se ménager du temps pour soi, pour ne pas se faire bouffer.
12e rentrée et j'y arrive depuis peu.
désormais je ne bosse qu'un jour sur deux le week-end : pas de jour établi, je fais en fonction de nos obligations perso et familiales. En semaine, au moins deux soirées "off" pour le sport et pour mon conjoint.
pour le reste, je suis toujours en amélioration car je suis capable de parler boulot non stop, ou d'y penser tout le temps... je suis très anxieuse, toujours à me poser des questions, très perfectionniste donc mon mari me recadre régulièrement pour que je ne me fasse pas bouffer et pour remettre les choses à leur place.
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"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- pmullerHabitué du forum
Manon88 a écrit:Bonjour à tous,
je me permets de vous écrire car j'ai l'impression d'être la seule de mon collège à ne pas réussir à faire le vide une fois chez moi...
Il faut dire que je suis stagiaire et qu'entre la préparation de la visite de la formatrice et les copies à corriger (+ pleins de cours à rédiger et le cahier de texte à remplir) je n'ai que très peu de temps pour moi.
Mon entourage me signale que je m'enferme sur moi-même. Pourtant je ne le ressens pas comme cela. Je prends juste plus de temps pour mon travail (fini la vie étudiante...)
Donc parvenez-vous à ne plus penser au collège une fois chez vous ? Si vous avez des conseils, je prends car finalement j'ai l'impression de ne vivre que pour mon métier. (Je ne suis pas encore dépressive ! J'aime ce que je fais.)
Ou alors est-ce une vie propre au stagiaire ?
Ca dépend. S'il y a eu un problème en cours ou avec des collègues, alors je ressasse, mais c'est moi, c'est mon caractère. Je sais que je ne devrais pas.
Quand tout va bien, on se détache plus facilement.
Personnellement, j'ai l'habitude de ne pas préparer mes cours par écrit, parce qu'au début de ma carrière, je restais accroché à ma feuille ! :lol:
Du coup, je les prépare mentalement et il m'arrive d'y penser en faisant des courses, ou du sport.
On est toujours un peu prof, mais on est aussi autre chose, en même temps : parent, sportif, en vacances, voyageur, maître d'un chat indiscipliné, militant, représentant d'association, tout ce qu'on peut faire dans la vie, en somme.
- DaphnéDemi-dieu
Marounette a écrit:Artysia a écrit:Une simple question : comment ne pas penser à son travail alors qu'on le ramène à la maison ? Que plus de la moitié de mon travail se passe chez soi ???
+1
C'est exactement ce que je pense.
C'est l'avantage et l'inconvénient de notre métier : une bonne partie de notre travail se fait chez nous, quand et où on veut.
Donc on y pense forcément, il y a toujours un paquet de copies qui traîne ..............
Par contre il faut se vider la tête des problèmes de discipline élèves dès qu'on sort de cours sinon on ne s'en sort pas.
- InvitéeLoChaHabitué du forum
Je rumine souvent quand une classe est agitée car je me dis que c'est de ma faute (on nous l'a répété à l'IUFm, mes CDE me l'ont dit, les parents le disent...)
Donc je culpabilise.
Si j'arrivais à ne pas me sentir "nulle " parfois, ça irait bien mieux.
Mon caractère est ainsi et je ne vois pas comment améliorer cela.
Donc je culpabilise.
Si j'arrivais à ne pas me sentir "nulle " parfois, ça irait bien mieux.
Mon caractère est ainsi et je ne vois pas comment améliorer cela.
- Mezzo voceNiveau 9
Lorine2 a écrit:Je rumine souvent quand une classe est agitée car je me dis que c'est de ma faute (on nous l'a répété à l'IUFm, mes CDE me l'ont dit, les parents le disent...)
Donc je culpabilise.
Si j'arrivais à ne pas me sentir "nulle " parfois, ça irait bien mieux.
Mon caractère est ainsi et je ne vois pas comment améliorer cela.
J'eus pu rédiger exactement la même chose.
- CatalunyaExpert spécialisé
Arrivez-vous à ne plus penser au collège une fois chez vous ?
Oui car je suis au lycée :lol:
Oui car je suis au lycée :lol:
- miss sophieExpert spécialisé
Caspar Goodwood a écrit:@miss sophie:Je me reconnais dans ton auto-portrait mais tu dois bien avoir des passions ou des choses qui t'intéressent et te permettent de penser à autre chose qu'au boulot?
Ben, le problème c'est que mon boulot me passionne !
Plus sérieusement (quoique), ma grande passion est la lecture, alors... Je regarde des séries en VO, aussi. Si j'avais plus de temps j'apprendrais sans doute des langues nouvelles. Bref, ce qui m'intéresse est assez proche de mon métier, je ne l'ai pas choisi par hasard...
- HérodouteGrand sage
Catalunya a écrit:Arrivez-vous à ne plus penser au collège une fois chez vous ?
Oui car je suis au lycée :lol:
Tu sors ! :boulet: :pas vrai:
- RendashBon génie
Lorine2 a écrit:Je rumine souvent quand une classe est agitée car je me dis que c'est de ma faute (on nous l'a répété à l'IUFm, mes CDE me l'ont dit,)
Pareil.
Non, je n'arrive pas à me détacher du collège, sauf...quand je travaille sur mon mémoire. Aucune coupure d'aucune sorte, donc, sauf très ponctuellement.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- CasparProphète
miss sophie a écrit:Caspar Goodwood a écrit:@miss sophie:Je me reconnais dans ton auto-portrait mais tu dois bien avoir des passions ou des choses qui t'intéressent et te permettent de penser à autre chose qu'au boulot?
Ben, le problème c'est que mon boulot me passionne !
Plus sérieusement (quoique), ma grande passion est la lecture, alors... Je regarde des séries en VO, aussi. Si j'avais plus de temps j'apprendrais sans doute des langues nouvelles. Bref, ce qui m'intéresse est assez proche de mon métier, je ne l'ai pas choisi par hasard...
C'est souvent le "problème" des matières littéraires. Quand j'ai fini de faire de l'anglais pour le travail je lis des romans en anglais et je regarde films, séries et émissions de télé en anglais. C'est sans doute plus facile de séparer travail et plaisir quand on est prof de maths par exemple.
- DinaaaExpert spécialisé
Je déconnecte très facilement
L'année de stage est très particulière, il est normal d'y consacrer toute son énergie, on a tout à apprendre ! Et les 2 ou 3 années d'entrée dans la carrière sont bien chargées également, mais après, peu à peu, des automatismes se mettent en place et tout devient beaucoup plus léger...
L'année de stage est très particulière, il est normal d'y consacrer toute son énergie, on a tout à apprendre ! Et les 2 ou 3 années d'entrée dans la carrière sont bien chargées également, mais après, peu à peu, des automatismes se mettent en place et tout devient beaucoup plus léger...
- sookieGrand sage
J'enseigne depuis 20 ans et je ne peux pas passer une journée sans penser au boulot, ni même la nuit, je dors très mal et à chaque fois que je me réveille c'est pour penser à un truc que je dois faire ou que je ne dois pas oublier.
Je suis dans un établissement assez difficile avec des élèves au niveau très faible mais je m'y sens bien, il y a une bonne ambiance. Je ne suis ni stressée ni angoissée mais je pense au travail très souvent, je ne peux pas m'en empêcher et je n'essaie même pas. Je fais de la zumba deux fois par semaine pour bien me vider la tête mais après cela revient.
Et cela ne me dérange pas de travailler le week-end, mes enfants sont grands et ont leurs propres occupations et mon mari qui travaille pour lui à domicile bosse aussi le week-end, par contre j'évite de travailler le soir, là c'est vraiment relâche (je suis à temps partiel c'est plus facile), il me faut du temps pour regarder toutes mes séries !
Je suis dans un établissement assez difficile avec des élèves au niveau très faible mais je m'y sens bien, il y a une bonne ambiance. Je ne suis ni stressée ni angoissée mais je pense au travail très souvent, je ne peux pas m'en empêcher et je n'essaie même pas. Je fais de la zumba deux fois par semaine pour bien me vider la tête mais après cela revient.
Et cela ne me dérange pas de travailler le week-end, mes enfants sont grands et ont leurs propres occupations et mon mari qui travaille pour lui à domicile bosse aussi le week-end, par contre j'évite de travailler le soir, là c'est vraiment relâche (je suis à temps partiel c'est plus facile), il me faut du temps pour regarder toutes mes séries !
- cléliaFidèle du forum
L'année de stage, la pression est réelle donc il est normal d'y penser presque tout le temps. Après, ça s'arrange avec le temps. Enfin, ce fut mon cas.
Quand je préparais le capes, j'étais incapable de lire un truc sans penser à ce que je pourrais en tirer pour le concours. Quand j'ai commencé à enseigner, j'étais incapable de lire un truc sans penser à ce que je pourrais en tirer pour mes cours. Aujourd'hui, je lis d'abord pour mon plaisir. Je vois des films d'abord pour mon plaisir. Bien sûr, indirectement, cela nourrit mes pratiques. Parfois, je me dis : "Tiens, ce serait sympa en 3e" mais c'est un bonus. Ca ne parasite pas ma lecture et mon plaisir.
J'apprécie la liberté d'organisation que me laisse ce travail. La contrepartie, c'est de rapporter du boulot à la maison. Mais en dehors des moments où je m'y colle vraiment (pour préparer ou corriger) et du temps où je me promène sur le forum, je ne pense guère au boulot. Et pourtant, j'habite à un quart d'heure de mon collège, à la campagne. Je croise régulièrement des élèves. Mais je me contente d'un "Bonjour Kévin" et chacun retourne à ses moutons.
Quand je préparais le capes, j'étais incapable de lire un truc sans penser à ce que je pourrais en tirer pour le concours. Quand j'ai commencé à enseigner, j'étais incapable de lire un truc sans penser à ce que je pourrais en tirer pour mes cours. Aujourd'hui, je lis d'abord pour mon plaisir. Je vois des films d'abord pour mon plaisir. Bien sûr, indirectement, cela nourrit mes pratiques. Parfois, je me dis : "Tiens, ce serait sympa en 3e" mais c'est un bonus. Ca ne parasite pas ma lecture et mon plaisir.
J'apprécie la liberté d'organisation que me laisse ce travail. La contrepartie, c'est de rapporter du boulot à la maison. Mais en dehors des moments où je m'y colle vraiment (pour préparer ou corriger) et du temps où je me promène sur le forum, je ne pense guère au boulot. Et pourtant, j'habite à un quart d'heure de mon collège, à la campagne. Je croise régulièrement des élèves. Mais je me contente d'un "Bonjour Kévin" et chacun retourne à ses moutons.
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Il voyagea.
Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues.
Il revint.
Il fréquenta le monde, et il eut d’autres amours, encore.
- cariboucGuide spirituel
En un mot : NAN ! J'y pense quasi tout le temps... ça me bouffe
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- NitaEmpereur
Non, mais je n'essaie pas non plus.
(Et énormément de gens rapportent leur travail à la maison, hein...)
(Et énormément de gens rapportent leur travail à la maison, hein...)
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A clean house is a sign of a broken computer.
- eleonore69Érudit
oui, mais ce n'était pas le cas en début de carrière.
- babouchka4Fidèle du forum
Rarement...
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" If you can keep your head when all about you are losing theirs..... , you'll be a man my Son. "
- F.LemoineÉrudit
Non, et ça fait plus de 20 ans que je suis prof. J'y travaille (musique, cuisine, badminton avec fiston...) , mais c'est loin d'être gagné. Mais c'est souvent agréable (c'est l'effet pervers, quand on aime son boulot). La preuve, il est 1 h. 29, et je commence tout à l'heure à 8 h. ...
- IsidoriaDoyen
J'y pense un peu moins qu'à mes débuts, ou en tout cas j'y pense différemment. J'arrive même maintenant à lire un livre pour moi, ou à regarder un film sans le projeter dans un travail avec une classe...
Par contre cette année ça revient un peu à la charge cette omniprésence du travail dans ma tête, depuis que je suis tuteur de plusieurs débutants, et que je suis aussi formatrice...
Par contre, j'ai la chance de ne pas travailler le lundi (enfin pas au lycée), et je m'accorde le samedi entier sans boulot, une nécessaire coupure, sinon ça me bouffe.
Par contre cette année ça revient un peu à la charge cette omniprésence du travail dans ma tête, depuis que je suis tuteur de plusieurs débutants, et que je suis aussi formatrice...
Par contre, j'ai la chance de ne pas travailler le lundi (enfin pas au lycée), et je m'accorde le samedi entier sans boulot, une nécessaire coupure, sinon ça me bouffe.
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- Prof célibataire (mais pas seulement?)... vous ruminez chez vous quand vous avez une classe pénible?
- Si vous arrivez à vous reconvertir, quelle sera votre première réaction ?
- Arrivez-vous à enseigner des livres que vous n'aimez vraiment pas ?
- Arrivez-vous à vous rappeler les prénoms de vos élèves ?
- Les poèmes que vous avez appris à l'école/au collège et dont vous vous souvenez encore ?
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