- NasopiBon génie
J'avais beaucoup aimé Terre des oublis donc j'ai acheté celui-là, mais je n'en suis qu'au début : difficile d'avoir un avis !
- ErgoDevin
Ah oui, Reine, mais forcément...Jaworski.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- coindeparadisGuide spirituel
Je viens de terminer ce roman autobiographique qui retrace une expérience pédagogique singulière entre 1938 et 1945. Un homme fortement empreint d'une idéologie rousseauiste crée une petite école dans un train désaffecté. Une pédagogie proche de Freinet. L'auteur est partial et dithyrambique et on peut remarquer que la gestion du personnel est loin d'être idéale (toute ressemblance avec l'époque actuelle et la France est un concours de circonstances ). Mais lorsque qu'on replace dans le contexte géographique et historique, cela n'est pas sans intérêt. Sans compter que cela se lit tout seul !
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- AnguaGrand sage
Ergo a écrit:Ah oui, Reine, mais forcément...Jaworski.
Pour aller au-delà de cette participation hautement constructive, je viens d'attaquer ça :
- kyralinaNiveau 8
A quelques jours de la rentrée des professeurs, j'ai lu Crissement sur le tableau noir de Philippe Delepierre. C'est un roman drôle, grinçant et sans concession sur le monde des professeurs d'un lycée du Nord.J'ai adoré son mauvais esprit.
- oden38Niveau 3
Je viens poser ma pierre à ce bel édifice avec mes lectures de l'été, choisies - comme souvent en fait depuis que j'ai l'âge de lire - pour combler mes lacunes !
Le maître et Marguerite, Boulgakov > Roman déroutant mais fabuleux par son génie. J'ai adoré.
Vent d'Est, vent d'Ouest, Pearl Buck > ou l'histoire des derniers soubresauts de la vieille tradition chinoise. Très intéressant.
Sous le soleil de Satan, Bernanos > Bof. Des passages sublimes mais des longueurs, l'ensemble est un peu trop halluciné parfois.
L'attrape-coeurs, Salinger > Lecture facile et agréable, même si je pense que la traduction française fait perdre un peu de la saveur argotique du style.
Les versets sataniques, Salman Rushdie > Une belle claque littéraire, mon coup de cœur de l'été. Des résonances du réalisme magique qui rappellent Cent ans de solitude que j'avais adoré.
Les Bonnes, Jean Genet > Bien, le délire schizophrénique des personnages est très bien vu et très bien amené.
Shining, Stephen King > Je n'avais jamais lu du King, il était temps... Facile et efficace. Pour avoir revu le film juste après, je trouve le livre tout compte fait mieux ficelé et plus angoissant. Le film me laisse de marbre...
Atala - René, Chateaubriand > Ce livre m'a laissé la désagréable impression d'être passée à côté... il y a quelque chose que je n'ai pas dû comprendre. J'ai trouvé beaucoup d'aspects d'Atala très agaçants, le côté chrétien hyper moralisateur notamment. Bien sûr Chateaubriand n'a pas voulu faire du réalisme, mais quand on connaît un peu l'histoire des Amérindiens et les tortures infligées par les missionnaires, on a un peu du mal à adhérer à son parti pris. René m'a semblé très insupportable lui aussi : quand il annonce l'histoire de ses malheurs, je m'attendais à un Assommoir au moins, en beaucoup plus glauque si possible ... et finalement son histoire se résume à l'entrée de sa soeur dans un couvent. On a envie de le secouer ce René, et pourtant je comprends profondément le mal-être du début du XIXème siècle et l'état d'âme romantique. Mais trop c'est trop. Bref, j'ai été très déçue.
L'illusion comique, Corneille > Quand je disais que je comble mes lacunes... Bon, c'est du grand Corneille, alors ça se passe de commentaires !
Le maître et Marguerite, Boulgakov > Roman déroutant mais fabuleux par son génie. J'ai adoré.
Vent d'Est, vent d'Ouest, Pearl Buck > ou l'histoire des derniers soubresauts de la vieille tradition chinoise. Très intéressant.
Sous le soleil de Satan, Bernanos > Bof. Des passages sublimes mais des longueurs, l'ensemble est un peu trop halluciné parfois.
L'attrape-coeurs, Salinger > Lecture facile et agréable, même si je pense que la traduction française fait perdre un peu de la saveur argotique du style.
Les versets sataniques, Salman Rushdie > Une belle claque littéraire, mon coup de cœur de l'été. Des résonances du réalisme magique qui rappellent Cent ans de solitude que j'avais adoré.
Les Bonnes, Jean Genet > Bien, le délire schizophrénique des personnages est très bien vu et très bien amené.
Shining, Stephen King > Je n'avais jamais lu du King, il était temps... Facile et efficace. Pour avoir revu le film juste après, je trouve le livre tout compte fait mieux ficelé et plus angoissant. Le film me laisse de marbre...
Atala - René, Chateaubriand > Ce livre m'a laissé la désagréable impression d'être passée à côté... il y a quelque chose que je n'ai pas dû comprendre. J'ai trouvé beaucoup d'aspects d'Atala très agaçants, le côté chrétien hyper moralisateur notamment. Bien sûr Chateaubriand n'a pas voulu faire du réalisme, mais quand on connaît un peu l'histoire des Amérindiens et les tortures infligées par les missionnaires, on a un peu du mal à adhérer à son parti pris. René m'a semblé très insupportable lui aussi : quand il annonce l'histoire de ses malheurs, je m'attendais à un Assommoir au moins, en beaucoup plus glauque si possible ... et finalement son histoire se résume à l'entrée de sa soeur dans un couvent. On a envie de le secouer ce René, et pourtant je comprends profondément le mal-être du début du XIXème siècle et l'état d'âme romantique. Mais trop c'est trop. Bref, j'ai été très déçue.
L'illusion comique, Corneille > Quand je disais que je comble mes lacunes... Bon, c'est du grand Corneille, alors ça se passe de commentaires !
- CathEnchanteur
Bon, je l'ai laissé tombé, je m'ennuyais.Nasopi a écrit:Cath a écrit:Qui avait commencé Le Lecteur de cadavres ? J'en suis à la moitié, c'est plus léger que ce à quoi je m'attendais.
Je l'ai lu il y a quelques temps, c'est peut-être moi qui en ai parlé ici.
- NasopiBon génie
Oui, il y a des longueurs.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- Paul DedalusNeoprof expérimenté
Je découvre à nouveau la beauté torturée de Belle du seigneur D'Albert Cohen.
Beaucoup de poésie dans ce roman et une volonté de communiquer l'expérience de l'être-au-monde féminin ♀ dans son incarnation.
Beaucoup de poésie dans ce roman et une volonté de communiquer l'expérience de l'être-au-monde féminin ♀ dans son incarnation.
- NihtFidèle du forum
Science-Fiction
Quatrième de couverture :
Jim Holden est second sur un transport de glace qui effectue la navette entre les anneaux de Saturne et les stations installées dans la Ceinture d'astéroïdes. Quand son équipage et lui croisent la route du Scopuli, ils se retrouvent en possession d'un secret pour lequel certains sont prêts à tuer. Ce sera la guerre dans tout le système solaire s'il ne découvre pas qui a abandonné ce vaisseau, et pourquoi. L'inspecteur Miller recherche une jeune femme dont les parents sont riches et influents. Son enquête le mène au Scopuli et à Holden. Entre le gouvernement de la Terre, les révolutionnaires des Planètes extérieures et certaines firmes aux visées obscures, Holden et Miller doivent jouer finement : leurs chances de réussir sont minces mais au coeur de la Ceinture les règles sont particulières, et un petit vaisseau peut changer le destin de l'univers. Thriller interplanétaire mâtiné de noir et d'éléments horrifiques, la saga The Expanse dépoussière furieusement le genre du space opera.
Sympathique sans plus. Je lirai quand même la suite, quand elle sortira en poche.
Fantasy
Don Benvenuto, assassin, vil personnage et conteur hors pair nous narre ses mésaventures au service du Podestat Ducatore, dans une Renaissance revisitée et fantastique.
Très belle écriture mais l'histoire m'a laissée indifférente.
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Burnt me at the stake, you thought I was a witch
Centuries ago, now you just call me a bitch
Man's world, Marina
- OrlandaFidèle du forum
Zarathoustra-Educateur a écrit:Je découvre à nouveau la beauté torturée de Belle du seigneur D'Albert Cohen.
Beaucoup de poésie dans ce roman et une volonté de communiquer l'expérience de l'être-au-monde féminin ♀ dans son incarnation.
Tiens donc. Ariane? Si vous en êtes convaincu.
- coindeparadisGuide spirituel
J'ai trouvé au contraire que c'était très phallocrate comme vision de la femme...
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- OrlandaFidèle du forum
coindeparadis a écrit:J'ai trouvé au contraire que c'était très phallocrate comme vision de la femme...
Pour le moins, oui...Ariane m'horripile, Solal non moins. En revanche, ce que je chéris dans ce gros loukoum fait roman, c'est cette satire âpre de la SDN. Là, je riais franchement.
- LouisBarthasExpert
« Deux fois la boxe m'a sauvé la vie. Une fois, physiquement, lorsque j'avais six ou sept paysans de mon village sur le dos, bien décidés à me faire la peau. Une deuxième fois, moralement, lorsque j'ai appris que mon fils Gabriel, alias Kid Atlaas sur les sites musicaux, était atteint d'un cancer incurable. Elle m'a permis de passer ma rage, d'oublier. Et lorsque les combattants étaient partis, que les rings étaient désertés, rassasié de coups, je pouvais m'asseoir dans un coin et attendre la marée de chagrin qui allait me submerger. »
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- lumeekaExpert spécialisé
Synthétique avec une excellente bibliographie.
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Animals are my friends... and I don't eat my friends. George Bernard Shaw
https://www.facebook.com/sansvoixpaca/
http://www.nonhumanrightsproject.org/about-us-2/
- Dorian GrayNiveau 5
Une étude des causes et de l'étendue de la caricature "piriforme" de Louis-Philippe.
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"we're not scaremongering / this is really happening"
- ArverneGrand sage
Je viens de lire un article sur Donna Leon qui a crée le commissaire Brunetti, qui enquête à Venise. Des amateurs ? C'est sympa à lire ?
- cocoonpedaNiveau 7
Je viens de terminer ce roman qui m'a bouleversée (thème/écriture)
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Ce que tu rêves, fais le.
Joseph DELTEIL
- SaltaojosHabitué du forum
Arverne a écrit:Je viens de lire un article sur Donna Leon qui a crée le commissaire Brunetti, qui enquête à Venise. Des amateurs ? C'est sympa à lire ?
J'adore ses romans on profite de magnifiques paysages !
- DuducheNiveau 5
Je ne sais pas si quelqu'un en a déjà parlé et au risque de faire doublon. Je viens de terminer "L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea" de Romain Puértolas. J'ai adoré. Un bouleversant voyage au cœur des conditions de vie des migrants avec juste ce qu'il faut d'espoir et d'humour malgré la gravité du sujet.
- CathEnchanteur
Je lis Duane est dépressif de Larry Mc Murtry.
En cherchant le nom de l'auteur, je découvre que Duane est le héros d'une trilogie, dont Duane est dépressif est le dernier volume... Pas de bol, mais bon ça se lit de façon indépendante sans problème.
Duane a 62 ans, possède un puits de pétrole au Texas et décide d'un seul coup qu'il en a assez de conduire son pick-up, qu'il ne veut plus jamais se déplacer dans un engin motorisé. Il gare sa voiture, range les clés et voilà. Il se déplace en marchant.
Dans un état où le pétrole est roi, il attire la curiosité de tous ses voisins et surtout l'inquiétude de sa femme, persuadée qu'il veut divorcer. D'autant qu'après quelques jours, il part (toujours à pied) s'installer dans un petite cabane qu'il possède dans un coin isolé, laissant derrière lui son boulot et une famille complètement déjantée.
Le roman commence comme une farce, tellement caricatural que j'ai failli le laisser tomber... Mais très vite, l'histoire prend de la profondeur et on n'a plus vraiment envie de rire.
Extrait :
"Penser, ça devait être un peu comme l’escalade, il fallait d’abord s’habituer à l’altitude. Il n’était pas habitué à réfléchir et, en particulier, sur lui-même. Il avait probablement essayé de penser trop, trop tôt, sans se donner le temps de s’accoutumer à l’altitude requise. Il faudrait qu’il ralentisse en matière de réflexion, ne pas en faire autant à la fois, et peut-être apprendre à éviter les domaines de pensée dangereux, les zones qui pouvaient troubler sa sérénité. Il était probable que penser était une activité à laquelle on devait s’adonner de façon méthodique en prenant quelques précautions."
Edit : c'est quoi ce trait en plein milieu ? Il n'apparait pas quand je tape le message...
En cherchant le nom de l'auteur, je découvre que Duane est le héros d'une trilogie, dont Duane est dépressif est le dernier volume... Pas de bol, mais bon ça se lit de façon indépendante sans problème.
Duane a 62 ans, possède un puits de pétrole au Texas et décide d'un seul coup qu'il en a assez de conduire son pick-up, qu'il ne veut plus jamais se déplacer dans un engin motorisé. Il gare sa voiture, range les clés et voilà. Il se déplace en marchant.
Dans un état où le pétrole est roi, il attire la curiosité de tous ses voisins et surtout l'inquiétude de sa femme, persuadée qu'il veut divorcer. D'autant qu'après quelques jours, il part (toujours à pied) s'installer dans un petite cabane qu'il possède dans un coin isolé, laissant derrière lui son boulot et une famille complètement déjantée.
Le roman commence comme une farce, tellement caricatural que j'ai failli le laisser tomber... Mais très vite, l'histoire prend de la profondeur et on n'a plus vraiment envie de rire.
"Penser, ça devait être un peu comme l’escalade, il fallait d’abord s’habituer à l’altitude. Il n’était pas habitué à réfléchir et, en particulier, sur lui-même. Il avait probablement essayé de penser trop, trop tôt, sans se donner le temps de s’accoutumer à l’altitude requise. Il faudrait qu’il ralentisse en matière de réflexion, ne pas en faire autant à la fois, et peut-être apprendre à éviter les domaines de pensée dangereux, les zones qui pouvaient troubler sa sérénité. Il était probable que penser était une activité à laquelle on devait s’adonner de façon méthodique en prenant quelques précautions."
Edit : c'est quoi ce trait en plein milieu ? Il n'apparait pas quand je tape le message...
- palomitaNeoprof expérimenté
Je viens de finir Par un matin d'automne , de Robert Goddard; une lecture agréable, avec un bon suspense . A lire au coin du feu cet hiver plutôt qu'en plein été .
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Je relis La Fortune des Rougon, lu il y a onze ans (déjà que cela passe vite), en seconde (coup de vieux inside). Souvenir du professeur nous expliquant ce qu'est un "réactionnaire", de son explication un peu plus confuse du contexte historique, du désir de domination tout entier incarné dans le désir matériel de beaux meubles ou de poser ses fesses dans un certain fauteuil et... c'est bien tout. Un petit peu d'Adélaïde aussi.
C'est affreux, je n'ai pas de mémoire littéraire. Je redécouvre tout, je ne me souviens de rien. Tout au plus du parfum, de la couleur du style de Zola, et puis les choses que je découvre ont quand même un petit air de familiarité. Comment ai-je pu oublier ces pages fabuleuses, fantastiques sur le cimetière, l'arrivée épique de la bande au clair de lune, les réunions du salon jaune...
C'est affreux, je n'ai pas de mémoire littéraire. Je redécouvre tout, je ne me souviens de rien. Tout au plus du parfum, de la couleur du style de Zola, et puis les choses que je découvre ont quand même un petit air de familiarité. Comment ai-je pu oublier ces pages fabuleuses, fantastiques sur le cimetière, l'arrivée épique de la bande au clair de lune, les réunions du salon jaune...
- Guillaume le GrandFidèle du forum
lumeeka a écrit:Synthétique avec une excellente bibliographie.
Ce livre me fait grandement envie. Est-il difficile?
J'ai commencé Elisabeth de Fontenay, une fantastique une histoire du rapport aux animaux à travers les écrits de philosophes. C'est brillantissime!
Et en parallèle, sur les conseils d'une néo
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''C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde''. Boris Vian
''Nous n'acceptons pas de vérité promulguée : nous la faisons nôtre d'abord par l'étude et par la discussion et nous apprenons à rejeter l'erreur, fut-elle mille fois estampillée et patentée. Que de fois, en effet, le peuple ignorant a-t-il dû reconnaître que ses savants éducateurs n'avaient d'autre science à lui enseigner que celle de marcher paisiblement et joyeusement à l'abattoir, comme ce boeuf des fêtes que l'on couronne de guirlandes en papier doré." Elisée Reclus
- lumeekaExpert spécialisé
Non, fais-toi plaisir.Guillaume le Grand a écrit:
Ce livre me fait grandement envie. Est-il difficile?
http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article367
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Animals are my friends... and I don't eat my friends. George Bernard Shaw
https://www.facebook.com/sansvoixpaca/
http://www.nonhumanrightsproject.org/about-us-2/
- LouisBarthasExpert
« Nous venions de passer Gisors, où je m'étais réveillé en entendant le nom de la ville crié par les employés, et j'allais m'assoupir de nouveau, quand une secousse épouvantable me jeta sur la grosse dame qui me faisait vis-à-vis. »
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
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