- keroGrand sage
WonderWoman, je conçois parfaitement ce que tu dis. D'ailleurs, si tu me lis précisément, ce n'est en aucun cas contradictoire avec ce que je dis.
- WonderWomanBon génie
je n'ai jamais dit le contraire.Khalie a écrit:Mais le DIF ou le congé formation nécessite bien une certaine ancienneté ? (je ne connais pas bien le fonctionnement) Il me semble que le congé formation n'est pas si facilement accordé et je ne crois pas que les médecins aujourd'hui prescrivent des arrêts de complaisance, non ? le CDE peut demander un contrôle d'ailleurs si ça lui semble louche , le mien l'avait fait pour un collègue.
ça se voit que tu ne m'as pas beaucoup lue
j'ai eu mieux que le contrôle : j'ai eu le RV pour attester de mon aptitude à enseigner chez un psychiatre
@Kero, je n'ai pas compris ton message alors ! (ce n'est pas impossible, le gewurtz vendanges tardives est bien bon )
Je trouve la formulation très dure : " Utiliser un arrêt maladie en prévision d'une reconversion, parce qu'on ne parvient pas à exercer sereinement le métier choisi précédemment, j'estime que si, c'est malhonnête. "
Mais peut être est-ce parce que j'ai projeté trop de choses derrière le mot "sereinement".
Si ne pas pouvoir faire son boulot sereinement c'est rechigner à y aller, s'ennuyer en classe... là, je comprends et te rejoins.
Si ne pas pouvoir faire son boulot sereinement c'est d'en être arrivé au point de ne pas dormir, de bouffer des anxio pour s'apaiser, de vomir d'angoisse, ou autre... là, je ne suis plus d'accord.
En fait, c'est assez délicat de dire, en lisant simplement les témoignages des stagiaires, si ce qu'ils vivent sont juste des atermoiements, comme j'ai pu le lire ; ou alors une dépression réactionnelle.
Et cette dépression réactionnelle, est-elle vraiment due aux conditions même du stage (ESPE, tuteur, etc etc), aux conditions du métier d'enseignant (éloignement géographique, irrespect des élèves, des parents, ...) OU à quelque chose qui se révèle dans l'exercice de ce métier mais qui est lié à l'histoire personnelle ?
Je me demande souvent, par exemple, pourquoi je ne supportais pas de prendre le train pour faire 2h30 de trajet AR l'an dernier alors qu'une copine fait depuis 2010 2H30 de trajet aller et s'en sort bien.
On ne peut pas savoir, et il est possible que les personnes concernées elles-mêmes aient bien du mal à le savoir...
Aussi je me contenterais de cela : l'année de stage n'est pas une année ordinaire, elle est bien plus épouvantable en terme de pression et nous avons plusieurs exemples de personnes qui ont découvert le métier une fois titularisé ; on a droit (en tous cas à mon époque -2010-2011- c'était comme ça) à 36 j d'AM lors de l'année de stage sans être prolongé ; aussi, aller voir un médecin lorsqu'on craque est la seule bonne idée ; et parler à un psychologue de ce stress, etc, peut faire du bien, en parallèle à une vie perso remplie d'autres choses que du boulot. (et oui, je sais à quel point c'est dur, je sais à quel point on est inondé de travail, je sais à quel point le boulot nous envahit et je sais que la pression de la titularisation pèse un poids énorme)
Edit : en fait j'avais loupé ce message là :
dans ce cas, je suis d'accord avec toi.kero a écrit:Reine Margot a écrit:Le souci c'est que les deux sont parfois liés, comme je le disais. Il peut y avoir un véritable problème de santé (angoisses, dépression...) ET une prise de conscience que la reconversion est indispensable.
Absolument. Ce n'est évidemment pas de ce genre de cas de figure, que je parle. Je parle du fait de se faire mettre en arrêt alors qu'on a déjà décidé de partir dans tous les cas.
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Vide dressing petite fille https://www.vinted.fr/membres/15210542-wiwiagathe
Vide dressing sur néo : https://www.neoprofs.org/t128716-vd-fille-wonderwoman-du-3-mois-au-4-ans-sergent-major-jacadi-zara-dpam-kiabi-verbaudet#4954294
- KhalieNiveau 5
Wonderwoman, j'ai posté quasiment en même temps que toi, mon message ne s'adressait pas à toi ^^ . Tu as dû voir que je rejoignais en grande partie tes propos notamment sur ce qu'on pourrait appeler la résilience. J'ai mal formulé ma phrase j'aurais du mettre un point à la place du "et" . J'ai juste eu l'impression en lisant le fil que certains considéraient que les AM sont distribués à notre bon vouloir et non pas en fonction de notre état ..
- roxanneOracle
Il est cependant vrai que les conditions de stage jouent aussi. J'ai discuté avec la nièce de mon homme, stagiaire agrgée, nommée dans un collège côté, à qui on a donné la classe bilangue-latin, et dont le plus gros problème a été un élève refusant de changer de place, élève immediatement reçu par la cpe et l'adjointe. Et je compare aux conditions de stage des stagiaires de mon collège, avec les classes dure, une adjointe qui déclare au jeune prof de maths qui lui amène des élèves qui se lancent des trousses que ces élèves "ont droit à un bn cours". Alors peut-être que le stagaires de maths n'est pas fait pour ce boulot, même dans de bonnes conditions, peut-être aussi que la jeune agrégée saura se débrouiller à Créteil où elle risque d'être nommée l'année prochaine, mais il y a au départ ne sacrée diffrence.
- keroGrand sage
roxanne a écrit:Alors peut-être que le stagaires de maths n'est pas fait pour ce boulot, même dans de bonnes conditions, peut-être aussi que la jeune agrégée saura se débrouiller à Créteil où elle risque d'être nommée l'année prochaine, mais il y a au départ ne sacrée diffrence.
Avoir du mal en gestion de classe n'est à l'évidence pas une raison suffisante pour considérer que quelqu'un n'est pas fait pour le job. La question se pose, en revanche (se pose, non se tranche), dans le cas où cette même personne ne parvient pas à gérer émotionnellement au point de fuir la situation.
- DimkaVénérable
Par contre, que l’éducation nationale prenne ses responsabilités, offre des conditions de stage décentes et justes à ses nouveaux professeurs, ça, on peut se brosser…kero a écrit:Faut arrêter de tourner autour du pot et prendre ses responsabilités, à un moment donné.
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- Spoiler:
- keroGrand sage
Dimka a écrit:Par contre, que l’éducation nationale prenne ses responsabilités, offre des conditions de stage décentes et justes à ses nouveaux professeurs, ça, on peut se brosser…kero a écrit:Faut arrêter de tourner autour du pot et prendre ses responsabilités, à un moment donné.
Ah mais nous sommes parfaitement d'accord.
- User5899Demi-dieu
En tout cas, s'il n'y a pas une pathologie reconnue par un médecin, pathologie qui nécessite un arrêt, et que cet arrêt est seulement sollicité face à des blocages comme par exemple un tuteur infect, je pense que c'est précisément cette estime de soi qui va souffrir. Or c'est ce qu'il faut préserver autant que possible, à mon sens (et je le répète, en dehors de pathologies précises).Khalie a écrit:Mais le DIF ou le congé formation nécessite bien une certaine ancienneté ? (je ne connais pas bien le fonctionnement) Il me semble que le congé formation n'est pas si facilement accordé et je ne crois pas que les médecins aujourd'hui prescrivent des arrêts de complaisance, non ? le CDE peut demander un contrôle d'ailleurs si ça lui semble louche , le mien l'avait fait pour un collègue.
A moins d'avoir un conjoint qui gagne bien sa vie ou un bon pécule, la démission sèche est difficile, surtout dans certaines matières, et la reconversion nécessite des compléments de formation (qu'on a pas forcement sans ancienneté) ou le passage de concours... et il faut parfois prendre le temps de se reconstruire pour aller de l'avant (ou bouger son cul comme disent mes chers collègues si pleins d'empathie)... Il me semble que les personnes dépressives sont "amorphes" et ont du mal à engager des démarches. Je ne sais plus qui le disait plus haut mais c'est vrai que les voies de sorties de l'EN sont quand même sérieusement encombrée...
et puis quand on a fait 5 ans d'étude autant se donner un seconde chance dans la voie qu'on s'est choisie... Je n'ai pas tout relu Verte.M.Raude mais avec déjà 6 semaines d'arrêt, j'espère vraiment pour ta santé que tu ne t'es pas contenté d'un arrêt "sec" et que tu as trouvé un professionnel à qui parler voire les medocs adéquats. Mais j'aime aussi la méthode Cripurienne, si le redoublement est inéluctable au vu des arrêts de travail, ne pas hésiter à foutre un bon coup de pied dans la fourmilière et encadrer le tuteur.... Parfois c'est salutaire pour l’estime de soi
- WonderWomanBon génie
En plus, des gens infects, dans le milieu du travail, on n'en rencontre pas que à l'éduc' nat A ce niveau là, c'est sûr qu'il faut blinder son estime de soi, ce qui n'est effectivement pas évident lorsqu'on est arrêté. Même lorsqu'on l'est parce qu'on est malade (physiquement j'entends - comme une angine), on peut facilement culpabiliser et se dénigrer (j'en sais quelque chose).
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- Ingeborg B.Esprit éclairé
C'est un élément sur le quel on devrait se battre mais il est difficile de mobiliser les gens qui ne se sentent malheureusement pas concernés. Peu de collègues connaissent la réalité actuelle des conditions d'entrée dans le métier.Dimka a écrit:Par contre, que l’éducation nationale prenne ses responsabilités, offre des conditions de stage décentes et justes à ses nouveaux professeurs, ça, on peut se brosser…kero a écrit:Faut arrêter de tourner autour du pot et prendre ses responsabilités, à un moment donné.
- Bonnie BlueNiveau 9
WonderWoman a écrit:En plus, des gens infects, dans le milieu du travail, on n'en rencontre pas que à l'éduc' nat A ce niveau là, c'est sûr qu'il faut blinder son estime de soi, ce qui n'est effectivement pas évident lorsqu'on est arrêté. Même lorsqu'on l'est parce qu'on est malade (physiquement j'entends - comme une angine), on peut facilement culpabiliser et se dénigrer (j'en sais quelque chose).
Oh, toi aussi tu as fait cours en étant aphone (ou autre chose du même acabit) ? Je suis venue un jour dans mon établissement après avoir passé ma nuit la tête au dessus des WC, et suis repartie aussi sec parce que je me suis dit que tomber dans les pommes en classe n'était peut-être pas la chose la plus intelligente à faire. Suis un peu fada de ne pas avoir appelé tout de suite quand même.
Quand on est pas bien, il vaut mieux se mettre en maladie, quelle que soit la maladie. Mieux vaut ne pas culpabiliser, on ne travaille pas bien quand on est malade, alors pour soi et pour ses élèves, il vaut mieux s'arrêter. Si c'est une dépression et que ça dure longtemps, hé bien ça durera longtemps. Et si on ne peut plus du tout travailler, on est invalide et on n'y peut rien.
Ma mère a été longtemps arrêtée pour dépression dans l'éduc nat, elle est désormais en retraite invalidité, où est le mal ? Elle a tenté une reconversion: poste de réadaptation en BCD pendant trois ans, le maximum donc, tentative de reconversion... en RASED, pas de bol. Donc elle a arrêté de travailler et je ne vois pas en quoi elle a eu tord, ou profité du système. Ma tante espérait le même traitement pour une fracture du col du fémur :lol!:
- coindeparadisGuide spirituel
Je n'ai pas lu tout le fil, mais j'entends de plus en plus de mal-être exprimé par les stagiaires. Que ce soit du burn out, du harcèlement, de conditions ubuesques d'exercice... Alors on peut toujours dire " yaka se ressaisir, courber l'échine, se reconvertir, faire comme les autres..". Mais un peu de bienveillance envers les collègues qui débutent me semblerait un minimum. Ne soyez pas surpris qu'un jour, les titulaires servent aussi de chair à canon, quand le MEN aura fait ses armes sur les plus faibles et sera convaincu de son impunité.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- keroGrand sage
coindeparadis a écrit:Je n'ai pas lu tout le fil, mais j'entends de plus en plus de mal-être exprimé par les stagiaires. Que ce soit du burn out, du harcèlement, de conditions ubuesques d'exercice... Alors on peut toujours dire " yaka se ressaisir, courber l'échine, se reconvertir, faire comme les autres..". Mais un peu de bienveillance envers les collègues qui débutent me semblerait un minimum. Ne soyez pas surpris qu'un jour, les titulaires servent aussi de chair à canon, quand le MEN aura fait ses armes sur les plus faibles et sera convaincu de son impunité.
Bienveillance...
Qui, sur ce fil, a manqué de bienveillance ?
- coindeparadisGuide spirituel
Kero, ne taille pas la badine pour te faire battre...
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Ingeborg B.Esprit éclairé
[quote="coindeparadis"]Je n'ai pas lu tout le fil, mais j'entends de plus en plus de mal-être exprimé par les stagiaires. Que ce soit du burn out, du harcèlement, de conditions ubuesques d'exercice... Alors on peut toujours dire " yaka se ressaisir, courber l'échine, se reconvertir, faire comme les autres..". Mais un peu de bienveillance envers les collègues qui débutent me semblerait un minimum. Ne soyez pas surpris qu'un jour, les titulaires servent aussi de chair à canon, quand le MEN aura fait ses armes sur les plus faibles et sera convaincu de son impunité.[/quote]
Raisonnement étrange dans la mesure où, par la force des choses, on ne demeure pas éternellement stagiaire. Je ne comprends pas pourquoi tu opposes stagaires et titulaires puisque dans un an, les stagiaires seront titulaires.
Raisonnement étrange dans la mesure où, par la force des choses, on ne demeure pas éternellement stagiaire. Je ne comprends pas pourquoi tu opposes stagaires et titulaires puisque dans un an, les stagiaires seront titulaires.
- coindeparadisGuide spirituel
Parce que je crois que nous sommes en train de sortir d'une certaine époque pour une autre, où la gestion des ressources humaines n'aura pas grand chose à envier au secteur privé. Et ce pour tous, titularisés ou non.
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- keroGrand sage
coindeparadis a écrit:Kero, ne taille pas la badine pour te faire battre...
coindeparadis,
j'ai fait remarquer, quelque part, à quelqu'un qui suggérait de "faire tirer un arrêt maladie" (ah bon, c'est notre choix, maintenant ?) à un/une stagiaire qui pensait lâcher le métier, que - sauf à ce qu'il y ait une vraie raison médicale, évidemment - ce ne serait pas très honnête comme attitude.
Maintenant, tu veux bien m'expliquer ce qu'il y a de malveillant là-dedans ? Dès qu'on fait remarquer certaines réalités, on est malveillant ? Je crois qu'en tant que profs, on sait assez bien que la bienveillance, ce n'est pas forcément toujours caresser dans le sens du poil.
Maintenant, ton message ne se reférait peut-être pas à mon intervention mais à une autre. Auquel cas je dois consulter pour paranoïa. D'où ma question. À quoi fais-tu référence, lorsque tu parle de malveillance ?
- coindeparadisGuide spirituel
Disons que déprime et dépression, épuisement, relèvent de la santé. Un arrêt pour cette raison, quelque soit la décision future d'orientation n'a rien de choquant. D'autant que lorsque qu'on est à bout, on peut difficilement prendre la bonne décision. J'ai utilisé ironiquement le mot bienveillance qui est tendance dans l'EN (je parle de nos chefs), je voulais parler d'empathie.
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- keroGrand sage
coindeparadis a écrit:Disons que déprime et dépression, épuisement, relèvent de la santé. Un arrêt pour cette raison, quelque soit la décision future d'orientation n'a rien de choquant. D'autant que lorsque qu'on est à bout, on peut difficilement prendre la bonne décision.
Euh. Ai-je quelque part mis en cause le fait que ces problèmes (médicaux) justifient un arrêt médical ? En quoi ce que tu dis là est-il contradictoire avec l'idée exprimée supra ?
- Reine MargotDemi-dieu
Toujours d'actualité:
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- coindeparadisGuide spirituel
:lol!:
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- roxanneOracle
N'idealisons pas non plus le bon vieux temps. J'ai fait mon stage en situation avec 21 heures de cours' deux bahuts, trois niveaux, inspection en juin..et j'ai enquillé avec dix ans de tzr...et je ne sûrement pas la plus à plaindre. Après, on a plus ou moins d chances sur les affectations, les classes, les tuteurs, mais ça c'est un peu le hasard, et c'est valable pour tout le monde, titulaires ou non.coindeparadis a écrit:Parce que je crois que nous sommes en train de sortir d'une certaine époque pour une autre, où la gestion des ressources humaines n'aura pas grand chose à envier au secteur privé. Et ce pour tous, titularisés ou non.
- Reine MargotDemi-dieu
Bonnie Blue a écrit:C'est Charlie Hebdo ?
je ne sais pas, trouvé sur internet, un truc que j'ai déjà vu circuler depuis un moment.
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La famille Bélier
- philopoussinNiveau 8
J'ai lu les 19 pages.
Je suis décidée à donner ma démission assez rapidement.
Je reviens toutefois sur ce préavis d'un mois : si je trouve un métier rapidement, que se passe-t-il si je n'honore ce dernier en entier? Est-ce encore un "abandon de poste"?
Puis je me faire embaucher alors que je serais toujours en "préavis", donc, si je comprends bien, encore membre de la fonction publique?
C'est un casse-tête chinois : je ne veux pas pénaliser les élèves et il faut laisser le temps à l'administration de trouver un remplaçant, d'un autre côté je ne pourrais demander à un éventuel futur employeur de "patienter" en attendant d'être libérée par l'EN...
EDIT : ma syntaxe défaille.
Je suis décidée à donner ma démission assez rapidement.
Je reviens toutefois sur ce préavis d'un mois : si je trouve un métier rapidement, que se passe-t-il si je n'honore ce dernier en entier? Est-ce encore un "abandon de poste"?
Puis je me faire embaucher alors que je serais toujours en "préavis", donc, si je comprends bien, encore membre de la fonction publique?
C'est un casse-tête chinois : je ne veux pas pénaliser les élèves et il faut laisser le temps à l'administration de trouver un remplaçant, d'un autre côté je ne pourrais demander à un éventuel futur employeur de "patienter" en attendant d'être libérée par l'EN...
EDIT : ma syntaxe défaille.
- Mlle_AndromedeNiveau 7
Bonsoir,
J'aurais aimé savoir si, en cas de démission pour un professeur stagiaire, on était tenu de rembourser quelque chose.
Je vous remercie.
J'aurais aimé savoir si, en cas de démission pour un professeur stagiaire, on était tenu de rembourser quelque chose.
Je vous remercie.
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