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- DerborenceModérateur
Bussy a écrit:Derborence a écrit:Bussy a écrit:
Je suis dans l'académie de Rouen mais je ne l'ai pas reçue. Je suis allée la lire sur le site académique des lettres, après avoir vu ce post, par curiosité.
Mais contrairement à toi, je ne viens pas de me faire inspecter. Ce sera très certainement pour cette année.
- User5899Demi-dieu
Oui, je sais, elle est dans ma boîte mail professionnelle. Mais je ne lis jamais les mails des IPR. Toujours ça de pris. Pourquoi, tu les lis, toi ? :shock:John a écrit:Elle est envoyée à tous les enseignants !Cripure a écrit:Bon, en même temps, si elle n'était pas sur Néo, qui aurait lu la lettre de rentrée des IPR ?
On sait déjà que ça va être deux pages de langue de bois avec la liste exhaustive des conneries de l'année. Aucun intérêt.
- Mila Saint AnneNiveau 9
Je suis toujours très étonnée (pour ne pas dire plus) de l'attitude qui consiste à traiter par le mépris (ou pire) tout ce qui peut venir de notre hiérarchie.
Je ne trouve pas qu'il y ait matière à se révolter quand nos IA-IPR (sous la tutelle de notre recteur) nous rappelle nos missions :
- La prise en compte de la diversité des élèves et des modes d’apprentissage : c'est de plus en plus complexe depuis les lois sur l'intégration de 2005 et mérite qu'on s'y consacre pleinement.
- La mise en activité des élèves au service de l’acquisition de connaissances et de la construction de compétences : rappeler que les élèves apprennent mieux quand ils FONT et appeler les enseignants à intégrer les périodes d'activité des élèves dans leurs séances de cours ne me semble pas inutile.
- La place du numérique dans les choix didactiques et pédagogiques : sans vouloir être bisounours, la plupart des établissement sont de mieux en mieux dotés en matériel (et rien n’empêche de continuer à se battre pour que les choses fonctionnent mieux) et ne pas permettre aux élèves d’apprivoiser le monde numérique dans lequel il vont vivre, c'est un peu comme si on avait continué à faire de la calligraphie à l'époque de l'imprimerie.
- La mise en œuvre d’un travail d’équipe pédagogique et éducatif cohérent avec les orientations disciplinaires et les objectifs du projet d’établissement : le projet d'établissement, réalisé par le Conseil d'administration est le texte qui doit nous guider dans notre travail d'enseignant à l'échelon local. il est adapté au contexte de notre établissement et comme partout, on constate que le travail collaboratif est la règle du monde dans lequel nous vivons (ce forum en est une preuve criante, non ? ). On avance mieux et plus vite quand on travail ensemble.
- L’implication de tous dans la construction des parcours des élèves : rappeler que nous ne sommes pas seuls dans nos classes face aux élèves, qu'il existe d'autres partenaires, depuis les équipes de vie scolaire, les personnels sanitaires/sociaux, les CoPsy, et même les familles auprès desquels nos élèves passent quand même la majeure partie de leur temps. Et oui, il n'y a pas assez de personnels dans les établissements. ce genre de phrase est un des leviers sur lequel nous pouvons appuyer pour demander davantage de CoPsy, d'infirmières, de surveillants....
Bref, je ne vois pas en quoi ce texte mérite autant de remarques désabusées.
Et pour finir, je vous rappelle qu'en devenant enseignants fonctionnaires au service de l'Etat, nous avons quand même échangé un emploi à vie contre un minimum de conscience professionnelle, qui passe par ne jamais oublier qu'on est au service de l'Etat.
Je peux comprendre que cela ne convienne pas à tout le monde, et à ceux là je conseillerais, plutôt que de se plaindre en permanence, de chercher un autre employeur.
On peut défendre ses convictions, cela implique de s'engager dans des mouvements pédagogiques ou syndicaux qui sont les vrais lieux du débat démocratique.
C'est bon, maintenant, vous pouvez vous défouler contre Mila-suppot-du-capitalisme-au-pays-des-bisounours-moutonniers.
Je ne trouve pas qu'il y ait matière à se révolter quand nos IA-IPR (sous la tutelle de notre recteur) nous rappelle nos missions :
- La prise en compte de la diversité des élèves et des modes d’apprentissage : c'est de plus en plus complexe depuis les lois sur l'intégration de 2005 et mérite qu'on s'y consacre pleinement.
- La mise en activité des élèves au service de l’acquisition de connaissances et de la construction de compétences : rappeler que les élèves apprennent mieux quand ils FONT et appeler les enseignants à intégrer les périodes d'activité des élèves dans leurs séances de cours ne me semble pas inutile.
- La place du numérique dans les choix didactiques et pédagogiques : sans vouloir être bisounours, la plupart des établissement sont de mieux en mieux dotés en matériel (et rien n’empêche de continuer à se battre pour que les choses fonctionnent mieux) et ne pas permettre aux élèves d’apprivoiser le monde numérique dans lequel il vont vivre, c'est un peu comme si on avait continué à faire de la calligraphie à l'époque de l'imprimerie.
- La mise en œuvre d’un travail d’équipe pédagogique et éducatif cohérent avec les orientations disciplinaires et les objectifs du projet d’établissement : le projet d'établissement, réalisé par le Conseil d'administration est le texte qui doit nous guider dans notre travail d'enseignant à l'échelon local. il est adapté au contexte de notre établissement et comme partout, on constate que le travail collaboratif est la règle du monde dans lequel nous vivons (ce forum en est une preuve criante, non ? ). On avance mieux et plus vite quand on travail ensemble.
- L’implication de tous dans la construction des parcours des élèves : rappeler que nous ne sommes pas seuls dans nos classes face aux élèves, qu'il existe d'autres partenaires, depuis les équipes de vie scolaire, les personnels sanitaires/sociaux, les CoPsy, et même les familles auprès desquels nos élèves passent quand même la majeure partie de leur temps. Et oui, il n'y a pas assez de personnels dans les établissements. ce genre de phrase est un des leviers sur lequel nous pouvons appuyer pour demander davantage de CoPsy, d'infirmières, de surveillants....
Bref, je ne vois pas en quoi ce texte mérite autant de remarques désabusées.
Et pour finir, je vous rappelle qu'en devenant enseignants fonctionnaires au service de l'Etat, nous avons quand même échangé un emploi à vie contre un minimum de conscience professionnelle, qui passe par ne jamais oublier qu'on est au service de l'Etat.
Je peux comprendre que cela ne convienne pas à tout le monde, et à ceux là je conseillerais, plutôt que de se plaindre en permanence, de chercher un autre employeur.
On peut défendre ses convictions, cela implique de s'engager dans des mouvements pédagogiques ou syndicaux qui sont les vrais lieux du débat démocratique.
C'est bon, maintenant, vous pouvez vous défouler contre Mila-suppot-du-capitalisme-au-pays-des-bisounours-moutonniers.
- User5899Demi-dieu
Bon. Même si vous m'avez bloqué, pour la beauté du geste, je vais vous expliquerMila Saint Anne a écrit:Je suis toujours très étonnée (pour ne pas dire plus) de l'attitude qui consiste à traiter par le mépris (ou pire) tout ce qui peut venir de notre hiérarchie.
Non, pas "se révolter". Juste traiter par un mépris poli. Je ne vois l'IPR que comme un prof qui n'a plus su faire (je sais, j'y songe parfois ). Donc déjà, je n'accorde aucun crédit à sa parole.Mila Saint Anne a écrit:Je ne trouve pas qu'il y ait matière à se révolter
Ma mission, c'est traiter le programme.Mila Saint Anne a écrit: quand nos IA-IPR (sous la tutelle de notre recteur) nous rappellent nos missions
Tartufferie scandaleuse et lamentable. Aucuns moyens, des personnels sans formation, tout ça pour faire de la garderie et dire la bouche en coeur au 20h qu'on s'occupe des enfants handicapés. Lamentable. Révoltant, là, pour le coup.Mila Saint Anne a écrit: :- La prise en compte de la diversité des élèves et des modes d’apprentissage : c'est de plus en plus complexe depuis les lois sur l'intégration de 2005 et mérite qu'on s'y consacre pleinement.
Liberté pédagogique. Qu'il s'occupe de ses chaussettes sales. De fait, jamais les élèves n'ont autant "fait" et jamais ils n'ont moins su. Hasard ? Je ne sais pas.Mila Saint Anne a écrit:- La mise en activité des élèves au service de l’acquisition de connaissances et de la construction de compétences : rappeler que les élèves apprennent mieux quand ils FONT et appeler les enseignants à intégrer les périodes d'activité des élèves dans leurs séances de cours ne me semble pas inutile.
L'avantage de la calligraphie, c'est qu'elle apprend une certaine maîtrise de soi. Le numérique encourage le zapping et la désocialisation. J'ai beaucoup aimé l'interview de Steve Jobs dont on a fait état cette semaine, c'est édifiant. Toujours est-il que la place du numérique dans ma classe dépend de moi et de moi seul.Mila Saint Anne a écrit:- La place du numérique dans les choix didactiques et pédagogiques : sans vouloir être bisounours, la plupart des établissement sont de mieux en mieux dotés en matériel (et rien n’empêche de continuer à se battre pour que les choses fonctionnent mieux) et ne pas permettre aux élèves d’apprivoiser le monde numérique dans lequel il vont vivre, c'est un peu comme si on avait continué à faire de la calligraphie à l'époque de l'imprimerie.
Ca fait partie des libertés et des possibilités laissées à disposition des gens qui le souhaitent. Moi, je travaille très mal en groupe et je n'ai pas envie de discutailler avec des collègues parfois ignares ou sans vision de leur métier. Rappeler cela dans une circulaire est de la langue de bois.Mila Saint Anne a écrit:- La mise en œuvre d’un travail d’équipe pédagogique et éducatif cohérent avec les orientations disciplinaires et les objectifs du projet d’établissement : le projet d'établissement, réalisé par le Conseil d'administration est le texte qui doit nous guider dans notre travail d'enseignant à l'échelon local. il est adapté au contexte de notre établissement et comme partout, on constate que le travail collaboratif est la règle du monde dans lequel nous vivons (ce forum en est une preuve criante, non ? ). On avance mieux et plus vite quand on travail ensemble.
Quand on voit ici même comment les directions luttent parfois constamment contre les enseignants... Vous avez déjà lu les envolées haineuses d'un chef d'établissement qui vient ici parfois et se répand sur Twiter, un certain LJ ?Mila Saint Anne a écrit:- L’implication de tous dans la construction des parcours des élèves : rappeler que nous ne sommes pas seuls dans nos classes face aux élèves, qu'il existe d'autres partenaires, depuis les équipes de vie scolaire, les personnels sanitaires/sociaux, les CoPsy, et même les familles auprès desquels nos élèves passent quand même la majeure partie de leur temps. Et oui, il n'y a pas assez de personnels dans les établissements. ce genre de phrase est un des leviers sur lequel nous pouvons appuyer pour demander davantage de CoPsy, d'infirmières, de surveillants....
Je fais ce pourquoi on m'a donné un Capes et une agrégation : enseigner les lettres. A ma façon. L'IPR vient voir (*spect-) ce que je fais et établit un rapport. Et moi, je les archive.Mila Saint Anne a écrit:Bref, je ne vois pas en quoi ce texte mérite autant de remarques désabusées.
Et pour finir, je vous rappelle qu'en devenant enseignants fonctionnaires au service de l'Etat, nous avons quand même échangé un emploi à vie contre un minimum de conscience professionnelle, qui passe par ne jamais oublier qu'on est au service de l'Etat.
Je peux comprendre que cela ne convienne pas à tout le monde, et à ceux là je conseillerais, plutôt que de se plaindre en permanence, de chercher un autre employeur.
- ycombeMonarque
modes d’apprentissage : c'est le nouveau terme pour style d'apprentissage (qui n'existent pas) ?Mila Saint Anne a écrit:Je suis toujours très étonnée (pour ne pas dire plus) de l'attitude qui consiste à traiter par le mépris (ou pire) tout ce qui peut venir de notre hiérarchie.
Je ne trouve pas qu'il y ait matière à se révolter quand nos IA-IPR (sous la tutelle de notre recteur) nous rappelle nos missions :
- La prise en compte de la diversité des élèves et des modes d’apprentissage : c'est de plus en plus complexe depuis les lois sur l'intégration de 2005 et mérite qu'on s'y consacre pleinement.
Et non, on ne peut pas se consacrer pleinement à prendre en compte la diversité des élèves. Nous avons obligation de suivre le programme pour tous les élèves, et à un moment lorsque certains élèves en sont très loin on tombe dans l'injonction contradictoire. Le gamin de 3 ans d'âge mental n'a rien à faire en quatrième, ceux qui ne savent pas lire non plus.
Après l'allusion aux styles, voici le cône (ou la pyramide) des apprentissages? Ce n'est pas plus pertinent.
- La mise en activité des élèves au service de l’acquisition de connaissances et de la construction de compétences : rappeler que les élèves apprennent mieux quand ils FONT et appeler les enseignants à intégrer les périodes d'activité des élèves dans leurs séances de cours ne me semble pas inutile.
de mieux en mieux dotés en matériel: Chez moi l'équipement a 5 ans pour les portables posés sur les bureau des profs et cela commence à être vieillissant. Même chose pour les salles info.
- La place du numérique dans les choix didactiques et pédagogiques : sans vouloir être bisounours, la plupart des établissement sont de mieux en mieux dotés en matériel (et rien n’empêche de continuer à se battre pour que les choses fonctionnent mieux) et ne pas permettre aux élèves d’apprivoiser le monde numérique dans lequel il vont vivre, c'est un peu comme si on avait continué à faire de la calligraphie à l'époque de l'imprimerie.
Les salles infos ont à peine une quinzaine de postes et on n'a pas de dédoublement.
ne pas permettre aux élèves d’apprivoiser le monde numérique dans lequel il vont vivre: vieil argument sans pertinence. L'école est là pour forger une identité culturelle qui permet d'appréhender le monde numérique comme le monde IRL, et n'est pas là pour apprendre à utiliser facebook. La première fois que j'ai entendu cet argument le web n'existait pas, les tablettes ni les smartphones non plus, et il me semble évident que l'école des années 1980 a bien fait de ne pas se précipiter pour enseigner le minitel ni enseigner avec le minitel. Les outils numériques d'aujourd'hui sont les minitels de demain.
Tu as déjà lu en projet d'établissement? Grands principes, belles phrases et plein de creux. Chez moi c'est priorité aux sciences, alors le CdE place quelques dédoublements en sciences. Et voilà il est appliqué. Rien qui concerne mon enseignement au quotidien dedans.
- La mise en œuvre d’un travail d’équipe pédagogique et éducatif cohérent avec les orientations disciplinaires et les objectifs du projet d’établissement : le projet d'établissement, réalisé par le Conseil d'administration est le texte qui doit nous guider dans notre travail d'enseignant à l'échelon local. il est adapté au contexte de notre établissement et comme partout, on constate que le travail collaboratif est la règle du monde dans lequel nous vivons (ce forum en est une preuve criante, non ? ). On avance mieux et plus vite quand on travail ensemble.
D'ailleurs si les personnels des autres catégories voulaient bien cesser de venir déranger mes élèves quand je les ai mis en activité, ça m'arrangerait. Ça me fait perdre beaucoup de temps, les élèves ont du mal à se reconcentrer après.
- L’implication de tous dans la construction des parcours des élèves : rappeler que nous ne sommes pas seuls dans nos classes face aux élèves, qu'il existe d'autres partenaires, depuis les équipes de vie scolaire, les personnels sanitaires/sociaux, les CoPsy, et même les familles auprès desquels nos élèves passent quand même la majeure partie de leur temps. Et oui, il n'y a pas assez de personnels dans les établissements. ce genre de phrase est un des leviers sur lequel nous pouvons appuyer pour demander davantage de CoPsy, d'infirmières, de surveillants....
Bref, je ne vois pas en quoi ce texte mérite autant de remarques désabusées.
Et pour finir, je vous rappelle qu'en devenant enseignants fonctionnaires au service de l'Etat, nous avons quand même échangé un emploi à vie contre un minimum de conscience professionnelle, qui passe par ne jamais oublier qu'on est au service de l'Etat.
Je peux comprendre que cela ne convienne pas à tout le monde, et à ceux là je conseillerais, plutôt que de se plaindre en permanence, de chercher un autre employeur.
On peut défendre ses convictions, cela implique de s'engager dans des mouvements pédagogiques ou syndicaux qui sont les vrais lieux du débat démocratique.
C'est bon, maintenant, vous pouvez vous défouler contre Mila-suppot-du-capitalisme-au-pays-des-bisounours-moutonniers.
L'état me paye pour enseigner les mathématiques. C'est ce que je fais. Si tous les enseignants pouvaient se concentrer sur ce pour quoi ils sont payés au lieu de passer leur temps en paperasses et en projets chronophages, ça irait déjà un peu mieux.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- F.LemoineÉrudit
Cripure : parfait.
_________________
"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." (Molière, Les Fourberies de Scapin).
- ysabelDevin
Cripure et Ycombe, je suis bien d'accorda avec vous.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- trompettemarineMonarque
Encore une fois, dans cette lettre le mot "enseigner" n'apparaît plus. Un enseignant n' a plus comme mission première d'enseigner quelque chose. C'est grave comme vision du métier... et ne va pas aider au recrutement ni à dissiper le malaise enseignant, au contraire...
Où est-il le temps où les IPR expliquaient ce qu'ils attendaient dans la matières : l'oral, l'écrit, la grammaire, les L.A. On pouvait ne pas être d'accord, mais il s'agissait encore de Français.
Tout se passe comme si notre matière avait disparu...
Je plussoie bien sûr au propos de Cripure et de Ycombe.
PS : sans compter que je ne comprends pas ce qui est dit : c'est quoi des "pratiques numériques, réflexives et éclairées" ? D'habitude on éteint la lumière quand on fait des TICE ?
Qu'est-ce qu'une pratique réflexive ? On y réfléchit ? Elle fait réfléchir ? S'agit-il d'une simple interaction entre la machine et l'élève ?????
Je ressens la même impression que lorsque je lis un manuel d'utilisation en informatique : je connais les mots mais je ne comprends pas le sens des phrases et je ne vois pas où cela mène...
Fatiguée...
Je crois que je suis une Emma Bovary de l'enseignement en fait...
- BussyNiveau 10
trompettemarine a écrit:
Encore une fois, dans cette lettre le mot "enseigner" n'apparaît plus. Un enseignant n' a plus comme mission première d'enseigner quelque chose. C'est grave comme vision du métier et ne va pas aider au recrutement, bien au contraire...
Où est-il le temps où les IPR expliquaient ce qu'ils attendaient dans la matières : l'oral, l'écrit, la grammaire, les L.A. On pouvait ne pas être d'accord, mais il s'agissait encore de Français.
Tout se passe comme si notre matière avait disparu...
Je plussoie bien sûr au propos de Cripure et de Ycombe.
PS : [...]
Je ressens la même impression que lorsque je lis un manuel d'utilisation en informatique : je connais les mots mais je ne comprends pas le sens des phrases et je ne vois pas où cela mène...
Fatiguée...
Je crois que je suis une Emma Bovary de l'enseignement en fait...
Complètement d'accord, sauf pour la fin : tout ça nous mène dans le mur !
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