- qui ne tente rien...Niveau 9
Bon, on va élargir un peu le sujet alors ! Savez-vous quand seront diffusées les modalités d'exercice des stagiaires pour l'année 2015/2016 (le nombre d'heures...)
- Guillaume le GrandFidèle du forum
L'été prochain
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''C'est drôle comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde''. Boris Vian
''Nous n'acceptons pas de vérité promulguée : nous la faisons nôtre d'abord par l'étude et par la discussion et nous apprenons à rejeter l'erreur, fut-elle mille fois estampillée et patentée. Que de fois, en effet, le peuple ignorant a-t-il dû reconnaître que ses savants éducateurs n'avaient d'autre science à lui enseigner que celle de marcher paisiblement et joyeusement à l'abattoir, comme ce boeuf des fêtes que l'on couronne de guirlandes en papier doré." Elisée Reclus
- User17706Bon génie
qui ne tente rien... a écrit:Bon, on va élargir un peu le sujet alors ! Savez-vous quand seront diffusées les modalités d'exercice des stagiaires pour l'année 2015/2016 (le nombre d'heures...)
Guillaume le Grand a écrit:L'été prochain
Avec de la chance.
- qui ne tente rien...Niveau 9
J'avais bien pensé à cette réponse !!!
- User5899Demi-dieu
Ma foi, j'ai un peu cherché : ça faisait dix ans que les stagiaires étaient à plein temps, avec, depuis 2010, des postes réservés parmi les meilleurs de chaque académie.
- RagnetrudeExpert spécialisé
À plein temps devant élèves ? La réforme date de 2010 (enfin, sa mise en œuvre).
- User5899Demi-dieu
ben non. Les stagiaires d'avant 2010 faisaient aussi un plein temps, d'après les docs que j'ai retrouvés (bon, recherche sommaire).Ragnetrude a écrit:À plein temps devant élèves ? La réforme date de 2010 (enfin, sa mise en œuvre).
- ysabelDevin
qui ne tente rien... a écrit:Bon, on va élargir un peu le sujet alors ! Savez-vous quand seront diffusées les modalités d'exercice des stagiaires pour l'année 2015/2016 (le nombre d'heures...)
"Smiley qui se tord de rire"
Tu ne crois quand même pas que l'EN le saura avant juin prochain !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ysabelDevin
Cripure a écrit:ben non. Les stagiaires d'avant 2010 faisaient aussi un plein temps, d'après les docs que j'ai retrouvés (bon, recherche sommaire).Ragnetrude a écrit:À plein temps devant élèves ? La réforme date de 2010 (enfin, sa mise en œuvre).
Non ! c'est bien plus récent le temps plein des stagiaires.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- lalilalaEmpereur
Non, c'est 2010-2011 le temps plein devant élèves.
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Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- User17706Bon génie
C'est une réforme de Chatel (temps plein avec décharge de trois heures concomitante de la mastérisation). Avant, le temps avait été un peu augmenté, il n'était pas rare de voir des stagiaires à mi-temps (8-9h); encore avant, c'était très souvent 6h. Non?
Mais je n'ai pas les dates en tête.
Mais je n'ai pas les dates en tête.
- zouzFidèle du forum
Pierre-Henri a écrit:
Il n'y a pas de raison unique, mais une accumulation de problèmes qui, tous additionnés, finissent par couler la barque : petits salaires, qui constituent à eux seuls une preuve du mépris de la nation à notre égard ; menaces incessantes de la hiérarchie (les stagiaires, cette année, sont victimes d'un odieux chantage à l'embauche de la part des ESPE) ; temps de formation qui s'ajoute, pour certains, au temps complet (avec les transports en plus pour aller à l'ESPE) ; mutations anarchiques et autoritaires, sans souci de la situation de famille ; classes difficiles et surchargées ; cas psychiatriques de plus en plus lourds placés en classes normales sans moyen, temps ni formation pour s'occuper d'eux ; discrédit jeté sur les professeurs qui ont des problèmes de discipline (c'est toujours leur faute, jamais celle des doux chérubins apprenants, même quand ces derniers sont des adultes légalement responsables) ; fanatisme religieux ahurissant de démence, contre lequel tout le monde est démuni, que tout le monde fait semblant de ne pas voir ; parents de plus en plus vindicatifs, de plus en plus déculturés aussi, incapables de s'exprimer autrement que par monosyllabes, hurlements et insultes ; chefs d'établissements, inspecteurs et formateurs paniqués par la situation générale, qui s'acharnent sur les profs pour se couvrir eux-mêmes... la liste serait bien plus longue si je la poursuivais.
Comparons le métier de professeur à n'importe quel autre poste de catégorie A dans les trois fonctions publiques. Tous, absolument tous, nous écrasent dans les grandes largeurs. Alors que les autres concours comparables attirent entre 60 et 120 candidats présents par poste, il y en a souvent moins de 2 au CAPES... et parmi ceux qui restent, les démissions dès les premières semaines, parfois dès les premières heures, se comptent par dizaines dans chaque académie. Et, ne nous leurrons pas, si le chômage venait à baisser, il n'y aurait tout simplement plus de professeurs du tout.
Le caporalisme, les mouvements de menton et les appels à la vocation républicaine n'y changeront pas grand chose. Je suis assez stupéfait de voir beaucoup de professeurs, ici, s'exprimer comme s'il existait, quelque part, un réservoir de brillants candidats prêts à remplacer ceux qui partent ou ceux dont le niveau est problématique. Comme si on pouvait se permettre de faire le tri, de choisir les "vrais" républicains, les "vrais" profs ! Mais, bon sang, il faut faire avec ceux qui restent, ceux qu'on a, les aider, les protéger, même s'ils ne sont pas des hussards noirs prêts à sacrifier leur existence, même s'ils n'ont pas entendu l'appel de la sainte vocation, même s'ils ont été recrutés sans concours par le Pôle Emploi ou sur le Bon Coin, même s'ils ne maitrisent pas correctement leur matière, même s'ils ont des difficultés de discipline, même s'ils ne savent pas bâtir un cours... au lieu de leur cracher dessus, les traiter de mauvais profs et les menacer de représailles administratives, il faut les soutenir, les aider, les accueillir -- d'abord par humanité, pour ne pas collaborer au management par la brimade de l'institution, et ensuite parce qu'il n'y a personne d'autre pour les remplacer.
+ 1000
- LefterisEsprit sacré
Meuh non ! C'était 6 heures (j'y étais, et moins de 10 ans avant 2010 ... )Cripure a écrit:Ma foi, j'ai un peu cherché : ça faisait dix ans que les stagiaires étaient à plein temps, avec, depuis 2010, des postes réservés parmi les meilleurs de chaque académie.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User5899Demi-dieu
Je ne comprends pas.
4-6h, c'est aussi ce que j'ai eu, mais ça n'a pas duré jusqu'en 2010 ?
Bon, pas grave. Je n'ai pas de doc officiel de toutes façons, donc jusqu'à plus ample informé...
4-6h, c'est aussi ce que j'ai eu, mais ça n'a pas duré jusqu'en 2010 ?
Bon, pas grave. Je n'ai pas de doc officiel de toutes façons, donc jusqu'à plus ample informé...
- LefterisEsprit sacré
Nous étions quand même à temps complet, avec deux à trois jours d'IUFM , et un stage en lycée ou en collège, selon l'affectation de départ (parfois 6 jours de boulot. Il m'est arrivé d'avoir des cours tous les jours...).Cripure a écrit:Je ne comprends pas.
4-6h, c'est aussi ce que j'ai eu, mais ça n'a pas duré jusqu'en 2010 ?
Bon, pas grave. Je n'ai pas de doc officiel de toutes façons, donc jusqu'à plus ample informé...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- wanaxFidèle du forum
Fallacieuses arguties et amalgames.Pierre-Henri a écrit:(...) Mais, bon sang, il faut faire avec ceux qui restent, ceux qu'on a, les aider, les protéger, même s'ils ne sont pas des hussards noirs prêts à sacrifier leur existence, même s'ils n'ont pas entendu l'appel de la sainte vocation, même s'ils ont été recrutés sans concours par le Pôle Emploi ou sur le Bon Coin, même s'ils ne maitrisent pas correctement leur matière, même s'ils ont des difficultés de discipline, même s'ils ne savent pas bâtir un cours... au lieu de leur cracher dessus, les traiter de mauvais profs et les menacer de représailles administratives, il faut les soutenir, les aider, les accueillir -- d'abord par humanité, pour ne pas collaborer au management par la brimade de l'institution, et ensuite parce qu'il n'y a personne d'autre pour les remplacer.
On ne peut pas mettre sur le même plan celui qui ne maîtrise pas sa discipline et celui qui a du mal à tenir des élèves intenables. Le fourre-tout que tu proposes, si on l'accepte, permet de faire rentrer dans l'EN des gens qui n'ont rien à y faire, en les associant à des gens légitimes qui connaissent des difficultés qu'il faut pallier.
Le recrutement se fait par concours, point.
S'il y a un manque de candidats valables dans certaines disciplines, on rend le concours plus attractif en améliorant la situation des enseignants de ces disciplines, y compris en les payant davantage. Si, pour avoir des professeurs de mathématiques valables, il faut mettre 5000 € sur la table, qu'on le fasse.
On peut bien sûr renoncer au contraire aux exigences disciplinaires, demander davantage à ceux qui sont en poste, favoriser les attributions de postes pour les nouveaux arrivants au détriment de ceux qui eux ont respecté les règles. On peut. Mais avec comme conséquence la dévalorisation du métier, qui elle-même entraîne des difficultés de recrutement, etc...
On rentre dans un cercle vicieux, qui fait le jeu de ce qui espère se débarrasser de ce qu'il voit comme un centre de coûts, l'éducation publique.
Accepter tout le monde ( au prétexte que les gens recrutés sur le bon coin seraient tout aussi valables, ce qui est faux ), c'est justement ce qui permet à l'institution de maintenir ses brimades. Si on peut mettre devant des classes des gens qui ont péniblement eu leur licence de maths/infos en 5 ans, on n'est plus obligé de faire attention à ceux qui ont eu le concours, on peut les jeter en pâture aux Espe et les faire trembler à l'idée de rater leur mémoire. Les contractuels sont ainsi l'armée de réserve du capitalisme.
Un employé que l'on peut remplacer ne sera jamais un employé respecté.
- DimkaVénérable
Je ne sais pas qui est ce « on », mais dans les faits, ceux qui décident ont décidé de ne pas mettre 5000 € sur la table pour un prof de maths, ceux qui doivent se débrouiller mettent des annonces sur leboncoin, et le recrutement ne se fait pas par concours point (et si c’est pour recruter des PE à quatre de moyenne dans certaines académies, sans parler des concours du secondaire qui sont de moins en moins disciplinaires… ). Le reste n’est que bavardages : il n’est pas question d’accepter ou de refuser quand on n’en a pas le pouvoir et qu’il est, de toute façon, bien trop tard.wanax a écrit:Le fourre-tout que tu proposes, si on l'accepte, permet de faire rentrer dans l'EN des gens qui n'ont rien à y faire, en les associant à des gens légitimes qui connaissent des difficultés qu'il faut pallier.
Le recrutement se fait par concours, point.
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- Spoiler:
- LefterisEsprit sacré
Si j'ai bien lu, il ne me semble pas que Pierre-Henri prône ce système. Il fait plutôt le constat-désabusé- qu'il en est ainsi , en raison d'une multitude de causes dont chacune suffirait à constituer un repoussoir, et regrette cette situation.wanax a écrit:Fallacieuses arguties et amalgames.Pierre-Henri a écrit:(...) Mais, bon sang, il faut faire avec ceux qui restent, ceux qu'on a, les aider, les protéger, même s'ils ne sont pas des hussards noirs prêts à sacrifier leur existence, même s'ils n'ont pas entendu l'appel de la sainte vocation, même s'ils ont été recrutés sans concours par le Pôle Emploi ou sur le Bon Coin, même s'ils ne maitrisent pas correctement leur matière, même s'ils ont des difficultés de discipline, même s'ils ne savent pas bâtir un cours... au lieu de leur cracher dessus, les traiter de mauvais profs et les menacer de représailles administratives, il faut les soutenir, les aider, les accueillir -- d'abord par humanité, pour ne pas collaborer au management par la brimade de l'institution, et ensuite parce qu'il n'y a personne d'autre pour les remplacer.
On ne peut pas mettre sur le même plan celui qui ne maîtrise pas sa discipline et celui qui a du mal à tenir des élèves intenables. Le fourre-tout que tu proposes, si on l'accepte, permet de faire rentrer dans l'EN des gens qui n'ont rien à y faire, en les associant à des gens légitimes qui connaissent des difficultés qu'il faut pallier.
Le recrutement se fait par concours, point.
S'il y a un manque de candidats valables dans certaines disciplines, on rend le concours plus attractif en améliorant la situation des enseignants de ces disciplines, y compris en les payant davantage. Si, pour avoir des professeurs de mathématiques valables, il faut mettre 5000 € sur la table, qu'on le fasse.
On peut bien sûr renoncer au contraire aux exigences disciplinaires, demander davantage à ceux qui sont en poste, favoriser les attributions de postes pour les nouveaux arrivants au détriment de ceux qui eux ont respecté les règles. On peut. Mais avec comme conséquence la dévalorisation du métier, qui elle-même entraîne des difficultés de recrutement, etc...
On rentre dans un cercle vicieux, qui fait le jeu de ce qui espère se débarrasser de ce qu'il voit comme un centre de coûts, l'éducation publique.
Accepter tout le monde ( au prétexte que les gens recrutés sur le bon coin seraient tout aussi valables, ce qui est faux ), c'est justement ce qui permet à l'institution de maintenir ses brimades. Si on peut mettre devant des classes des gens qui ont péniblement eu leur licence de maths/infos en 5 ans, on n'est plus obligé de faire attention à ceux qui ont eu le concours, on peut les jeter en pâture aux Espe et les faire trembler à l'idée de rater leur mémoire. Les contractuels sont ainsi l'armée de réserve du capitalisme.
Un employé que l'on peut remplacer ne sera jamais un employé respecté.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Pierre-HenriHabitué du forum
Merci Lefteris. Il me paraissait évident que je ne parlais pas de ce qui est souhaitable, mais de ce qui est.
- coindeparadisGuide spirituel
qui ne tente rien... cette année c'était en avril.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Iphigénie a écrit:Avant la licence: le concours des Ipes se passait à la fin de la première année post bac.
Supprimé peu après moi: sans doute dans les années 80: ciel: serait-ce la gauche? ...
J'ai passé le concours des IPES en 1977, c'était sa dernière année d'existence et il n'offrait qu'un poste en LC et deux en LM.
J'ai été salariée en tant qu'élève-professeur et ces années ont compté pour ma retraite, ainsi d'ailleurs que les deux années d'élève-maître (concours d'instit que j'avais passé en troisième) que j'avais effectuées avant.
- qui ne tente rien...Niveau 9
Merci.coindeparadis a écrit:qui ne tente rien... cette année c'était en avril.
- ModuloHabitué du forum
PauvreYorick a écrit:C'est une réforme de Chatel (temps plein avec décharge de trois heures concomitante de la mastérisation). Avant, le temps avait été un peu augmenté, il n'était pas rare de voir des stagiaires à mi-temps (8-9h); encore avant, c'était très souvent 6h. Non?
Mais je n'ai pas les dates en tête.
Je me permets la précision (vu que je suis tombé dedans quand j'étais petit enseignant en 2010). Les durées indiquées sont hebdomadaires.
Avant 2010 : 4h-6h puis 6h-8h + formation en IUFM (je ne sais pas quand est arrivée l'augmentation à 6-8h).
2010 - 2011 : 18h, avec des situations variables selon les académies pour la formation (Lyon : 18h toute l'année avec 4 semaines consécutives de formation sans cours à assurer en février. Créteil : 16h de cours et 2h de décharge toute l'année,...)
2011 - 2012 : 18h pour toutes les académies + 1 jour de formation
2012 - 2013 : 15h + 3h de décharge pour assurer un jour de formation
2013 - 2014 : Idem, mais il y avait aussi des contractuels admissibles qui avaient 6h s'ils n'avaient qu'un M1 validé, et qui avaient entre 6h et 18h si le M2 était validé.
2014 - 2015 : 18h pour ceux qui ont eu le concours 2014 anticipé, 9h pour ceux qui ont eu le concours rénové.
_________________
Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple
- User17706Bon génie
Ah, parfait, merci. C'est encore plus le boxon que dans mon souvenir.
- ModuloHabitué du forum
PauvreYorick a écrit:Ah, parfait, merci. C'est encore plus le boxon que dans mon souvenir.
J'ai BAC + 5 mention stagiaire Blague à part, c'est effectivement un bordel sans nom, et même moi je m'y perds encore (cette année, vu les situations) alors que c'est mon domaine au syndicat.
_________________
Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple
- Escargot GéantNiveau 8
Modulo a écrit:PauvreYorick a écrit:C'est une réforme de Chatel (temps plein avec décharge de trois heures concomitante de la mastérisation). Avant, le temps avait été un peu augmenté, il n'était pas rare de voir des stagiaires à mi-temps (8-9h); encore avant, c'était très souvent 6h. Non?
Mais je n'ai pas les dates en tête.
Je me permets la précision (vu que je suis tombé dedans quand j'étais petit enseignant en 2010). Les durées indiquées sont hebdomadaires.
Avant 2010 : 4h-6h puis 6h-8h + formation en IUFM (je ne sais pas quand est arrivée l'augmentation à 6-8h).
2010 - 2011 : 18h, avec des situations variables selon les académies pour la formation (Lyon : 18h toute l'année avec 4 semaines consécutives de formation sans cours à assurer en février. Créteil : 16h de cours et 2h de décharge toute l'année,...)
2011 - 2012 : 18h pour toutes les académies + 1 jour de formation
2012 - 2013 : 15h + 3h de décharge pour assurer un jour de formation
2013 - 2014 : Idem, mais il y avait aussi des contractuels admissibles qui avaient 6h s'ils n'avaient qu'un M1 validé, et qui avaient entre 6h et 18h si le M2 était validé.
2014 - 2015 : 18h pour ceux qui ont eu le concours 2014 anticipé, 9h pour ceux qui ont eu le concours rénové.
2007-2008 Pour l'augmentation de 6h à 8h
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