Les stagiaires à la rentrée 2014

Audrey a écrit:Ben oui, la situation lui pèse, elle mange à peine, ne dort pas beaucoup, c'est évident...

Mais que puis-je faire de plus? Je lui ai expliqué à plusieurs reprises: "Il faut construire une progression en commençant par les connaissances de base... classes grammaticales: variables, invariables, ensuite, on rentrera dans le détail des classes grammaticales...blabla... avant d'aborder les subordonnées, tu dois évoquer phrase simple/ complexe... tu dois étudier la construction des différents verbes... attributifs, transitifs, intransitifs..."
J'ai vraiment répété tout ça... lui ai dit d'observer la progression donnée pour comprendre, de regarder le sommaire du TDL partie langue... que puis-je faire ou dire de plus...?

Malgré tout ce que je lui ai dit et montré, à plusieurs reprises, elle voulait passer de variables/invariables à la proposition subordonnée relative!

A chaque fois que je lui donne un conseil, même pour un truc aussi con que l'organisation du classeur (pour garder cohérence avec les pratiques de l'équipe de lettres), elle ne le suit pas...

Visiblement ta stagiaire ne va pas bien...peut être la pression lui fait perdre les pédales? Essaie de la mettre en confiance , de pointer les petites réussites ...je doute que de lui dire que tu es très inquiète au bout d'à peine deux semaines va lui faire remonter la pente.

Catalunya a écrit:

Audrey a écrit:

Catalunya a écrit:
Personne n'est parfait.

Surtout pas toi, on dirait.

Disons que ça m'agace les gens qui disent ça pour qu'on leur dise qu'en fait, non, ils sont géniaux. La preuve.

Euh, non, je n'ai jamais pensé que j'étais géniale, ni cherché à ce qu'on me le dise. Je ne le suis pas. Si tu me connaissais, ne serait-ce qu'à travers ce que j'ai déjà pu dire de mes difficultés face à l'agreg par exemple, tu le saurais.

C'est beau les procès d'intention.

JaneB a écrit:

Audrey a écrit:Ben oui, la situation lui pèse, elle mange à peine, ne dort pas beaucoup, c'est évident...

Mais que puis-je faire de plus? Je lui ai expliqué à plusieurs reprises: "Il faut construire une progression en commençant par les connaissances de base... classes grammaticales: variables, invariables, ensuite, on rentrera dans le détail des classes grammaticales...blabla... avant d'aborder les subordonnées, tu dois évoquer phrase simple/ complexe... tu dois étudier la construction des différents verbes... attributifs, transitifs, intransitifs..."
J'ai vraiment répété tout ça... lui ai dit d'observer la progression donnée pour comprendre, de regarder le sommaire du TDL partie langue... que puis-je faire ou dire de plus...?

Malgré tout ce que je lui ai dit et montré, à plusieurs reprises, elle voulait passer de variables/invariables à la proposition subordonnée relative!

A chaque fois que je lui donne un conseil, même pour un truc aussi con que l'organisation du classeur (pour garder cohérence avec les pratiques de l'équipe de lettres), elle ne le suit pas...

Visiblement ta stagiaire ne va pas bien...peut être la pression lui fait perdre les pédales? Essaie de la mettre en confiance , de pointer les petites réussites ...je doute que de lui dire que tu es très inquiète au bout d'à peine deux semaines va lui faire remonter la pente.

Je lui ai dit un truc positif sur la façon dont elle a géré les élèves lors de leur entrée en classe, et dans la classe... pour lui dire de chasser ses craintes quant à son expérience passée.. et elle a roulé des yeux, je me suis presque sentie conne de lui avoir dit ça, elle trouvait comme déplacé visiblement que je pointe cette réussite. Moment très étrange.

Dire que je suis inquiète n'aide pas, mais voir quelqu'un qui ne répond jamais à mes demandes, même simples, ça oblige quand même à envoyer une mise en garde à un moment, non...? Je précise qu'elle s'est montrée très incorrecte avec moi le jeudi de la rentrée quand j'ai osé lui dire que non, on ne venait pas faire cours deux heures de suite à une classe avec simplement 3 remarques jetées sur un quart de feuille A4. Et non, ce n'est pas une image, c'était vraiment un quart de feuille A4. Elle m'a reproché de ne pas lui avoir dit plus tôt qu'on devait faire telle ou telle chose pour préparer un cours. En précisant ensuite, en guise de conclusion, qu'elle disait ce qu'elle pensait, qu'elle était comme ça.

Moi ma tutrice m'a dit qu'elle viendrait me voir TRES SOUVENT dans mes cours, or je suis super anxieuse (maladivement) et depuis je flippe à mort et ça me pousserait plutôt à en faire moins (enfin je n'ai pas cedé à cette tentation pour l'instant), vu que tout ce que je fais me stresse 10x plus avec cette arrière pensée d'être "observée". Comme le mauvais élève qui face à la pression décide qu'il est plus facile de ne rien faire : parfois c'est juste une réaction de mal-être. Je ne dis pas que c'est ça Audrey, c'est juste une piste.

JaneB a écrit:

Audrey a écrit:Ben oui, la situation lui pèse, elle mange à peine, ne dort pas beaucoup, c'est évident...

Mais que puis-je faire de plus? Je lui ai expliqué à plusieurs reprises: "Il faut construire une progression en commençant par les connaissances de base... classes grammaticales: variables, invariables, ensuite, on rentrera dans le détail des classes grammaticales...blabla... avant d'aborder les subordonnées, tu dois évoquer phrase simple/ complexe... tu dois étudier la construction des différents verbes... attributifs, transitifs, intransitifs..."
J'ai vraiment répété tout ça... lui ai dit d'observer la progression donnée pour comprendre, de regarder le sommaire du TDL partie langue... que puis-je faire ou dire de plus...?

Malgré tout ce que je lui ai dit et montré, à plusieurs reprises, elle voulait passer de variables/invariables à la proposition subordonnée relative!

A chaque fois que je lui donne un conseil, même pour un truc aussi con que l'organisation du classeur (pour garder cohérence avec les pratiques de l'équipe de lettres), elle ne le suit pas...

Visiblement ta stagiaire ne va pas bien...peut être la pression lui fait perdre les pédales? Essaie de la mettre en confiance , de pointer les petites réussites ...je doute que de lui dire que tu es très inquiète au bout d'à peine deux semaines va lui faire remonter la pente.

Et en même temps c'est aussi une réalité, d'accord la stagiaire d'Audrey ne va pas très bien et en même temps elle ne semble pas suivre ( pour quelles raisons ? peur, angoisse, stress, pas envie etc...) les conseils d'Audrey qui semble lui dévouer beaucoup de son temps. Que faire de plus, Audrey ne peut pas non plus préparer ses cours à sa place, où organiser ses papiers pour elle. Je suis peut-être dure et la situation de stagiaire n'est pas simple mais à un moment il faut aussi se prendre en main, nous avons tous plus de 20 ans, nous ne sommes plus des collégiens. Ça me paraît assez fou de vouloir faire prof sans s'être renseigné sur la manière de préparer un cours.

Elle est plus près des 30 ans que des 20.

Heste a écrit:

JaneB a écrit:

Audrey a écrit:Ben oui, la situation lui pèse, elle mange à peine, ne dort pas beaucoup, c'est évident...

Mais que puis-je faire de plus? Je lui ai expliqué à plusieurs reprises: "Il faut construire une progression en commençant par les connaissances de base... classes grammaticales: variables, invariables, ensuite, on rentrera dans le détail des classes grammaticales...blabla... avant d'aborder les subordonnées, tu dois évoquer phrase simple/ complexe... tu dois étudier la construction des différents verbes... attributifs, transitifs, intransitifs..."
J'ai vraiment répété tout ça... lui ai dit d'observer la progression donnée pour comprendre, de regarder le sommaire du TDL partie langue... que puis-je faire ou dire de plus...?

Malgré tout ce que je lui ai dit et montré, à plusieurs reprises, elle voulait passer de variables/invariables à la proposition subordonnée relative!

A chaque fois que je lui donne un conseil, même pour un truc aussi con que l'organisation du classeur (pour garder cohérence avec les pratiques de l'équipe de lettres), elle ne le suit pas...

Visiblement ta stagiaire ne va pas bien...peut être la pression lui fait perdre les pédales? Essaie de la mettre en confiance , de pointer les petites réussites ...je doute que de lui dire que tu es très inquiète au bout d'à peine deux semaines va lui faire remonter la pente.

Et en même temps c'est aussi une réalité, d'accord la stagiaire d'Audrey ne va pas très bien et en même temps elle ne semble pas suivre ( pour quelles raisons ? peur, angoisse, stress, pas envie etc...) les conseils d'Audrey qui semble lui dévouer beaucoup de son temps. Que faire de plus, Audrey ne peut pas non plus préparer ses cours à sa place, où organiser ses papiers pour elle. Je suis peut-être dure et la situation de stagiaire n'est pas simple mais à un moment il faut aussi se prendre en main, nous avons tous plus de 20 ans, nous ne sommes plus des collégiens. Ça me paraît assez fou de vouloir faire prof sans s'être renseigné sur la manière de préparer un cours.

Gardons à l'esprit qu'on n'a qu'un son de cloche...

Leelooo a écrit:Moi ma tutrice m'a dit qu'elle viendrait me voir TRES SOUVENT dans mes cours, or je suis super anxieuse (maladivement) et depuis je flippe à mort et ça me pousserait plutôt à en faire moins (enfin je n'ai pas cedé à cette tentation pour l'instant), vu que tout ce que je fais me stresse 10x plus avec cette arrière pensée d'être "observée". Comme le mauvais élève qui face à la pression décide qu'il est plus facile de ne rien faire : parfois c'est juste une réaction de mal-être. Je ne dis pas que c'est ça Audrey, c'est juste une piste.

Je comprends çà! L'être humain n'est pas infaillible ...certains ont besoin de temps pour prendre leurs marques et s'adapter. Ne jetons pas la pierre trop vite!

Penses-tu que je serais assez dingue pour venir dire des trucs aussi graves professionnellement à propos de quelqu'un, même anonymement (ou partiellement), sur un forum?
L'ensemble de tous les éléments que je cite ne te paraît qu'une vaste fumisterie, un délire inventé de toutes pièces..? Mazette, que de temps j'aurais à perdre si c'était le cas...

Les paroles qu'elle a dites, je les cite au mot près pour la plupart.
Le déroulé de cours de langue, il est copié directement du tableau de sa classe sur mon cahier. Je ne peux pas faire plus objectif que ça.. après, vous pouvez imaginer que j'invente tout ça... que j'ai écrit des choses mensongères sur mon cahier... ma stagiaire en tout cas a reconnu la véracité de ce que j'y ai écrit.

Bref, encore une semaine et je verrai si évolution il y a.

Eh bien, dénonce-la aux Ipr et décharge-toi de ton tutorat.
Et pète un coup.

Ce n'est pas ce que j'ai dit, Audrey ...je veux juste dire que si ta stagiaire venait parler ici, exposer ses difficultés ...je crois qu'on aurait une vision des choses différente, plus nuancée.
Je pense que ta stagiaire vit mal la pression de cette année. Elle n'est peut être pas faite pour ce métier mais il faut lui laisser du temps...

Est-ce que tu lui as demandé ce qu'elle attend de ce métier ? Si elle l'aime, si elle se voit le faire longtemps ? Si elle aime le contact avec les élèves ? Tu pourrais en apprendre beaucoup en écoutant ses réponses, je pense, peut-être qu'elle regrette de s'être engagée là-dedans.

SãoPaulo a écrit:Eh bien, dénonce-la aux Ipr et décharge-toi de ton tutorat.
Et pète un coup.

Quelle réponse à vomir...

Si je voulais me comporter en fumiste, m'en contrefoutre, je ne serais pas là à me demander, à vous demander, ce qui est normal ou pas à ce stade et dans ces conditions...

Non, je ne compte pas me faire décharger de cette responsabilité. J'assume mon rôle, avec sérieux, et je donne de mon temps sans compter. Vraiment.

Et je ne pense pas que dire qu'un stagiaire est en difficulté, que c'est réellement le cas, qu'on a fait son boulot de tuteur avec sérieux, et qu'on est dans un processus de recrutement relève de la dénoncition.
Le stage sert essentiellement à juger de l'aptitude de quelqu'un à progresser pour devenir un professeur compétent et responsable (même si le sens de la responsabilité, à mon sens, devrait être un prérequis...). Pour l'instant, je n'ai pas de signe positif de cette capacité, et ce, sur des choses simples. Je me laisse encore du temps, mais je ne peux pas non plus laisser 4 classes perdre une année sans rien faire si ça n'évolue pas très vite.
Je ne tire aucun plaisir à tout ça. Vraiment aucun.

Après, nous ne travaillons pas tous de la même façon (mais j'admets que ce que tu racontes me laisse pantoise) : si j'ai rédigé mes cours intégralement quand j'étais stagiaire (voui, voui, intégralement, de "Bonjour, asseyez-vous" jusqu'à "Au revoir, vous pouvez y aller", et je posais mes feuillets devant moi, pour ne jamais les regarder), il y a belle lurette que je ne rédige plus rien. Je serais bien en peine de présenter des cours rédigés.
Et, souvent, je ne rédige pas non plus ma progression (ça, ça date de mes années de TZRiat), je potasse le bo des programmes en permanence, et je coche...
Enfin, je suis très organisée "dans ma tête", et pour certaines choses (mes docs de pp), mais on peut avoir en douter quand on voit la redoutable "zettelwirtschaft" qui envahit mon bureau.
Bref.
Gardons espoir, encore.

Leelooo a écrit:Est-ce que tu lui as demandé ce qu'elle attend de ce métier ? Si elle l'aime, si elle se voit le faire longtemps ? Si elle aime le contact avec les élèves ? Tu pourrais en apprendre beaucoup en écoutant ses réponses, je pense, peut-être qu'elle regrette de s'être engagée là-dedans.

J'y ai pensé... mais je trouve que ce serait délicat à ce stade... cela laisserait entendre d'emblée qu'elle n'a pas sa place dans l'enseignement...

Je sais juste qu'elle n'a jamais côtoyé d'enfants avant, n'a jamais enseigné avant le stage CAD2, et qu'elle m'a dit elle-même ne pas savoir ce qu'est un enfant ni comment leur parler. Ce sont ses propres mots.

Nita a écrit:Après, nous ne travaillons pas tous de la même façon (mais j'admets que ce que tu racontes me laisse pantoise) : si j'ai rédigé mes cours intégralement quand j'étais stagiaire (voui, voui, intégralement, de "Bonjour, asseyez-vous" jusqu'à "Au revoir, vous pouvez y aller", et je posais mes feuillets devant moi, pour ne jamais les regarder), il y a belle lurette que je ne rédige plus rien. Je serais bien en peine de présenter des cours rédigés.
Et, souvent, je ne rédige pas non plus ma progression (ça, ça date de mes années de TZRiat), je potasse le bo des programmes en permanence, et je coche...
Enfin, je suis très organisée "dans ma tête", et pour certaines choses (mes docs de pp), mais on peut avoir en douter quand on voit la redoutable "zettelwirtschaft" qui envahit mon bureau.
Bref.
Gardons espoir, encore.

Moi aussi, aujourd'hui, je note peu de choses... et je laisse vraiment une grande place à l'échange en cours.
Mais au début, honnêtement, je pense qu'aucun prof sérieux n'a pu faire ça. Il faut sacrément se connaître, bien maîtriser les programmes, les notions, les "trucs" pédagogiques, pour se laisser une telle liberté d'action en classe.

Ce qui me perturbe, c'est qu'un coup (vendredi soir) elle me dit, parce qu'elle explique avoir du mal à s'exprimer devant les gens, qu'elle doit absolument noter tout son cours au propre, et poser mot pour mot les questions qu'elle a rédigées, et qu'un coup, ce soir donc, elle me dit avoir tout dans la tête, et que le "cours" écrit n'est que l'état initial de sa réflexion....

Tu as donc deux options, Audrey, et tu les connais très bien :
1- tu dépenses ton énergie et ton temps à former cette stagiaire.
2- tu utilises la procédure d'alerte.

Enseigner, cest faire des choix. Tu as déjà fait ton choix mais il ne te plaît pas car tu as l'impression de te trahir, d'être tiraillée. Pourtant, il est déjà fait quand on te lit.

Disons que je sais que je me dirige vers une alerte si je ne vois rien de positif dans la prise en compte de mes conseils sous peu....

Je trouve que c'est trop tôt pour lancer la procédure d'alerte...

SãoPaulo a écrit:
Et pète un coup.

:shock:

Je n'en reviens pas qu'on puisse se montrer aussi grossier et détestable envers quelqu'un qui vient exposer ici ses inquiétudes. Il ne faut pas s'imaginer qu'il soit facile d'être tuteur non plus...

Nadejda a écrit:Je trouve que c'est trop tôt pour lancer la procédure d'alerte...

Moi aussi, sinon, je l'aurais déjà fait...

Mais il est vrai aussi que des tuteurs expérimentés autour de moi m'ont dit de ne pas trop traîner non plus...
C'est très compliqué de poser la décision au bon moment. C'est tout mon questionnement, et toute ma crainte.

Nadejda a écrit:Je trouve que c'est trop tôt pour lancer la procédure d'alerte...

Je partage ton avis. C'est plus vers novembre/décembre qu'une telle procédure apparaît comme loyale, sauf cas extrêmes liés à la sécurité des élèves ou du stagiaire. J'en parle en connaissance de cause, j'ai l'expérience du tuteur. Si la stagiaire va au tribunal administratif en cas de maintien en stage ou de licenciement, le caractère de loyauté est important et elle sera titularisée même si ce sera une catastrophe tant pour elle que pour les élèves. Après, elle peut avoir un déclic avant décembre aussi.

Provence a écrit:

SãoPaulo a écrit:
Et pète un coup.

:shock:

Je n'en reviens pas qu'on puisse se montrer aussi grossier et détestable envers quelqu'un qui vient exposer ici ses inquiétudes. Il ne faut pas s'imaginer qu'il soit facile d'être tuteur non plus...

+1 avec Provence.

Je ne vois pas en quoi cela fait avancer le débat de dire cela. Audrey a visiblement des scrupules à lancer la procédure d'alerte, elle veut vraiment tout tenter pour aider sa stagiaire (qui semble pourtant au-delà de ce qu'on peut faire pour elle... franchement elle a l'air complètement immature ou perchée dans les nuages, en tous les cas pas prête dans sa tête à assumer ses responsabilités face à des élèves), le moins qu'on puisse faire c'est l'écouter et la conseiller du mieux possible, pas l'envoyer bouler sur un ton péremptoire et grossier. Maintenant, si la discussion ne t'intéresse pas, rien ne t'oblige à la lire et encore moins à y prendre part.

Merci de cette info, Elyas... la notion de loyauté, je découvre.
Pour l'instant (et pas de raison que ça change, je pense..) les élèves ne sont pas physiquement en danger. Pas d'urgence pour les protéger, donc.
C'est juste le fait que là, avec 18h de cours, si elle ne fait pas ce que je lui conseille de faire, si elle ne vient pas assister à des cours, ça va être difficile de progresser...
En fait, ce dont je rêverais, ce serait une réduction de service pour elle. Là, au moins, on pourrait y voir plus clair sur son sérieux, ses difficultés...

Audrey a écrit:Merci de cette info, Elyas... la notion de loyauté, je découvre.
Pour l'instant (et pas de raison que ça change, je pense..) les élèves ne sont pas physiquement en danger. Pas d'urgence pour les protéger, donc.
C'est juste le fait que là, avec 18h de cours, si elle ne fait pas ce que je lui conseille de faire, si elle ne vient pas assister à des cours, ça va être difficile de progresser...
En fait, ce dont je rêverais, ce serait une réduction de service pour elle. Là, au moins, on pourrait y voir plus clair sur son sérieux, ses difficultés...

De le même façon, si tu dois rédiger des rapports, sois toujours factuelle, jamais d'avis sur la personne. Jamais. Le tribunal administratif n'aime vraiment mais vraiment pas ça. On a eu une mini formation juridique en hg dans mon Académie, quand je dis mini, ce sont ces 2 informations