- menerveOracle
Lisak40 a écrit:Cela ne m'étonne pas. Certains CPE se prennent pour les assistants du CDE et se croient supérieurs aux professeurs. J'ai de la chance d'avoir des CPE plutôt corrects, mais j'ai le souvenir d'un contractuel catastrophique : "copain" avec les élèves ET le CDE, et qui parlait mal aux profs et aux AED dont il se sentait très supérieur...
Ah ben voilà... Mais tu nous l'a refile ?? Et le pire du pire lors de l'évaluation de l'établissement elle reçoit des félicitations pour l'excellent climat scolaire et les chiffres des sanctions qui ont baissé.... Tu m'étonnes que ça a baissé en cas de problème les aed nous renvoient les élèves et les rapports disciplinaires ne sont suivis d'aucune sanction... Exemple un élève qui a piqué un truc dans mon armoire... Que dalle nada.
- InvitéInvité
J'aurais besoin d'avis autres que le mien. Je réfléchis à la gestion de classe et j'ai peur de me perdre dans un système de trois croix, un travail supplémentaire ou une observation. Je me disais que j'avais du mal à repérer de qui partent les bavardages et que le brouhaha devient vite généralisé. Est-ce qu'un système de trois croix au tableau pour l'ensemble de la classe quand les bavardages se propagent vous paraît envisageable ou cela ressemble à une punition collective ?
- CasparProphète
J'ai essayé le système des croix au tableau en collège et j'ai trouvé que ça ne fonctionnait pas très bien mais peut-être parce que je n'étais pas convaincu moi-même.
- CathEnchanteur
Oui ça ressemble à une punition collective et c'est interdit. Tu peux essayer de marquer au tableau le prénom de celui que tu prends en train de bavarder, ça équivaut un avertissement, ensuite tu mets un bâton à côté de son nom, et ça correspond à une punition. Ça marche plutôt bien et c'est visible par tous.
- valleExpert spécialisé
corailc a écrit:J'aurais besoin d'avis autres que le mien. Je réfléchis à la gestion de classe et j'ai peur de me perdre dans un système de trois croix, un travail supplémentaire ou une observation. Je me disais que j'avais du mal à repérer de qui partent les bavardages et que le brouhaha devient vite généralisé. Est-ce qu'un système de trois croix au tableau pour l'ensemble de la classe quand les bavardages se propagent vous paraît envisageable ou cela ressemble à une punition collective ?
Ce n'est pas en soi une punition collective, mais tout simplement une adaptation en toute transparence de ta pratique au profil de la classe. Ainsi, le devoir noté ou le travail à faire à la maison, ou quoi que ce soit, ne sera en aucun cas un travail supplémentaire (supplémentaire par rapport à quoi ?), mais une simple voie pour attendre les objectifs, tout comme on s'adapte aux EBP sans qu'il y ait lieu de considérer que qui que ce soit a été puni.
Évidemment cela n'est pas vrai si tu prononces une vraie punition, telle qu'une heure de retenue pour tout le monde, un mot à signer, etc.
Mais je fais aussi partie des collègues qui n'ont jamais vraiment su utiliser ce système. C'est parfois pratique avec des certaines classes et à des moments précis de l'année, mais pas plus.
- BaldredSage
corailc a écrit:J'aurais besoin d'avis autres que le mien. Je réfléchis à la gestion de classe et j'ai peur de me perdre dans un système de trois croix, un travail supplémentaire ou une observation. Je me disais que j'avais du mal à repérer de qui partent les bavardages et que le brouhaha devient vite généralisé. Est-ce qu'un système de trois croix au tableau pour l'ensemble de la classe quand les bavardages se propagent vous paraît envisageable ou cela ressemble à une punition collective ?
Bonjour,
D'abord tu as raison , le meilleur système est celui que l'on se sent capble de gérer, d'où la prudence nécessaire à appliquer un système qui marche très bien... chez un autre.
Tu dis que ta difficulté première est de repérer d'où partent les bavardages et donc d'intervenir avant que cela se généralise. C'est donc à ce niveau qu'il convient d'abord de travailler, pas au moment où on est débordé, le système des croix pour l'ensemble de la classe est de mon point de vue inopérant, cela risque de coaliser la classe, de te mettre publiquement en difficulté et de te mettre la majorité/minorité silencieuse à dos.
Spécialement en début d'année, si tu sens qu'une classe parait propice à ce genre de désordre, il faut en faire ta priorité, avant le contenu du cours. Ne rien laisser passer, et utiliser les trois croix, ou la gradation des punitions ciblant des élèves, et non la classe. Prévenir en amont de ce que tu vas faire et refuser toute contestation pendant le cours, aucune négociation en public.
Après les stratégies peuvent varier selon la classe et le niveau d'enseignement collège ou lycée.
- InvitéInvité
Merci pour vos retours. Je retiens l'idée du nom comme avertissement puis du bâton ou de la croix pour le travail supplémentaire. Cela me semble une gestion plus simple que d'attendre les trois croix. Je précise que je suis en REP. Edit: je pense aussi à la vérification de trois cahiers en fin de cours, avec un système de bonus ou malus selon la prise de note.
- cléliaFidèle du forum
corailc a écrit:Je retiens l'idée du nom comme avertissement puis du bâton ou de la croix pour le travail supplémentaire.
J'utilise un système en 3 étapes : 1) simple rappel à l'ordre : "Machin, arrête de parler". 2) avertissement : "Machin, mets ton agenda sur la table". 3) punition : je ramasse l'agenda et je le mets sur mon bureau ; j'écris moi-même la punition pour le cours suivant.
Mes élèves savent que sortir l'agenda est la dernière étape avant la punition.
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Il voyagea.
Il connut la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues.
Il revint.
Il fréquenta le monde, et il eut d’autres amours, encore.
- InvitéInvité
Idée intéressante Clélia, les miens ont rarement un agenda mais variante avec le carnet. J'avais vu un collègue faire ainsi: avertissement oral puis interruption du cours pour demander à l'élève de noter la punition dans le carnet de correspondance. Cela évite les oublis à la fin de l'heure.
- MitcindyNiveau 10
L'idée de faire noter sa punition à l'élève est intéressante, en effet. Outre le fait que ça évite au professeur le boulot de noter et/ou d'éviter l'oubli, il y a un petit côté théâtral que je trouve pas mal. Après, il faut savoir dans la minute comment punir l'élève. Tout dépend aussi de l'ambiance de la classe. D'expérience, le silence ou la contestation peuvent s'installer...
- MédéeÉrudit
Mitcindy a écrit:L'idée de faire noter sa punition à l'élève est intéressante, en effet. Outre le fait que ça évite au professeur de boulot de noter et/ou d'éviter l'oubli, il y a un petit côté théâtral que je trouve pas mal. Après, il faut savoir dans la minute comment punir l'élève.
Et il ne faut pas tomber sur l'élève qui fait sciemment traîner la chose pour embêter le monde davantage. Mais bon, à ce niveau-là, il y a d'autres mesures à prendre.
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Rentrée 2024 : Poste fixe ! (et 16e établissement )
2021-2024 : TZR en remplacements courts
2020-2021 : T3 - TZR en AFA : 1 collège 6e, 5e + PP 5e
2019-2020 : T2 - TZR en AFA : 2 collèges 6e, 5e, 4e + PP 5e
2018-2019 : T1 - TZR en AFA : 3 collèges 5e, 4e
2017-2018 : Stagiaire en lycée (2nde x2)
- BaldredSage
corailc a écrit:Idée intéressante Clélia, les miens ont rarement un agenda mais variante avec le carnet. J'avais vu un collègue faire ainsi: avertissement oral puis interruption du cours pour demander à l'élève de noter la punition dans le carnet de correspondance. Cela évite les oublis à la fin de l'heure.
Certes mais cela oblige à interrompre le cours et à dépendre du bon vouloir de l'élève pour écrire la punition, à supposer qu'il ne la discute pas, cela n'aide pas la gestion de la classe qui pendant ce temps là ne travaille pas. Noter le nom de l'élève au tableau ou prendre son carnet permet de limiter les perturbations en déplaçant à un moment moins sensible ce qui peut être source de conflit. Le faire en 3 fois relève de la même démarche
- InvitéInvité
C'est vrai mais la prise du carnet peut aussi tourner à l'esclandre...
- Nina68Niveau 9
corailc a écrit:C'est vrai mais la prise du carnet peut aussi tourner à l'esclandre...
C'est pourquoi il peut être judicieux de demander à tous les élèves de poser le carnet sur la table.
- zigmag17Guide spirituel
Dire à l'élève "Tu viendras me voir à la fin de l'heure" peut suffire, le cours n'est pas interrompu et ça peut calmer le jeu ( se méfier tout de même: il ne faut pas que l'élève parte dans des contestations perturbatrices "Et pourquoi moi?" , "Mais j'ai rien fait", "C'est toujours moi", "Et pourquoi je viendrais vous parler à la fin de l'heure j'ai rien à dire moi", "J'aurai pas de temps j'ai cours après/le bus à prendre/ ma mère m'attend" (ou tout autre motif)..
Mais dans ces cas-là ça peut être exclusion directe, donc dans tous les cas je crois qu'il ne faut pas s'appesantir.
Mais toujours pareil : facile à dire de loin et sur le papier, beaucoup moins facile à faire...
Mais dans ces cas-là ça peut être exclusion directe, donc dans tous les cas je crois qu'il ne faut pas s'appesantir.
Mais toujours pareil : facile à dire de loin et sur le papier, beaucoup moins facile à faire...
- zigmag17Guide spirituel
Aussi.Nina68 a écrit:corailc a écrit:C'est vrai mais la prise du carnet peut aussi tourner à l'esclandre...
C'est pourquoi il peut être judicieux de demander à tous les élèves de poser le carnet sur la table.
- InvitéInvité
Je leur fais poser le carnet sur la table en début d'heure mais il y a des spécialistes de l'esclandre qui mettent en l'air le cours. Je pense qu'à partir de là il vaut peut-être mieux rédiger un rapport.
- BaldredSage
corailc a écrit:Je leur fais poser le carnet sur la table en début d'heure mais il y a des spécialistes de l'esclandre qui mettent en l'air le cours. Je pense qu'à partir de là il vaut peut-être mieux rédiger un rapport.
Il faut bien sûr distinguer la "gestion quotidienne" de la discipline qui est une sorte de "pression" territoriale qu'il est plus confortable pour nous de ritualiser au maximum, bien différente de la "gestion de crise" qui relève de l'incident de frontière, voire de l'agression et qui demande d'autres moyens. J'ai un jour fait sortir toute une classe à cause d'un élève qui refusait catégoriquement de sortir et qui cherchait l'affrontement physique. Pour ce genre d'élèves, ce sont d'autres méthodes qu'il faut envisager, quand c'est possible...
- MitcindyNiveau 10
Quand un ou deux élèves bavardent = carnet sur la table avant punition (après rappel à l'ordre)...
Quand il y en a plus de 5 (bref que je n'arrive plus à cibler), je m'arrête et je commence à noter le nom des élèves au tableau (je ne dis rien).
Ces élèves auront une punition à la fin de l'heure.
Quand il y en a plus de 5 (bref que je n'arrive plus à cibler), je m'arrête et je commence à noter le nom des élèves au tableau (je ne dis rien).
Ces élèves auront une punition à la fin de l'heure.
- MitcindyNiveau 10
Baldred a écrit:corailc a écrit:Je leur fais poser le carnet sur la table en début d'heure mais il y a des spécialistes de l'esclandre qui mettent en l'air le cours. Je pense qu'à partir de là il vaut peut-être mieux rédiger un rapport.
Il faut bien sûr distinguer la "gestion quotidienne" de la discipline qui est une sorte de "pression" territoriale qu'il est plus confortable pour nous de ritualiser au maximum, bien différente de la "gestion de crise" qui relève de l'incident de frontière, voire de l'agression et qui demande d'autres moyens. J'ai un jour fait sortir toute une classe à cause d'un élève qui refusait catégoriquement de sortir et qui cherchait l'affrontement physique. Pour ce genre d'élèves, ce sont d'autres méthodes qu'il faut envisager, quand c'est possible...
Bonne idée. Comme ça, le perturbateur se retrouve seul.
J'ai déjà fait cela aussi pour un harceleur d'élève.
- zigmag17Guide spirituel
Très bonne idée je trouve aussi. Question (vraie question) : le perturbateur isolé de fait cherche-t-il à quitter la classe pour rejoindre le groupe ou reste-t-il tout seul en continuant à fulminer?
- *Ombre*Grand sage
Je l'ai fait aussi. Enfin, au départ, j'avais fait monter un surveillant pour emmener l'élève, trop peu fiable pour que je le confie à un autre élève. il a refusé de suivre le surveillant, je voyais qu'on allait y passer des plombes, j'ai dit à la classe qu'on allait s'installer ailleurs et l'élève s'est retrouvé tout seul avec le surveillant.
- Panta RheiExpert
Comme d'autres, j'écris le prénom de l'élève qui dysfonctionne sur le tableau à gauche, et puis je fais quelques cases à coté ou alors quelques colonnes avec à la fin écrit : travail supplémentaire. (avantage, je ne dis rien et je continue de faire cours, j'aime bien faire un petit sourire). Si l'élève continue ou rétorque, je colle un bâton directement et ainsi de suite jusqu'au travail supplémentaire.
Selon les classes le nombre de cases à cocher varie. Le but étant une régulation qui évite d'aller jusqu'à la "punition". A cet effet, et cela fonctionne très bien la plupart du temps, si l'élève un peu dérangeant, participe une fois de manière constructive et bien je m'empresse d'effacer un bâton. A mon grand étonnement, j'ai réussi à "gagner" / "récupérer" des élèves sur lesquels je n'aurais pas parié 5 centimes avec cette méthode.
Selon les classes le nombre de cases à cocher varie. Le but étant une régulation qui évite d'aller jusqu'à la "punition". A cet effet, et cela fonctionne très bien la plupart du temps, si l'élève un peu dérangeant, participe une fois de manière constructive et bien je m'empresse d'effacer un bâton. A mon grand étonnement, j'ai réussi à "gagner" / "récupérer" des élèves sur lesquels je n'aurais pas parié 5 centimes avec cette méthode.
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- Signature:
- 'Don't you find yourself getting bored?' she asked of her sister. 'Don't you find, that things fail to materialise? NOTHING MATERIALISES! Everything withers in the bud.'
'What withers in the bud?' asked Ursula.
'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- BaldredSage
zigmag17 a écrit:Très bonne idée je trouve aussi. Question (vraie question) : le perturbateur isolé de fait cherche-t-il à quitter la classe pour rejoindre le groupe ou reste-t-il tout seul en continuant à fulminer?
Il n'est pas possible de le laisser seul, moi aussi j'avais fait monter un surveillant sans réussir à faire bouger l'élève, le principal est venu sans plus de succès. C'est à ce moment-là que j'ai fait sortir la classe. Elle est restée seule avec le principal, sans public elle a pu alors s'effondrer.
- *Ombre*Grand sage
corailc a écrit:J'aurais besoin d'avis autres que le mien. Je réfléchis à la gestion de classe et j'ai peur de me perdre dans un système de trois croix, un travail supplémentaire ou une observation. Je me disais que j'avais du mal à repérer de qui partent les bavardages et que le brouhaha devient vite généralisé. Est-ce qu'un système de trois croix au tableau pour l'ensemble de la classe quand les bavardages se propagent vous paraît envisageable ou cela ressemble à une punition collective ?
Oui, le bon système est celui qui te convient.
Pour ma part, pour le quotidien (je ne parle pas des événements particuliers dont j'ai eu plus que mon compte l'an passé), deux conseils m'ont été très utiles, au début de ma carrière, au point que je les ai intégrés sans presque plus y penser.
1°) Ne jamais régler un problème pendant le cours, même de simple bavardage. Pendant le cours, on a un cours à faire. Si on fait "de la gestion de classe" à la place, il y a déjà un problème (disait un vieux collègue qui m'a accueillie en Seine-Saint-Denis il y a bien longtemps). Si quelque chose ne va pas, soit je fais une remarque discrète à l'élève, parce que j'estime que cela ne mérite pas plus qu'un rappel à l'ordre (je me déplace vers lui, je lui parle à lui seul), soit je lui dis seulement de venir me voir à la fin du cours. Parce que comme ça, je ne perds pas de temps en contestations, négociations - de toute façon, je n'ai annoncé aucune punition : je me laisse le temps de voir comment la suite de cours va se dérouler et de réfléchir. Et puis souvent, ça met la pression à l'élève qui se contient bien plus sûrement que si je lui avais annoncé une punition.
À la fin de l'heure, je peux m'en tenir à une reprise orale et un avertissement ou donner une punition, mais on peut discuter calmement et il n'y a plus ni cours que cela interrompt ni public à impressionner.
2°) En cas de bavardages diffus, qui deviennent gênants, ne pas parler plus fort (on s'épuise, on se fait mal à la gorge, et les élèves parlent encore plus fort, c'est un cercle vicieux), mais au contraire s'arrêter jusqu'à ce que le silence se fasse. La plupart des classes se remettent au calme dans la minute. J'en profite alors pour parler moins fort et essayer de rappeler l'attention des élèves soit en insistant sur l'importance de ce qu'on est en train de faire le cas échéant, soit en modifiant la nature de l'activité : passage par un temps d'écrit dans le silence complet, ou au contraire un jeu de questions réponses très rapide (sur le cours) qui demande d'être très attentif.
Avec certaines classes, je peux attendre très longtemps avant qu'ils remarquent que j'ai cessé de faire cours et arrêtent de bavarder. Je chronomètre alors ce temps et j'annonce que ce temps sera rattrapé : au bout d'un quart d'heure de cours manqué en bavardages, on rattrape, et comme on ne peut pas rattraper moins d'une heure, on rattrape une heure. Je confie la comptabilité du chrono à quelques élèves, dont certains qui ont tendance à s'éparpiller. En général, on va une fois en rattrapage (que je place au moment le plus pénible pour eux, de préférence quand ils mangeaient au premier service de cantine, et je me fais payer en HSE) et ensuite, les élèves se le tiennent pour dit et, dès que je me tais et que je regarde ma montre, ils se calment... au moins pour un moment. Plus tard, il faut recommencer, tel est notre métier, mais tout cela me permet de faire cours à peu près tranquillement.
- zigmag17Guide spirituel
Baldred a écrit:zigmag17 a écrit:Très bonne idée je trouve aussi. Question (vraie question) : le perturbateur isolé de fait cherche-t-il à quitter la classe pour rejoindre le groupe ou reste-t-il tout seul en continuant à fulminer?
Il n'est pas possible de le laisser seul, moi aussi j'avais fait monter un surveillant sans réussir à faire bouger l'élève, le principal est venu sans plus de succès. C'est à ce moment-là que j'ai fait sortir la classe. Elle est restée seule avec le principal, sans public elle a pu alors s'effondrer.
Je n'ai jamais eu à tester cette méthode. Je retiens que c'est efficace dans les cas extrêmes Et puis que le principal se déplace est merveilleux je trouve, et rassurant.
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