- gioNiveau 5
Pardonne moi si je t'ai froissé, ce n'était pas du tout contre toi, je tenais à préciser que ça ne m'intéresse vraiment pas qu'on me dise et qu'on me répète sans cesse (on me l'a déjà assez fait) que tout ce à quoi s'intéressent les collégiens c'est caca, c'est superficiel, que c'est que des cons, etc. C'est vraiment pas le sujet et je crois être capable de me faire mon idée. Si je ne fais pas cette précision, je crains qu'on ne réponde que par ces jugements mais jamais à la question. (Ce qui n'est pas ce que tu as fait et je t'en remercie beaucoup.) Parce que, par expérience, dès que j'évoque ce sujet, on se rue sur le jugement, mais à la fin je ne sais toujours pas à quoi s'intéressent les collégiens.Jane a écrit::shock: :shock: :shock: Excuse-moi d'avoir une opinion... et de la donner !
Merci d'ailleurs beaucoup à tout ceux qui m'ont apportés des réponses précises.
- JacqGuide spirituel
Elyas a écrit:Ah oui, ils connaissent aussi :
[...]
En musique, on a souvent des surprises. J'ai des élèves qui connaissaient M83, Awolnation, The Valley que j'apprécie et d'autres qui connaissent tous les classiques du rock, du métal et citer Nirvana ou Pinkfloyd n'est absolument pas rare.
Maintenant, tout dépend de leurs familles. Un de mes élèves fait de la guitare avec son père et me citait Jimi Hendrix comme référence.
Maintenant, tu as la culture mainstream ou commerciale qui est la mieux partagée .
On tombe sur des élèves, même si ce ne sont pas les plus fréquents, qui ont les mêmes références que nous s'ils s'intéressent à un type de musique particulière, entre autre pour le rock, hard rock et tous ses dérivés on retrouve tous les classiques rocks depuis Led Zep.
Après, le plus souvent, la culture musicale est celle des grandes radios dites "pour jeunes", rap, R'N'B (enfin le truc qu'on appelle comme cela).
Les mangas (papiers) sont assez lus, plus que la BD classique.
En jeux vidéo j'ai trouvé des élèves passionnés par Assassin's creed (même s'il n'avaient pas du tout réalisé quels étaient les contextes historiques des différents épisodes), un peu de Diablo mais c'est plus rare, et les jeux de guerre en ligne.
- JaneMonarque
gio a écrit:Pardonne moi si je t'ai froissé, ce n'était pas du tout contre toi, je tenais à préciser que ça ne m'intéresse vraiment pas qu'on me dise et qu'on me répète sans cesse (on me l'a déjà assez fait) que tout ce à quoi s'intéressent les collégiens c'est caca, c'est superficiel, que c'est que des cons, etc. C'est vraiment pas le sujet et je crois être capable de me faire mon idée. Si je ne fais pas cette précision, je crains qu'on ne réponde que par ces jugements mais jamais à la question. (Ce qui n'est pas ce que tu as fait et je t'en remercie beaucoup.) Parce que, par expérience, dès que j'évoque ce sujet, on se rue sur le jugement, mais à la fin je ne sais toujours pas à quoi s'intéressent les collégiens.
Merci d'ailleurs beaucoup à tout ceux qui m'ont apportés des réponses précises.
Quand j'utilisais le terme "palpitant", ça voulait faire écho au fait que j'avais précisé plus haut qu'ils avaient assez peu de goûts propres. Rien qui sorte de la norme, propice à provoquer des palpitations.
A ce titre, une petite anecdote. J'ai travaillé avec une classe de 2nde sur Rhinocéros. Les élèves avaient été surpris par la fin, parce que le personnage décide finalement d'être lui plutôt que d'être comme les autres. Ils n'arrivaient que très difficilement à admettre l'idée qu'être soi, c'est bien, parce que être comme les autres, c'est rentrer dans le groupe.
- roxanneOracle
Ce qui est paradoxal c'est que bien qu'ayant accès à tout facilement, ils aient bien moins de références musicales ou filmographie que les élèves d'il y a dix ans.
- Singing in The RainHabitué du forum
Séries télévisées : Walking Dead (sur des Zombies), Games of Thrones.
Musique : rap (Sexion d'Assaut-, Maître Gims, Black M), pop (Rihanna, Sia, Beyoncé, Lady Gaga...)
Lecture : Le Journal d'un dégonflé.
Jeu vidéos ou en ligne : Les Sims, Candy Crush, Call of Duty, Battlefield.
Musique : rap (Sexion d'Assaut-, Maître Gims, Black M), pop (Rihanna, Sia, Beyoncé, Lady Gaga...)
Lecture : Le Journal d'un dégonflé.
Jeu vidéos ou en ligne : Les Sims, Candy Crush, Call of Duty, Battlefield.
- JaneMonarque
roxanne a écrit:Ce qui est paradoxal c'est que bien qu'ayant accès à tout facilement, ils aient bien moins de références musicales ou filmographie que les élèves d'il y a dix ans.
Autrefois la culture se "méritait" (ça veut dire nécessitait un effort). Ils ont aujourd'hui accès à tout; ils n'ont pas de nécessité de chercher, tout leur est servi sur un plateau, et j'ai l'impression qu'ils se contentent d'un minimum.
- gioNiveau 5
Les références que tu m'as cité (Rihanna, Beyoncé, Jason Derulo, Maître Gims, Sexion d'assaut...) je ne connais personne autour de moi qui écoute ça. Donc pour moi, ça sort de la norme. Tu vas peut-être me dire "pas pour les collégiens"...mais moi je n'en sais rien, et c'est précisément pour ça que je posais la question !Jane a écrit:Quand j'utilisais le terme "palpitant", ça voulait faire écho au fait que j'avais précisé plus haut qu'ils avaient assez peu de goûts propres. Rien qui sorte de la norme, propice à provoquer des palpitations.
A ce titre, une petite anecdote. J'ai travaillé avec une classe de 2nde sur Rhinocéros. Les élèves avaient été surpris par la fin, parce que le personnage décide finalement d'être lui plutôt que d'être comme les autres. Ils n'arrivaient que très difficilement à admettre l'idée qu'être soi, c'est bien, parce que être comme les autres, c'est rentrer dans le groupe.
- roxanneOracle
Anecdote qui montre cette peur de se démarquer. Il y a deux ans, je fais écouter l"je suis venu te dire" de Gainsbourg en 4ème. Très peu connaissaient le nom de Gainsbourg, aucun la chanson. Ils écoutent sans trop râler ou ricaner.( c'est déjà ça). A la fin de l'heure, un élève vient me voir quand tout le monde est parti et me demande si cette chanson a beaucoup de vues sur Youtube! En fait, j'ai compris que ça lui avait plu mais qu'il voulait s'assurer que ce soit reconnu par Youtube.
- gioNiveau 5
Manque de confiance en eux normal à cet âge, non ?
- roxanneOracle
Non c'est que Facebook ou Youtube sont une garantie.
- boris vassilievGrand sage
Ah oui, non mais là, ça ne fera avancer en rien avancer le sujet mais on ne peut manquer le sketch de Mme Moisie
"Une question me brûle les lèvres : les jeunes, à part le portable, y a-t-il quelque chose qui vous intéresse ? Hein ??
Toi tu aimes taguer ? Alors ta gueule !"
"Une question me brûle les lèvres : les jeunes, à part le portable, y a-t-il quelque chose qui vous intéresse ? Hein ??
Toi tu aimes taguer ? Alors ta gueule !"
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- JaneMonarque
Si ça peut te rassurer, ce n'est pas ma culture non plus (d'autant que je suis une "vieille dame"). J'ai des ados à la maison, ça aide, reconnaissons-le Ils suffit d'allumer une chaîne de musique quelconque, de se caler sur NRJ ou sur Skyrock, et tu auras bientôt toutes ces références. De toute façon, tu te feras bien vite à cette "culture ado". Notre travail est de l'élargir pour faire en sorte qu'ils ne s'y limitent pas.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- JaneMonarque
roxanne a écrit:Anecdote qui montre cette peur de se démarquer.
C'est exactement ça; la mode ado, c'est aussi une façon de se glisser dans ce moule très confortable. Très peu d'entre eux assument un look ou des goûts "hors-norme".
- gioNiveau 5
Je suis au courant, mais on élargit mieux quand on cible déjà un peu mieux le public, non ?Jane a écrit:Notre travail est de l'élargir pour faire en sorte qu'ils ne s'y limitent pas.
Comme FIP, France Musique ou Nostalgie par exemple ?Jane a écrit:Ils suffit d'allumer une chaîne de musique quelconque [...] et tu auras bientôt toutes ces références.
- JaneMonarque
gio a écrit:Comme FIP, France Musique ou Nostalgie par exemple ?Jane a écrit:Ils suffit d'allumer une chaîne de musique quelconque [...] et tu auras bientôt toutes ces références.
Euh non, je ne crois pas ! :lol: Tu es agaçant(e ?) à la fin, tu fais exprès ? Ca fait au moins fois qu'on te parle de radios comme NRJ ou skyrock !
- SakeiNiveau 10
Jane a écrit:roxanne a écrit:Anecdote qui montre cette peur de se démarquer.
C'est exactement ça; la mode ado, c'est aussi une façon de se glisser dans ce moule très confortable. Très peu d'entre eux assument un look ou des goûts "hors-norme".
Ce qui est normal pour des adolescents, cette volonté d'appartenir à un groupe.
Mais l'école est là pour leur faire découvrir autre chose.
Et si après, une fois enfermés dans leur chambre, ils arrivent à s'émanciper de la pression du groupe pour aller vers d'autres formes de culture (vues en classe par ex.) alors c'est gagné ! ^^
- roxanneOracle
Pas forcément, moi j'aimais bien me démarquer.
- gioNiveau 5
Oui mais justement, tu as ajouté "une chaîne de musique quelconque"... (Pour NRJ et Skyrock, je le savais déjà car c'était la même chose quand j'étais moi-même au collège. Comme tu as dit "quelconque", il y en a alors peut-être d'autres...)Jane a écrit:Ca fait au moins fois qu'on te parle de radios comme NRJ ou skyrock !
Quand j'étais au collège j'écoutais Georges Brassens et Skyrock alors pourquoi pas ?
- SakeiNiveau 10
roxanne a écrit:Pas forcément, moi j'aimais bien me démarquer.
Ben oui mais les rebelles et ceux qui aiment se démarquer sont par définition minoritaires (et dans la société en général, pas que chez les ados)
- ElyasEsprit sacré
Jane a écrit:roxanne a écrit:Ce qui est paradoxal c'est que bien qu'ayant accès à tout facilement, ils aient bien moins de références musicales ou filmographie que les élèves d'il y a dix ans.
Autrefois la culture se "méritait" (ça veut dire nécessitait un effort). Ils ont aujourd'hui accès à tout; ils n'ont pas de nécessité de chercher, tout leur est servi sur un plateau, et j'ai l'impression qu'ils se contentent d'un minimum.
Euh... ton propos me choque. Le culture ne se mérite pas, elle s'acquiert soit par héritage, soit par passion, soit par transmission, soit par nécessité.
Il n'y a pas une culture mais des cultures. Beaucoup de nos élèves n'ont pour déterminant commun que la culture commerciale à la mode et pour se fondre dans le groupe ne parlent pas de leurs autres références culturelles car trop exotiques.
J'ai des élèves qui ont une culture musicale afro-caraïbes incroyable, mais elles n'en parlent pas hors de leur club de danse afro-caraïbes. C'est un exemple parmi tant d'autres.
C'est à l'école de donner la culture classique, celle qui est fondatrice de notre civilisation. Par chance, certains élèves sont déjà pétris de cette culture classique. Là, pour eux, par contre, il va être nécessaire de leur faire découvrir d'autres cultures.
Ensuite, il est beaucoup plus difficile d'avoir accès à la culture quand tout est disponible, justement, car il n'y a plus de hiérarchie, de cheminement, d'expérience, de transmission, de construction. Autrefois, c'était au contraire plus facile et, pour te reprendre, moins "méritant" car la culture dite classique était celle qui était la plus disponible. Et je parle d'expérience, il m'était plus facile de trouver des textes d'Ovide, d'Hygin ou de Racine que de trouver le petit film de medfan qui était une référence absolue dans la culture fantasy et que je cherchais dans les années 90 (je parle de Labyrinth avec Bowie ^^). Pour se construire une culture de nos jours, il faut avoir un initié qui nous permette de découvrir l'histoire de la culture qu'on découvre.
Je prends l'exemple d'un milieu que je fréquente, le milieu de la SFFF (science-fiction, fantasy, fantastique). Les apprentis-auteurs et certains auteurs ne comprennent pas pourquoi les critiques de leurs textes sont aussi "méchantes" comme ils disent. La raison en est qu'ils ne connaissent pas l'histoire littéraire de la SFFF et qu'ils n'ont aucune culture SFFF profonde. Ainsi, citer Stefan Wul, Lord Dunsany, Saberhagen ou Silverberg, c'est leur faire découvrir la lune. Leurs références sont le Trône de fer, Eragon, Hunger Games...
- JaneMonarque
quelconque était un jugement de valeur (je sais,c'est très laid). Il y a en plus beaucoup de radio dans le style "quelconque" que des chaîne comme FIP, France musique ou Nostalgie (tu découvriras aussi que la jeunesse est assez peu nostalgique...)
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- JaneMonarque
Elyas a écrit:Jane a écrit:roxanne a écrit:Ce qui est paradoxal c'est que bien qu'ayant accès à tout facilement, ils aient bien moins de références musicales ou filmographie que les élèves d'il y a dix ans.
Autrefois la culture se "méritait" (ça veut dire nécessitait un effort). Ils ont aujourd'hui accès à tout; ils n'ont pas de nécessité de chercher, tout leur est servi sur un plateau, et j'ai l'impression qu'ils se contentent d'un minimum.
Euh... ton propos me choque. Le culture ne se mérite pas, elle s'acquiert soit par héritage, soit par passion, soit par transmission, soit par nécessité.
Il n'y a pas une culture mais des cultures. Beaucoup de nos élèves n'ont pour déterminant commun que la culture commerciale à la mode et pour se fondre dans le groupe ne parlent pas de leurs autres références culturelles car trop exotiques.
J'ai des élèves qui ont une culture musicale afro-caraïbes incroyable, mais elles n'en parlent pas hors de leur club de danse afro-caraïbes. C'est un exemple parmi tant d'autres.
C'est à l'école de donner la culture classique, celle qui est fondatrice de notre civilisation. Par chance, certains élèves sont déjà pétris de cette culture classique. Là, pour eux, par contre, il va être nécessaire de leur faire découvrir d'autres cultures.
Ensuite, il est beaucoup plus difficile d'avoir accès à la culture quand tout est disponible, justement, car il n'y a plus de hiérarchie, de cheminement, d'expérience, de transmission, de construction. Autrefois, c'était au contraire plus facile et, pour te reprendre, moins "méritant" car la culture dite classique était celle qui était la plus disponible. Et je parle d'expérience, il m'était plus facile de trouver des textes d'Ovide, d'Hygin ou de Racine que de trouver le petit film de medfan qui était une référence absolue dans la culture fantasy et que je cherchais dans les années 90 (je parle de Labyrinth avec Bowie ^^). Pour se construire une culture de nos jours, il faut avoir un initié qui nous permette de découvrir l'histoire de la culture qu'on découvre.
Je prends l'exemple d'un milieu que je fréquente, le milieu de la SFFF (science-fiction, fantasy, fantastique). Les apprentis-auteurs et certains auteurs ne comprennent pas pourquoi les critiques de leurs textes sont aussi "méchantes" comme ils disent. La raison en est qu'ils ne connaissent pas l'histoire littéraire de la SFFF et qu'ils n'ont aucune culture SFFF profonde. Ainsi, citer Stefan Wul, Lord Dunsany, Saberhagen ou Silverberg, c'est leur faire découvrir la lune. Leurs références sont le Trône de fer, Eragon, Hunger Games...
Relis ce qui est en gras... inutile d'être choqué.
- gioNiveau 5
Les stations de radios comme FIP, France musique ou Nostalgie me paraissent quelconque. Skyrock ou NRJ, moins. Le problème étant que si on part dans des jugements, c'est pas que c'est "laid", mais non seulement on va pas se comprendre, mais partir dans du hors-sujet.Jane a écrit:quelconque était un jugement de valeur (je sais,c'est très laid). Il y a en plus beaucoup de radio dans le style "quelconque" que des chaîne comme FIP, France musique ou Nostalgie (tu découvriras aussi que la jeunesse est assez peu nostalgique...)
- JaneMonarque
Bien, je vois que nous n'envisageons pas du tout les choses sous le même angle. Je vais donc voir ailleurs si le ciel est plus bleu. Bonne journée.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- RagnetrudeExpert spécialisé
Ce sujet m'intéresse. quand j'étais au collège, il y a une quinzaine d'année, il y avait la musique "à la mode" qui passait sur M6 : boys band, etc... Mais il y avait toute une quantité de groupes français ou espagnols non commerciaux que les élèves un peu "rebelles" écoutaient : La rue kétanou, Tryo, Ska P, Sinsemilia, K2R Riddim... Je n'arrive pas à savoir quel est l'équivalent aujourd'hui : existe-t-il une scène alternative aussi importante qu'à mon époque, qui soit écoutée par des collégiens et lycéens qui se veulent un peu en marge du système commercial ?
- ElyasEsprit sacré
Jane a écrit:
Relis ce qui est en gras... inutile d'être choqué.
Bah si. Il faut plus d'efforts pour un jeune de nos jours qu'autrefois, justement. Je maintiens. Comme il n'y avait pas d'ordinateurs, d'internet, de smartphone, si je voulais quelque chose, je devais demander à un adulte qui m'initiait à la recherche, m'emmenait au cinéma/musée/bibliothèque. J'étais accompagné dans ma construction culturelle. Maintenant, un gamin demande un truc à un adulte, dans 90% des cas, la réponse sera "Google ça sur internet" et il aura 5 998 000 références dont celles commerciales en premier. On délégue à internet ce qui autrefois était la transmission et l'apprentissage de la culture. L'enfant est seul.
Je prends un exemple concret. Mon fils est fan de chevalier. Si je n'avais pas été là (bibliothèque, spectacles, musées, contes du soir, explication du vocabulaire), il aurait googlé et je te laisse faire l'expérience mais il n'aurait aucune culture de la chevalerie, justement :
https://www.google.fr/search?client=opera&q=chevaliers&sourceid=opera&ie=utf-8&oe=utf-8&channel=suggest&gws_rd=ssl
Mon fils a fait peu d'efforts car il a bénéficié de mon aide. Le catalogue énorme et abyssal d'internet n'est pas chose aisée. D'ailleurs, c'est un argument des anti-TICE de ce forum.
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