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- zinzinuleNiveau 8
Sans rapport ni avec l'enfance ni avec la première guerre mondiale, mais tout de même géniale, y compris pour des 3è :
Comment Wang-Fô fut sauvé de Marguerite Yourcenar
Comment Wang-Fô fut sauvé de Marguerite Yourcenar
- IzambardFidèle du forum
Ah voilà c'était Wang fo la dernière nouvelle du corpus.
Texte sublime.
Texte sublime.
- zinzinuleNiveau 8
Je partage ton avis sur cette nouvelle magnifique, qui questionne toujours beaucoup les élèves. Il m'est arrivé de la faire étudier aussi en 6è-5è, mais avec la version abrégée illustrée par Lemoine, chez folio cadet.
- adelouNiveau 8
je ne suis pas fan de Gavalda mais Happy Meal, quel bonheur avec les élèves!
- IzambardFidèle du forum
Ah bon? En général, les miens trouvaient ça complètement téléphoné.
Mais bon c'est un peu le souci des nouvelles à chute....
Sinon on a pas encore cité "Pauvre petit garçon" de Buzzati et "en sentinelle " de Brown.
Et "quand Angèle fut seule" dont j'ai oublié l'auteur.
Mais bon c'est un peu le souci des nouvelles à chute....
Sinon on a pas encore cité "Pauvre petit garçon" de Buzzati et "en sentinelle " de Brown.
Et "quand Angèle fut seule" dont j'ai oublié l'auteur.
- Ruggera7Neoprof expérimenté
Happy Meal +++ aussi pour mes élèves!
- vera.lynnNiveau 1
Izambard a écrit:
Et "quand Angèle fut seule" dont j'ai oublié l'auteur.
Pascal Mérigeau.
La nouvelle fonctionne très bien, les élèves sont surpris et la relecture est très riche.
Né d'un homme et d'une femme (aussi traduit sous le titre "Journal d'un monstre" de Matheson, qui prend la forme du journal, fonctionne bien également. Je la fais en regard avec une séquence d'Elephant Man de David Lynch, sur la thématique "Qui est le monstre?"
Un humaniste, de Romain Gary (que tu peux retrouver dans le recueil "J'ai soif d'innocence") : difficile, mais très riche également.
- Résumé de "Un humaniste":
- Herr Karl Loewy, riche propriétaire d'une fabrique de jouets et humaniste convaincu, juif, vit en Allemagne dans les années 30. A l'arrivée d'Hitler au pouvoir, après avoir tenté de nier la possibilité que les hommes soient si cruels les uns avec les autres, il donne sa maison et sa fabrique à son couple de domestiques et se cache dans sa cave, espérant des jours meilleurs. Les mois, les années passent : Herr Karl se prive progressivement de tout ce qui le relie au monde (radio, télévision...) car les nouvelles du monde extérieur le désespèrent. Il continue de lire et de discuter avec ses domestiques, qui le nourrissent et le cachent toujours. A la fin de la nouvelle, alors que la guerre est finie, on comprend que ses domestiques lui mentent en lui faisant croire qu'elle n'a jamais cessé, afin de garder la maison et la fabrique de jouets qui prospère et leur apporte un confort de vie qu'ils n'auraient pu espérer obtenir dans leur ancienne vie. Herr Karl, chagriné de cette guerre qui s'éternise, va bientôt mourir, néanmoins satisfait d'avoir eu des amis suffisamment bons pour le nourrir et le cacher...
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