- PouceNiveau 9
J'ai été arrêtée du 21 mai au 3 juin inclus. J'étais en pleine correction du BB. L'arrêt des notes étant le 5 juin au soir, je ne me voyais pas attendre la reprise pour corriger les quarante rédactions et saisir mes appréciations. J'ai donc attendu de me sentir mieux pour, chaque jour, corriger quelques copies. J'ai même transmis à la vie sco un sujet de rédaction, déjà prêt, pour les 5°. Tout cela n'a rien à voir avec le fait de me sentir indispensable ou de bien me faire voir du CDE, je n'en ai vraiment pas besoin. J'ai simplement agi pour mon confort personnel, je ne voulais pas me sentir débordée lors de ma reprise. Je ne vois pas ce qu'il y a ici de scandaleux.
- Thalia de GMédiateur
Parenthèse pour Pouce : dans ton profil, sous ton pseudo, je lis :" Bientôt le Jura". Où ça, sans indiscrétion ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- PouceNiveau 9
Thalia de G a écrit:Parenthèse pour Pouce : dans ton profil, sous ton pseudo, je lis :" Bientôt le Jura". Où ça, sans indiscrétion ?
Réponse en MP.
- inviteeMNiveau 8
Leyade, il y avait un raccourci dans mon premier message: effectivement, il n'y a rien de commun entre aller remettre un arrêt maladie et aller travailler et donc rester sur place un moment alors qu'on n'est pas couvert en cas d'accident.
Teodora, je suis désolée, mais quand on devient prof, quel que soit le moyen par lequel on y parvient, il faut savoir s'informer de toutes ces choses-là. Je suis moi-même stagiaire et je n'ai pas hésité, quand j'avais un doute, à demander conseil ou à ma tutrice ou à mon syndicat. Ce n'est que comme cela qu'on parvient à prendre les meilleures décisions pour agir en fonctionnaire responsable.
J'ai peut-être été véhémente, mais j'en ai marre de voir ternir 1) l'image des jeunes dans le métier; 2) l'image du métier dans l'opinion commune.
Teodora, je suis désolée, mais quand on devient prof, quel que soit le moyen par lequel on y parvient, il faut savoir s'informer de toutes ces choses-là. Je suis moi-même stagiaire et je n'ai pas hésité, quand j'avais un doute, à demander conseil ou à ma tutrice ou à mon syndicat. Ce n'est que comme cela qu'on parvient à prendre les meilleures décisions pour agir en fonctionnaire responsable.
J'ai peut-être été véhémente, mais j'en ai marre de voir ternir 1) l'image des jeunes dans le métier; 2) l'image du métier dans l'opinion commune.
- roxanneOracle
Mais il y a 50 ans ou même 10 ans , aucun principal n'aurait essayé ce genre de choses . S'ils le font aujourd'hui , c'est parce qu'ils savent qu'il n'y a plus aucune solidarité entre profs.Cripure a écrit:Oui, enfin, être enseignant et ne pas savoir que quand un collègue fait grève, on ne casse pas sa grève en le remplaçant, c'est inquiétant. Certes, il y a 50 ans, cette/ce collègue se serait fait casser la gueule au sens propre alors qu'aujourd'hui, les choses sont un peu apaisées. Mais quand même : un prof qui ne sait pas ça n'est pas à sa place devant des élèves.Mandoline a écrit:Pourquoi en passer d'abord par la véhémence ? Quelqu'un qui s'obstinerait, se croirait au-dessus des autres en allant bosser alors qu'il est malade, en étant au fait de ce qu'il risque en cas d'accident, qu'on le taxe de stupidité, qu'on dise qu'il fait du tort à tous, d'accord. Mais là ?
Vu la manière dont les jeunes (et de façon générale les nouveaux) sont accueillis dans les établissements, vu le peu d'implication des délégués syndicaux dans certains collèges, vu l'isolement de notre métier, est-ce bien étonnant ?
J'ai dû expliquer à une jeune collègue à qui le CDE avait demandé d'assurer un remplacement de Robien lors d'une grève qu'il ne fallait pas le faire, que c'était casser l'action des collègues. Cette jeune prof n'avait tout simplement pas pensé aux conséquences, elle s'était retrouvée au pied du mur, une demande au pied levé, pour arranger une classe à laquelle elle était justement en train de faire cours quand le chef est arrivé pour lui demander. Ce n'est pas forcément évident. Pour dire non, encore faut-il avoir du recul et avoir pu réfléchir aux conséquences, qui ne sont pas forcément évidentes pour les nouveaux collègues.
A mon sens, un peu de bienveillance ne fait pas de mal.
- Reine MargotDemi-dieu
Mandoline a écrit:Qui est en tort, la collègue qui va bosser sur injonction du chef, ou le chef, qui sait pertinemment lui, pour le coup, que la collègue n'est pas couverte ?
Qui subit les pressions, là ?
Votre colère est justifiée, mais selon moi, elle se trompe de cible !
Et je persiste à dire qu'un peu de bienveillance entre collègues, et un peu moins de léchage de c** aux chefs, feraient du bien à la profession.
Personne pour suggérer d'aller collectivement dans le bureau du CDE pour lui expliquer qu'on n'oblige pas les collègues à aller bosser en AM. En revanche, pour gueuler virtuellement sur ceux qui se laissent abuser, y'a du monde.
Mais si les CDE tentent ce genre de chose, c'est bien parce qu'ils savent que certains collègues vont céder, ce qui n'aurait pas été le cas il y a qques années...
+1 avec Roxanne.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- MandolineNiveau 6
D'où mon incitation à la bienveillance envers les collègues : il faut expliquer, informer, faire bloc. Traiter les autres d'imbéciles ou d'irresponsables, en se rengorgeant d'être dans le camp de ceux qui ont tout compris, je trouve ça limite.
On se plaint qu'il n'y ait plus de solidarité, mais encore faudrait-il qu'il y ait moins de mépris. C'est à croire que les anciens n'ont jamais débuté. S'ils savaient tout, c'est qu'on leur avait transmis. Soyons nous aussi des transmetteurs et non des contempteurs.
On se plaint qu'il n'y ait plus de solidarité, mais encore faudrait-il qu'il y ait moins de mépris. C'est à croire que les anciens n'ont jamais débuté. S'ils savaient tout, c'est qu'on leur avait transmis. Soyons nous aussi des transmetteurs et non des contempteurs.
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Mandoline a écrit:D'où mon incitation à la bienveillance envers les collègues : il faut expliquer, informer, faire bloc. Traiter les autres d'imbéciles ou d'irresponsables, en se rengorgeant d'être dans le camp de ceux qui ont tout compris, je trouve ça limite.
On se plaint qu'il n'y ait plus de solidarité, mais encore faudrait-il qu'il y ait moins de mépris. C'est à croire que les anciens n'ont jamais débuté. S'ils savaient tout, c'est qu'on leur avait transmis. Soyons nous aussi des transmetteurs et non des contempteurs.
Plutôt d'accord avec toi.
- philannDoyen
Être bienveillant et solidaire oui
Mais ça ne dédouane pas les collègues de faire n'importe quoi, et être jeune ou nouveau n'est pas une excuse pour ne pas connaître les règles de base. (pour ne pas dire le fond de ma pensée)
Mais ça ne dédouane pas les collègues de faire n'importe quoi, et être jeune ou nouveau n'est pas une excuse pour ne pas connaître les règles de base. (pour ne pas dire le fond de ma pensée)
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- CathEnchanteur
Teodora29 a écrit:leyade a écrit:Je suis d'acc avec vous sur le fait que "bosser" alors que l'on est arrêté décrédibilise la notion de légitimité de l'arrêt de ceux qui sont en arrêt pour maladie ; maintenant, là, pour Teodora et sa collègue, on ne sait pas tout : pour mon dernier arrêt, en fin de grossesse, nécessité d'arrêter d'aller travailler, mais pour aller à la maternité, je devais passer dans la rue du collège, je me suis donc arrêtée pour donner la feuille d'arrêt, filer à ma remplaçante mes clés et des cours, je suis restée un peu pour lui donner des infos, je vais peut-être essuyer des jets de tomates virtuels, mais, je n'avais pas l'impression d'être pourrie d'orgueil, débile ou inconsciente...
C'est à peu près mon cas. En arrêt depuis mi-avril pour la grossesse, je suis suivie à la maternité de la même ville, je fais mes prises de sang dans un cabinet à deux pas du collège, j'ai la mutuelle au même endroit.
Quelle drôle d'idée, n'est-ce pas, de choisir la facilité pour un suivi de grossesse, j'aurai dû aller à la grande ville et doubler le temps de transport....
Je me suis donc arrêtée moi aussi deux fois au collège: la première fois, pareil, pour donner la feuille d'arrêt, mais également les clés, les progressions, faire le point avec ma remplaçante. Tout simplement parce que j'avais du mal avec l'idée de la laisser se débrouiller, uniquement avec le cahier de textes, pour décider de ce qu'elle allait faire le temps d'un week-end. Tout comme je n'ai pas réussi à mettre de côté les copies, parce que je sentais que cet arrêt allait se prolonger. De plus, il s'agissait de copies de brevet blanc... pas uniquement de mes élèves, mais des élèves que mes collègues ont en classe. Et oui, j'ai culpabilisé à mort les premières semaines de mon arrêt, surtout pour les gamins que je "plantais" comme cela, d'un jour à l'autre, sans avoir fini ce que j'avais à faire, sans avoir rendu les derniers devoirs. Tout comme j'ai pensé à mes collègues en prenant les copies. Stupidité, peut-être...
Je ne veux pas relancer le débat, qui a pris une ampleur assez inattendue pour moi, j'ai juste quelques réponses à donner.
Tu n'étais pas en arrêt maladie, mais en congé maternité.
- Thalia de GMédiateur
Je m'étonne qu'on ne distribue pas aux lauréats des concours un vademecum des droits et devoirs.zazouyle a écrit:Mandoline a écrit:D'où mon incitation à la bienveillance envers les collègues : il faut expliquer, informer, faire bloc. Traiter les autres d'imbéciles ou d'irresponsables, en se rengorgeant d'être dans le camp de ceux qui ont tout compris, je trouve ça limite.
On se plaint qu'il n'y ait plus de solidarité, mais encore faudrait-il qu'il y ait moins de mépris. C'est à croire que les anciens n'ont jamais débuté. S'ils savaient tout, c'est qu'on leur avait transmis. Soyons nous aussi des transmetteurs et non des contempteurs.
Plutôt d'accord avec toi.
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Soleil noir de mes mélancolies.
- Hermione0908Modérateur
Thalia de G a écrit:Je m'étonne qu'on ne distribue pas aux lauréats des concours un vademecum des droits et devoirs.zazouyle a écrit:Mandoline a écrit:D'où mon incitation à la bienveillance envers les collègues : il faut expliquer, informer, faire bloc. Traiter les autres d'imbéciles ou d'irresponsables, en se rengorgeant d'être dans le camp de ceux qui ont tout compris, je trouve ça limite.
On se plaint qu'il n'y ait plus de solidarité, mais encore faudrait-il qu'il y ait moins de mépris. C'est à croire que les anciens n'ont jamais débuté. S'ils savaient tout, c'est qu'on leur avait transmis. Soyons nous aussi des transmetteurs et non des contempteurs.
Plutôt d'accord avec toi.
Grands dieux Thalia, tu n'y penses pas ?! Nous risquerions d'être informés dès le départ, et finies les tentatives d'abus de pouvoir ! (tentatives que j'ai moi aussi vécues en tant que jeune TZR, fort heureusement, la fréquentation de Néo et des informations prises sur différents sites syndicaux m'ont permis de passer à travers presque toutes ces tentatives, mais clairement, certains CDE, certaine CDE devrais-je dire..., ont tenté de joué sur ma prétendue méconnaissance de mon statut)
- Thalia de GMédiateur
C'était un vœu pieux. J'aurais dû smiliser mon précédent message
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- Hermione0908Modérateur
Thalia de G a écrit:C'était un vœu pieux. J'aurais dû smiliser mon précédent message
En vrai, je suis d'accord avec toi, j'ironisais sur les possibles raisons qui font que ce n'est pas le cas.
- Teodora29Niveau 9
Pas du tout, car je n'en étais qu'à cinq mois de grossesse.Cath a écrit:Tu n'étais pas en arrêt maladie, mais en congé maternité.
- MarieLNeoprof expérimenté
Thalia de G a écrit:Je m'étonne qu'on ne distribue pas aux lauréats des concours un vademecum des droits et devoirs.zazouyle a écrit:Mandoline a écrit:D'où mon incitation à la bienveillance envers les collègues : il faut expliquer, informer, faire bloc. Traiter les autres d'imbéciles ou d'irresponsables, en se rengorgeant d'être dans le camp de ceux qui ont tout compris, je trouve ça limite.
On se plaint qu'il n'y ait plus de solidarité, mais encore faudrait-il qu'il y ait moins de mépris. C'est à croire que les anciens n'ont jamais débuté. S'ils savaient tout, c'est qu'on leur avait transmis. Soyons nous aussi des transmetteurs et non des contempteurs.
Plutôt d'accord avec toi.
Je n'ai pas débuté avec l'enseignement, et j'ai été très, très surprise de constater que ce genre d'information ne passait que par les syndicats. Et comme une évidence en plus : lors de la première journée d'accueil (celle où j'ai cru naïvement que l'on allait nous aider à savoir comment débuter avec une classe), une réunion était officiellement programmée avec les organisations syndicales.
- Spoiler:
- Enfin, plus exactement, le SNES intervenait dans la même salle que les services du rectorat et les IPR, les autres étaient dans le hall.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- roxanneOracle
Cette année, une collègue ( pas du tout débutante d'ailleurs mais avec de gros problèmes personnels qui lui ont fait perdre le sens de la raison qu'elle a aiguisé d'habitude) est revenue faire cours avant la fin de son arrêt maladie, en prévenant néanmoins la veille. Seulement, l'arrêt était déjà parti. La principale a mis deux jours avant de s'en apercevoir, et en catastrophe, en pleine journée lui a demandé de rentrer immédiatement chez elle. En plus, la collègue était assez mal en point physiquement.
- CathEnchanteur
Teodora29 a écrit:Pas du tout, car je n'en étais qu'à cinq mois de grossesse.Cath a écrit:Tu n'étais pas en arrêt maladie, mais en congé maternité.
Alors effectivement, tu n'aurais pas dû venir.
- ArtysiaVénérable
Les jeunes ont bon dos mais dans mon établissement, nous ne sommes que 2 à nous intéresser aux textes, à savoir par exemple combien d'HSA on peut nous imposer, et je suis néotit !
Après je remarque aussi le peu de communication sur le sujet entre collègues, c'est bien dommage.
Après je remarque aussi le peu de communication sur le sujet entre collègues, c'est bien dommage.
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Il y a une certaine frilosité et un esprit un peu mouton aussi.
Je suis PE. La plupart des animations pédagogiques (le soir ) se fait hors résidence administrative ou familiale, sans frais de déplacement bien entendu. Si les PE disaient non, l'administration serait bien obligée de revoir sa copie.
Je suis PE. La plupart des animations pédagogiques (le soir ) se fait hors résidence administrative ou familiale, sans frais de déplacement bien entendu. Si les PE disaient non, l'administration serait bien obligée de revoir sa copie.
- GrypheMédiateur
Sachant que les CDE n'ont rigoureusement aucune formation sur ces mêmes statuts...Hermione0908 a écrit:mais clairement, certains CDE, certaine CDE devrais-je dire..., ont tenté de joué sur ma prétendue méconnaissance de mon statut
- User5899Demi-dieu
Le CDE est le représentant de l'Etat dans l'établissement. Vous courez quand même quelques risques à prendre parfois des décisions illégales... Je pense en particulier à ceux de vos collègues qui cherchent à briser une grève en remplaçant (au mépris d'ailleurs des textes Robien, qui prévoient des délais de mise en oeuvre des RCD) les grévistes annoncés, ceux qui nomment des CPE aux jurys d'HDA, ceux qui intiment à un personnel en AT de venir travailler. Une absence complète de formation juridique devrait faire partie des points sur lesquels vous plaindre avec obstination, ne serait-ce que pour vous mettre à l'abri...
- philannDoyen
Il est vrai...que la méconnaissance des textes n'est pas que le fait des jeunes nouveaux...Des profs avec 20 ans de carrière derrière eux sont parfois parfaitement ignorants...et ne font rien pour combler ce manque!
Pour ce qui est des grèves, à la dernière, un Assistant d'éducation a fait le tour des classes pendant les cours pour demander qui serait là ou non le lendemain. Je lui ai répondu avec toute la diplomatie possible (parce qu'on ne flingue pas le lampiste) que la question était malvenue. MAIS ma CDE en a entendu parler un moment!
Faut dire que sa réponse: "mais ce n'était pas une instruction de ma part" ne m'a pas vraiment calmée!
Pour ce qui est des grèves, à la dernière, un Assistant d'éducation a fait le tour des classes pendant les cours pour demander qui serait là ou non le lendemain. Je lui ai répondu avec toute la diplomatie possible (parce qu'on ne flingue pas le lampiste) que la question était malvenue. MAIS ma CDE en a entendu parler un moment!
Faut dire que sa réponse: "mais ce n'était pas une instruction de ma part" ne m'a pas vraiment calmée!
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2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- GrypheMédiateur
Je sais, article R421-8 du Code de l'éducation. :study:Cripure a écrit:Le CDE est le représentant de l'Etat dans l'établissement.
On a fait remonter cela dernièrement, dans le cadre des GT dédiés aux différents métiers de l'EN.Une absence complète de formation juridique devrait faire partie des points sur lesquels vous plaindre avec obstination, ne serait-ce que pour vous mettre à l'abri...
- Thalia de GMédiateur
Cela dit, il est parfois difficile de trouver une information, même auprès d'un syndicat, même ici où les neos n'ont pas vu ma question ou n'ont pas su répondre...
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Soleil noir de mes mélancolies.
- thrasybuleDevin
Je plussoie: on se focalise sur la prétendue jeunesse des collègues qui feraient des conn.... par une ignorance bien pardonnable, face à laquelle il faudrait déployer des trésors de compréhension et de bienveillance. Ce genre d'arguments m'agace, on ne demande pas une connaissance fine et complète des textes mais un minimum de d'informations nécessaires à l'exercice de ses droits et devoirs de travailleur. Je tiens à souliger que, dans mon bahut, je vois , médusé, des profs qui frôlent la cinquantaine complètement ignares dans la connaissance des droits le plus fondamentaux et qui s'en vanteraient presque. Si on responsabilise pas un peu les gens, et si on infantilise les jeunes collègues qui sont des adultes, on n'est pas rendu. Ce qui n'a rien à voir avec le fait qu'il faut les épauler face aux abus grandissants des petits chefaillons. Quant au fait que ce n'est pas grave si certains agissements nous décrédibilisent étant donné notre image dans l'opinion, franchement...philann a écrit:Être bienveillant et solidaire oui
Mais ça ne dédouane pas les collègues de faire n'importe quoi, et être jeune ou nouveau n'est pas une excuse pour ne pas connaître les règles de base. (pour ne pas dire le fond de ma pensée)
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