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- NannnieHabitué du forum
En même temps, le sujet est posté dans la section langues anciennes ...Paratge a écrit:Ce serait plus clair si tu mettais « Si vous avez envie de corriger mes exercices “de latin” » dans le titre.
- virgereNeoprof expérimenté
Me voici de retour, avec un nouveau thème d'imitation.
Le texte de départ :
Quand les Romains eurent pris les jeunes Sabines, Tatius envahit Rome. Sur la rive du fleuve, il tua beaucoup d'habitants, fit du butin et n'épargna pas les premiers citoyens du peuple. Mais un large fossé protégea Romulus et de nombreux Romains. C'est pourquoi, ainsi que les plus perspicaces l'avaient prévu, Tatius s'enfuit de la rive du fleuve.
Ma transcription :
Ubi Romani puellas Sabinas ceperunt, Tatius Romam inuasit. Multos incolas in fluuii ripa occidit, praediam fecit ac populi primis non pepercit. Sed uasta fossa Romulum multosque Romanos defendit. Itaque, sagacissimi ubi prouiderunt, Tatius e fluuii ripa fugit.
J'ai de nombreux doutes, notamment sur la place des mots. J'ai essayé de tenir compte de vos remarques précédentes. Je ne doute pas qu'il reste beaucoup de choses à corriger et améliorer cependant...
Par ailleurs, une phrase de version me pose souci : Vitiorum maximorum exemplum semper dedimus ; itaque e patria figimus. Je l'ai traduite par : Nous avons toujours donné des exemples des plus grands défauts, c'est pourquoi nous avons fui la patrie.
Sauf que je ne trouve pas logique le lien de causalité dans ma version (entre le fait de donner des exemples et celui de fuir), d'où je me dis que quelque chose m'échappe, mais quoi ?
Merci d'avance à tous
Le texte de départ :
Quand les Romains eurent pris les jeunes Sabines, Tatius envahit Rome. Sur la rive du fleuve, il tua beaucoup d'habitants, fit du butin et n'épargna pas les premiers citoyens du peuple. Mais un large fossé protégea Romulus et de nombreux Romains. C'est pourquoi, ainsi que les plus perspicaces l'avaient prévu, Tatius s'enfuit de la rive du fleuve.
Ma transcription :
Ubi Romani puellas Sabinas ceperunt, Tatius Romam inuasit. Multos incolas in fluuii ripa occidit, praediam fecit ac populi primis non pepercit. Sed uasta fossa Romulum multosque Romanos defendit. Itaque, sagacissimi ubi prouiderunt, Tatius e fluuii ripa fugit.
J'ai de nombreux doutes, notamment sur la place des mots. J'ai essayé de tenir compte de vos remarques précédentes. Je ne doute pas qu'il reste beaucoup de choses à corriger et améliorer cependant...
Par ailleurs, une phrase de version me pose souci : Vitiorum maximorum exemplum semper dedimus ; itaque e patria figimus. Je l'ai traduite par : Nous avons toujours donné des exemples des plus grands défauts, c'est pourquoi nous avons fui la patrie.
Sauf que je ne trouve pas logique le lien de causalité dans ma version (entre le fait de donner des exemples et celui de fuir), d'où je me dis que quelque chose m'échappe, mais quoi ?
Merci d'avance à tous
- NLM76Grand Maître
J'ai mis en gras ce qui me semble être les plus gros problèmes; le reste à vérifier avec un Gaffiot.
virgere a écrit:Me voici de retour, avec un nouveau thème d'imitation.
Le texte de départ :
Quand les Romains eurent pris (passé antérieur) les jeunes Sabines, Tatius envahit Rome. Sur la rive du fleuve, il tua beaucoup d'habitants, fit du butin et n'épargna pas les premiers citoyens du peuple. Mais un large fossé protégea Romulus et de nombreux Romains. C'est pourquoi, ainsi que les plus perspicaces l'avaient prévu (plus-que-parfait), Tatius s'enfuit de la rive du fleuve.
Ma transcription :
Ubi Romani puellas Sabinas ceperunt, Tatius Romam inuasit. Multos incolas in fluuii ripa occidit, praediam (Barbarisme) fecit ac populi primis non pepercit. Sed uasta fossa Romulum multosque Romanos defendit. Itaque, sagacissimi ubi (faux sens) prouiderunt, Tatius e fluuii ripa fugit.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- virgereNeoprof expérimenté
Pour le passé antérieur, je ne sais pas le traduire autrement que par le parfait, par contre effectivement, grosse boulette sur le plus que parfait prouiderunt --> prouiderant
ubi --> ut ou sicut (mais où avais-je la tête ?)
remplacer ac + non par neque ? (neque populi primis pepercit) ? Il est absolument interdit d'utiliser conjointement ac et ne ? Ca me semblait mieux à l'oreille, sûrement parce que ça donnait une structure plus proche de la française...
Je m'en veux pour les 2 1ères fautes que j'aurais dû éviter
ubi --> ut ou sicut (mais où avais-je la tête ?)
remplacer ac + non par neque ? (neque populi primis pepercit) ? Il est absolument interdit d'utiliser conjointement ac et ne ? Ca me semblait mieux à l'oreille, sûrement parce que ça donnait une structure plus proche de la française...
Je m'en veux pour les 2 1ères fautes que j'aurais dû éviter
- ParatgeNeoprof expérimenté
Nannnie a écrit:En même temps, le sujet est posté dans la section langues anciennes ...Paratge a écrit:Ce serait plus clair si tu mettais « Si vous avez envie de corriger mes exercices “de latin” » dans le titre.
En même temps, le sujet ainsi intitulé sur la page des Nouveaux sujets fait qu'on ne sait pas de quoi il est question…
- virgereNeoprof expérimenté
Je n'avais pas pensé à la page "nouveaux sujets", c'est vrai.
Mais les modérateurs ont modifié le titre, il ne doit plus y avoir d'ambiguïté désormais
Mais les modérateurs ont modifié le titre, il ne doit plus y avoir d'ambiguïté désormais
- ParatgeNeoprof expérimenté
Auia in urticas non propellenda est.
- virgereNeoprof expérimenté
Mamie n'a pas été poussée dans les orties ? (j'ai du mal à traduire ton infinitif passé...)
Ou il ne faut pas pousser mamie dans les orties ?
J'ai pas trouvé ta phrase dans ma méthode ^^
Ou il ne faut pas pousser mamie dans les orties ?
J'ai pas trouvé ta phrase dans ma méthode ^^
- ParatgeNeoprof expérimenté
Oui, il ne faut pas la pousser.
- virgereNeoprof expérimenté
Mais oui, c'est sur le même modèle que delenda est Cartago ! (ou quelque chose d'avoisinant) que j'avais appris au collège il y a quelques années...
- NLM76Grand Maître
Je retire ma pseudo-correction pour le passé antérieur. En outre, effectivement, "ac... non" est possible, mais je mettrais quand même neque par précaution.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- User5899Demi-dieu
Moi aussi, j'éviterais ac non.
Et propellenda est n'est pas un infinitif parfait, ne serait-ce que parce que "est" n'est pas un infinitif
C'est un adjectif verbal, qui exprime au passif l'idée d'obligation.
Et propellenda est n'est pas un infinitif parfait, ne serait-ce que parce que "est" n'est pas un infinitif
C'est un adjectif verbal, qui exprime au passif l'idée d'obligation.
- User17706Bon génie
« C'est pourquoi » suggère effectivement un lien de causalité et c'est pourquoi ce n'est pas ici une bonne traduction d'itaque (« ainsi » irait bien). (Itaque lie souvent le cas à la règle plutôt que l'effet à la cause.)virgere a écrit: une phrase de version me pose souci : Vitiorum maximorum exemplum semper dedimus ; itaque e patria fugimus. Je l'ai traduite par : Nous avons toujours donné des exemples des plus grands défauts, c'est pourquoi nous avons fui la patrie.
Sauf que je ne trouve pas logique le lien de causalité dans ma version (entre le fait de donner des exemples et celui de fuir), d'où je me dis que quelque chose m'échappe, mais quoi ?
- virgereNeoprof expérimenté
Merci à tous les trois. (en lisant Pauvre Yorick, me suis aperçue d'ailleurs qu'exemplum est au singulier...)
Cripure : effectivement, j'ai mal lu mon manuel (et après je dis aux élèves d'être attentifs) et c'est vrai que je connaissais cette tournure dans "Carthage doit être détruite".
J'ai réussi à trouver des corrigés à partir de la leçon 8 ou 9... il ne me reste plus que 4 ou 5 leçons à vous embêter, donc.
Merci
Cripure : effectivement, j'ai mal lu mon manuel (et après je dis aux élèves d'être attentifs) et c'est vrai que je connaissais cette tournure dans "Carthage doit être détruite".
J'ai réussi à trouver des corrigés à partir de la leçon 8 ou 9... il ne me reste plus que 4 ou 5 leçons à vous embêter, donc.
Merci
- virgereNeoprof expérimenté
C'est re-moi !
Voici le thème d'imitation de ma leçon 5. Le principal point de grammaire abordé est la proposition infinitive (comme vous pourrez le constater).
J'ai vérifié mes sujets de l'infinitif (accusatif), mis les compléments avant le nom qu'ils complètent, choisis l'infinitif parfait pour exprimer l'antériorité... Mais j'ai sans doute laissé des étourderies (ma spécialité ) et fait des erreurs.
Merci d'avance pour vos lumières !
Le texte : La postérité a loué Romulus pour de nombreuses raisons. Elle a, en effet *, estimé que la patrie avait été gouvernée avec beaucoup de bonheur, que le peuple avait été très heureux et que les dieux avaient été bien honorés. En outre, elle a pensé que le règne de Romulus était un très grand exemple de sagesse.
* : je me demande si la place choisie en français était une aide pour la place en latin. Y a-t-il une règle pour nam ?
La place des mots est décidément toujours problématique pour moi...
Ma proposition :
Posteri multis de causis Romulum laudauit. Nam aestimauit patriam felicissime gubernata esse, populum beatissimum fuisse et deos bene laudatos esse. Praetera putat Romuli regnum prudentiae exemplum fuisse.
(à la relecture, j'ai vraiment la sensation d'avoir le tiercé, mais pas dans l'ordre ! Y a-t-il des règles en général sur la place des mots ou cela viendra-t-il en fréquentant les textes ?)
Voici le thème d'imitation de ma leçon 5. Le principal point de grammaire abordé est la proposition infinitive (comme vous pourrez le constater).
J'ai vérifié mes sujets de l'infinitif (accusatif), mis les compléments avant le nom qu'ils complètent, choisis l'infinitif parfait pour exprimer l'antériorité... Mais j'ai sans doute laissé des étourderies (ma spécialité ) et fait des erreurs.
Merci d'avance pour vos lumières !
Le texte : La postérité a loué Romulus pour de nombreuses raisons. Elle a, en effet *, estimé que la patrie avait été gouvernée avec beaucoup de bonheur, que le peuple avait été très heureux et que les dieux avaient été bien honorés. En outre, elle a pensé que le règne de Romulus était un très grand exemple de sagesse.
* : je me demande si la place choisie en français était une aide pour la place en latin. Y a-t-il une règle pour nam ?
La place des mots est décidément toujours problématique pour moi...
Ma proposition :
Posteri multis de causis Romulum laudauit. Nam aestimauit patriam felicissime gubernata esse, populum beatissimum fuisse et deos bene laudatos esse. Praetera putat Romuli regnum prudentiae exemplum fuisse.
(à la relecture, j'ai vraiment la sensation d'avoir le tiercé, mais pas dans l'ordre ! Y a-t-il des règles en général sur la place des mots ou cela viendra-t-il en fréquentant les textes ?)
- User5899Demi-dieu
virgere a écrit:C'est re-moi !
Voici le thème d'imitation de ma leçon 5. Le principal point de grammaire abordé est la proposition infinitive (comme vous pourrez le constater).
J'ai vérifié mes sujets de l'infinitif (accusatif), mis les compléments avant le nom qu'ils complètent, choisis l'infinitif parfait pour exprimer l'antériorité... Mais j'ai sans doute laissé des étourderies (ma spécialité ) et fait des erreurs.
Merci d'avance pour vos lumières !
Le texte : La postérité a loué Romulus pour de nombreuses raisons. Elle a, en effet *, estimé que la patrie avait été gouvernée avec beaucoup de bonheur, que le peuple avait été très heureux et que les dieux avaient été bien honorés. En outre, elle a pensé que le règne de Romulus était un très grand exemple de sagesse.
* : je me demande si la place choisie en français était une aide pour la place en latin. Y a-t-il une règle pour nam ?
La place des mots est décidément toujours problématique pour moi...
Ma proposition :
Posteri multis de causis Romulum laudauit. Nam aestimauit patriam felicissime gubernata esse, populum beatissimum fuisse et deos bene laudatos esse. Praetera putat Romuli regnum prudentiae exemplum fuisse.
(à la relecture, j'ai vraiment la sensation d'avoir le tiercé, mais pas dans l'ordre ! Y a-t-il des règles en général sur la place des mots ou cela viendra-t-il en fréquentant les textes ?)
- virgereNeoprof expérimenté
Oups !
laudauit : j'avais accordé avec le sujet français, mais c'est au pluriel en latin --> laudauerunt
pareil pour aestimauit --> aestimauerunt
et putat (que j'ai carrément mis au présent,soyons fou, deux fautes sur le même mot !) --> putauerunt
Gubernata : et l'accusatif, c'est pour les chiens ? tsss --> gubernatam
C'est mieux ?
laudauit : j'avais accordé avec le sujet français, mais c'est au pluriel en latin --> laudauerunt
pareil pour aestimauit --> aestimauerunt
et putat (que j'ai carrément mis au présent,soyons fou, deux fautes sur le même mot !) --> putauerunt
Gubernata : et l'accusatif, c'est pour les chiens ? tsss --> gubernatam
C'est mieux ?
- yranohHabitué du forum
virgere a écrit:
Le texte : La postérité a loué Romulus pour de nombreuses raisons. Elle a, en effet *, estimé que la patrie avait été gouvernée avec beaucoup de bonheur, que le peuple avait été très heureux et que les dieux avaient été bien honorés. En outre, elle a pensé que le règne de Romulus était un très grand exemple de sagesse.
Ma proposition :
Posteri multis de causis Romulum laudauit. Nam aestimauit patriam felicissime gubernata esse, populum beatissimum fuisse et deos bene laudatos esse. Praeterea putat Romuli regnum prudentiae exemplum fuisse.
Les fautes relevées sont bien corrigées, oui. Il y a aussi une faute de concordance des temps dans la dernière phrase.
Je me permets une petite remarque annexe :
il semble qu'il s'agissait aussi de travailler les superlatifs. Or, tu as oublié de traduire "très grand exemple".
Et "nam" est à sa bonne place dans ta traduction : en début de proposition.
- User14996Niveau 10
virgere a écrit:
Le texte : La postérité a loué Romulus pour de nombreuses raisons. Elle a, en effet, estimé que la patrie avait été gouvernée avec beaucoup de bonheur, que le peuple avait été très heureux et que les dieux avaient été bien honorés. En outre, elle a pensé que le règne de Romulus était un très grand exemple de sagesse.
Ma proposition :
Posteri multis de causis Romulum laudauerunt. Nam aestimauerunt patriam felicissime gubernatam esse, populum beatissimum fuisse et deos bene laudatos esse. Praeterea putauerunt Romuli regnum prudentiae exemplum fuisse.
D'un point de vue lexical, "laudare deos" est impropre pour "honorer les dieux" : préférez colo, ere, colui, cultum.
Quant à l'ordre des mots : un peu de Cicéron et de César tous les jours, et ça viendra avec le temps !
- virgereNeoprof expérimenté
Mais bon sang mais c'est bien sûr !
La traduction trop littérale me perdra...
Donc plutôt : et deos bene cultos esse ?
très grand --> maximum
Par contre, fuisse ? Il faut bien un infinitif parfait, non ?
La traduction trop littérale me perdra...
Donc plutôt : et deos bene cultos esse ?
très grand --> maximum
Par contre, fuisse ? Il faut bien un infinitif parfait, non ?
- User14996Niveau 10
... esse, oui. Ou bien rite, pie, etc.virgere a écrit:Donc plutôt : et deos bene cultos ?
"on pensait que... était un très grand exemple", non "on pensait que... avait été un très grand exemple" : le règne de Romulus est un exemple pour la postérité. L'infinitif parfait marque une antériorité par rapport au verbe de la principale.Par contre, fuisse ? Il faut bien un infinitif parfait, non ?
- virgereNeoprof expérimenté
Ok, merci. Effectivement, je l'ai lu dans ma leçon, pourtant. J'ai décidément du mal à m'extraire de la traduction littérale.
Ca va viendre ! (enfin, j'espère...)
Merci, je retourne au boulot... :lecteur:
Ca va viendre ! (enfin, j'espère...)
Merci, je retourne au boulot... :lecteur:
- User5899Demi-dieu
Oui, j'ai hésité. Après réflexion, je maintiendrais le parfait.Sullien a écrit:... esse, oui. Ou bien rite, pie, etc.virgere a écrit:Donc plutôt : et deos bene cultos ?
"on pensait que... était un très grand exemple", non "on pensait que... avait été un très grand exemple" : le règne de Romulus est un exemple pour la postérité. L'infinitif parfait marque une antériorité par rapport au verbe de la principale.Par contre, fuisse ? Il faut bien un infinitif parfait, non ?
- User14996Niveau 10
J'ai hésité aussi. Vous préférez le parfait pour sa valeur aspectuelle ?Cripure a écrit:Oui, j'ai hésité. Après réflexion, je maintiendrais le parfait.Sullien a écrit:... esse, oui. Ou bien rite, pie, etc.virgere a écrit:Donc plutôt : et deos bene cultos ?
"on pensait que... était un très grand exemple", non "on pensait que... avait été un très grand exemple" : le règne de Romulus est un exemple pour la postérité. L'infinitif parfait marque une antériorité par rapport au verbe de la principale.Par contre, fuisse ? Il faut bien un infinitif parfait, non ?
- User5899Demi-dieu
Oui, en quelque sorte. Dans les portraits, o n'emploie pas l'imparfait, mais le parfait, assez souvent, au fond.Sullien a écrit:J'ai hésité aussi. Vous préférez le parfait pour sa valeur aspectuelle ?Cripure a écrit:Oui, j'ai hésité. Après réflexion, je maintiendrais le parfait.Sullien a écrit:
... esse, oui. Ou bien rite, pie, etc.
"on pensait que... était un très grand exemple", non "on pensait que... avait été un très grand exemple" : le règne de Romulus est un exemple pour la postérité. L'infinitif parfait marque une antériorité par rapport au verbe de la principale.
- virgereNeoprof expérimenté
Oui, en fait je le savais et j'avais choisi le parfait sciemment, d'ailleurs même Cripure est d'accord avec moi
(ah bon, ça se voit que je bluffe ? )
Bon, je vous laisse entre pro, je vais m'atteler aux pronoms personnels et aux anaphoriques, tout un programme !
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- Latin : et si vous avez aussi envie de corriger Sylvain (Deléani)
- Vous avez envie d'enseigner à l'étranger la prochaine année scolaire ? Connaissez-vous ce programme ?
- avez-vous des manies pour corriger ?
- Latin, collège : Faites-vous vos exercices vous-même ?
- La machine à corriger : vous en avez rêvé, l'Amérique l'a fait !
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