- virgereNeoprof expérimenté
Bonjour,
Je viens de finir le thème qui clôt la leçon 10 (je ferai la version un peu plus tard, j'ai du monde à la maison, il faut bien que je lâche mon livre un peu ^^)
Comme d'habitude, je le soumets à votre jugement :
Quand les soldats romains eurent été vaincus et abaissés par la Fortune dans les immenses forêts de la Germanie, alors ils pensèrent que les esclaves étaient vraiment des hommes autant que les maîtres. Auparavant, ils regardaient, non les hommes eux-mêmes, mais leur condition ; c'est pourquoi ils étaient durs, orgueilleux et méchants. Mais à présent, ils jugeaient que la méchanceté était elle-même plus dégradante que l'esclavage et ils avaient perdu leur ancienne arrogance.
--> Ubi in Germaniae amplissimis siluis romani milites Fortuna uicti depressique sunt, tunc putauerunt seruos uere homines fuisse tam dominos . (ou : seruos uere tam dominos homines fuisse ?) Ante non inspexuerunt homines ipsos sed eam conditionem ; itaque saeui, superbi malique erant. Sed nunc aestimabant malitiam ipsam foediorem fuisse quam seruitutem atque pristinam insolentiam perderant.
Alors ? Progressè-je ? (:smiley plein d'espoir: ^^)
Je viens de finir le thème qui clôt la leçon 10 (je ferai la version un peu plus tard, j'ai du monde à la maison, il faut bien que je lâche mon livre un peu ^^)
Comme d'habitude, je le soumets à votre jugement :
Quand les soldats romains eurent été vaincus et abaissés par la Fortune dans les immenses forêts de la Germanie, alors ils pensèrent que les esclaves étaient vraiment des hommes autant que les maîtres. Auparavant, ils regardaient, non les hommes eux-mêmes, mais leur condition ; c'est pourquoi ils étaient durs, orgueilleux et méchants. Mais à présent, ils jugeaient que la méchanceté était elle-même plus dégradante que l'esclavage et ils avaient perdu leur ancienne arrogance.
--> Ubi in Germaniae amplissimis siluis romani milites Fortuna uicti depressique sunt, tunc putauerunt seruos uere homines fuisse tam dominos . (ou : seruos uere tam dominos homines fuisse ?) Ante non inspexuerunt homines ipsos sed eam conditionem ; itaque saeui, superbi malique erant. Sed nunc aestimabant malitiam ipsam foediorem fuisse quam seruitutem atque pristinam insolentiam perderant.
Alors ? Progressè-je ? (:smiley plein d'espoir: ^^)
- virgereNeoprof expérimenté
Et hop, entre la poire et le fromage, une petite version de faite
J'ai surtout un doute sur "ius bonumque" et sur la dernière phrase, concerant le "duabus artibus", que j'ai interprété comme un complément de moyen.
Le texte :
Domi militiaeque boni mores colebantur ; concordia maxima, minima auaritia erat ; ius bonumque apud eos non legibus magis quam natura uelebat. Iurgia, discordias, simultates cum hostibus exercebant, ciues cum ciuibus de uirtute certabant. In suppliciis deorum magnifici, domi parci, in amicos fideles erant. Duabus artibus, audacia in bello, ubi pax euenerat aequitate, seque remque publicam curabant.
Salluste
Ma traduction :
Chez eux et en campagne, les coutumes étaient bien honorées ; il régnait la plus grande paix et la cupidité la plus petite (faible ?) ; et chez eux, le bon droit était puissant moins par les lois que par leur penchant naturel. Les querelles, les disputes, les luttes s'exerçaient contre les ennemis, entre eux les citoyens rivalisaient de vertu. Ils étaient généreux dans leurs offrandes aux dieux, économes à la maison, fidèles en amitié. Par deux arts, le courage à la guerre et la justice quand la paix arrivait, ils prenaient soin et d'eux et de l'Etat.
J'ai surtout un doute sur "ius bonumque" et sur la dernière phrase, concerant le "duabus artibus", que j'ai interprété comme un complément de moyen.
Le texte :
Domi militiaeque boni mores colebantur ; concordia maxima, minima auaritia erat ; ius bonumque apud eos non legibus magis quam natura uelebat. Iurgia, discordias, simultates cum hostibus exercebant, ciues cum ciuibus de uirtute certabant. In suppliciis deorum magnifici, domi parci, in amicos fideles erant. Duabus artibus, audacia in bello, ubi pax euenerat aequitate, seque remque publicam curabant.
Salluste
Ma traduction :
Chez eux et en campagne, les coutumes étaient bien honorées ; il régnait la plus grande paix et la cupidité la plus petite (faible ?) ; et chez eux, le bon droit était puissant moins par les lois que par leur penchant naturel. Les querelles, les disputes, les luttes s'exerçaient contre les ennemis, entre eux les citoyens rivalisaient de vertu. Ils étaient généreux dans leurs offrandes aux dieux, économes à la maison, fidèles en amitié. Par deux arts, le courage à la guerre et la justice quand la paix arrivait, ils prenaient soin et d'eux et de l'Etat.
- virgereNeoprof expérimenté
C'est re-moi
Mon dernier message n'a pas eu de réponse, et comme ça m'arrange, je me dis que c'est parce qu'il n'y avait rien à corriger (quelle prétention ^^)
Par contre, ce ne sera pas la même pour cette fois... Et si personne ne répond cela sera juste le signe que vous avez tous des choses plus passionnantes à faire que lire mes laborieuses traductions !
Voici donc les thème et version du chapitre 11.
Comme vous le constaterez rapidement, cette leçon portait principalement sur l'utilisation des participes et sur l'ablatif absolu.
Je pense (j'espère ?) m'être pas trop mal débrouillée pour le thème (hormis les inévitables erreurs d'inattention). Par contre la version... Je n'ai pas réussi à tout traduire, j'ai beau essayer de reconstruire les phrases à l'aide des cas, je ne m'en sors pas.
J'attends donc avec impatience vos commentaires
Thème : (vous reconnaitrez sans doute le modèle du texte, puisqu'il s'agit d'un thème d'imitation : la Vie de Vespasien de Suétone)
De nombreux prodiges annoncèrent au général qu'il serait un jour empereur. D'abord, tandis qu'il labourait dans un champ, des boeufs s'avancèrent vers la charrue ; après avoir secoué le joug, ils tombèrent aux pieds du maître et baissèrent le cou. D'autre part, le mois suivant, alors qu'aucun vent ne soufflait, un arbre fut arraché. Enfin, un jour, tandis qu'il dormait, un médecin entra dans le triclinium, après avoir arraché une dent à l'empereur.
--> Multa prodigia duci nuntauerunt, eum quondam principem futurum. Primum, eo in agro arante, boues ad aratrum progrediebantur ; decusso iugo, a domini pedes prociderunt, collumque submiserunt. Autem, sequenti mense, nullo uento flante, arbor euulsa est. Denique, dormiente eo, medicus, principi dente exempto, in triclinium ingressus est.
Version :
(Sedes), inter uastas solitudines sita, undique ambientibus ramis, uix in densam umbram cadente sole (cette partie de la phrase je ne vois pas où ni comment la traduire !) contecta est, multique fontes dulcibus aquis passim manantibus alunt siluas. Caeli quoque mira temperies, uerno tepori maxime similis, omnes anni partes pari salubritate percurrit... Est et aliud Hammonis nemus ; in medio habet fontem : Solis aquam (eam) uocant ; sub lucis ortum tepida mansat ; inclinato (die) in uesperam calescit ; media nocte feruida exaestuat.
--> (pardon d'avance pour vos yeux fragiles de connaisseurs, ça va être un massacre !)
Situé au milieu de larges déserts, le séjour est recouvert de branches l'entourant de toutes parts (le soleil tombant à grand peine dans l'ombre dense ?) et de nombreuses sources d'eaux douces coulant çà et là alimentent les forêts. La température du ciel est également étonnante, très semblable à la tiédeur printanière, elle parcourt toutes les parties de l'année avec la même salubrité... Il y a aussi (???) l'autre bois sacré d'Hammon ; au milieu se trouve une source : les gens l'appellent l'eau du dieu Soleil ; sous la lumière du lever (de l'aube ?) elle coule tiède ; elle se réchauffe quand le jour décline vers le soir ; au milieu de la nuit, bouillante, elle sort en bouillonnant.
Une fois de plus, j'en appelle à votre clémence... (ce qui n'empêche ni la sincérité ni l'exigence ^^)
Merci d'avance
Mon dernier message n'a pas eu de réponse, et comme ça m'arrange, je me dis que c'est parce qu'il n'y avait rien à corriger (quelle prétention ^^)
Par contre, ce ne sera pas la même pour cette fois... Et si personne ne répond cela sera juste le signe que vous avez tous des choses plus passionnantes à faire que lire mes laborieuses traductions !
Voici donc les thème et version du chapitre 11.
Comme vous le constaterez rapidement, cette leçon portait principalement sur l'utilisation des participes et sur l'ablatif absolu.
Je pense (j'espère ?) m'être pas trop mal débrouillée pour le thème (hormis les inévitables erreurs d'inattention). Par contre la version... Je n'ai pas réussi à tout traduire, j'ai beau essayer de reconstruire les phrases à l'aide des cas, je ne m'en sors pas.
J'attends donc avec impatience vos commentaires
Thème : (vous reconnaitrez sans doute le modèle du texte, puisqu'il s'agit d'un thème d'imitation : la Vie de Vespasien de Suétone)
De nombreux prodiges annoncèrent au général qu'il serait un jour empereur. D'abord, tandis qu'il labourait dans un champ, des boeufs s'avancèrent vers la charrue ; après avoir secoué le joug, ils tombèrent aux pieds du maître et baissèrent le cou. D'autre part, le mois suivant, alors qu'aucun vent ne soufflait, un arbre fut arraché. Enfin, un jour, tandis qu'il dormait, un médecin entra dans le triclinium, après avoir arraché une dent à l'empereur.
--> Multa prodigia duci nuntauerunt, eum quondam principem futurum. Primum, eo in agro arante, boues ad aratrum progrediebantur ; decusso iugo, a domini pedes prociderunt, collumque submiserunt. Autem, sequenti mense, nullo uento flante, arbor euulsa est. Denique, dormiente eo, medicus, principi dente exempto, in triclinium ingressus est.
Version :
(Sedes), inter uastas solitudines sita, undique ambientibus ramis, uix in densam umbram cadente sole (cette partie de la phrase je ne vois pas où ni comment la traduire !) contecta est, multique fontes dulcibus aquis passim manantibus alunt siluas. Caeli quoque mira temperies, uerno tepori maxime similis, omnes anni partes pari salubritate percurrit... Est et aliud Hammonis nemus ; in medio habet fontem : Solis aquam (eam) uocant ; sub lucis ortum tepida mansat ; inclinato (die) in uesperam calescit ; media nocte feruida exaestuat.
--> (pardon d'avance pour vos yeux fragiles de connaisseurs, ça va être un massacre !)
Situé au milieu de larges déserts, le séjour est recouvert de branches l'entourant de toutes parts (le soleil tombant à grand peine dans l'ombre dense ?) et de nombreuses sources d'eaux douces coulant çà et là alimentent les forêts. La température du ciel est également étonnante, très semblable à la tiédeur printanière, elle parcourt toutes les parties de l'année avec la même salubrité... Il y a aussi (???) l'autre bois sacré d'Hammon ; au milieu se trouve une source : les gens l'appellent l'eau du dieu Soleil ; sous la lumière du lever (de l'aube ?) elle coule tiède ; elle se réchauffe quand le jour décline vers le soir ; au milieu de la nuit, bouillante, elle sort en bouillonnant.
Une fois de plus, j'en appelle à votre clémence... (ce qui n'empêche ni la sincérité ni l'exigence ^^)
Merci d'avance
- yranohHabitué du forum
virgere a écrit:Et hop, entre la poire et le fromage, une petite version de faite
J'ai surtout un doute sur "ius bonumque" et sur la dernière phrase, concerant le "duabus artibus", que j'ai interprété comme un complément de moyen.
Le texte :
Domi militiaeque boni mores colebantur ; concordia maxima, minima auaritia erat ; ius bonumque apud eos non legibus magis quam natura uelebat. Iurgia, discordias, simultates cum hostibus exercebant, ciues cum ciuibus de uirtute certabant. In suppliciis deorum magnifici, domi parci, in amicos fideles erant. Duabus artibus, audacia in bello, ubi pax euenerat aequitate, seque remque publicam curabant.
Ma traduction :
Chez eux et en campagne [cette expression signifie: en temps de paix comme en temps de guerre], les coutumes étaient bien honorées ; il régnait la plus grande paix et la cupidité la plus petite (faible ?)[moindre?] ; et chez eux, le bon droit [le droit et le bien] était puissant moins par les lois que par leur penchant naturel [très bien]. Les querelles, les disputes, les luttes s'exerçaient contre les ennemis, entre eux les citoyens rivalisaient de vertu. Ils étaient généreux dans leurs offrandes aux dieux, économes à la maison, fidèles en amitié. Par deux arts [plutôt qualité], le courage à la guerre et la justice quand la paix arrivait, ils prenaient soin et d'eux et de l'Etat.
Bonjour Virgere!
C'est vrai, ta version est très bien, mais je me pose quand meme quelques questions. Tu t'éloignes parfois du texte, et on se demande si c'est par erreur ou pour alléger ta traduction :
boni mores : boni est l'adjectif de mores.
Iurgia, discordias, simultates : ce sont des accusatifs (et exercebant est actif). Du coup, peut-être est-il judicieux de laisser cives en apposition. Cela fortifierait l'asyndète qui exprime l'opposition, qui est plus franche en latin. N'hésite pas non plus à utiliser des présentatifs s'ils te semblent rendre le ton du texte latin.
Comme je l'ai dit, j'ignore si ce sont des erreurs ou la volonté d'améliorer le français. Mais c'est souvent intéressant de trouver la formule qui conserve la grammaire latine et est jolie en français.
- virgereNeoprof expérimenté
Merci
Pour te répondre, certaines libertés sont volontaires, d'autres non.
Ainsi, "les coutumes étaient bien honorées", je n'avais pas pensé à "les bonnes coutumes étaient honorées", qui me parait pourtant plus juste.
Pour "Iurga...", je pourrais peut-être dire : Alors qu'ils exerçaient querelles, disputes et lutte contre les ennemis, les citoyens rivalisaient entre eux de vertu. Ou le "alors que" est de trop, s'éloignant trop du texte ?
Merci pour le temps que tu prends, fidelis clemensque magister ! ^^
Pour te répondre, certaines libertés sont volontaires, d'autres non.
Ainsi, "les coutumes étaient bien honorées", je n'avais pas pensé à "les bonnes coutumes étaient honorées", qui me parait pourtant plus juste.
Pour "Iurga...", je pourrais peut-être dire : Alors qu'ils exerçaient querelles, disputes et lutte contre les ennemis, les citoyens rivalisaient entre eux de vertu. Ou le "alors que" est de trop, s'éloignant trop du texte ?
Merci pour le temps que tu prends, fidelis clemensque magister ! ^^
- yranohHabitué du forum
virgere a écrit:)
Voici donc les thème et version du chapitre 11.
Thème : (vous reconnaitrez sans doute le modèle du texte, puisqu'il s'agit d'un thème d'imitation : la Vie de Vespasien de Suétone)
De nombreux prodiges annoncèrent au général qu'il serait un jour empereur. D'abord, tandis qu'il labourait dans un champ, des boeufs s'avancèrent vers la charrue ; après avoir secoué le joug, ils tombèrent aux pieds du maître et baissèrent le cou. D'autre part, le mois suivant, alors qu'aucun vent ne soufflait, un arbre fut arraché. Enfin, un jour, tandis qu'il dormait, un médecin entra dans le triclinium, après avoir arraché une dent à l'empereur.
--> Multa prodigia duci nuntauerunt nuntiaverunt, eum le réfléchi irait mieux : le chef est le sujet logique. Sinon mieux vaut tourner la phrase au passif quondam principem futurum. Primum, eo in agro arante, boues ad aratrum progrediebantur erreur de temps ; decusso iugo, a pas la bonne préposition domini pedes prociderunt, collumque submiserunt. Autem, autem toujours en 2e position sequenti mense, nullo uento flante, arbor euulsa est. Denique, [+ un jour] dormiente eo, medicus, principi dente exempto, in triclinium ingressus est.
Durus magister, sed magister!
- yranohHabitué du forum
La version me semble parfaite!
Suggestion : au lever du jour?
(on croit toujours réussir ses thèmes, et pas ses versions. Mais c(est toujours le contraire et c'est ça qui est bon.)
Suggestion : au lever du jour?
(on croit toujours réussir ses thèmes, et pas ses versions. Mais c(est toujours le contraire et c'est ça qui est bon.)
- virgereNeoprof expérimenté
Comme quoi ! Jupiter sait que j'ai peiné sur cette version, ce qui semble s'avérer payant. Peut-être devrais-je suer davantage sur mes thèmes^^
- nuntiauerunt : tel que sur mon livre, je n'utilise que des "u" (sauf pour les majuscules). Par contre, le "i" avait sauté à la copie, oups !
Concernant se plutôt que eum, ok.
Par contre, question bête : comme tourner une phrase au futur passif ? Ou alors sans passer par la proposition infinitive ? : Multa prodigia duci nuntiauerunt se principem factum erit ?
- ad domini pedes (j'ai ôté le "d", mauvais réflexe avec ex et ab re-oups)
sequenti mense autem ou sequenti autem mensi ? (ça me parait délicat de séparer le nom de son épithète, non ?)
- enfin un jour : quondam
- nuntiauerunt : tel que sur mon livre, je n'utilise que des "u" (sauf pour les majuscules). Par contre, le "i" avait sauté à la copie, oups !
Concernant se plutôt que eum, ok.
Par contre, question bête : comme tourner une phrase au futur passif ? Ou alors sans passer par la proposition infinitive ? : Multa prodigia duci nuntiauerunt se principem factum erit ?
- ad domini pedes (j'ai ôté le "d", mauvais réflexe avec ex et ab re-oups)
sequenti mense autem ou sequenti autem mensi ? (ça me parait délicat de séparer le nom de son épithète, non ?)
- enfin un jour : quondam
- yranohHabitué du forum
Tu fais bien pour les "u". Ma remarque portait effectivement sur l'absence de "i".
Je pensais plutôt à quelque chose du type : "le chef fut prévenu par", mais l'actif avec le réfléchi dans la subordonnée est encore mieux.
sequenti autem mense, oui. Toujours en 2e position, et ce n'est pas un pb de séparer le nom de son épithète.
Je pensais plutôt à quelque chose du type : "le chef fut prévenu par", mais l'actif avec le réfléchi dans la subordonnée est encore mieux.
sequenti autem mense, oui. Toujours en 2e position, et ce n'est pas un pb de séparer le nom de son épithète.
- virgereNeoprof expérimenté
Merci pour tous ces commentaires.
Je vais donc m'avancer vers la leçon 12 (qui, de mémoire, concluait la 1ère année de l'option latin en fac)
A bientôt !
Je vais donc m'avancer vers la leçon 12 (qui, de mémoire, concluait la 1ère année de l'option latin en fac)
A bientôt !
- virgereNeoprof expérimenté
De retour (non, je ne lâche rien ^^)
Je suis en train de suer sur des phrases de "petit latin" avant lebouquet thème final.
J'ai une question par rapport à une des phrases à traduire :
Faisant irruption dans l'atrium, l'amoureux vit une mère indignée
Dois-je utiliser un ablatif absolu --> Amatore in atrium irrumpente indignatam matrem uidit
Ou un participe présent seul --> Amator, in atrium irrumpens, indignatam matrem uidit
(ou ni l'une ni l'autre des formules et je reprends mon cours à zéro...)
Merci d'avance pour votre éclairage
(parce que du coup, si je pense avoir compris l'importance de l'ablatif absolu, je ne sais pas si le participe présent peut s'utiliser seul et dans quel cas. Ce qui me fait douter ici c'est que la phrase française ne propose pas de proposition subordonnée du type "alors qu'il faisait irruption dans l'atrium..." )
Je suis en train de suer sur des phrases de "petit latin" avant le
J'ai une question par rapport à une des phrases à traduire :
Faisant irruption dans l'atrium, l'amoureux vit une mère indignée
Dois-je utiliser un ablatif absolu --> Amatore in atrium irrumpente indignatam matrem uidit
Ou un participe présent seul --> Amator, in atrium irrumpens, indignatam matrem uidit
(ou ni l'une ni l'autre des formules et je reprends mon cours à zéro...)
Merci d'avance pour votre éclairage
(parce que du coup, si je pense avoir compris l'importance de l'ablatif absolu, je ne sais pas si le participe présent peut s'utiliser seul et dans quel cas. Ce qui me fait douter ici c'est que la phrase française ne propose pas de proposition subordonnée du type "alors qu'il faisait irruption dans l'atrium..." )
- virgereNeoprof expérimenté
Décidément, ces phrases me posent problème.
Autre question, donc :
Ni tes cris, Proserpine, ni tes hurlements ne t'ont aidée quand les jeunes gens t'ont rencontrée près du lac.
Le réfléchi n'existant qu'à la 3e personne en latin, faut-il tout simplement que je ne traduise pas les pronoms réfléchis de la seconde personne ici :
--> Nec clamores, Proserpina, nec ululatus adiuuerunt, ut iuuenes apud lacum inuenerunt.
Sinon, comment traduire ?
Merci une fois de plus.
Autre question, donc :
Ni tes cris, Proserpine, ni tes hurlements ne t'ont aidée quand les jeunes gens t'ont rencontrée près du lac.
Le réfléchi n'existant qu'à la 3e personne en latin, faut-il tout simplement que je ne traduise pas les pronoms réfléchis de la seconde personne ici :
--> Nec clamores, Proserpina, nec ululatus adiuuerunt, ut iuuenes apud lacum inuenerunt.
Sinon, comment traduire ?
Merci une fois de plus.
- User14996Niveau 10
"Normalement", le sujet de l'ablatif absolu ne doit avoir aucune fonction dans la principale.virgere a écrit:De retour (non, je ne lâche rien ^^)
Je suis en train de suer sur des phrases de "petit latin" avant lebouquetthème final.
J'ai une question par rapport à une des phrases à traduire :
Faisant irruption dans l'atrium, l'amoureux vit une mère indignée
Dois-je utiliser un ablatif absolu --> Amatore in atrium irrumpente indignatam matrem uidit
Ou un participe présent seul --> Amator, in atrium irrumpens, indignatam matrem uidit
Il n'y a pas lieu d'envisager un pronom réfléchi de toute façon : le sujet de la principale, c'est "ni tes cris ni tes hurlements", pas "Proserpine", qui n'est qu'une apostrophe (au vocatif). Reprends calmement ta leçon sur les réfléchis.virgere a écrit:Décidément, ces phrases me posent problème.
Autre question, donc :
Ni tes cris, Proserpine, ni tes hurlements ne t'ont aidée quand les jeunes gens t'ont rencontrée près du lac.
Le réfléchi n'existant qu'à la 3e personne en latin, faut-il tout simplement que je ne traduise pas les pronoms réfléchis de la seconde personne ici
- User5899Demi-dieu
"Ab-solu" : détaché de toute fonction ailleursvirgere a écrit:De retour (non, je ne lâche rien ^^)
Je suis en train de suer sur des phrases de "petit latin" avant lebouquetthème final.
J'ai une question par rapport à une des phrases à traduire :
Faisant irruption dans l'atrium, l'amoureux vit une mère indignée
Dois-je utiliser un ablatif absolu --> Amatore in atrium irrumpente indignatam matrem uidit
Ou un participe présent seul --> Amator, in atrium irrumpens, indignatam matrem uidit
Caesar urbem captam diripuit : César prit la ville et la pilla (et non Vrbe capta, Caesar eam diripuit)
- virgereNeoprof expérimenté
merci
Donc je garde le participe présent sec pour la première phrase.
Pour la seconde, j'ai dit une ânerie (énorme), puisqu'il s'agit de pronoms COD... (j'ai honte )
Du coup :
Nec clamores, Proserpina, nec ululatus te adiuuerunt, ut iuuenes apud lacum te inuenerunt.
C'est bon ?
Et merci pour l'indication étymologique de ab-solu, à laquelle je n'avais pas pensé et qui est éclairante, Cripure
Donc je garde le participe présent sec pour la première phrase.
Pour la seconde, j'ai dit une ânerie (énorme), puisqu'il s'agit de pronoms COD... (j'ai honte )
Du coup :
Nec clamores, Proserpina, nec ululatus te adiuuerunt, ut iuuenes apud lacum te inuenerunt.
C'est bon ?
Et merci pour l'indication étymologique de ab-solu, à laquelle je n'avais pas pensé et qui est éclairante, Cripure
- User14996Niveau 10
Oui. Pour clarifier, hors contexte, tu pourrais ajouter des adjectifs possessifs, ou mieux, remplacer les substantifs par deux verbes, qui précisent bien que Proserpine est à l'origine des cris et des ululements. Le verbe adiuuare me gêne ici : j'aurais plutôt utilisé prodesse avec le datif, mais c'est un détail (grammaticalement, ta formulation est juste) : si tu as vu le double datif, tu pourrais aussi l'employer ici...virgere a écrit:merci
Donc je garde le participe présent sec pour la première phrase.
Pour la seconde, j'ai dit une ânerie (énorme), puisqu'il s'agit de pronoms COD... (j'ai honte )
Du coup :
Nec clamores, Proserpina, nec ululatus te adiuuerunt, ut iuuenes apud lacum te inuenerunt.
- virgereNeoprof expérimenté
Je n'ai pas encore vu le double datif (il n'est pas prévu avant la leçon 21, et encore il n'y a qu'un petit encart pour en parler... Peut-être davantage dans le tome 2, mais je n'en suis pas là).
J'aurais pu (dû ?) penser à prodesse (mais je me sers bêtement de mon lexique)
En tenant compte de tes remarques, je peux donc tenter d'améliorer ainsi :
Nec clamare, Proserpina, nec ululare tibi profuisse, ut iuuenes apud lacum te inuenerunt.
J'aurais pu (dû ?) penser à prodesse (mais je me sers bêtement de mon lexique)
En tenant compte de tes remarques, je peux donc tenter d'améliorer ainsi :
Nec clamare, Proserpina, nec ululare tibi profuisse, ut iuuenes apud lacum te inuenerunt.
- User14996Niveau 10
Attention à conjuguer ton verbe (au singulier de préférence lorsque les sujets sont séparés par neque... neque..., cf. Ernout et Thomas §150).virgere a écrit:En tenant compte de tes remarques, je peux donc tenter d'améliorer ainsi :
Nec clamare, Proserpina, nec ululare tibi profuisse, ut iuuenes apud lacum te inuenerunt.
- virgereNeoprof expérimenté
Mais pourquoi suis-je aussi incapable de ma concentrer sur 2 choses ? Toute aux verbes à l'infinitif, j'ai mis un infinitif passé à la fin. Arg !
Nec clamare, Proserpina, nec ululare tibi profuit, ut iuuene apud lacum te inuereunt.
Nec clamare, Proserpina, nec ululare tibi profuit, ut iuuene apud lacum te inuereunt.
- User14996Niveau 10
Tu voulais écrire iuuenes et inuenerunt .virgere a écrit:Mais pourquoi suis-je aussi incapable de ma concentrer sur 2 choses ? Toute aux verbes à l'infinitif, j'ai mis un infinitif passé à la fin. Arg !
Nec clamare, Proserpina, nec ululare tibi profuit, ut iuuene apud lacum te inuereunt.
- virgereNeoprof expérimenté
Non mais je vous jure !
Après je peux reprocher leur étourderie aux élèves...
Effectivement, iuuenes, inuenerunt
Je vais faire un pensum (des pensa) pour la peine (et attendre le calme de la nuit pour poursuivre, je n'arrive manifestement pas à me concentrer suffisamment.)
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
virgere, si ça peut te rassurer, je suis sans cesse aux prises avec mon étourderie, moi aussi, quand il s'agit de latin. C'est d'autant plus agaçant que c'était ce que me reprochait le plus mon professeur de latin au collège. On s'en sortira, forcément !
Par contre, contrairement à toi, je stagne depuis un petit moment dans la leçon 9, parce que... je n'arrive plus à me motiver. Alors que j'ai fait une pause de deux semaines. Je crève d'envie d'aller jusqu'au bout pourtant, mais après chaque exercice je repousse le suivant au lendemain. Peut-être que j'ai trop hâte d'achever ce livre pour me mettre au petit latin. Peut-être que je suis découragé par des objectifs un peu trop démesurés (au début des vacances, je tournais à une leçon par jour, je me suis dit que je pourrais forcément atteindre la 21e à la fin du mois d'août...), ça m'a peut-être donné le vertige. J'sais pas. Si vous avez des conseils sur ce genre de difficultés, je suis preneur.
(Et ça va reprocher à ses élèves de ne pas faire leurs leçons, après ça ! )
Par contre, contrairement à toi, je stagne depuis un petit moment dans la leçon 9, parce que... je n'arrive plus à me motiver. Alors que j'ai fait une pause de deux semaines. Je crève d'envie d'aller jusqu'au bout pourtant, mais après chaque exercice je repousse le suivant au lendemain. Peut-être que j'ai trop hâte d'achever ce livre pour me mettre au petit latin. Peut-être que je suis découragé par des objectifs un peu trop démesurés (au début des vacances, je tournais à une leçon par jour, je me suis dit que je pourrais forcément atteindre la 21e à la fin du mois d'août...), ça m'a peut-être donné le vertige. J'sais pas. Si vous avez des conseils sur ce genre de difficultés, je suis preneur.
(Et ça va reprocher à ses élèves de ne pas faire leurs leçons, après ça ! )
- virgereNeoprof expérimenté
Je ne sais pas si tu me rassures vraiment, Sylvain
Courage pour la reprise. Je sais que je me dis parfois à quoi bon, que parfois la flemme menace de gagner (trop) de terrain, mais poster ici, et être corrigée, me motive et me pousse Et puis zut, j'ai envie d'aller au bout, trop facile pour moi (et habituel) d'abandonner en cours de route !
Et comme je n'ai aucune parole (et que travailler mon latin me donne une excellente excuse pour ne pas travailler mes progressions...), j'ai fait le thème qui clôture la leçon 12 (enfin - ou déjà - la moitié du livre passée)
La leçon mettait l'accent sur les participes apposés et les propositions causales, comme, je l'espère, en témoigne ma traduction.
Firmicus raconte que beaucoup demandaient Proserpine en mariage. Mais, comme la mère demeurait perplexe à cause du nombre des amoureux, un des jeunes gens rencontra la jeune fille près d'un lac, en Sicile, et l'enleva. < Bien que > poussant des hurlements, Proserpine dut suivre son ravisseur qui conduisait un char. Et celui-ci, poussé par la crainte d'un châtiment, quitta le territoire de la cité d'Henna.
--> Firmicus narrat multos Proserpinam ad coniugale consortium petebant. Sed, cum mater propter amatorum multitudinem incerta maneret, unus ex iuuenibus apud lacum in Sicilia inuentam puellam rapuit. Ululens Proserpina currum ducentem raptorem sequori debuit. Ac is*, poenae timore, Hennae ciuitatis fines relinquit.
* bien que pas encore revu, il me semble que "iste" serait ici approprié, non ?
J'espère ne pas avoir oublié d'étourderie.
Et merci de votre regard sur ce travail
Courage pour la reprise. Je sais que je me dis parfois à quoi bon, que parfois la flemme menace de gagner (trop) de terrain, mais poster ici, et être corrigée, me motive et me pousse Et puis zut, j'ai envie d'aller au bout, trop facile pour moi (et habituel) d'abandonner en cours de route !
Et comme je n'ai aucune parole (et que travailler mon latin me donne une excellente excuse pour ne pas travailler mes progressions...), j'ai fait le thème qui clôture la leçon 12 (enfin - ou déjà - la moitié du livre passée)
La leçon mettait l'accent sur les participes apposés et les propositions causales, comme, je l'espère, en témoigne ma traduction.
Firmicus raconte que beaucoup demandaient Proserpine en mariage. Mais, comme la mère demeurait perplexe à cause du nombre des amoureux, un des jeunes gens rencontra la jeune fille près d'un lac, en Sicile, et l'enleva. < Bien que > poussant des hurlements, Proserpine dut suivre son ravisseur qui conduisait un char. Et celui-ci, poussé par la crainte d'un châtiment, quitta le territoire de la cité d'Henna.
--> Firmicus narrat multos Proserpinam ad coniugale consortium petebant. Sed, cum mater propter amatorum multitudinem incerta maneret, unus ex iuuenibus apud lacum in Sicilia inuentam puellam rapuit. Ululens Proserpina currum ducentem raptorem sequori debuit. Ac is*, poenae timore, Hennae ciuitatis fines relinquit.
* bien que pas encore revu, il me semble que "iste" serait ici approprié, non ?
J'espère ne pas avoir oublié d'étourderie.
Et merci de votre regard sur ce travail
- User14996Niveau 10
virgere a écrit:--> Firmicus narrat multos Proserpinam ad coniugale consortium petebant (attention à la construction ; d'autre part, plus classique est l'expression in matrimonium aliquem sibi petere). Sed, cum mater propter amatorum multitudinem incerta maneret, unus ex iuuenibus apud lacum in Sicilia inuentam puellam rapuit. Ululens (verbe du premier groupe) Proserpina currum ducentem raptorem (une relative plutôt pour éclaircir tout ça) sequori (erreur de morphologie, attention !) debuit. Ac is* (is est très bien), poenae timore (je passerais plutôt par un participe ), Hennae ciuitatis fines relinquit (exire ex finibus).
A part sequori (et petebant, mais due à l'étourderie je pense), pas d'erreur grave ! Bravo !
- virgereNeoprof expérimenté
tsss, encore une étourderie...
petebant --> peteuisse
Vlulens --> ululans (avec un "v" pour la majuscule, d'ailleurs, au passage)
sequori --> sequi
Pour le reste :
ad coniugale consortium est la formule trouvée dans mon texte d'étude, de Firmicus Maternus, et que j'imitais. Mais je note l'expression que tu me donnes.
pour currum ducentem raptorem, je trouvais ça un peu trop concis, effectivement. Du coup je tente la relative : Vlulans Proserpina raptorem, qui currum ducebat, sequi debuit.
Mais j'ai un doute sur la place de la relative et je ne trouve pas de réponse claire dans mon livre à ce sujet (juste que cette place est assez libre, du coup je ne suis pas sûre de faire bien en suivant la construction française)
Enfin, pour "poussé par", je ne trouve pas le verbe latin correspondant. Encore une fois, j'ai imité la construction trouvée dans un texte, ce qui m'arrangeait puisque je ne sais comment traduire le verbe français. Ou alors incito ? Ce qui pourrait donner : Ac is, poenae timore incitatus,...
Ou le verbe timeo ? : Ac is, poenam timens,... Mais alors ne suis-je pas trop éloignée du texte latin ?
Merci de tes réponses
petebant --> peteuisse
Vlulens --> ululans (avec un "v" pour la majuscule, d'ailleurs, au passage)
sequori --> sequi
Pour le reste :
ad coniugale consortium est la formule trouvée dans mon texte d'étude, de Firmicus Maternus, et que j'imitais. Mais je note l'expression que tu me donnes.
pour currum ducentem raptorem, je trouvais ça un peu trop concis, effectivement. Du coup je tente la relative : Vlulans Proserpina raptorem, qui currum ducebat, sequi debuit.
Mais j'ai un doute sur la place de la relative et je ne trouve pas de réponse claire dans mon livre à ce sujet (juste que cette place est assez libre, du coup je ne suis pas sûre de faire bien en suivant la construction française)
Enfin, pour "poussé par", je ne trouve pas le verbe latin correspondant. Encore une fois, j'ai imité la construction trouvée dans un texte, ce qui m'arrangeait puisque je ne sais comment traduire le verbe français. Ou alors incito ? Ce qui pourrait donner : Ac is, poenae timore incitatus,...
Ou le verbe timeo ? : Ac is, poenam timens,... Mais alors ne suis-je pas trop éloignée du texte latin ?
Merci de tes réponses
- User14996Niveau 10
Attention à la racine du parfait: peto, is, ere, petiui ou petii, petitum.virgere a écrit:tsss, encore une étourderie...
petebant --> peteuisse
Comme tu l'as écrit, c'est bon !Du coup je tente la relative : Vlulans Proserpina raptorem, qui currum ducebat, sequi debuit.
Mais j'ai un doute sur la place de la relative et je ne trouve pas de réponse claire dans mon livre à ce sujet (juste que cette place est assez libre, du coup je ne suis pas sûre de faire bien en suivant la construction française)
Les deux constructions sont recevables !Enfin, pour "poussé par", je ne trouve pas le verbe latin correspondant. Encore une fois, j'ai imité la construction trouvée dans un texte, ce qui m'arrangeait puisque je ne sais comment traduire le verbe français. Ou alors incito ? Ce qui pourrait donner : Ac is, poenae timore incitatus,...
Ou le verbe timeo ? : Ac is, poenam timens,... Mais alors ne suis-je pas trop éloignée du texte latin ?
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