- InvitéInvité
Je me pose la même question. On fait un métier difficile, mais une situation psychologique difficile, ce n'est pas reprendre le travail un 29 août. Dire une chose pareille, surtout venant d'un haut responsable syndical, c'est indécent, c'est tout.
- nightowlNiveau 7
Adri a écrit:ça, c'est pas faux.
Il y a quand même aussi le problème des logiciels qui nous sont fournies par des boîtes ignorant tout de l'EN ou presque, du genre qui font la maintenance du logiciel de notes pendant la période de conseils
Où je suis, nous ne sommes pas hébergés, cela évite ce genre de conneries.
En plus, en outre-mer, il nous faut je pense plutôt une adresse locale, cela évite les problèmes. Quitte à tourner à la clé USB.
- GrypheMédiateur
Le problème, comme a dit Adri un peu plus haut, c'est que personne n'a pris au sérieux les arguments de "gestion administrative" (mutations, affectations, etc). Même lorsque c'est le ministre qui le dit et qui dit clairement qu'il n'y a pas cru au début, qu'il a fait bosser ses équipes et que non, on ne peut pas établir de nouveaux contrats avant le premier septembre, personne ne l'a cru et tout le monde titre "c'est juste un prétexte".
Les médias retiennent ce qui les intéresse et si dans une longue interview ils ont retenu exclusivement la phrase "c'est psychologiquement intolérable de reprendre en août", c'est un peu malheureux, mais à mon avis, ils n'ont rien compris à tous les autres arguments.
'te façon, on n'est rien que des planqués de fonctionnaires, alors...
Les médias retiennent ce qui les intéresse et si dans une longue interview ils ont retenu exclusivement la phrase "c'est psychologiquement intolérable de reprendre en août", c'est un peu malheureux, mais à mon avis, ils n'ont rien compris à tous les autres arguments.
'te façon, on n'est rien que des planqués de fonctionnaires, alors...
- InvitéInvité
La critique est facile...holderfar a écrit:Je me pose la même question. On fait un métier difficile, mais une situation psychologique difficile, ce n'est pas reprendre le travail un 29 août. Dire une chose pareille, surtout venant d'un haut redponsable syndical, c'est indécent, c'est tout.
On ne sait pas dans quelle conditions ces choses ont été dites. Des fois on te tend un micro, et tu dois improviser une réponse, tu n'as pas forcément toujours des mots intelligents et la formule du siècle qui te vient à l'esprit. Surtout si le journaliste veut faire passer un message plutôt qu'un autre.
En écoutant la radio, je ne crois pas que les journalistes étaient du côté des profs le jour de cette annonce...
De même quand on t'interroge pour un article. Quand sur une interview d'une demi heure, ne reste que 3 phrases, ce ne sont pas toujours les 3 plus importantes que le journaliste retient.
- InvitéInvité
Les médias ne sont pas responsables de tout, cette phrase n'aurait jamais dû être prononcée.
- InvitéInvité
Tu as bien de la chance de ne prononcer que des phrases qui mérite de l'être.
- DionysosFidèle du forum
Will.T a écrit:La critique est facile...holderfar a écrit:Je me pose la même question. On fait un métier difficile, mais une situation psychologique difficile, ce n'est pas reprendre le travail un 29 août. Dire une chose pareille, surtout venant d'un haut redponsable syndical, c'est indécent, c'est tout.
On ne sait pas dans quelle conditions ces choses ont été dites. Des fois on te tend un micro, et tu dois improviser une réponse, tu n'as pas forcément toujours des mots intelligents et la formule du siècle qui te vient à l'esprit. Surtout si le journaliste veut faire passer un message plutôt qu'un autre.
En écoutant la radio, je ne crois pas que les journalistes étaient du côté des profs le jour de cette annonce...
De même quand on t'interroge pour un article. Quand sur une interview d'une demi heure, ne reste que 3 phrases, ce ne sont pas toujours les 3 plus importantes que le journaliste retient.
Non, il y a eu un tweet apparemment.
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"We're all in the gutter, but some of us are looking at the stars". O.Wilde.
- frimoussette77Guide spirituel
Ah ! ce serait une victime ! Il n'avait pas eu le temps de réfléchir avant et a dû improviser sur le sujet, bah zut alors ! ça ne donne pas envie de rejoindre le Snes !Will.T a écrit:Tu as bien de la chance de ne prononcer que des phrases qui méritent de l'être.
- DionysosFidèle du forum
Will.T a écrit:Tu as bien de la chance de ne prononcer que des phrases qui mérite de l'être.
Si c'est un lapsus, il est révélateur. Mais ce n'en est pas un, et c'est grave, parce que c'est indécent. On peut se plaindre de dizaine de choses, mais pas de manquer de vacances. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas défendre cette qualité de vie que nous avons. Mais qu'il faut savoir regarder les choses avec un minimum de décence et de correction quand on s'adresse à l'opinion publique.
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"We're all in the gutter, but some of us are looking at the stars". O.Wilde.
- InvitéInvité
frimoussette77 a écrit:Ah ! ce serait une victime ! Il n'avait pas eu le temps de réfléchir avant et a dû improviser sur le sujet, bah zut alors ! ça ne donne pas envie de rejoindre le Snes !Will.T a écrit:Tu as bien de la chance de ne prononcer que des phrases qui méritent de l'être.
Ne le rejoins pas alors.
- InvitéInvité
Dionysos a écrit:Will.T a écrit:Tu as bien de la chance de ne prononcer que des phrases qui mérite de l'être.
Si c'est un lapsus, il est révélateur. Mais ce n'en est pas un, et c'est grave, parce que c'est indécent. On peut se plaindre de dizaine de choses, mais pas de manquer de vacances. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas défendre cette qualité de vie que nous avons. Mais qu'il faut savoir regarder les choses avec un minimum de décence et de correction quand on s'adresse à l'opinion publique.
Ai-je dit que je trouvais cette phrase totalement appropriée, je ne crois pas...
J'ai seulement essayé d'expliquer que des fois, on n'a pas forcément toujours les mots adéquat qui viennent à l'esprit.
Autant je peux comprendre qu'on critique des positions claires d'un syndicat, autant passer des pages d'un forum à résumer l'action d'un syndicat à une phrase, certes maladroite d'un de ses membres, je ne trouve pas ça constructif.
- CelebornEsprit sacré
holderfar a écrit:Les médias ne sont pas responsables de tout, cette phrase n'aurait jamais dû être prononcée.
La critique est vraiment facile, parfois.
D'ailleurs, si ça se trouve, la phrase n'a même pas été prononcée exactement comme ça (ça m'est déjà arrivé en me lisant dans un papier de ne pas tout à fait y trouver ce que j'avais dit).
Bref, comme Will : la petite guéguerre mesquine, c'est encore le + ridicule, dans l'histoire.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- frimoussette77Guide spirituel
Will.T a écrit:frimoussette77 a écrit:Ah ! ce serait une victime ! Il n'avait pas eu le temps de réfléchir avant et a dû improviser sur le sujet, bah zut alors ! ça ne donne pas envie de rejoindre le Snes !Will.T a écrit:Tu as bien de la chance de ne prononcer que des phrases qui méritent de l'être.
Ne le rejoins pas alors.
- LaotziSage
Dionysos a écrit:Non, il y a eu un tweet apparemment.
Apparemment ?
Le tweet du SNES-FSU annonçant le report de la prérentrée le 14 mai au soir est le suivant : "Pré-rentrée en août, le ras le bol de la profession (au salaire gelé) est arrivé aux oreilles du ministre, qui annonce un report à sept."
L'annonce était d'ailleurs claire, on comprend d'autant moins pourquoi les médias ont parlé de "suppression" le lendemain (vous savez, le jour de la grève intersyndicale pour revendiquer une hausse des rémunérations). Et on ne comprend pas pourquoi non plus une simple phrase prononcée à la radio (par celui que vous avez appelé avec mépris "le syndicaliste détaché" alors que tous les responsables du SNES enseignent), plusieurs heures après l'annonce, alors que les articles étaient déjà écrits, et qui ne dit absolument pas que travailler en août c'est psychologiquement dur, mais que c'est inacceptable, d'autant plus dans le contexte actuel de baisse des salaires avec le gel du point d'indice. Ce n'est pas en courbant l'échine et en voulant à tout prix plaire à l'opinion que l'on rendra de nouveau le métier reconnu. Une profession digne, c'est d'abord une profession qui assume ses privilèges (au sens étymologique, c'est-à-dire de lois particulières) parce qu'elle considère qu'ils ne sont pas injustes ! Si l'on doit se cacher derrière d'autres arguments (qui sont, pour autant, également valables mais regardent surtout le ministère et restent dangereux car susceptibles d'évoluer) pour ne pas accepter que l'on commence à nous rogner le mois d'août, alors le risque est grand que l'on finisse réellement par tout perdre...
A noter que B. Hamon aurait reconnu devant le CSE que le report était notamment du au problème juridique de la nomination des nouveaux enseignants.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
+ 1000 Le SNES est un des rares syndicats dans lesquels les représentants n'ont pas de décharges totales. Après le discours sur l'honneur baffoué d'une profession est somme toute assez ridicule. Depuis 2003, on courbe l'échine et à force, on accepte tout et n'importe quoi, y compris les discours des journalistes.Laotzi a écrit:Dionysos a écrit:Non, il y a eu un tweet apparemment.
Apparemment ?
Le tweet du SNES-FSU annonçant le report de la prérentrée le 14 mai au soir est le suivant : "Pré-rentrée en août, le ras le bol de la profession (au salaire gelé) est arrivé aux oreilles du ministre, qui annonce un report à sept."
L'annonce était d'ailleurs claire, on comprend d'autant moins pourquoi les médias ont parlé de "suppression" le lendemain (vous savez, le jour de la grève intersyndicale pour revendiquer une hausse des rémunérations). Et on ne comprend pas pourquoi non plus une simple phrase prononcée à la radio (par celui que vous avez appelé avec mépris "le syndicaliste détaché" alors que tous les responsables du SNES enseignent), plusieurs heures après l'annonce, alors que les articles étaient déjà écrits, et qui ne dit absolument pas que travailler en août c'est psychologiquement dur, mais que c'est inacceptable, d'autant plus dans le contexte actuel de baisse des salaires avec le gel du point d'indice. Ce n'est pas en courbant l'échine et en voulant à tout prix plaire à l'opinion que l'on rendra de nouveau le métier reconnu. Une profession digne, c'est d'abord une profession qui assume ses privilèges (au sens étymologique, c'est-à-dire de lois particulières) parce qu'elle considère qu'ils ne sont pas injustes ! Si l'on doit se cacher derrière d'autres arguments (qui sont, pour autant, également valables mais regardent surtout le ministère et restent dangereux car susceptibles d'évoluer) pour ne pas accepter que l'on commence à nous rogner le mois d'août, alors le risque est grand que l'on finisse réellement par tout perdre...
A noter que B. Hamon aurait reconnu devant le CSE que le report était notamment du au problème juridique de la nomination des nouveaux enseignants.
- InvitéInvité
Je n'aime pas beaucoup cette manière de discréditer les critiques envers un syndicat, sous prétexte qu'elles sont "faciles" (manière plus polie de dire tais toi, tu n'y connais rien.) Ou de nous faire le coup du dévouement particulier de ses adhérents, que personne ne met en doute et que la critique ne vise même pas.
Ce n'est quand même pas possible de rejeter la faute sur les médias à chaque fois qu'un responsable dit une bêtise! Il y a de mauvais articles et des procédés sûrement pas très glorieux. Mais on peut estimer que les gens du snes sont un minimum rompus à l'exercice, et on aimerait entendre de temps en temps de la bouche de responsables que oui, ils ont dit des âneries. Et au passage, je m'étonne que divers partis politiques, qui ont une pression médiatique au moins égale, sinon supérieure, sur les épaules n'aient pas droit à une telle indulgence...
Bref, je trouvais déjà cette sortie hallucinante, eh bien maintenant je suis également édifiée par la manière dont le snes est défendu. Ça donne vraiment une image catastrophique, celle d'un syndicat qui a toujours raison, surtout quand il a tort.
Ce n'est quand même pas possible de rejeter la faute sur les médias à chaque fois qu'un responsable dit une bêtise! Il y a de mauvais articles et des procédés sûrement pas très glorieux. Mais on peut estimer que les gens du snes sont un minimum rompus à l'exercice, et on aimerait entendre de temps en temps de la bouche de responsables que oui, ils ont dit des âneries. Et au passage, je m'étonne que divers partis politiques, qui ont une pression médiatique au moins égale, sinon supérieure, sur les épaules n'aient pas droit à une telle indulgence...
Bref, je trouvais déjà cette sortie hallucinante, eh bien maintenant je suis également édifiée par la manière dont le snes est défendu. Ça donne vraiment une image catastrophique, celle d'un syndicat qui a toujours raison, surtout quand il a tort.
- CelebornEsprit sacré
Laotzi a écrit:
L'annonce était d'ailleurs claire, on comprend d'autant moins pourquoi les médias ont parlé de "suppression" le lendemain
Pas « les médias ». Le Monde.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- User5899Demi-dieu
Faites des gosses, kidisé, mais y parlaient pas de les garder ! Si ça se trouve, va falloir que je prenne sur les allocs pour payer une nounouRagnetrude a écrit:Ouais et dans tous les journaux on nous passent en boucle des pôvres parents qui vont être ennuyés pour faire garder leur enfant...
- AdriGrand Maître
la rentrée des élèves n'a jamais eu lieu le 1er septembre, ils devraient avoir l'habitude
- InvitéInvité
On a le droit de donner une autre explication possible ou on doit forcément se contenter de lire le snes bashing ?holderfar a écrit:Je n'aime pas beaucoup cette manière de discréditer les critiques envers un syndicat, sous prétexte qu'elles sont "faciles" (manière plus polie de dire tais toi, tu n'y connais rien.) Ou de nous faire le coup du dévouement particulier de ses adhérents, que personne ne met en doute et que la critique ne vise même pas.
Ce n'est quand même pas possible de rejeter la faute sur les médias à chaque fois qu'un responsable dit une bêtise! Il y a de mauvais articles et des procédés sûrement pas très glorieux. Mais on peut estimer que les gens du snes sont un minimum rompus à l'exercice, et on aimerait entendre de temps en temps de la bouche de responsables que oui, ils ont dit des âneries. Et au passage, je m'étonne que divers partis politiques, qui ont une pression médiatique au moins égale, sinon supérieure, sur les épaules n'aient pas droit à une telle indulgence...
Bref, je trouvais déjà cette sortie hallucinante, eh bien maintenant je suis également édifiée par la manière dont le snes est défendu. Ça donne vraiment une image catastrophique, celle d'un syndicat qui a toujours raison, surtout quand il a tort.
Ce n'est pas pour autant que je ne trouve pas cette phrase débile.
- InvitéInvité
Mais personne n'interdit de donner d'autres explications, simplement, l'argument de la retranscription biaisée des propos passe nettement moins bien quand on commence par dire que la critique de propos que tu qualifies toi-même de débiles est "facile", surtout qu'on l'a déjà entendu maintes et maintes fois...
Cette phrase et le timing de la communication du SNES sont objectivement catastrophiques, et je sépare bien la forme, du fond auquel je n'adhère simplement pas. Si les coups pleuvent de toutes parts sur le syndicat, ce n'est pas forcément uniquement parce qu'il y a une volonté de bashing de la part de certains médias, mais sans doute aussi parce qu'il s'est bien raté, là
Cette phrase et le timing de la communication du SNES sont objectivement catastrophiques, et je sépare bien la forme, du fond auquel je n'adhère simplement pas. Si les coups pleuvent de toutes parts sur le syndicat, ce n'est pas forcément uniquement parce qu'il y a une volonté de bashing de la part de certains médias, mais sans doute aussi parce qu'il s'est bien raté, là
- InvitéInvité
Et l'argument des propos maladroits que tu peux tenir quand on te tend un micro alors que tu n'es pas préparé à être interviewé ?
- Presse-puréeGrand sage
@ holdefar:
Y'a aussi les élections pros qui arrivent, et chacun travaille son positionnement. ça se voit aussi sur d'autres posts. Cette miette, lâchée une veille de grève générale sur des mots d'ordre qui sont objectivement de tout autre ampleur, va être diversement utilisée par les syndicats dans la grande course qui s'annonce.
Y'a aussi les élections pros qui arrivent, et chacun travaille son positionnement. ça se voit aussi sur d'autres posts. Cette miette, lâchée une veille de grève générale sur des mots d'ordre qui sont objectivement de tout autre ampleur, va être diversement utilisée par les syndicats dans la grande course qui s'annonce.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- LaotziSage
Encore une fois (au risque d'avoir définitivement l'impression d'écrire dans le vide), les récriminations contre ce report de la prérentrée de la part des médias ont eu lieu avant même cette phrase qui semble tant choquer. L'article violent du Monde était déjà paru par exemple. Et encore une fois, quand on se fonde sur les propos véritables et non pas une reformulation abusive, ces propos ne sont certainement pas "objectivement catastrophiques".
_________________
"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- InvitéInvité
Ca, honnêtement, à ce niveau-là, j'ai du mal à trouver ça crédible. Et si on est malgré tout dans ce cas de figure, ce n'est pas interdit de s'expliquer d'abord (et de s'excuser, parce que franchement, bonjour la bourde)plutôt que d'attaquer directement les médias et autres en premier et de s'enfoncer.Will.T a écrit:Et l'argument des propos maladroits que tu peux tenir quand on te tend un micro alors que tu n'es pas préparé à être interviewé ?
C'est aussi ce que je reproche au SNES: sa grosse bourde de com' ne rend pas les revendications vraiment importantes comme l'arrêt du gel de l'indice particulièrement crédibles et acceptables. Quant aux élections professionnelles, on va dire que le SNES vient de se tirer une balle dans le pied, je n'irai pas jusqu'à les considérer comme victimes d'une manœuvre (qui, si par hasard elle existait, échouerait de toute manière, force d'inertie oblige).Presse-purée a écrit:@ holdefar:
Y'a aussi les élections pros qui arrivent, et chacun travaille son positionnement. ça se voit aussi sur d'autres posts. Cette miette, lâchée une veille de grève générale sur des mots d'ordre qui sont objectivement de tout autre ampleur, va être diversement utilisée par les syndicats dans la grande course qui s'annonce.
- InvitéInvité
Les propos véritables, c'est qui qui en décide?A moins qu'on me montre une retranscription qui montre que l'autre est biaisée, je considère, jusqu'à preuve du contraire, que cette phrase a été dite.Laotzi a écrit:Encore une fois (au risque d'avoir définitivement l'impression d'écrire dans le vide), les récriminations contre ce report de la prérentrée de la part des médias ont eu lieu avant même cette phrase qui semble tant choquer. L'article violent du Monde était déjà paru par exemple. Et encore une fois, quand on se fonde sur les propos véritables et non pas une reformulation abusive, ces propos ne sont certainement pas "objectivement catastrophiques".
Ceci étant, je trouve que le report de la prérentrée est de toute façon une bêtise, et que les médias ont parfaitement le droit de soutenir cette position, ou une autre d'ailleurs.
- La journée de prérentrée 2014 ne sera pas rattrapée.
- Benoît Hamon : "Pour 100% des élèves, le 2 septembre, ce sera mieux qu'avant. Et ce qui se passera le 2 septembre, c'est une victoire de la FCPE".
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