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- doublecasquetteEnchanteur
LouisBarthas a écrit:Non, bien sûr. Il faudrait aussi, effectivement, revenir à 27 heures de classe pour tous les élèves.coindeparadis a écrit:
Mais les 10h dévolues au français vous semblent-elles suffisantes ?
Mais l'intitulé de l'article est : "Les élèves manquent de temps pour apprendre à lire". C'est faux. Apprendre à lire n'est pas difficile à condition que ce soit enseigné correctement, et les difficultés de lecture que connaissent la plupart des élèves ne sont pas dues au peu de temps qui y est consacré.
+ 1
Le temps supplémentaire, si nous revenions à 27 heures, serait du temps pour l'acculturation, la vraie, celle qui apprend du vocabulaire et donne des repères fondamentaux.
- doublecasquetteEnchanteur
doctor who a écrit:http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/22122014Article635548355590851454.aspx
Brissiaud mélange encore des choses intelligentes en même temps qu'il se crée un bon paquet de difficultés imaginaires.
Comme d'hab' !
Et n'oublions pas la pub' : Débuter l'apprentissage de la combinatoire en Grande Section pour la plus grande joie des enfants qui, eux, avec leur grande imagination, "entendent" très bien les """"sons"""" que produisent les consonnes.
En GS, juste avant les vacances de Noël, savoir écrire et lire Maraba, Miribi, Morobo, Murubu, Mérébé, pour tous les élèves d'une classe, je vous jure que c'est une énorme satisfaction !
- doctor whoDoyen
Je suis étonné que Brissiaud en revienne à des positions aussi radicales, et aussi éloignées des capacités des élèves.
Mais il dira que ce qu'on leur avoir appris est une illusion.
Mais il dira que ce qu'on leur avoir appris est une illusion.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- Spinoza1670Esprit éclairé
doctor who a écrit:Je suis étonné que Brissiaud en revienne à des positions aussi radicales, et aussi éloignées des capacités des élèves.
Mais il dira que ce qu'on leur avait appris est une illusion.
Je ne connais peut-être pas Brissiaud à fond, mais il ne me semble pas avoir tenu un jour un discours sensiblement différent.
Or, pour la GS, il y a Venot, les Alphas, Montessori et Borel-Maisonny et avec ces outils on sait qu'il est possible que tous les enfants apprennent les +/- 20 correspondances graphèmes-phonèmes les plus simples et lisent et écrivent des mots très simples en fin de GS, bref "découvrent le principe alphabétique".
Si cet apprentissage reste ludique et intuitif, pas de raison d'accuser une telle pratique de non-bienveillante.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- doctor whoDoyen
Brissiaud me semble forcer son analyse en disant que la méthode "des Mureaux" marche super bien, mais surtout que les autres méthodes qui prétendraient faire découvrir le principe alphabétique ne marchent pas.
Cela me semble très excessif, voire faux.
Comme le dit DC, on peut faire le faire découvrir sans forçage à tous les élèves de GS, exceptés ceux qui ont des problèmes cognitifs.
Cela me semble très excessif, voire faux.
Comme le dit DC, on peut faire le faire découvrir sans forçage à tous les élèves de GS, exceptés ceux qui ont des problèmes cognitifs.
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- coindeparadisGuide spirituel
Il est sur le tout ou rien. Comme si enseigner le principe alphabétique était synonyme d'apprendre toutes les correspondances graphophonémiques en GS... Il y a 2 ans j'avais des GS à 90% non francophones, plusieurs jamais scolarisés avant la GS. Et dans un pays où les jeux éducatifs n'existent pas. Malgré cela avec quelques outils, ils étaient capables de lire les sons simples, de combiner et de lire de petits mots, voire de courtes phrases de type : Lili a lu, elle est ravie !
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Spinoza1670Esprit éclairé
http://www.charmeux.fr/blog/index.php?2014/02/04/232-monsieur-dehaene-remet-ca-nous-aussi
Charmeux a écrit:Voyons, monsieur Dehaene, comment vous, un scientifique et qui proclamez si haut ce titre, pouvez-vous parler de "lettres muettes" ? Ignorez-vous qu'elles le sont toutes ? Que les lettres ne sont que des petits dessins (lesquels sont rarement "causants") et que leur affectation à la transcriptions des éléments de l'oral est purement arbitraire et, du reste, propre à chaque langue : les anglais se servent de la même lettre "a", et ils l'affectent à d'autres "sons" que nous ; les espagnols se servent du même "b", mais pour transcrire un "son" qui n'appartient pas à notre langue et qui n'a que peu à voir avec notre [b]. On pourrait citer de nombreux autres exemples.Dehaene a écrit:Oui, même les dyslexiques sévères, à condition de leur proposer un enseignement systématique. Le principe alphabétique ne va pas de soi. Il faut en enseigner explicitement tous les détails : la correspondance de chaque lettre ou groupe de lettres avec un son du langage, la distinction entre voyelle et consonne, le déroulement du mot de la gauche vers la droite, les lettres muettes, les terminaisons grammaticales – et cela, avec une progression systématique du plus simple au plus complexe, et sans jamais proposer à l'enfant de mots dont on ne lui ait pas enseigné, d'abord, les clés de lecture.Emma Paoli (journaliste) a écrit:Tous les enfants peuvent-ils vraiment apprendre à lire ?
source : Le Monde
D'autre part, vous n'explicitez jamais la raison pour laquelle il faudrait pour lire — activité visuelle par excellence — connaître la correspondance de chaque lettre avec un son du langage... Les sourds profonds ne peuvent apprendre à lire ?
A la grande rigueur, cette correspondance peut avoir un petit intérêt pour la connaissance générale du fonctionnement de la langue, mais personne, en dehors de ceux dont l'intelligence a été anesthésiée par la routine, ne voit en quoi cela favoriserait l'acte de lire : les recherches sur cette activité démontrent depuis plus de cent ans, que l'efficacité du lire est liée au pouvoir d'anticipation et au raisonnement, l'un et l'autre lourdement handicapés par le déchiffrage lettre à lettre, qui les en a détournés.
http://www.charmeux.fr/blog/index.php?2014/02/04/232-monsieur-dehaene-remet-ca-nous-aussi
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- Spinoza1670Esprit éclairé
Stanislas Dehaene : "On observe souvent un déni de la réalité scientifique" (03.02.2014)
http://www.lemonde.fr/education/visuel/2014/02/07/le-monde-bouscule-l-ecole-en-six-questions_4361743_1473685.html
http://www.lemonde.fr/education/visuel/2014/02/07/le-monde-bouscule-l-ecole-en-six-questions_4361743_1473685.html
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- coindeparadisGuide spirituel
C'est époustouflant de mauvaise foi ! Jusqu'où ira-t-elle pour légitimer ses théories aux effets désastreux depuis des années !Voyons, monsieur Dehaene, comment vous, un scientifique et qui proclamez si haut ce titre, pouvez-vous parler de "lettres muettes" ? Ignorez-vous qu'elles le sont toutes ? Que les lettres ne sont que des petits dessins (lesquels sont rarement "causants") et que leur affectation à la transcriptions des éléments de l'oral est purement arbitraire et, du reste, propre à chaque langue : les anglais se servent de la même lettre "a", et ils l'affectent à d'autres "sons" que nous ; les espagnols se servent du même "b", mais pour transcrire un "son" qui n'appartient pas à notre langue et qui n'a que peu à voir avec notre [b].
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- Padre P. LucasNiveau 10
Les lettres sont peut être muettes, mais Charmeux est assurément sourde ...
- tannatHabitué du forum
https://www.youtube.com/watch?v=lpjQN8Hpl1E
Avancer jusqu'à 21':31 même si l'ensemble est intéressant, il me semble.
Avancer jusqu'à 21':31 même si l'ensemble est intéressant, il me semble.
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« Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett
« C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenargues
- LouisBarthasExpert
Votre lien m'a permis de visionner un petit reportage édifiant sur la nocivité de la méthode dite globale.tannat a écrit:https://www.youtube.com/watch?v=lpjQN8Hpl1E
Avancer jusqu'à 21':31 même si l'ensemble est intéressant, il me semble.
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- LouisBarthasExpert
Les lettres ne sont pas des dessins porteurs d'une signification immédiate comme les images, mais des signes qu'il faut savoir décoder, comme les notes de musique.Spinoza1670 a écrit:http://www.charmeux.fr/blog/index.php?2014/02/04/232-monsieur-dehaene-remet-ca-nous-aussiCharmeux a écrit:Voyons, monsieur Dehaene, comment vous, un scientifique et qui proclamez si haut ce titre, pouvez-vous parler de "lettres muettes" ? Ignorez-vous qu'elles le sont toutes ? Que les lettres ne sont que des petits dessins (lesquels sont rarement "causants") et que leur affectation à la transcription des éléments de l'oral est purement arbitraire (…) l'efficacité du lire est liée au pouvoir d'anticipation et au raisonnement, l'un et l'autre lourdement handicapés par le déchiffrage lettre à lettre, qui les en a détournés.
Le déchiffrage ne constitue pas un handicap à la lecture mais, au contraire, en est la condition.
L'affectation des lettres à la transcription des éléments de l'oral n'a rien d'arbitraire, et elles ont une histoire.
On peut voir ci-dessous, à travers les exemples du A et du H, comment on est passé du dessin au signe, et en quoi l'histoire montre qu'une lettre peut devenir muette :
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
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À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
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Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- coindeparadisGuide spirituel
Je viens de finir cet ouvrage. On y trouve exactement le même discours que dans l'article de Dehaene.
- LouisBarthasExpert
Oui, on sait maintenant avec certitude que la lecture globale n'existe pas.
Pourtant, la quasi-totalité des enseignants croient qu'on peut lire de deux manières : en déchiffrant et en reconnaissant l'image d'un mot. C'est ce qui justifie la "reconnaissance visuelle" de mots à la maternelle, dès la petite section, avant de connaître les lettres.
C'est une impasse théorique : ou bien on peut reconnaître des mots sans connaître le code et, dès lors, on n'aura pas besoin d'apprendre ce dernier, ou bien on considère qu'il est impossible de lire sans maîtriser le code et on cesse de demander aux enfants de reconnaître des mots sans savoir analyser ses composantes.
Au lieu de cela, on voit une bouillie d'apprentissage, dit "mixte", où l'on mélange déchiffrage et pseudo-"reconnaissance visuelle" de mots-images. On comprend que l'apprentissage de la lecture sera complètement raté. On demande à l'enfant d'émettre des hypothèses, de deviner, alors que, évidemment, personne ne lit comme ça.
Une fois le déchiffrage d'un mot effectué, que ce mot est donc "connu", comme disent ces enseignants, ils supposent qu'il va se trouver stocké dans la mémoire comme n'importe quelle autre image, aux côtés des visages ou des objets, et pourra être reconnu comme eux au moment où il réapparaîtra sous leurs yeux. Là aussi il y a une contradiction : si le mot est appelé un jour à devenir une image, pourquoi avoir pris la peine de le déchiffrer au préalable ? Que quelque chose qui n'était pas une image puisse le devenir un jour est déjà problématique en soi.
Mais la science s'est chargée de faire un sort à cette croyance : en réalité, les travaux scientifiques, couronnés par le prix Nobel de médecine attribué à R. Perry en 1981, ont démontré que la zone du cerveau vouée à la reconnaissance des images est différente de celle consacrée à la lecture. Et il en est de même pour les idéogrammes et les notations musicales qui, eux non plus, ne sont pas traités comme des images par le cerveau. Ainsi, les patients - y compris lecteurs d'idéogrammes - victimes d'un accident cérébral ayant lésé la partie du cerveau dédiée à la lecture continuent à reconnaître les images mais ne savent plus lire.
Je pense qu'il en est de même pour les nombres : il faut avoir appris les chiffres et leurs combinaisons pour être capable de les lire. Les nombres ne sont pas des dessins, des images reconnaissables à leur forme, mais des ensembles de signes requérant à chaque fois l'analyse des positions, permettant seule la lecture du nombre qu'ils composent.
La lecture globale n'est qu'une illusion, mais l'illusion, elle, est bien réelle.
« Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n'ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas. Ils peuvent leur infliger les plus constants démentis, sans les affaiblir. »
(Marcel Proust)
A moins d'un courage politique les choses ne changeront pas dans l'immédiat, mais « le temps est un grand maître » disait Corneille...
« Une vérité scientifique ne s'impose pas tant par le fait que ses adversaires soient convaincus de sa valeur et s'y convertissent, mais bien plutôt que ses adversaires disparaissent progressivement en passant de vie à trépas et que la nouvelle génération fait d'office confiance à cette vérité. »
(Max PLANCK)
Pourtant, la quasi-totalité des enseignants croient qu'on peut lire de deux manières : en déchiffrant et en reconnaissant l'image d'un mot. C'est ce qui justifie la "reconnaissance visuelle" de mots à la maternelle, dès la petite section, avant de connaître les lettres.
C'est une impasse théorique : ou bien on peut reconnaître des mots sans connaître le code et, dès lors, on n'aura pas besoin d'apprendre ce dernier, ou bien on considère qu'il est impossible de lire sans maîtriser le code et on cesse de demander aux enfants de reconnaître des mots sans savoir analyser ses composantes.
Au lieu de cela, on voit une bouillie d'apprentissage, dit "mixte", où l'on mélange déchiffrage et pseudo-"reconnaissance visuelle" de mots-images. On comprend que l'apprentissage de la lecture sera complètement raté. On demande à l'enfant d'émettre des hypothèses, de deviner, alors que, évidemment, personne ne lit comme ça.
Une fois le déchiffrage d'un mot effectué, que ce mot est donc "connu", comme disent ces enseignants, ils supposent qu'il va se trouver stocké dans la mémoire comme n'importe quelle autre image, aux côtés des visages ou des objets, et pourra être reconnu comme eux au moment où il réapparaîtra sous leurs yeux. Là aussi il y a une contradiction : si le mot est appelé un jour à devenir une image, pourquoi avoir pris la peine de le déchiffrer au préalable ? Que quelque chose qui n'était pas une image puisse le devenir un jour est déjà problématique en soi.
Mais la science s'est chargée de faire un sort à cette croyance : en réalité, les travaux scientifiques, couronnés par le prix Nobel de médecine attribué à R. Perry en 1981, ont démontré que la zone du cerveau vouée à la reconnaissance des images est différente de celle consacrée à la lecture. Et il en est de même pour les idéogrammes et les notations musicales qui, eux non plus, ne sont pas traités comme des images par le cerveau. Ainsi, les patients - y compris lecteurs d'idéogrammes - victimes d'un accident cérébral ayant lésé la partie du cerveau dédiée à la lecture continuent à reconnaître les images mais ne savent plus lire.
Je pense qu'il en est de même pour les nombres : il faut avoir appris les chiffres et leurs combinaisons pour être capable de les lire. Les nombres ne sont pas des dessins, des images reconnaissables à leur forme, mais des ensembles de signes requérant à chaque fois l'analyse des positions, permettant seule la lecture du nombre qu'ils composent.
La lecture globale n'est qu'une illusion, mais l'illusion, elle, est bien réelle.
« Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n'ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas. Ils peuvent leur infliger les plus constants démentis, sans les affaiblir. »
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A moins d'un courage politique les choses ne changeront pas dans l'immédiat, mais « le temps est un grand maître » disait Corneille...
« Une vérité scientifique ne s'impose pas tant par le fait que ses adversaires soient convaincus de sa valeur et s'y convertissent, mais bien plutôt que ses adversaires disparaissent progressivement en passant de vie à trépas et que la nouvelle génération fait d'office confiance à cette vérité. »
(Max PLANCK)
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
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- 07 mai 2014 (15h) : débat sur les méthodes de lecture - France Culture, Rue des Ecoles.
- Nombre d'heures pour les stagiaires à la rentrée 2014 : ne vaut-il pas mieux réussir la session 2014 que la 2014 exceptionnelle ?
- Mars 2014 - Je jouerai dans les Dionysies 2014 : venez nous voir !
- 9 candidats sur 10 ont obtenu le bac 2014 : "Le crû 2014 est excellent. Jamais autant de jeunes n'ont été diplômés du secondaire".
- La Note de Vie scolaire est définitivement supprimée : elle ne comptera plus dès le 2nd trimestre 2014 et le brevet 2014.
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