- DwarfVénérable
C'est la plus grande difficulté actuelle dans ce domaine, d'ailleurs.philann a écrit:
Et puis tu as peur toi-même si tu as des enfants d'élever des TAZ, des monstres mal élevés simplement parce qu'ils seront en contact quotidien avec des gamins mal élevés... :|
- the educatorFidèle du forum
Et si c'était l'inverse, que le nombre d'enfants malades augmentait? cela te saoulerait il?Seulement contrairement au nombre d'enfants malades, le nombre d'enfants pénibles augmente de façon exponentielle! Et au bout d'un moment ça saoule prodigieusement!
- philannDoyen
the educator a écrit:Et si c'était l'inverse, que le nombre d'enfants malades augmentait? cela te saoulerait il?Seulement contrairement au nombre d'enfants malades, le nombre d'enfants pénibles augmente de façon exponentielle! Et au bout d'un moment ça saoule prodigieusement!
Clairement oui cela me saoulerait encore que le terme soit inadéquat. Quand une institution telle que l'école peut produire des conséquences ou symptômes proches de vraies maladies telles que dyslexie ou hyperactivité, il est certain que ça m'énerve.
Mais la différence est qu'un enfant mal élevé je peux le reprocher aux parents ou aux autres adultes qu'il cotoit (y compris un CPE pour qui il ne va pas de soi de sanctionner un élève exclus de cours )
À l'inverse, je ne ferai pas reproche à des parents de la maladie de leur enfant!
Je dois dire que je trouve ta question d'une indécence rare!
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- the educatorFidèle du forum
Justement. A partir de quand la décence, ou autre chose d'ailleurs, infléchit ton jugement par rapport à un phénomène qui, de base, te saoule? Pouvoir accuser les parents, ou quoi que ce soit d'autre, rend il à tes yeux ou à tes oreilles le comportement moins acceptable?Je dois dire que je trouve ta question d'une indécence rare!
- philannDoyen
The Educator,
Je crois que je vais arrêter de te répondre avant de devenir moi-même franchement désagréable et mal élevée .
Bonne soirée
Je crois que je vais arrêter de te répondre avant de devenir moi-même franchement désagréable et mal élevée .
Bonne soirée
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- KimberliteExpert
Je ne pense pas que l'on puisse considérer comme une maladie le fait de:the educator a écrit:Et si c'était l'inverse, que le nombre d'enfants malades augmentait? cela te saoulerait il?Seulement contrairement au nombre d'enfants malades, le nombre d'enfants pénibles augmente de façon exponentielle! Et au bout d'un moment ça saoule prodigieusement!
- taper les autres (en sachant bien ce que l'on fait: à partir du moment où l'enfant est capable de comprendre ce qu'il fait), leur crier dans les oreilles...
- détruire, salir, etc... en regardant bien les adultes (et en sachant très bien que c'est quelque chose qui ne doit pas être fait)
- faire des caprices sans arrêt
- ne pas supporter un reproche ou une contradiction,
Etc...
Évidemment, on peut se cacher les yeux en parlant d'hyperactivité (sauf que le "tableau" de l'hyperactivité, ça n'est pas ça: quelqu'un que je connais, qui a adopté deux petits en a un qui est vraiment hyperactif... il a des problèmes, c'est certain, mais pas ceux décrits avant).
K
- the educatorFidèle du forum
Tu décris autre chose qu'un manque d'éducation. S'il sait qu'il ne doit pas le faire, s'il comprend ce qu'il fait, alors c'est de la rébellion.- taper les autres (en sachant bien ce que l'on fait: à partir du moment où l'enfant est capable de comprendre ce qu'il fait), leur crier dans les oreilles...
- détruire, salir, etc... en regardant bien les adultes (et en sachant très bien que c'est quelque chose qui ne doit pas être fait)
Je n'ai pas posé cette question, j'ai juste demandé si le fait qu'un gamin soit malade ou non changeait radicalement la manière de percevoir son comportement, c'est à dire si à comportement égal, un enfant saoule moins parce qu'il est malade?Je ne pense pas que l'on puisse considérer comme une maladie le fait de:
- NuitsFidèle du forum
the educator a écrit:Tu décris autre chose qu'un manque d'éducation. S'il sait qu'il ne doit pas le faire, s'il comprend ce qu'il fait, alors c'est de la rébellion.- taper les autres (en sachant bien ce que l'on fait: à partir du moment où l'enfant est capable de comprendre ce qu'il fait), leur crier dans les oreilles...
- détruire, salir, etc... en regardant bien les adultes (et en sachant très bien que c'est quelque chose qui ne doit pas être fait)
Je n'ai pas posé cette question, j'ai juste demandé si le fait qu'un gamin soit malade ou non changeait radicalement la manière de percevoir son comportement, c'est à dire si à comportement égal, un enfant saoule moins parce qu'il est malade?Je ne pense pas que l'on puisse considérer comme une maladie le fait de:
Oui, cela change radicalement la manière de percevoir son comportement !
Un gamin qui n'a pas un comportement "dans la norme" pourra au pire m'incommoder ( parce qu'il hurle, qu'il tape etc.) au mieux susciter de la sympathie; souvent il me laissera indifférente ( j'entends par là que je ne le percevrai ni de manière négative, ni de manière positive, il est ainsi, c'est un fait, personne n'y peut rien).
Mais dans tous les cas, je ne me sentirai pas agressée pour autant, même s'il me tape.
En revanche, le même comportement chez un gamin mal élevé m'est absolument intolérable. Là, je me sens profondément agressée, niée dans ce que je suis. C'est un peu le "pousse-toi de là que mon ego surdimensionnée s'y mette". Bien entendu, mon ressentiment est tout entier dirigé vers les parents. Je trouve profondément insupportable cette incapacité à se décentrer, à se mettre à la place d'autrui. Bien sûr, je n'attends pas la même aptitude chez un adulte, un ado et un jeune enfant. Mais j'attends des parents qu'ils ancrent fermement chez leurs enfants cette idée " qu'ils ne sont pas seuls au monde" pour reprendre les propos d'autres Neos.
Cela étant, il est bien difficile de discriminer les deux cas, sans compter que la réalité est plus complexe et qu'il existe bien d'autres situations que celles des enfants " seulement" malades ou " seulement " mal élevés.
_________________
C'est dans l'intérêt de l'enfant.
- DwarfVénérable
Ou de la perversité...the educator a écrit:Tu décris autre chose qu'un manque d'éducation. S'il sait qu'il ne doit pas le faire, s'il comprend ce qu'il fait, alors c'est de la rébellion.- taper les autres (en sachant bien ce que l'on fait: à partir du moment où l'enfant est capable de comprendre ce qu'il fait), leur crier dans les oreilles...
- détruire, salir, etc... en regardant bien les adultes (et en sachant très bien que c'est quelque chose qui ne doit pas être fait)
- retraitéeDoyen
Et selon une amie pédopsychiatre, les pervers supplantent aujourd'hui de loin les névrosés.
- dandelionVénérable
Voire de la malice (ouf, il y a encore des exorcistes dans nos campagnes)Dwarf a écrit:Ou de la perversité...the educator a écrit:Tu décris autre chose qu'un manque d'éducation. S'il sait qu'il ne doit pas le faire, s'il comprend ce qu'il fait, alors c'est de la rébellion.- taper les autres (en sachant bien ce que l'on fait: à partir du moment où l'enfant est capable de comprendre ce qu'il fait), leur crier dans les oreilles...
- détruire, salir, etc... en regardant bien les adultes (et en sachant très bien que c'est quelque chose qui ne doit pas être fait)
Pour les très jeunes, je dirais avant cinq-six ans, il y a souvent plus de l'expérience que de la rébellion (ma fille adorait renverser son verre d'eau sur la table quand elle avait entre un an et demi et deux ans, ça la fascinait d'observer l'eau qui coule, on la voyait avec soulagement se retenir en nous regardant de l'air de celle qui sait qu'il faut bien faire, puis elle finissait généralement par céder, à la maison j'avais du carrelage et une serpillère, à l'extérieur on mettait tout ce qui était liquide hors de sa portée). Et pour les enfants en primaire, ce besoin d'expérience est souvent bloqué par l'impossibilité de se trouver seul avec d'autres enfants (ramasser des insectes, jouer dans la boue, grimper aux arbres, ça fait partie de l'enfance).
Sinon, la rébellion qui consiste à ne pas respecter les règles de vie en classe, ça permet d'être un rebelle à moindre frais (cf l'admirable rappeur mentionné sur un autre fil, qui se considère comme trop un rebelle parce qu'il était en retard en classe et n'avait pas son cahier, c'est sûr que ça en jette niveau rébellion ).
- PseudoDemi-dieu
retraitée a écrit:Et selon une amie pédopsychiatre, les pervers supplantent aujourd'hui de loin les névrosés.
Faudrait voir ce qu'on appelle pervers quand même.
Il semble qu'il y ait de plus en plus de pervers narcissiques, effectivement. Mais il semble qu'il y ait surtout de plus en plus d'"états limites", c'est à dire entre la névrose et la psychose.
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- DwarfVénérable
Pour ma part, je suis plutôt Poe sur ce point.Pseudo a écrit:retraitée a écrit:Et selon une amie pédopsychiatre, les pervers supplantent aujourd'hui de loin les névrosés.
Faudrait voir ce qu'on appelle pervers quand même.
Il semble qu'il y ait de plus en plus de pervers narcissiques, effectivement. Mais il semble qu'il y ait surtout de plus en plus d'"états limites", c'est à dire entre la névrose et la psychose.
"Examinons ces actions et d’autres analogues, nous trouverons qu’elles résultent uniquement de l’esprit de perversité. Nous les perpétrons simplement à cause que nous sentons que nous ne le devrions pas."
Sublime texte entier ici (avec une erreur dans le titre... ):
http://sami.is.free.fr/Oeuvres/poe_le_demon_de_la_perversite.html
- PseudoDemi-dieu
Dwarf a écrit:Pour ma part, je suis plutôt Poe sur ce point.Pseudo a écrit:retraitée a écrit:Et selon une amie pédopsychiatre, les pervers supplantent aujourd'hui de loin les névrosés.
Faudrait voir ce qu'on appelle pervers quand même.
Il semble qu'il y ait de plus en plus de pervers narcissiques, effectivement. Mais il semble qu'il y ait surtout de plus en plus d'"états limites", c'est à dire entre la névrose et la psychose.
"Examinons ces actions et d’autres analogues, nous trouverons qu’elles résultent uniquement de l’esprit de perversité. Nous les perpétrons simplement à cause que nous sentons que nous ne le devrions pas."
Sublime texte entier ici (avec une erreur dans le titre... ):
http://sami.is.free.fr/Oeuvres/poe_le_demon_de_la_perversite.html
Je vais aller lire, mais à priori il y a un fossé entre le pervers de Poe (et du terme courant en fait) et le pervers psychiatrique.
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- DwarfVénérable
Question de degré et de conscience? A ce moment-là, regardons plutôt du côté de la différence entre psychose et névrose.Pseudo a écrit:Dwarf a écrit:
Pour ma part, je suis plutôt Poe sur ce point.
"Examinons ces actions et d’autres analogues, nous trouverons qu’elles résultent uniquement de l’esprit de perversité. Nous les perpétrons simplement à cause que nous sentons que nous ne le devrions pas."
Sublime texte entier ici (avec une erreur dans le titre... ):
http://sami.is.free.fr/Oeuvres/poe_le_demon_de_la_perversite.html
Je vais aller lire, mais à priori il y a un fossé entre le pervers de Poe (et du terme courant en fait) et le pervers psychiatrique.
- coindeparadisGuide spirituel
Un texte intéressant :
http://www.sosnancy.com/le-syndrome-de-la-maman-de-caillou/
http://www.sosnancy.com/le-syndrome-de-la-maman-de-caillou/
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- OlympiasProphète
coindeparadis a écrit:Un texte intéressant :
http://www.sosnancy.com/le-syndrome-de-la-maman-de-caillou/
- the educatorFidèle du forum
C'est super interessant, c'est écrit n'importe comment, sans sourcer, avec des propositions aussi géniales que " En se sacrifiant, la mère esclave enseigne à ses enfants, ou bien à se sacrifier eux-mêmes pour le plaisir des autres, ou bien à espérer que tout le monde se sacrifie pour eux."
En gros, c'est de la merde pour parents paumés. Y'a un bizness à prendre, d'ailleurs, parce qu'effectivement des parents qui jouent les apprentis sorciers sans courage ni cohérence, y'en a une paire...
Bref, ce n'est pas en s'extasiant devant ce genre d'article racoleurs qu'on va faire avancer les choses, ni commencer à se comprendre.
En gros, c'est de la merde pour parents paumés. Y'a un bizness à prendre, d'ailleurs, parce qu'effectivement des parents qui jouent les apprentis sorciers sans courage ni cohérence, y'en a une paire...
Bref, ce n'est pas en s'extasiant devant ce genre d'article racoleurs qu'on va faire avancer les choses, ni commencer à se comprendre.
- coindeparadisGuide spirituel
C'est certainement avec un avis catégorique, non argumenté, sans bases théoriques qu'on va faire avancer les choses !
(une prof, mère et psy )
(une prof, mère et psy )
- shepherdNiveau 4
the educator a écrit:C'est super interessant, c'est écrit n'importe comment, sans sourcer, avec des propositions aussi géniales que " En se sacrifiant, la mère esclave enseigne à ses enfants, ou bien à se sacrifier eux-mêmes pour le plaisir des autres, ou bien à espérer que tout le monde se sacrifie pour eux."
En gros, c'est de la merde pour parents paumés. Y'a un bizness à prendre, d'ailleurs, parce qu'effectivement des parents qui jouent les apprentis sorciers sans courage ni cohérence, y'en a une paire...
Bref, ce n'est pas en s'extasiant devant ce genre d'article racoleurs qu'on va faire avancer les choses, ni commencer à se comprendre.
Sans compter les fautes d'orthographe. Effectivement, c'est du gros n'importe quoi.
- philannDoyen
Il me semblait avoir écrit un message, j'ai dû rêver...
Mais bref, le but n'était pas l'avis scientifiquement prouver.
Quant à dire, qu'apprendre aux enfants que le monde ne tourne pas autour d'eux, qu'il est bon d'apprendre la frustration et qu'en cherchant la perfection on peut obtenir le contraire...franchement je ne vois pas bien où est le problème.
Au mieux on peut considérer le propos comme insignifiant, au mieux trouver un certain bon sens à la chose, hélas pas partagé par bon nombres d'éducateurs (parents, profs, autres...)
Mais bref, le but n'était pas l'avis scientifiquement prouver.
Quant à dire, qu'apprendre aux enfants que le monde ne tourne pas autour d'eux, qu'il est bon d'apprendre la frustration et qu'en cherchant la perfection on peut obtenir le contraire...franchement je ne vois pas bien où est le problème.
Au mieux on peut considérer le propos comme insignifiant, au mieux trouver un certain bon sens à la chose, hélas pas partagé par bon nombres d'éducateurs (parents, profs, autres...)
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- coindeparadisGuide spirituel
Je trouve que le mélange communication non violente, psychologie positive et autre "laissons s'épanouir l'enfant sans entraver sa liberté", conduit à "créer" des enfants incapables de concevoir que le monde n'est pas régi par leurs désirs. Et les librairies, les revues débordent de ces discours plein de bons sentiments : on ne crie pas (même si Paul enjambe le balcon), on ne menace pas (même si Juliette a mordu jusqu'au sang son frère de 6 mois pour la troisième fois), on ne punit pas (si, si tu as le droit de dessiner sur les murs du salon)... Je suis régulièrement reprise par des inconnus, dans l'espace public, qui me reprochent d'être trop dure "ils sont petits, c'est de leur âge". L'adulte qui pose un cadre est presque perçu comme maltraitant. Et en tant qu'enseignant on se trouve en première ligne pour accueillir ces enfants tyrans. Alors savoir qu'on est pas la seule à vouloir brûler les parents de Caillou, Petit ours brun, Tchoupi et compagnie, cela fait du bien.
- philannDoyen
coindeparadis a écrit:Je trouve que le mélange communication non violente, psychologie positive et autre "laissons s'épanouir l'enfant sans entraver sa liberté", conduit à "créer" des enfants incapables de concevoir que le monde n'est pas régi par leurs désirs. Et les librairies, les revues débordent de ces discours plein de bons sentiments : on ne crie pas (même si Paul enjambe le balcon), on ne menace pas (même si Juliette a mordu jusqu'au sang son frère de 6 mois pour la troisième fois), on ne punit pas (si, si tu as le droit de dessiner sur les murs du salon)... Je suis régulièrement reprise par des inconnus, dans l'espace public, qui me reprochent d'être trop dure "ils sont petits, c'est de leur âge". L'adulte qui pose un cadre est presque perçu comme maltraitant. Et en tant qu'enseignant on se trouve en première ligne pour accueillir ces enfants tyrans. Alors savoir qu'on est pas la seule à vouloir brûler les parents de Caillou, Petit ours brun, Tchoupi et compagnie, cela fait du bien.
Je n'irais peut-être pas jusque là
- Spoiler:
- quoique :diable: :malmaisbien:
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- coindeparadisGuide spirituel
EDIT : je me contenterai d'un autodafé !
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- TristanaVénérable
Disons que ce qu'il y a de bien dans le lien posté plus haut, c'est qu'il rappelle qu'il n'y a pas de parents parfaits, et qu'on peut faire des erreurs. C'est je crois à peu près la seule vérité qui existe à propos de l'éducation des enfants, et qu'il faut garder en mémoire : culpabiliser est humain, bien sûr, mais il est normal de ne pas toujours s'en sortir et de ne pas toujours faire ce qu'il faut, quand il le faut.
_________________
« C’est tout de même épatant, et pour le moins moderne, un dominant qui vient chialer que le dominé n’y met pas assez du sien. »
Virginie Despentes
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum