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- trompettemarineMonarque
Bonjour,
je ne parle pas dans ce post en tant que prof (je suis en lycée) mais en tant que mère d'élève.
La maîtresse de ma fille est absente pour une seconde semaine. L'inspection ne propose pas de remplacement. L'école maternelle nous a laissé un papier ce soir nous demandant de garder (et non "si nous pouvions" garder) nos enfants avec nous.
Problème : que faire de ma fille puisque mon mari et moi travaillons et que je ne peux la faire garder par de la famille qu'à partir de jeudi.
a) L'école maternelle est-elle tenue ou non de recevoir ma fille ? (il nous a été dit qu'elle n'était pas "une garderie") Que disent les textes ?
b) Ai-je le droit de prendre ma fille dans mon propre cours ? (je crains fort qu'à 6 ans elle ait du mal à comprendre un cours sur Pascal, mais bon) Que disent les textes ?
Si quelqu'un a une réponse, je suis preneuse.
Je précise bien que je ne reproche nullement à l'enseignante d'être absente. J'en veux juste à l'EN de ne pourvoir aux remplacements (merci Châtel, Sarko et Cie pour les suppressions de postes.)
je ne parle pas dans ce post en tant que prof (je suis en lycée) mais en tant que mère d'élève.
La maîtresse de ma fille est absente pour une seconde semaine. L'inspection ne propose pas de remplacement. L'école maternelle nous a laissé un papier ce soir nous demandant de garder (et non "si nous pouvions" garder) nos enfants avec nous.
Problème : que faire de ma fille puisque mon mari et moi travaillons et que je ne peux la faire garder par de la famille qu'à partir de jeudi.
a) L'école maternelle est-elle tenue ou non de recevoir ma fille ? (il nous a été dit qu'elle n'était pas "une garderie") Que disent les textes ?
b) Ai-je le droit de prendre ma fille dans mon propre cours ? (je crains fort qu'à 6 ans elle ait du mal à comprendre un cours sur Pascal, mais bon) Que disent les textes ?
Si quelqu'un a une réponse, je suis preneuse.
Je précise bien que je ne reproche nullement à l'enseignante d'être absente. J'en veux juste à l'EN de ne pourvoir aux remplacements (merci Châtel, Sarko et Cie pour les suppressions de postes.)
- C'est pas fauxEsprit éclairé
Tu peux ajouter Peillon à la liste, qui ajoute des postes, mais pas là où il faut.trompettemarine a écrit:Bonjour,
je ne parle pas dans ce post en tant que prof (je suis en lycée) mais en tant que mère d'élève.
La maîtresse de ma fille est absente pour une seconde semaine. L'inspection ne propose pas de remplacement. L'école maternelle nous a laissé un papier ce soir nous demandant de garder (et non "si nous pouvions" garder) nos enfants avec nous.
Problème : que faire de ma fille puisque mon mari et moi travaillons et que je ne peux la faire garder par de la famille qu'à partir de jeudi.
a) L'école maternelle est-elle tenue ou non de recevoir ma fille ? (il nous a été dit qu'elle n'était pas "une garderie") Que disent les textes ?
b) Ai-je le droit de prendre ma fille dans mon propre cours ? (je crains fort qu'à 6 ans elle ait du mal à comprendre un cours sur Pascal, mais bon) Que disent les textes ?
Si quelqu'un a une réponse, je suis preneuse.
Je précise bien que je ne reproche nullement à l'enseignante d'être absente. J'en veux juste à l'EN de ne pourvoir aux remplacements (merci Châtel, Sarko et Cie pour les suppressions de postes.)
A ce que je sache, l'école de ta fille n'a pas le droit de te demander de la garder, encore moins par écrit.
Chez moi (élémentaire), lorsqu'un collègue est absent, et vu que les ZIL (remplaçants courts) sont semble-t-il réservés aux beaux quartiers avec des parents qui gueulent, on ne peut que suggérer oralement aux élèves qu'il est inutile de venir pendant l'absence de l'enseignant.
- agcNiveau 9
chez nous ils accueillent les enfants en les mettant dans les autres classes mais demandent que l'on garde les enfants si cela est possible bien sur....
- trompettemarineMonarque
Le problème est que l'on ne nous demande pas si c'est possible lorsqu'on lit le papier, on nous demande de garder l'enfant.
Une maladresse ? je suis très surprise car c'est une école (publique [le privé a peut-être d'autres règles) très bien d'habitude.
Une maladresse ? je suis très surprise car c'est une école (publique [le privé a peut-être d'autres règles) très bien d'habitude.
- C'est pas fauxEsprit éclairé
Encore une fois, je crois que l'école n'a pas le droit de t'y enjoindre. Si ça remontait à l'inspection, ils se feraient taper sur les doigts.
- chartoineNiveau 6
Ils sont obligés de prendre à fille, il la mettrontvdans une autre classe
- atriumNeoprof expérimenté
Obligation d'accueil, mais pas d'enseignement.
Edit: Ne prends pas ta fille au travail.
Edit: Ne prends pas ta fille au travail.
- doublecasquetteEnchanteur
Ils sont tenus de les accueillir trois jours. Ensuite, ils peuvent vous demander de les garder. Enfin, dans mon département, c'est comme ça.
- dandelionVénérable
Sinon Swift avait fait en son temps une modeste proposition pour se débarrasser des enfants surnumérairesdoublecasquette a écrit:Ils sont tenus de les accueillir trois jours. Ensuite, ils peuvent vous demander de les garder.
Dsl, le titre du topic m'y a fait aussitôt penser
- doublecasquetteEnchanteur
dandelion a écrit:Sinon Swift avait fait en son temps une modeste proposition pour se débarrasser des enfants surnumérairesdoublecasquette a écrit:Ils sont tenus de les accueillir trois jours. Ensuite, ils peuvent vous demander de les garder.
Dsl, le titre du topic m'y a fait aussitôt penser
Ici:
http://rocbo.perso.infonie.fr/litter/swift/modestepropos.htm
Petite mise en bouche (si je puis dire ...)
SWIFT a écrit:Jonathan Swift
MODESTE PROPOSITION
POUR EMPÊCHER LES ENFANTS
DES PAUVRES D'ÊTRE À LA CHARGE
DE LEURS PARENTS
OU DE LEUR PAYS
ET POUR LES RENDRE UTILES AU PUBLIC
C'est un objet de tristesse, pour celui qui traverse cette grande ville ou voyage dans les campagnes, que de voir les rues, les routes et le seuil des masures encombrés de mendiantes, suivies de trois, quatre ou six enfants, tous en guenilles, importunant le passant de leurs mains tendues. Ces mères, plutôt que de travailler pour gagner honnêtement leur vie, sont forcées de passer leur temps à arpenter le pavé, à mendier la pitance de leurs nourrissons sans défense qui, en grandissant, deviendront voleurs faute de trouver du travail, quitteront leur cher Pays natal afin d'aller combattre pour le prétendant d'Espagne, ou partiront encore se vendre aux îles Barbades.
Je pense que chacun s'accorde à reconnaître que ce nombre phénoménal d'enfants pendus aux bras, au dos ou aux talons de leur mère, et fréquemment de leur père, constitue dans le déplorable état présent du royaume une très grande charge supplémentaire ; par conséquent, celui qui trouverait un moyen équitable, simple et peu onéreux de faire participer ces enfants à la richesse commune mériterait si bien de l'intérêt public qu'on lui élèverait pour le moins une statue comme bienfaiteur de la nation.
Mais mon intention n'est pas, loin de là, de m'en tenir aux seuls enfants des mendiants avérés ; mon projet se conçoit à une bien plus vaste échelle et se propose d'englober tous les enfants d'un âge donné dont les parents sont en vérité aussi incapables d'assurer la subsistance que ceux qui nous demandent la charité dans les rues.
Pour ma part, j'ai consacré plusieurs années à réfléchir à ce sujet capital, à examiner avec attention les différents projets des autres penseurs, et y ai toujours trouvé de grossières erreurs de calcul. Il est vrai qu'une mère peut sustenter son nouveau-né de son lait durant toute une année solaire sans recours ou presque à une autre nourriture, du moins avec un complément alimentaire dont le coût ne dépasse pas deux shillings, somme qu'elle pourra aisément se procurer, ou l'équivalent en reliefs de table, par la mendicité, et c'est précisément à l'âge d'un an que je me propose de prendre en charge ces enfants, de sorte qu'au lieu d'être un fardeau pour leurs parents ou leur paroisse et de manquer de pain et de vêtements, ils puissent contribuer à nourrir et, partiellement, à vêtir des multitudes.
Mon projet comporte encore cet autre avantage de faire cesser les avortements volontaires et cette horrible pratique des femmes, hélas trop fréquente dans notre société, qui assassinent leurs bâtards, sacrifiant, me semble-t-il, ces bébés innocents pour s'éviter les dépenses plus que la honte, pratique qui tirerait des larmes de compassion du cúur le plus sauvage et le plus inhumain.
Etant généralement admis que la population de ce royaume s'élève à un million et demi d'âmes, je déduis qu'il y a environ deux cent mille couples dont la femme est reproductrice, chiffre duquel je retranche environ trente mille couples qui sont capables de subvenir aux besoins de leurs enfants, bien que je craigne qu'il n'y en ait guère autant, compte tenu de la détresse actuelle du royaume, mais cela posé, il nous reste cent soixante-dix mille reproductrices. J'en retranche encore cinquante mille pour tenir compte des fausses couches ou des enfants qui meurent de maladie ou d'accident au cours de la première année. Il reste donc cent vingt mille enfants nés chaque année de parents pauvres. Comment élever et assurer l'avenir de ces multitudes, telle est donc la question puisque, ainsi que je l'ai déjà dit, dans l'état actuel des choses, toutes les méthodes proposées à ce jour se sont révélées totalement impossibles à appliquer, du fait qu'on ne peut trouver d'emploi pour ces gens ni dans l'artisanat ni dans l'agriculture ; que nous ne construisons pas de nouveaux bâtiments (du moins dans les campagnes), pas plus que nous ne cultivons la terre ; il est rare que ces enfants puissent vivre de rapines avant l'âge de six ans, à l'exception de sujets particulièrement doués, bien qu'ils apprennent les rudiments du métier, je dois le reconnaître, beaucoup plus tôt : durant cette période, néanmoins, ils ne peuvent être tenus que pour des apprentis délinquants, ainsi que me l'a rapporté une importante personnalité du comté de Cavan qui m'a assuré ne pas connaître plus d'un ou deux voleurs qualifiés de moins de six ans, dans une région du royaume pourtant renommée pour la pratique compétente et précoce de cet art.
Nos marchands m'assurent qu'en dessous de douze ans, les filles pas plus que les garçons ne font de satisfaisants produits négociables, et que même à cet âge, on n'en tire pas plus de trois livres, ou au mieux trois livres et demie à la Bourse, ce qui n'est profitable ni aux parents ni au royaume, les frais de nourriture et de haillons s'élevant au moins à quatre fois cette somme.
J'en viens donc à exposer humblement mes propres idées qui, je l'espère, ne soulèveront pas la moindre objection.
Un américain très avisé que j'ai connu à Londres m'a assuré qu'un jeune enfant en bonne santé et bien nourri constitue à l'âge d'un an un met délicieux, nutritif et sain, qu'il soit cuit en daube, au pot, rôti à la broche ou au four, et j'ai tout lieu de croire qu'il s'accommode aussi bien en fricassée ou en ragoût.
- atriumNeoprof expérimenté
doublecasquette a écrit:Ils sont tenus de les accueillir trois jours. Ensuite, ils peuvent vous demander de les garder. Enfin, dans mon département, c'est comme ça.
C'est soit une tolérance, soit une consigne syndicale, DC. La règle, c'est l'obligation d'accueil. Reste à la mettre concrètement en application.
Curieux de voir, par exemple, combien de temps le SMA tiendrait face à un mouvement de grève dur et une attaque au tribunal administratif...
- NicolatsarNiveau 9
Chez moi, quand les maîtresses sont malades les grands parents ont gardé le petit pour rendre service. Et bien la municipalité nous a quand même facturé les repas et refuse de les rembourser
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Quels enfants léguerons-nous à notre terre ?
- palomitaNeoprof expérimenté
Chez nous , où la maîtresse de notre fille a été absente presque un mois entre les vacances de Toussaint et Noël , les enfants ont été ( quand il n'y avait pas de remplaçant) accueillis par petits groupes dans les autres classes .
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- MélisandeNeoprof expérimenté
Il faut aussi penser aux autres enseignants de l'école qui ont déjà eu 4/5 élèves en plus dans leur classe pendant une semaine, d'un niveau supérieur ou inférieur à celui qu'ils enseignent, à devoir les occuper pour qu'ils ne perturbent pas le fonctionnement de leur propre classe. Les mandalas, ça va bien une demi-journée, mais bon... Là, les enseignants doivent commencer à saturer sévèrement, d'où peut-être l'injonction un peu sèche formulée dans la circulaire.
Après, je comprends le problème que cela te pose, Trompettemarine, mais le problème n'est pas seulement pour les parents...
J'ai déjà pris mes enfants dans mes cours (pour des raisons de grève de leurs enseignants ou de deuil de la nourrice). Pour une journée, c'est tout-à-fait faisable, deux, ça commence à faire. Et 5h de cours sont supportables pour un petit enfant, au-delà, ils deviennent plus agités, c'est ce qu'il s'était passé pour les miens, en tout cas.
Après, je comprends le problème que cela te pose, Trompettemarine, mais le problème n'est pas seulement pour les parents...
J'ai déjà pris mes enfants dans mes cours (pour des raisons de grève de leurs enseignants ou de deuil de la nourrice). Pour une journée, c'est tout-à-fait faisable, deux, ça commence à faire. Et 5h de cours sont supportables pour un petit enfant, au-delà, ils deviennent plus agités, c'est ce qu'il s'était passé pour les miens, en tout cas.
- auléricNeoprof expérimenté
bien sûr mélisande , mais on n'a juste pas le droit de le demander. et les maitresses peuvent se faire taper sur les doigts si un parent se plaint.
et chez nous DC , pas de maximum ... mes collègues qui ont 6-7 gamins en plus il y a 15j, toute la semaine, en savent quelque chose.
et chez nous DC , pas de maximum ... mes collègues qui ont 6-7 gamins en plus il y a 15j, toute la semaine, en savent quelque chose.
- trompettemarineMonarque
Mélisande a écrit:Il faut aussi penser aux autres enseignants de l'école qui ont déjà eu 4/5 élèves en plus dans leur classe pendant une semaine, d'un niveau supérieur ou inférieur à celui qu'ils enseignent, à devoir les occuper pour qu'ils ne perturbent pas le fonctionnement de leur propre classe. Les mandalas, ça va bien une demi-journée, mais bon... Là, les enseignants doivent commencer à saturer sévèrement, d'où peut-être l'injonction un peu sèche formulée dans la circulaire.
Après, je comprends le problème que cela te pose, Trompettemarine, mais le problème n'est pas seulement pour les parents...
J'ai déjà pris mes enfants dans mes cours (pour des raisons de grève de leurs enseignants ou de deuil de la nourrice). Pour une journée, c'est tout-à-fait faisable, deux, ça commence à faire. Et 5h de cours sont supportables pour un petit enfant, au-delà, ils deviennent plus agités, c'est ce qu'il s'était passé pour les miens, en tout cas.
Je suis tout à fait d'accord avec toi Mélisande (et là, c'est la deuxième semaine), mais tel qu'était rédigé le papier, on avait l'impression que c'était la faute des parents. Après il y avait une invitation à les soutenir auprès de l'Inspection, mais je pense que sous la colère, il y a eu une maladresse dans la rédaction du début du papier qui était un peu brutal pour les parents qui n'y étaient pour rien. Et ce ne sont ni les parents ni bien sûr les maîtres qui sont responsables de la situation.
En lisant le papier, des parents m'ont appelée ne sachant que faire du jour au lendemain.
Mon mari est allée portée la petite, il n'est pas revenue avec. L'école a dû pouvoir la garder. Pour Jeudi et vendredi j'ai le temps de me retourner et de m'organiser.
Un parent d'école pense appeler le maire pour qu'il fasse pression auprès de l'inspection pour qu'il y ait un remplaçant.
- MélisandeNeoprof expérimenté
trompettemarine a écrit:
Un parent d'école pense appeler le maire pour qu'il fausse pression auprès de l'inspection pour qu'il y ait un remplaçant.
En fait, je crois qu'il n'y a que cela qui puisse avoir une quelconque efficacité. Nous en sommes réduits, désormais, à " seul celui qui gue*le le plus fort obtient gain de cause".
- dandelionVénérable
En même temps, un remplaçant recruté sur le bon coin, pour la maternelleMélisande a écrit:trompettemarine a écrit:
Un parent d'école pense appeler le maire pour qu'il fausse pression auprès de l'inspection pour qu'il y ait un remplaçant.
En fait, je crois qu'il n'y a que cela qui puisse avoir une quelconque efficacité. Nous en sommes réduits, désormais, à " seul celui qui gue*le le plus fort obtient gain de cause".
- MélisandeNeoprof expérimenté
C'est clair, Dandelion !
Une année, un de mes enfants était en petite section, sa maîtresse a été absente plus de 60 jours d'école dans l'année, la plupart du temps par groupe de deux jours. Certains matins, quand je découvrais devant la porte de la classe le "maître" qui allait se charger de ma fille pour les deux jours à venir, j'avais le ventre noué. Heureusement que j'avais toute confiance dans les ATSEM qui restaient dans ces cas-là en permanence avec cette classe.
Une année, un de mes enfants était en petite section, sa maîtresse a été absente plus de 60 jours d'école dans l'année, la plupart du temps par groupe de deux jours. Certains matins, quand je découvrais devant la porte de la classe le "maître" qui allait se charger de ma fille pour les deux jours à venir, j'avais le ventre noué. Heureusement que j'avais toute confiance dans les ATSEM qui restaient dans ces cas-là en permanence avec cette classe.
- dandelionVénérable
J'ai un peu le même vécu (enseignante stagiaire en PS et multiples remplaçants, on ne savait jamais qui on allait voir le matin, j'en garde un très mauvais souvenir, je n'étais pas à l'aise de laisser ma fille). S'il fallait avoir un vivier de remplaçants conséquent, c'est bien en maternelle et cp.
- coindeparadisGuide spirituel
Ne vous leurrez pas : pas de remplacement ne signifie pas pour autant pas de remplaçant. Ce peut être simplement la volonté - économique - de ne pas remplacer. Ex : on vous appelle début février pour remplacer quelqu'un qui est déjà absent depuis 15 jours (voire 1 mois)...dandelion a écrit:
En même temps, un remplaçant recruté sur le bon coin, pour la maternelle
- User21714Expert spécialisé
Il faut téléphoner à l'IEN et au DASEN pour s'étonner de l'absence de remplaçant, sans accuser l'école, si possible...
Les consignes syndicales sont claires:
Au bout de 3 jours d'élèves répartis en fond de classe, avec donc des effectifs à 30 en moyenne, l'équipe informe les parents qu'ils vont devoir trouver une solution.
Cette solution peut être de faire pression sur les "chefs" pour qu'ils trouvent un remplaçant.Dans le second degré, ce problème n'existe pas, puisque les élèves vont en perm ou rentrent chez eux. Un peu de solidarité ne peut nuire...
Il faut imaginer faire la classe pendant plusieurs jours avec des enfants venant d'une autre classe qui s'ennuient, c'est épuisant...
Les PE ne sont pas "taillables et corvéables à merci"!
Les consignes syndicales sont claires:
Au bout de 3 jours d'élèves répartis en fond de classe, avec donc des effectifs à 30 en moyenne, l'équipe informe les parents qu'ils vont devoir trouver une solution.
Cette solution peut être de faire pression sur les "chefs" pour qu'ils trouvent un remplaçant.Dans le second degré, ce problème n'existe pas, puisque les élèves vont en perm ou rentrent chez eux. Un peu de solidarité ne peut nuire...
Il faut imaginer faire la classe pendant plusieurs jours avec des enfants venant d'une autre classe qui s'ennuient, c'est épuisant...
Les PE ne sont pas "taillables et corvéables à merci"!
- alanneFidèle du forum
Ou comme dans plusieurs établissements que j'ai connu , c'est l'AVS qui fait "le prof" et pas qu'un jour. Je l'ai déjà fait quand j'étais AVS et sincèrement les parents et la directrice me remerciaient. Alors oui , ce n'est pas légal mais ce n'est pas exceptionnel comme situation. Et encore maintenant, des copines AVS continuent ce genre de chose, il faut dire que sur une école de 7 classes si 3 instits absents ça fait environ trop d'élèves à répartir.
- User21714Expert spécialisé
alanne a écrit:Ou comme dans plusieurs établissements que j'ai connu , c'est l'AVS qui fait "le prof" et pas qu'un jour. Je l'ai déjà fait quand j'étais AVS et sincèrement les parents et la directrice me remerciaient. Alors oui , ce n'est pas légal mais ce n'est pas exceptionnel comme situation. Et encore maintenant, des copines AVS continuent ce genre de chose, il faut dire que sur une école de 7 classes si 3 instits absents ça fait environ trop d'élèves à répartir.
C'est sous l'unique responsabilité du directeur, tant qu'il n'y a pas de problème, c'est à la bonne franquette.
Le jour où il y en a un, il plonge...
La seule solution, c'est d'exiger un remplaçant: c'est cela la continuité du service public. Ils n'ont qu'à ouvrir les listes complémentaires.
- alanneFidèle du forum
oui proposer le job à celles à qui ils ont mis zéro à l'oral l'an dernier mais à qui ils ont proposé des contrats en septembre.
_________________
Wait and see
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- Stanislas Dehaene : "dans cette maternelle ZEP, tous les enfants savent lire et faire des calculs à 4 chiffres avant d'entrer en CP".
- élève trop absente, que faire, que dire?
- Absente du CA sans faire exprès, est-ce grave?
- absente à la correction d'un concours : comment faire?
- Que faire pour les notes de brevet quand une matière est absente ?
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