Envisagez vous de quitter l'enseignement ?
- coindeparadisGuide spirituel
Dans ma discipline en 2013 : 494 inscrits pour 6 postes ... (externe et interne cumulés)
- LefterisEsprit sacré
Mais ton système favoriserait ceux qui ont des revenus suffisants pour se créer des retraites complémentaires (et on arriverait vite à la capitalisation), et l'achat d'un patrimoine pendant leurs années actives. Les fonctionnaires dans leur grande majorité seraient particulièrement pénalisés : salaire en deçà, et aucune compensation ... A l'heure actuelle, avec les 41 annuités, il y a déjà des cas difficiles : carrières incomplètes , collègues à peine au 11ème échelon donc pas un salaire mirobolant, et qui partent à 60 % voire moins. Ca ne fait pas lourd, avec des gosses encore étudiants ou chômeurs.Leclochard a écrit:Lefteris a écrit:Mais dans ce cas , autant ne pas être fonctionnaire à un certain niveau, autant user ses années d'études à se faire une profession libérale. Au moins, il est possible en activité de se constituer un patrimoine . Pas la peine non plus de commencer jeune à travailler, puisque ça sera plafonné. Je suis persuadé qu'on a les moyens de ne pas transformer l'allongement de la vie en cauchemar obligeant soit à travailler jusqu'à l'écroulement , soit de vivre dans la dèche. Jamais autant d'argent n'a circulé , mais évidemment la répartiton . Et une idéologie pousse à ne surtout pas chercher de solution, pour tout "marchandiser" ...Leclochard a écrit:
Ça n'a rien à voir. Je prétends qu'un inactif en vaut un autre. Pas qu'un actif en vaut un autre. La nuance est importante. La qualification n'a plus de sens quand on n'exerce plus d'activité. Comme tu le fais remarquer, papy Jacques ancien commissaire mérite-t-il de toucher plus que papy Pierre ancien instit parce qu'il y a cinquante ans, ils n'ont pas passé le même concours ?
Mais je comprend fort bien qu'on en veuille un max, pour parler familièrement. À 2000 euros, je pense qu'on a une marge pour faire autre chose que de passer son temps devant la télé. Maintenant si tu penses que c'est aux actifs de payer des vacances aux Bahamas à leurs aînés avec des pensions à 3000 euros et plus, ce n'est pas ma conception de la retraite (ni celle des fondateurs du système par répartition auxquels on aime tant se référer).
Euh.. Mais le plafonnement existe pour les salariés. Le reste, ce sont des complémentaires. On a commencé à les introduire pour nous. Dès le départ les concepteurs savaient qu'ils n'étaient pas possibles de payer sans limites. La solution, c'est justement le plafonnement à un niveau décent pour tous. Pas la fuite vers le toujours plus et le chacun pour soi ("vite ma hors-classe!").
L'argent circule déjà : tu es payé comme moi par les impôts et c'est ainsi que ta pension sera financée mais réclamer plus, ça revient à augmenter encore les impôts dans notre cas. Ça me semble compliqué. L'Etat capte déjà plus de la moitié des richesses produites dans ce pays, sinon on rejoue l'Union soviétique.
Quand je disais que les retraites sont une forme de chaîne de Ponzi, tu l'illustres sans le vouloir: sur le long terme, il faut augmenter sans cesse les ressources pour que le système tienne, donc accroître les prélèvements ou le nombre de cotisants, à moins qu'on ne baisse les retraites. Dans ce schéma, les derniers entrants ne peuvent espérer obtenir mieux que ceux qui sont partis retraités avant eux. A chaque génération, les conditions se dégradent (âge de départ, nombre de trimestres nécessaires, taux du calcul..). Comme imaginer que les jeunes le supportent, malgré les jolies promesses (on partagera cet argent. On vous aidera...).
Le vrai problème des retraites est d'ailleurs là : le chômage , avec moins de cotisants, moins cher. Les impôts et prélèvements sinon ne sont pas un problème en soi, si ça répartit...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- EdgarNeoprof expérimenté
Leclochard a écrit:Janne a écrit:atrium a écrit:
ça existe, ça?
Cela ne va pas faire rire tout le monde : j'ai un collègue d'EPS, 62 ans, qui va prendre sa retraite ; il me disait l'autre jour : "Tu sais, je n'aurai pas grand chose à la retraite ; peu de retraités de l'EN auront aussi peu que moi, j'aurai vraiment une petite retraite."
Moi, pleine d'empathie (même si sa femme est retraitée et de l'EN aussi et touche apparemment une belle pension): "Ah mince ; tu toucheras combien ?
-Un peu plus de 2000 euros, tu te rends compte ?
-Je me rends compte qu'à bac +5 et à temps plein, je suis à 1810."
C'est malheureusement très révélateur de l'état d'esprit de certains.
Mon beau-père me racontait aussi qu'un collègue cadre partant à la retraite lui avait dit :"c'est terrible. je n'aurai que 2300 euros à la retraite ! " il lui a répondu avec malice : "tu feras comme j'ai fait durant toute ma vie. Tu te passeras de la différence."
Ils sont assez déconnectés ces gens....et en plus ils ne se rendent pas compte qu'ils sont la dernière génération à pouvoir bénéficier du système. Ils gagnent plus que moi sans travailler ....
- MarphiseNiveau 6
Je suis assez d'accord. Et même dans la fonction publique, à des grades inférieurs, il y a des gens qui, après toute une vie de travail, partent avec très peu. J'ai des exemples de fonctionnaires (catégorie C, certes, mais quand même) qui partent avec moins de 600€ de retraite...
- LeclochardEmpereur
Lefteris a écrit:Mais ton système favoriserait ceux qui ont des revenus suffisants pour se créer des retraites complémentaires (et on arriverait vite à la capitalisation), et l'achat d'un patrimoine pendant leurs années actives. Les fonctionnaires dans leur grande majorité seraient particulièrement pénalisés : salaire en deçà, et aucune compensation ... A l'heure actuelle, avec les 41 annuités, il y a déjà des cas difficiles : carrières incomplètes , collègues à peine au 11ème échelon donc pas un salaire mirobolant, et qui partent à 60 % voire moins. Ca ne fait pas lourd, avec des gosses encore étudiants ou chômeurs.Leclochard a écrit:Lefteris a écrit:
Mais dans ce cas , autant ne pas être fonctionnaire à un certain niveau, autant user ses années d'études à se faire une profession libérale. Au moins, il est possible en activité de se constituer un patrimoine . Pas la peine non plus de commencer jeune à travailler, puisque ça sera plafonné. Je suis persuadé qu'on a les moyens de ne pas transformer l'allongement de la vie en cauchemar obligeant soit à travailler jusqu'à l'écroulement , soit de vivre dans la dèche. Jamais autant d'argent n'a circulé , mais évidemment la répartiton . Et une idéologie pousse à ne surtout pas chercher de solution, pour tout "marchandiser" ...
Euh.. Mais le plafonnement existe pour les salariés. Le reste, ce sont des complémentaires. On a commencé à les introduire pour nous. Dès le départ les concepteurs savaient qu'ils n'étaient pas possibles de payer sans limites. La solution, c'est justement le plafonnement à un niveau décent pour tous. Pas la fuite vers le toujours plus et le chacun pour soi ("vite ma hors-classe!").
L'argent circule déjà : tu es payé comme moi par les impôts et c'est ainsi que ta pension sera financée mais réclamer plus, ça revient à augmenter encore les impôts dans notre cas. Ça me semble compliqué. L'Etat capte déjà plus de la moitié des richesses produites dans ce pays, sinon on rejoue l'Union soviétique.
Quand je disais que les retraites sont une forme de chaîne de Ponzi, tu l'illustres sans le vouloir: sur le long terme, il faut augmenter sans cesse les ressources pour que le système tienne, donc accroître les prélèvements ou le nombre de cotisants, à moins qu'on ne baisse les retraites. Dans ce schéma, les derniers entrants ne peuvent espérer obtenir mieux que ceux qui sont partis retraités avant eux. A chaque génération, les conditions se dégradent (âge de départ, nombre de trimestres nécessaires, taux du calcul..). Comme imaginer que les jeunes le supportent, malgré les jolies promesses (on partagera cet argent. On vous aidera...).
Le vrai problème des retraites est d'ailleurs là : le chômage , avec moins de cotisants, moins cher. Les impôts et prélèvements sinon ne sont pas un problème en soi, si ça répartit...
Parce que tu crois que ceux qui ont de bons traitements se privent de capitaliser aujourd'hui ? Il faut être trop pauvre ou inconscient pour ne rien épargner et ne compter que sur la pension versée par l'Etat.
L'intérêt de ma proposition, justement c'est que tout le monde serait assuré de toucher un minimum décent (1700-1800 euros ? ) même sans avoir une carrière complète à partir d'un certain âge. évidemment les plus "riches" y perdraient mais ils auraient plus de possibilités de mettre de côté. Comme tu en fais partie, tu défends ce système. C'est logique. Sur un forum de fonctionnaires de catégorie b ou c, on entendrait un autre discours.
Sur le reste, je n'ai rien à dire car on ne peut raisonner de façon globale en partant de son cas personnel (enfants à charge, maison à payer à 60 ans et plus..). Sinon pourquoi ne pas donner une prime aux divorcés ? Après tout, ils connaissent une situation souvent difficile (voir le topic du forum).
Le chômage est bien entendu un problème mais 1- il est si bien installé qu'espérer sa disparition sans réformes majeures est une illusion et parmi les mesures qui le réduiraient, une réduction des charges et impôts semble inévitable.. ce qui ne favoriserait pas notre situation de fonctionnaire.
2- il n'est qu'un aspect du problème : le ratio retraité/actif ne cesse de se dégrader. Et comme par chance, la médecine fait des progrès, cela va constituer ainsi. Soit on continue à bricoler des réformettes, soit on repense globalement le système pour répartir les efforts, de toute façon. D''autres mesures négatives seront prises dans les années qui viennent.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- LeclochardEmpereur
Marphise a écrit:Je suis assez d'accord. Et même dans la fonction publique, à des grades inférieurs, il y a des gens qui, après toute une vie de travail, partent avec très peu. J'ai des exemples de fonctionnaires (catégorie C, certes, mais quand même) qui partent avec moins de 600€ de retraite...
Pour être précis : C'est le minimum retraite (627 euros). Ils n'ont probablement pas cotisé tous les trimestres nécessaires, loin de là.
Des artisans partent avec grosse modo la même somme tout en ayant travaillé toute leur vie..
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- LefterisEsprit sacré
Justement, pour rester dans le général , puisque tu admets qu'on courrait vers la capitalisation, il faudrait dans ce cas payer les fonctionnaires plein pot , pour qu'ils ne préfèrent pas faire autre chose, comme c'est déjà souvent le cas pour les scientifiques (qui ne boudent pas que l'enseignement).Leclochard a écrit:Lefteris a écrit:Mais ton système favoriserait ceux qui ont des revenus suffisants pour se créer des retraites complémentaires (et on arriverait vite à la capitalisation), et l'achat d'un patrimoine pendant leurs années actives. Les fonctionnaires dans leur grande majorité seraient particulièrement pénalisés : salaire en deçà, et aucune compensation ... A l'heure actuelle, avec les 41 annuités, il y a déjà des cas difficiles : carrières incomplètes , collègues à peine au 11ème échelon donc pas un salaire mirobolant, et qui partent à 60 % voire moins. Ca ne fait pas lourd, avec des gosses encore étudiants ou chômeurs.Leclochard a écrit:
Euh.. Mais le plafonnement existe pour les salariés. Le reste, ce sont des complémentaires. On a commencé à les introduire pour nous. Dès le départ les concepteurs savaient qu'ils n'étaient pas possibles de payer sans limites. La solution, c'est justement le plafonnement à un niveau décent pour tous. Pas la fuite vers le toujours plus et le chacun pour soi ("vite ma hors-classe!").
L'argent circule déjà : tu es payé comme moi par les impôts et c'est ainsi que ta pension sera financée mais réclamer plus, ça revient à augmenter encore les impôts dans notre cas. Ça me semble compliqué. L'Etat capte déjà plus de la moitié des richesses produites dans ce pays, sinon on rejoue l'Union soviétique.
Quand je disais que les retraites sont une forme de chaîne de Ponzi, tu l'illustres sans le vouloir: sur le long terme, il faut augmenter sans cesse les ressources pour que le système tienne, donc accroître les prélèvements ou le nombre de cotisants, à moins qu'on ne baisse les retraites. Dans ce schéma, les derniers entrants ne peuvent espérer obtenir mieux que ceux qui sont partis retraités avant eux. A chaque génération, les conditions se dégradent (âge de départ, nombre de trimestres nécessaires, taux du calcul..). Comme imaginer que les jeunes le supportent, malgré les jolies promesses (on partagera cet argent. On vous aidera...).
Le vrai problème des retraites est d'ailleurs là : le chômage , avec moins de cotisants, moins cher. Les impôts et prélèvements sinon ne sont pas un problème en soi, si ça répartit...
Parce que tu crois que ceux qui ont de bons traitements se privent de capitaliser aujourd'hui ? Il faut être trop pauvre ou inconscient pour ne rien épargner et ne compter que sur la pension versée par l'Etat.
L'intérêt de ma proposition, justement c'est que tout le monde serait assuré de toucher un minimum décent (1700-1800 euros ? ) même sans avoir une carrière complète à partir d'un certain âge. évidemment les plus "riches" y perdraient mais ils auraient plus de possibilités de mettre de côté. Comme tu en fais partie, tu défends ce système. C'est logique. Sur un forum de fonctionnaires de catégorie b ou c, on entendrait un autre discours.
Sur le reste, je n'ai rien à dire car on ne peut raisonner de façon globale en partant de son cas personnel (enfants à charge, maison à payer à 60 ans et plus..). Sinon pourquoi ne pas donner une prime aux divorcés ? Après tout, ils connaissent une situation souvent difficile (voir le topic du forum).
Le chômage est bien entendu un problème mais 1- il est si bien installé qu'espérer sa disparition sans réformes majeures est une illusion et parmi les mesures qui le réduiraient, une réduction des charges et impôts semble inévitable.. ce qui ne favoriserait pas notre situation de fonctionnaire.
2- il n'est qu'un aspect du problème : le ratio retraité/actif ne cesse de se dégrader. Et comme par chance, la médecine fait des progrès, cela va constituer ainsi. Soit on continue à bricoler des réformettes, soit on repense globalement le système pour répartir les efforts, de toute façon. D''autres mesures négatives seront prises dans les années qui viennent.
Quel intérêt de se lancer dans 5 ans d'études (au moins, sans compter le risque de ne pas décrocher le concours de suite) pour un ministère mal payé ? Il vaut mieux tenter sa chance ailleurs, si l'on a plus de 5 ans de sa vie à dépenser, que passer uen vie à tirer le diable par la queue, et être pauvre à la retraite.
Très injuste aussi pour ceux qui ont travaillé très longtemps, qui par le système de verrou n'en bénéficieraient pas, parce que c'est avant tout ainsi que les meilleures retraites se font : par le nombre d'années.
La retraite est avec la sécurité de l'emploi dans la FP l'une des compensations des traitements relativement bas à niveau égal, voire supérieur. C'est aussi une stimulation pour passer des concours, en cours de carrière.
Imagine les effets pervers qu'un tel système engendrerait : on fait ses comptes, et arrivé au plafond, on se met en roue libre, ou à mi-temps, le temps qui reste. Par contre , dans la fonction publique, tu aurais une course effrénée pour doubler tout le monde et avoir de l'argent le plus jeune possible. Exemple concret de la HC justement : actuellement, les gens s'y intéressent pour partir en retraite , mais ne courent pas après dès la limite minimum . Et moi qui ai connu un système de primes arbitraires, vive l'ambiance, je peux te dire que ça fait peur ... :shock: Tout le monde serait obsédé par l'idée d'accumuler le plus possible , c'est évident.
Les vrais riches , ils ne sont pas dans la fonction publique de toute manière
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- coindeparadisGuide spirituel
Leclochard a écrit:Marphise a écrit:Je suis assez d'accord. Et même dans la fonction publique, à des grades inférieurs, il y a des gens qui, après toute une vie de travail, partent avec très peu. J'ai des exemples de fonctionnaires (catégorie C, certes, mais quand même) qui partent avec moins de 600€ de retraite...
Pour être précis : C'est le minimum retraite (627 euros). Ils n'ont probablement pas cotisé tous les trimestres nécessaires, loin de là.
Des artisans partent avec grosse modo la même somme tout en ayant travaillé toute leur vie..
Pour être précise, c'est l'ASPA (qui a remplacé le minimum vieillesse). Mais dans la réalité, alors qu'elle devait être un minimum, des personnes partent à la retraite avec 500 ou 550 euros mensuels sans complément. C'est le cas de femmes ayant élevé partiellement leurs enfants , de femmes d'indépendants n'ayant pas été déclarées (exploitations agricoles, petits commerces...) ou de personnes ayant fait les frais d'employeurs indélicats. Personnellement un des cours privés où j'ai enseigné ne m'a pas déclarée (mais fait contrat et bulletin de salaire), j'ai pu constater sur mon relevé de carrière que les trimestres non cotisés étaient donc perdus.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Cripure a écrit:Le problème, c'est que pour trouver ailleurs un bon salaire...
Puis vu mon âge...
Mais c'est clair que j'en ai ma claque.
C'est vrai, Cripure ? Je n'arrive pas vraiment à le croire. Pauvre de moi ! :-).
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