- MrCaillouxExpert
olive-in-oil a écrit:MrCailloux a écrit:Elyas a écrit:Votre conversation me rassure. Je me souviens de disputes mémorables en formation avec des gens disant qu'ils attendaient de leurs élèves de 6e et de 3e une problématique... :shock:
C'est un peu extrême en 6ème :lol:En 3ème on peut déjà commencer à les préparer sans que cela soit exigible...
Bah ! Moi je me souviens de ma prof de fac qui nous gueulait dessus "Mais vous devez problématiser !!! Il n'y a pas de problématique dans votre devoir !!!!" Alors je doute que mes 3èmes... certains ont du mal à conjuguer le verbe être à tous les temps de l'indicatif...
L'an dernier en collège, je leur imposais la problématique, ils ne la formulaient pas eux même... avec certaines bonnes classes ils arrivaient à poser la bonne question en fin de cours, qui permettait d'ouvrir le cours suivant... ça les valorisait... mais je ne leur imposais pas... En lycée oui, je leur impose de trouver eux même la problématique
On nous crie dessus aussi de problématiser tous les cours
- olive-in-oilSage
J'ai un chouette document "définir et construire une problématique" sur mon PC mais je ne parviens pas à le joindre : espace restant insuffisant !
Je vais essayer de faire un peu de ménage !
Je vais essayer de faire un peu de ménage !
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Marie Laetitia a écrit:Mais est-ce que ce qui vous fait dire, Kalypso et toi, MK, que la réponse est connue d'avance, ce n'est pas la très bonne connaissance des thèmes sur lesquelles portent les sujets de dissert que vous faites?
Pour avoir dû proposer des sujets de dissert sur des thèmes dont j'ignorais tout (par exemple, j'étais chargée des TD portant sur le cours d'un professeur, cours portant sur des thèmes que je n'avais jamais étudiés), j'ai plusieurs fois commencé une dissert en posant la problématique sans avoir à l'avance ni la réponse globale ni les éléments de réponse aux questions imposées par le sujet (questions qui revenaient, remaniées, à la problématique)? L'un et l'autre vous avez l'expérience des sujets bizarres des oraux de l'agrég pour le hors programme, connaissiez-vous vraiment la réponse à la problématique au moment où vous la rédigiez sur votre brouillon d'oral?
Mais la problématique, dans ce cas, on ne la forge qu'après avoir fait des recherches! Et donc on connaît la réponse aussi. Car poser une question sur un sujet dont on ne sait rien, c'est aussi prendre le risque d'être totalement à côté de la plaque. Franchement, quand tu fais un TD sur un sujet dont tu ne sais rien (et ça m'arrive), tu pars faire tes recherches après avoir posé la problématique?
- olive-in-oilSage
Bon, impossible de joindre ce p***f***enc**** de fichier ! Et j'ai même des documents joints à des messages que je ne peux plus supprimer
- CondorcetOracle
Marie Laetitia a écrit:Mais est-ce que ce qui vous fait dire, Kalypso et toi, MK, que la réponse est connue d'avance, ce n'est pas la très bonne connaissance des thèmes sur lesquelles portent les sujets de dissert que vous faites?
Pour avoir dû proposer des sujets de dissert sur des thèmes dont j'ignorais tout (par exemple, j'étais chargée des TD portant sur le cours d'un professeur, cours portant sur des thèmes que je n'avais jamais étudiés), j'ai plusieurs fois commencé une dissert en posant la problématique sans avoir à l'avance ni la réponse globale ni les éléments de réponse aux questions imposées par le sujet (questions qui revenaient, remaniées, à la problématique)? L'un et l'autre vous avez l'expérience des sujets bizarres des oraux de l'agrég pour le hors programme, connaissiez-vous vraiment la réponse à la problématique au moment où vous la rédigiez sur votre brouillon d'oral?
Comme ML, j'avoue connaître la réponse à des problématiques concernant des sujets familiers mais pour les autres, je découvre la réponse en travaillant le sujet.
- ElyasEsprit sacré
MrCailloux a écrit:olive-in-oil a écrit:MrCailloux a écrit:
C'est un peu extrême en 6ème :lol:En 3ème on peut déjà commencer à les préparer sans que cela soit exigible...
Bah ! Moi je me souviens de ma prof de fac qui nous gueulait dessus "Mais vous devez problématiser !!! Il n'y a pas de problématique dans votre devoir !!!!" Alors je doute que mes 3èmes... certains ont du mal à conjuguer le verbe être à tous les temps de l'indicatif...
L'an dernier en collège, je leur imposais la problématique, ils ne la formulaient pas eux même... avec certaines bonnes classes ils arrivaient à poser la bonne question en fin de cours, qui permettait d'ouvrir le cours suivant... ça les valorisait... mais je ne leur imposais pas... En lycée oui, je leur impose de trouver eux même la problématique
On nous crie dessus aussi de problématiser tous les cours
Soyons honnêtes, on attend une reformulation d'une question au mieux, pas une problématique. De même, l'axiome de la problématisation des cours, c'est surtout l'idée de faire une mise en intrigue, un fil rouge... plus qu'une problématique telle qu'on l'entend. Au capes et à l'agrégation, énormément de copies ne savent pas faire de problématique et c'est un des marronniers des rapports de jury depuis presque toujours.
Il n'y a qu'à lire le fil, définir ce qu'est une problématique est ardu.
- Marie LaetitiaBon génie
Marcel Khrouchtchev a écrit:Marie Laetitia a écrit:Mais est-ce que ce qui vous fait dire, Kalypso et toi, MK, que la réponse est connue d'avance, ce n'est pas la très bonne connaissance des thèmes sur lesquelles portent les sujets de dissert que vous faites?
Pour avoir dû proposer des sujets de dissert sur des thèmes dont j'ignorais tout (par exemple, j'étais chargée des TD portant sur le cours d'un professeur, cours portant sur des thèmes que je n'avais jamais étudiés), j'ai plusieurs fois commencé une dissert en posant la problématique sans avoir à l'avance ni la réponse globale ni les éléments de réponse aux questions imposées par le sujet (questions qui revenaient, remaniées, à la problématique)? L'un et l'autre vous avez l'expérience des sujets bizarres des oraux de l'agrég pour le hors programme, connaissiez-vous vraiment la réponse à la problématique au moment où vous la rédigiez sur votre brouillon d'oral?
Mais la problématique, dans ce cas, on ne la forge qu'après avoir fait des recherches! Et donc on connaît la réponse aussi. Car poser une question sur un sujet dont on ne sait rien, c'est aussi prendre le risque d'être totalement à côté de la plaque. Franchement, quand tu fais un TD sur un sujet dont tu ne sais rien (et ça m'arrive), tu pars faire tes recherches après avoir posé la problématique?
Là encore je suis tombée dans le piège que je pointais du doigt. Je parlais de sujets de moderne, je ne peux pas dire, quelque soit le sujet, que je parte avec zéro connaissance. Donc mon exemple était mauvais. Prenons pour exemple le sujet
« Le commerce entre la France et l'Amérique française, XVIIe-XVIIIe siècles »
Avant d'ouvrir les livres, je commence par lister les questions
Qui Entre qui Quels bénéficiaires Quels perdants
Quoi Quelles marchandises Quels biens ont été privilégiés
Où Quels espaces en particulier,
Quand Quelles étapes chronologiques Quel rythme de croissance des échanges
Comment Quels moyens techniques, humains, financiers Quelles limites aux échanges
Quelles conséquences
à partir de là, j'aboutis à des questions complexes, deux, trois. Mais effectivement, je cherche des infos dans les ouvrages avant d'élaborer la problématique. Mais ce n'est pas encore le plan. :gratte: La problématique n'en est pas pour autant une fausse question, parce qu'elle n'est pas faite pour celui qui fait la dissertation mais pour celui qui la lit. Elle guide la réflexion du lecteur.
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marie LaetitiaBon génie
Elyas a écrit:MrCailloux a écrit:olive-in-oil a écrit:
Bah ! Moi je me souviens de ma prof de fac qui nous gueulait dessus "Mais vous devez problématiser !!! Il n'y a pas de problématique dans votre devoir !!!!" Alors je doute que mes 3èmes... certains ont du mal à conjuguer le verbe être à tous les temps de l'indicatif...
L'an dernier en collège, je leur imposais la problématique, ils ne la formulaient pas eux même... avec certaines bonnes classes ils arrivaient à poser la bonne question en fin de cours, qui permettait d'ouvrir le cours suivant... ça les valorisait... mais je ne leur imposais pas... En lycée oui, je leur impose de trouver eux même la problématique
On nous crie dessus aussi de problématiser tous les cours
Soyons honnêtes, on attend une reformulation d'une question au mieux, pas une problématique. De même, l'axiome de la problématisation des cours, c'est surtout l'idée de faire une mise en intrigue, un fil rouge... plus qu'une problématique telle qu'on l'entend. Au capes et à l'agrégation, énormément de copies ne savent pas faire de problématique et c'est un des marronniers des rapports de jury depuis presque toujours.
Il n'y a qu'à lire le fil, définir ce qu'est une problématique est ardu.
Je ne crois pas que ce soit la définition d'une problématique qui soit ardu mais quand l'élaboration de cette problématique intervient et quel est son rôle, non?
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- olive-in-oilSage
Mais une problématique n’est pas un problème et encore moins une question. C'est l’ensemble constituéElyas a écrit:MrCailloux a écrit:olive-in-oil a écrit:
Bah ! Moi je me souviens de ma prof de fac qui nous gueulait dessus "Mais vous devez problématiser !!! Il n'y a pas de problématique dans votre devoir !!!!" Alors je doute que mes 3èmes... certains ont du mal à conjuguer le verbe être à tous les temps de l'indicatif...
L'an dernier en collège, je leur imposais la problématique, ils ne la formulaient pas eux même... avec certaines bonnes classes ils arrivaient à poser la bonne question en fin de cours, qui permettait d'ouvrir le cours suivant... ça les valorisait... mais je ne leur imposais pas... En lycée oui, je leur impose de trouver eux même la problématique
On nous crie dessus aussi de problématiser tous les cours
Soyons honnêtes, on attend une reformulation d'une question au mieux, pas une problématique. De même, l'axiome de la problématisation des cours, c'est surtout l'idée de faire une mise en intrigue, un fil rouge... plus qu'une problématique telle qu'on l'entend. Au capes et à l'agrégation, énormément de copies ne savent pas faire de problématique et c'est un des marronniers des rapports de jury depuis presque toujours.
Il n'y a qu'à lire le fil, définir ce qu'est une problématique est ardu.
par un problème d'ordre général avec les sous problèmes et les hypothèses qui leurs sont associées.
Enfin, c'est ce qu'on m'a "appris" (j'ai failli écrire "inculqué").
On m'aurait menti ??
- ElyasEsprit sacré
@ML : Tu as tout à fait raison.
@ olive-in-oil : non, tu as raison, mais entre ce qu'on nous demande d'enseigner, la capacité d'assimilation des élèves et le cadre programmatique, problématiser relève de la gageure au collège. Alors demander aux élèves de problématiser eux-mêmes, wouhouhou... enfin, je prends si quelqu'un en est capable à chaque cours.
@ olive-in-oil : non, tu as raison, mais entre ce qu'on nous demande d'enseigner, la capacité d'assimilation des élèves et le cadre programmatique, problématiser relève de la gageure au collège. Alors demander aux élèves de problématiser eux-mêmes, wouhouhou... enfin, je prends si quelqu'un en est capable à chaque cours.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Condorcet a écrit:Marie Laetitia a écrit:Mais est-ce que ce qui vous fait dire, Kalypso et toi, MK, que la réponse est connue d'avance, ce n'est pas la très bonne connaissance des thèmes sur lesquelles portent les sujets de dissert que vous faites?
Pour avoir dû proposer des sujets de dissert sur des thèmes dont j'ignorais tout (par exemple, j'étais chargée des TD portant sur le cours d'un professeur, cours portant sur des thèmes que je n'avais jamais étudiés), j'ai plusieurs fois commencé une dissert en posant la problématique sans avoir à l'avance ni la réponse globale ni les éléments de réponse aux questions imposées par le sujet (questions qui revenaient, remaniées, à la problématique)? L'un et l'autre vous avez l'expérience des sujets bizarres des oraux de l'agrég pour le hors programme, connaissiez-vous vraiment la réponse à la problématique au moment où vous la rédigiez sur votre brouillon d'oral?
Comme ML, j'avoue connaître la réponse à des problématiques concernant des sujets familiers mais pour les autres, je découvre la réponse en travaillant le sujet.
Et ta problématique ne bouge pas du tout au fur et à mesure desdites recherches?
De toute façon, normalement, en faisant la dissertation, l'élève/étudiant est censé connaître le sujet.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Marie Laetitia a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Marie Laetitia a écrit:Mais est-ce que ce qui vous fait dire, Kalypso et toi, MK, que la réponse est connue d'avance, ce n'est pas la très bonne connaissance des thèmes sur lesquelles portent les sujets de dissert que vous faites?
Pour avoir dû proposer des sujets de dissert sur des thèmes dont j'ignorais tout (par exemple, j'étais chargée des TD portant sur le cours d'un professeur, cours portant sur des thèmes que je n'avais jamais étudiés), j'ai plusieurs fois commencé une dissert en posant la problématique sans avoir à l'avance ni la réponse globale ni les éléments de réponse aux questions imposées par le sujet (questions qui revenaient, remaniées, à la problématique)? L'un et l'autre vous avez l'expérience des sujets bizarres des oraux de l'agrég pour le hors programme, connaissiez-vous vraiment la réponse à la problématique au moment où vous la rédigiez sur votre brouillon d'oral?
Mais la problématique, dans ce cas, on ne la forge qu'après avoir fait des recherches! Et donc on connaît la réponse aussi. Car poser une question sur un sujet dont on ne sait rien, c'est aussi prendre le risque d'être totalement à côté de la plaque. Franchement, quand tu fais un TD sur un sujet dont tu ne sais rien (et ça m'arrive), tu pars faire tes recherches après avoir posé la problématique?
Là encore je suis tombée dans le piège que je pointais du doigt. Je parlais de sujets de moderne, je ne peux pas dire, quelque soit le sujet, que je parte avec zéro connaissance. Donc mon exemple était mauvais. Prenons pour exemple le sujet
« Le commerce entre la France et l'Amérique française, XVIIe-XVIIIe siècles »
Avant d'ouvrir les livres, je commence par lister les questions
Qui Entre qui Quels bénéficiaires Quels perdants
Quoi Quelles marchandises Quels biens ont été privilégiés
Où Quels espaces en particulier,
Quand Quelles étapes chronologiques Quel rythme de croissance des échanges
Comment Quels moyens techniques, humains, financiers Quelles limites aux échanges
Quelles conséquences
à partir de là, j'aboutis à des questions complexes, deux, trois. Mais effectivement, je cherche des infos dans les ouvrages avant d'élaborer la problématique. Mais ce n'est pas encore le plan. :gratte: La problématique n'en est pas pour autant une fausse question, parce qu'elle n'est pas faite pour celui qui fait la dissertation mais pour celui qui la lit. Elle guide la réflexion du lecteur.
En fait, je crois que nous sommes dans le fond assez d'accord sur ce qu'est la problématique. Sauf sur sa forme interrogative
- KalypsoExpert spécialisé
ML quand je parle d'analyse du sujet, je fais ce que tu fais (je questionne). Mais pour moi, après, je réunis les connaissances qui y répondent, le plan vient. Mais la problématique, elle ne vient qu'après... quand je sais où je vais !
- ParatgeNeoprof expérimenté
C'est un mot à la mode qui sert à tout !
Problématiques de papiers peints ou de bidet qui fuit...
Problématiques de papiers peints ou de bidet qui fuit...
- User17706Bon génie
Bon, merci de vos nombreuses réponses. Je viens de relire, et je vais poster une petite synthèse dans pas longtemps (des huîtres vivantes n'attendent que mon couteau), mais justement, à relire, je suis tout à fait persuadé que si, il y a une difficulté à définir la problématique (à dire ce qu'est une problématique), parce que les neuf réponses qui ont été données jusqu'à maintenant ne sont pas toutes compatibles entre elles, d'une part, et que, d'autre part, des façons d'en parler (peut-être hâtives, il faudrait demander confirmation) indiquent encore d'autres réponses qui sont probablement également incompatibles avec la plupart des autres.
Peu de collègues de lettres (comparativement) se sont exprimés, pour l'instant aucun collègue de philosophie je crois.
Et en SVT MrCailloux n'a pas du tout dit ce qu'il appelait une problématique
Si quelqu'un connaît bien l'histoire du terme et de son introduction dans le jargon pédagogique, je serais vraiment très curieux d'avoir une référence.
Peu de collègues de lettres (comparativement) se sont exprimés, pour l'instant aucun collègue de philosophie je crois.
Et en SVT MrCailloux n'a pas du tout dit ce qu'il appelait une problématique
Si quelqu'un connaît bien l'histoire du terme et de son introduction dans le jargon pédagogique, je serais vraiment très curieux d'avoir une référence.
- CelebornEsprit sacré
Marie Laetitia a écrit:
La problématique est la question complexe qui dégage ou met en évidence la complexité et les particularités du sujet.
Hermaline a écrit:
Elle nous avait dit qu'une problématique était une question qui posait un problème et qu'il fallait chercher 2 éléments qui s'opposaient pour la trouver.
MrCailloux a écrit:la question à laquelle il faudra répondre en conclusion, mais qui pose un paradoxe par rapport à ce qui a été acquis juste avant, ou dans la scolarité.
Charivari a écrit:En classe prépa, le professeur de philosophie nous imposé d'écrire la problématique comme suit: "pourquoi...., bien que....?" Il fallait obligatoirement qu'il y ait contradiction au départ. Et la question ne pouvait être que "pourquoi".
Celeborn a écrit:C'est la mise au jour d'une tension contenue dans le sujet et qui fait qu'on ne peut pas "répondre" au sujet en 3 phrases, et que d'ailleurs à l'arrivée on n'aura pas forcément "répondu", mais "avancé".
On a quand même un faisceau d'indices convergent .
_________________
"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- MrCaillouxExpert
PauvreYorick a écrit:Bon, merci de vos nombreuses réponses. Je viens de relire, et je vais poster une petite synthèse dans pas longtemps (des huîtres vivantes n'attendent que mon couteau), mais justement, à relire, je suis tout à fait persuadé que si, il y a une difficulté à définir la problématique (à dire ce qu'est une problématique), parce que les neuf réponses qui ont été données jusqu'à maintenant ne sont pas toutes compatibles entre elles, d'une part, et que, d'autre part, des façons d'en parler (peut-être hâtives, il faudrait demander confirmation) indiquent encore d'autres réponses qui sont probablement également incompatibles avec la plupart des autres.
Peu de collègues de lettres (comparativement) se sont exprimés, pour l'instant aucun collègue de philosophie je crois.
Et en SVT MrCailloux n'a pas du tout dit ce qu'il appelait une problématique
Si quelqu'un connaît bien l'histoire du terme et de son introduction dans le jargon pédagogique, je serais vraiment très curieux d'avoir une référence.
Oh le vilain!! Il faut relire votre copie! J'ai répondu à la question, tout en développant mon argumentaire comme je pouvais Réponse qui était très proche de celle d'Hermaline en p1 (à la place de la virgule j'aurais du mettre ":")
Moi même en p1 a écrit:En chaque début de chapitre, je leur fais formuler la problématique... (en les guidant beaucoup), *MODIF* C'est à dire *FIN MODIF* la question à laquelle il faudra répondre en conclusion, mais qui pose un paradoxe par rapport à ce qui a été acquis juste avant, ou dans la scolarité.
Et après j'ai dit en réponse à d'autre qu'on m'avait surtout appris et conseillé d'employer comment? ou en quoi?.
Moi même p2 a écrit:C'est étonnant :)on m'a toujours appris à utiliser des interrogatifs qui imposaient le développement "Comment?... En quoi?..." et non "Pourquoi? ou Est-ce que" Le Pourquoi imposant le "parce que" assez restrictif au final et les Est-ce que qui peut se conclure par oui ou non. (bon, c'est extrême dit comme ça)
Donc je vais faire ce que mes élèves ne font pas :
En conclusion, en SVT (ce qu'on m'a appris du moins et que je retransmets), une problématique est une question commençant préférentiellement par "Comment" ou "En quoi" et faisant apparaître un paradoxe (Ce paradoxe apparaît dans le constat de départ qui en général semble un peu contradictoire par rapport à ce que l'on connait)
On pose la problématique en début de chapitre surtout (et en ROC) et au cours du chapitre, dans les TP etc... les "sous-questions" sont appelées "problème". On peut alors se demander en quoi une problématique diffère-t-elle d'un problème?
Ouala c'est faiiiiiiiiiiiiiiiit!! :lol::lol:
- Je le savais:
- que les profs de philo ne lisaient pas ce qu'on faisait!! :lol:C'est dommage... parce que c'est un cours que j'aimais bien :lol: :lol:
_________________
2016-2017: 4 6ème, 2 5ème, 4 4ème + PP (T2)
2015-2016: 2 5ème, 4 4ème, 4 3ème + PP (Néotit')
2014-2015: 5 2nde, 2 1ES/L, 3 MPS (Stagiaire)
2013-2014: 2 2nde (CAD2)
2012-2013: 2 6ème, 6 5ème, 2 4ème, 2 3ème, 1 2nde MPS
- MrCaillouxExpert
AAAHHH Celeborn à été plus rapide que moi pour montrer que j'avions répondu :lol: :lol:
_________________
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- MrCaillouxExpert
C'est bien parce que c'est Noël...
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- yphrogEsprit éclairé
PauvreYorick a écrit:Bon, merci de vos nombreuses réponses. Je viens de relire, et je vais poster une petite synthèse dans pas longtemps (des huîtres vivantes n'attendent que mon couteau), mais justement, à relire, je suis tout à fait persuadé que si, il y a une difficulté à définir la problématique (à dire ce qu'est une problématique), parce que les neuf réponses qui ont été données jusqu'à maintenant ne sont pas toutes compatibles entre elles, d'une part, et que, d'autre part, des façons d'en parler (peut-être hâtives, il faudrait demander confirmation) indiquent encore d'autres réponses qui sont probablement également incompatibles avec la plupart des autres.
Peu de collègues de lettres (comparativement) se sont exprimés, pour l'instant aucun collègue de philosophie je crois.
Là je m'insurge. :shock: Tu nous poses une question de philo, on te réponds et tu dis qu'il te manque toujours des collègues de philobabble?
Pour moi, si le sujet est "être", comportement du mot "être" est une problématique possible. Tu laisses subodorer que tu n'es pas d'accord, je crois... (?)
En tout cas, je reste sur ma position initiale: une problématique est une fille ou un fil, dont la force de séduction est suffisant pour faire que tu veuille la suivre jusqu'à là où elle t'amène...
J'ai corrigé ma faute, Pauvre Yorick ...
- User17706Bon génie
Non xphrog, parce que je pense que ce n'est pas du tout une question de philosophie (n'importe quel enseignant qui fait usage de cette notion dans ses cours est compétent pour répondre et il n'est pas a priori certain que ce qu'on appelle "problématique" dans une discipline soit la même chose que ce qu'on appelle "problématique" dans une autre). Quand je dis qu'aucun collègue de philo n'a répondu, c'est une pure remarque factuelle: je crois que ceux qui ont donné une définition de la problématique sont pour l'instant des collègues d'arts, de lettres, d'histoire(-géographie), de SVT, d'anglais, et c'est tout. Je ne vois d'ailleurs aucun problème à ça (ce n'est pas un "manque").
@Celeborn: oui, j'ai bien noté la convergence. Et d'ailleurs, je convergerai moi aussi dans ce sens-là précisément, le même. Mais je suis sensible à d'autres différences, y compris d'ailleurs au sein des citations que tu as rassemblées.
@Celeborn: oui, j'ai bien noté la convergence. Et d'ailleurs, je convergerai moi aussi dans ce sens-là précisément, le même. Mais je suis sensible à d'autres différences, y compris d'ailleurs au sein des citations que tu as rassemblées.
- User17706Bon génie
Alors: si on prend les formulations sans donner à chaque fois leur auteur (je pense que ce n'est pas indispensable) et en ne tenant pas compte du fait que certaines ont été par suite modifiées, affinées, on a un ensemble qui somme toute est assez riche, et un peu trop riche pour ne pas être lui-même traversé de tensions voire de contradictions.
Une problématique, ce n'est pas:
mais c'est:
La problématique, pour beaucoup, se caractérise par une "tension", un "paradoxe", une "contradiction" ou une "opposition" (cf. les citations contenues dans le précédent message de Celeborn). Mais il est noté par plusieurs qu'en histoire, vouloir à tout prix chercher un paradoxe ou une contradiction est très artificiel.
On peut "formuler une problématique", "répondre à une problématique" (ces deux expressions ont été employées).
*
Il me semble que ces différentes caractérisations (dont certaines étaient provisoires, vite écrites, etc.) nous permettent d'observer quelques différences, sans préjuger de leur importance.
La première: il y a les définitions qui acceptent de parler de la problématique comme d'une question (cf. "répondre à une problématique") et celles qui évitent soigneusement de le faire. Je pense que si plusieurs acceptent sans sourciller de parler de question, c'est que le terme "question" est lui-même ambigu, puisqu'il peut désigner un champ d'enquête et d'interrogation (comme dans: "la question du foie gras"), tout comme il peut désigner une phrase interrogative bien précise (comme c'est le cas de la question: "le foie gras est-il meilleur poëlé?").
Le terme "problème" n'a pas (en tout cas pas couramment) la même ambiguïté, parce que la distinction entre un problème et sa formulation est assez naturelle, pour ne pas dire immédiate; alors que la distinction entre une question et sa formulation demande à être faite explicitement, vu que le terme "question" peut désigner la formule même (et, dans l'esprit de bien des élèves, la désigne justement).
Pour évoquer ce qui me semble être une autre différence, la définition dont je me sens personnellement le plus proche est la dernière, qui donne au terme de problématique un référent (une dénotation) qui n'est pas [1] une phrase ou une suite de phrases, ni [2] un champ d'enquête, mais bien [3] une sorte de processus ("mise au jour...") bien entendu incarné linguistiquement, mais qui ne se confond pas avec son incarnation linguistique. Si je devais donner un nom à cela (j'évite au maximum de me servir du terme de "problématique" justement parce qu'il me paraît favoriser la confusion que je viens de noter au sujet de "question"), j'appellerais cela "position d'un problème" ou "mise en évidence d'un problème" (mettre en évidence une apparente contradiction étant l'une des manières de poser un problème, c'est-à-dire une difficulté de pensée qui justifie une enquête approfondie).
Effectivement, je pense, cela étant dit, qu'il y a peu de chances que, du coup, le terme conserve le même sens en histoire, d'une part, et, d'autre part, en philosophie (pour me cantonner au domaine sur lequel je puis parler avec un peu d'assurance).
Enfin, il y a une autre différence lisible dans les réponses: celle qui donne, dans certaines définitions mais non toutes, à l'idée de problématique (par opposition à [simple] "question" ou [simple] "problème"), une indispensable complexité (la problématique consistant en une articulation de plusieurs questions formant système).
Donc, en dépit de quantité d'analogies entre les différentes réponses, il y a quand même des fractures assez nettes, qui reflètent souvent (mais, me semble-t-il, pas toujours) la différence des disciplines. Voilà mon petit bilan, qui n'a sûrement rien d'exhaustif
Une problématique, ce n'est pas:
- une reformulation du sujet,
- un problème,
- une question,
mais c'est:
- une question qui pose un problème,
- la question à laquelle il faudra répondre en conclusion, mais qui "pose un paradoxe" par rapport à ce qui a été acquis juste avant, ou dans la scolarité,
- une question à laquelle le devoir est censé répondre,
- un angle, une approche (= un angle d'approche ou d'attaque),
- un fil directeur qui questionne l'ensemble du sujet,
- la question complexe qui dégage ou met en évidence la complexité et les particularités du sujet,
- l'ensemble constitué par un problème d'ordre général avec les sous-problèmes et les hypothèses qui leur sont associées,
- une hypothèse de départ qui servira de fil directeur (mais ce n'est qu'une apparence, parce qu'en fait, on sait "d'avance" - ce qui veut dire après enquête, plan... - que cette hypothèse sera validée),
- la mise au jour d'une tension contenue dans le sujet et qui justifie l'enquête.
La problématique, pour beaucoup, se caractérise par une "tension", un "paradoxe", une "contradiction" ou une "opposition" (cf. les citations contenues dans le précédent message de Celeborn). Mais il est noté par plusieurs qu'en histoire, vouloir à tout prix chercher un paradoxe ou une contradiction est très artificiel.
On peut "formuler une problématique", "répondre à une problématique" (ces deux expressions ont été employées).
*
Il me semble que ces différentes caractérisations (dont certaines étaient provisoires, vite écrites, etc.) nous permettent d'observer quelques différences, sans préjuger de leur importance.
La première: il y a les définitions qui acceptent de parler de la problématique comme d'une question (cf. "répondre à une problématique") et celles qui évitent soigneusement de le faire. Je pense que si plusieurs acceptent sans sourciller de parler de question, c'est que le terme "question" est lui-même ambigu, puisqu'il peut désigner un champ d'enquête et d'interrogation (comme dans: "la question du foie gras"), tout comme il peut désigner une phrase interrogative bien précise (comme c'est le cas de la question: "le foie gras est-il meilleur poëlé?").
Le terme "problème" n'a pas (en tout cas pas couramment) la même ambiguïté, parce que la distinction entre un problème et sa formulation est assez naturelle, pour ne pas dire immédiate; alors que la distinction entre une question et sa formulation demande à être faite explicitement, vu que le terme "question" peut désigner la formule même (et, dans l'esprit de bien des élèves, la désigne justement).
Pour évoquer ce qui me semble être une autre différence, la définition dont je me sens personnellement le plus proche est la dernière, qui donne au terme de problématique un référent (une dénotation) qui n'est pas [1] une phrase ou une suite de phrases, ni [2] un champ d'enquête, mais bien [3] une sorte de processus ("mise au jour...") bien entendu incarné linguistiquement, mais qui ne se confond pas avec son incarnation linguistique. Si je devais donner un nom à cela (j'évite au maximum de me servir du terme de "problématique" justement parce qu'il me paraît favoriser la confusion que je viens de noter au sujet de "question"), j'appellerais cela "position d'un problème" ou "mise en évidence d'un problème" (mettre en évidence une apparente contradiction étant l'une des manières de poser un problème, c'est-à-dire une difficulté de pensée qui justifie une enquête approfondie).
Effectivement, je pense, cela étant dit, qu'il y a peu de chances que, du coup, le terme conserve le même sens en histoire, d'une part, et, d'autre part, en philosophie (pour me cantonner au domaine sur lequel je puis parler avec un peu d'assurance).
Enfin, il y a une autre différence lisible dans les réponses: celle qui donne, dans certaines définitions mais non toutes, à l'idée de problématique (par opposition à [simple] "question" ou [simple] "problème"), une indispensable complexité (la problématique consistant en une articulation de plusieurs questions formant système).
Donc, en dépit de quantité d'analogies entre les différentes réponses, il y a quand même des fractures assez nettes, qui reflètent souvent (mais, me semble-t-il, pas toujours) la différence des disciplines. Voilà mon petit bilan, qui n'a sûrement rien d'exhaustif
- MrCaillouxExpert
bah diantre fichtre de zut! on peut pu' fait l'interdisciplinarité qui 'zappelaient ça les zautres! heurmfff
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2016-2017: 4 6ème, 2 5ème, 4 4ème + PP (T2)
2015-2016: 2 5ème, 4 4ème, 4 3ème + PP (Néotit')
2014-2015: 5 2nde, 2 1ES/L, 3 MPS (Stagiaire)
2013-2014: 2 2nde (CAD2)
2012-2013: 2 6ème, 6 5ème, 2 4ème, 2 3ème, 1 2nde MPS
- CelebornEsprit sacré
On notera que le terme « tension », que j'ai employé, est + ouvert que « paradoxe » ou « contradiction ». Il peut y avoir tension sans qu'il y ait totale opposition.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- ArverneGrand sage
Pour apporter de l'eau au moulin, je vous mets un extrait du rapport de jury de l'agreg interne d'histoire-géo d'il y a quelques années sur la définition de la problématique :
Problématiser le sujet
Affirmer qu’il s’agit d’une étape cruciale de l’élaboration de la dissertation est une évidence. Aussi convient-il d’y apporter le plus grand soin. Le jury a, cette année comme les précédentes, constaté les lacunes que présente un grand nombre de copies sur ce plan.
Beaucoup de candidats confondent problématique et un chapelet de questions qui partent dans plusieurs directions ne pouvant mener qu’à un devoir confus d’où ne se dégage pas une démonstration et une argumentation claires. Tout se passe comme si ces candidats confondaient la problématique d’un sujet avec l’ensemble des interrogations que ce sujet suscite dans leur esprit. Faire une liste de questions est en effet une opération qui peut s’effectuer au brouillon et c’est de cette liste, une fois que les questions ont été classées, hiérarchisées, reformulées, que doit être dégagée une problématique. Rappelons qu’il n’y a pas de nécessité à l’exprimer sous forme interrogative, même si c’est souvent cette méthode qui est utilisée. La problématique est la colonne vertébrale du devoir. C’est d’elle dont procède l’argumentation. Les différentes parties du plan sont les étapes par lesquelles passe et progresse l’argumentation visant à y répondre.
Il convient enfin de faire observer aux candidats le lien nécessaire entre problématique et historiographie. Une problématique n’apparaît pas ex nihilo. Elle s’inscrit toujours dans la manière dont les historiens, ou du moins certains d’entre eux, ont conceptualisé un sujet et s’insère souvent dans des débats, voire des tensions. Mettre en oeuvre ce lien constitue un bon moyen d’éviter le défaut classique qui consiste à « plaquer » des références bibliographiques sans montrer en quoi elles font sens pour le sujet posé.
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