- IphigénieProphète
Je pense que c’est le paradoxe : les niveaux d’analyse se sont en effet complexifiés, au plus haut niveau mais nos élèves ne pourraient absolument plus traiter les devoirs donnés en lycée dans les années 80 par manque de lectures et de connaissances mais on projette beaucoup plus qu’avant sur le secondaire des pratiques universitaires qui deviennent de ce fait un cadre mais vide ou artificiel ou illusoire….
- Clecle78Bon génie
J'ai aussi passé le bac en 1980. Bac littéraire, 45 textes et aucun outil d'analyse utilisé à l'époque. Je ne connaissais même pas le mot métaphore. On faisait de la paraphrase "intelligente" en fait. On se régalait en classe.. Et les sujets de dissertation portaient effectivement beaucoup sur le plaisir de lire et d'écrire. J'ai retrouvé tout ça pour mon dernier déménagement, j'avais tout gardé y compris la fameuse liste.
- NLM76Grand Maître
Je reviens sur Argan. Personne parmi les lettreux n'a relevé ma problématisation, sauf Iphigénie, implicitement, dans son avant-dernier message. Or je maintiens que c'est une bien meilleure problématisation que celles que vous avez proposées. Elle peut vraiment parler aux élèves. Il s'agit de l'essentiel : l'acte pédagogique. Molière, ça vous paraît ennuyant ? Eh bien je vais essayer de vous montrer que ça ne l'est pas, et que cette scène est vraiment comique. Dans la classe au quotidien, l'explication de texte tente de répondre à un vrai problème, un problème concret : les élèves ne voient pas tous l'intérêt des textes que nous leur proposons; et notre job, c'est de le leur montrer. Expliciter ce qui se passe, ce qu'on pourrait voir dans le texte, pourquoi on pourrait le trouver dénué d'intérêt, et chercher ce qui pourrait en faire son intérêt, c'est un vrai problème, et c'est un problème qui justifie vraiment l'explication de texte. Tous les autres questionnements que vous avez proposés, au regard du mien, sont beaucoup trop alambiqués, et oublient de quoi il s'agit. Mais il semble que je sois extrêmement minoritaire à penser cela. Il est donc vraisemblable que je me trompe largement; mais je ne parviens pas à voir pourquoi.
Quant à tes propos sur la question d'étude que nous subîmes naguère au baccalauréat, @Tangleding, j'en suis tout héberlué : je dirais exactement le contraire de ce que tu y affirmes, point pour point.
@Sei : je suis bien d'accord sur le fait que l'essentiel réside dans le développement. Au fond, l'introduction, on s'en tape : elle n'est là que pour aider le rédacteur à se lancer dans un développement qui tienne la route. Mais ce que je vois aussi, c'est que la plupart des élèves ne répondent pas à la question posée ; alors j'essaie de les pousser à se lancer dans la bonne direction. Je ne sais pas quel était exactement le sujet de l'an dernier sur Molière que tu évoques. Mais ce qui me semble intéressant, c'est de voir comment s'articulent la fantaisie spectaculaire et la réflexion sur la vie dans la pièce, et non une dissertation en I. La fantaisie, II. la réflexion sur ceci et cela.
Quant à tes propos sur la question d'étude que nous subîmes naguère au baccalauréat, @Tangleding, j'en suis tout héberlué : je dirais exactement le contraire de ce que tu y affirmes, point pour point.
@Sei : je suis bien d'accord sur le fait que l'essentiel réside dans le développement. Au fond, l'introduction, on s'en tape : elle n'est là que pour aider le rédacteur à se lancer dans un développement qui tienne la route. Mais ce que je vois aussi, c'est que la plupart des élèves ne répondent pas à la question posée ; alors j'essaie de les pousser à se lancer dans la bonne direction. Je ne sais pas quel était exactement le sujet de l'an dernier sur Molière que tu évoques. Mais ce qui me semble intéressant, c'est de voir comment s'articulent la fantaisie spectaculaire et la réflexion sur la vie dans la pièce, et non une dissertation en I. La fantaisie, II. la réflexion sur ceci et cela.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- AscagneGrand sage
Pour les traiter, il faut avoir au moins un petit bagage littéraire, ce qui constitue un problème aujourd'hui, peut-être encore plus qu'autrefois...Elyas a écrit:Ces sujets sont magnifiques mais ne sont plus que rarement traités et c'est bien dommage si tu veux mon avis.
- TangledingGrand Maître
nlm76 a écrit:Quant à tes propos sur la question d'étude que nous subîmes naguère au baccalauréat, @Tangleding, j'en suis tout éberlué : je dirais exactement le contraire de ce que tu y affirmes, point pour point.
Ah ah, mais nous avons déjà eu cet échange jadis, cher @nlm76 (ce fil nous rajeunira), et je te pardonne à nouveau ton erreur, dans mon immense mansuétude... Pour le coup c'est moi qui suis en minorité totale sur ce sujet, mais il faut bien quelquefois des génizincompris.
On aurait voulu rendre service à tous et à la littérature, on aurait fait de la question d'étude obligatoire une proposition de "projet de lecture" que la candidate/le candidat aurait pu adopter ou non. Tout le monde aurait été content.
Je maintiens (envers et contre toutes et tous) que quelquefois cela permettait de stimuler une lecture plus sensible à un enjeu essentiel du texte. Mais j'emporterai cette conviction en partant à la retraite...
Pour revenir à Argan et son monologue, ta problématisation me convient (donc le paragraphe, pas la seule question : "Pourquoi cette entrée en matière est-elle comique ?", question qui pourrait s'appliquer à bien d'autres entrées en matière...)
Je ne suis pas toujours en mesure de trouver une formulation concise, claire et percutante, mais je peux concevoir que cela puisse être un idéal. De ce fait je ne vois pas d'objection à la formulation du problème sous forme de question.
En tout cas ce qui me semble important c'est d'engager une réflexion sur l'intérêt propre du texte étudié, et non de faire entrer celui-ci dans une classification typologique, etc.
Le professeur de didactique dont le nom commence par un H oppose les (fausses) problématiques "descendantes" (le mal absolu) aux problématiques "ascendantes" (qui partent de la spécificité du texte). Je suis assez d'accord avec cette distinction.
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"Never complain, just fight."
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- SeiGrand Maître
NLM76 a écrit:Je reviens sur Argan. Personne parmi les lettreux n'a relevé ma problématisation, sauf Iphigénie, implicitement, dans son avant-dernier message. Or je maintiens que c'est une bien meilleure problématisation que celles que vous avez proposées. Elle peut vraiment parler aux élèves. Il s'agit de l'essentiel : l'acte pédagogique. Molière, ça vous paraît ennuyant ? Eh bien je vais essayer de vous montrer que ça ne l'est pas, et que cette scène est vraiment comique. Dans la classe au quotidien, l'explication de texte tente de répondre à un vrai problème, un problème concret : les élèves ne voient pas tous l'intérêt des textes que nous leur proposons; et notre job, c'est de le leur montrer. Expliciter ce qui se passe, ce qu'on pourrait voir dans le texte, pourquoi on pourrait le trouver dénué d'intérêt, et chercher ce qui pourrait en faire son intérêt, c'est un vrai problème, et c'est un problème qui justifie vraiment l'explication de texte. Tous les autres questionnements que vous avez proposés, au regard du mien, sont beaucoup trop alambiqués, et oublient de quoi il s'agit. Mais il semble que je sois extrêmement minoritaire à penser cela. Il est donc vraisemblable que je me trompe largement; mais je ne parviens pas à voir pourquoi.
Quant à tes propos sur la question d'étude que nous subîmes naguère au baccalauréat, @Tangleding, j'en suis tout héberlué : je dirais exactement le contraire de ce que tu y affirmes, point pour point.
@Sei : je suis bien d'accord sur le fait que l'essentiel réside dans le développement. Au fond, l'introduction, on s'en tape : elle n'est là que pour aider le rédacteur à se lancer dans un développement qui tienne la route. Mais ce que je vois aussi, c'est que la plupart des élèves ne répondent pas à la question posée ; alors j'essaie de les pousser à se lancer dans la bonne direction. Je ne sais pas quel était exactement le sujet de l'an dernier sur Molière que tu évoques. Mais ce qui me semble intéressant, c'est de voir comment s'articulent la fantaisie spectaculaire et la réflexion sur la vie dans la pièce, et non une dissertation en I. La fantaisie, II. la réflexion sur ceci et cela.
Bah, écoute, pour ma part, sur ce texte, trois cas de figure :
1) L'année dernière, avec mes 1res G, une question type : ce monologue statique et jargonneux peut-il nous faire rire ?
2) Cette année, avec mes 1res STMG, il a suffi que je lise le texte pour qu'ils rigolent comme des bossus (j'ai expliqué avant ce qu'était un clystère). Pas l'ombre d'une problématisation, je leur ai seulement demandé de dresser un portrait d'Argan aussi précis que possible, et cela a suffi à dégager l'enjeu de ce monologue. Je dirais qu'on a problématisé... à la fin de l'étude. (Je précise : ce n'est pas un texte Bac)
3) Une problématique plus littéraire, comme celle sur la farce, me semble aussi bien recevable. Cela revient en gros à se demander comment Molière réussit à faire rire les gens de la haute avec un type qui ne se soucie que de ses sous et de son transit.
Ces trois possibilités me semblent convenir dans la mesure où, à chaque fois, elles visent à proposer une étude du texte. Qu'en conclure sur le rôle de la problématique ?
Sinon, le sujet du Bac était la question que j'ai posée : Le Malade imaginaire est-il un spectacle de pure fantaisie ?
- NLM76Grand Maître
Intéressant ce que tu dis là, @Sei. Comme toujours.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- NLM76Grand Maître
Mais il n'en reste pas moins que ce que tu appelles "problématique" ne paraît pas être explicitement un cheminement, un raisonnement (ce que j'appelle une problématisation), mais plutôt le résultat de ce raisonnement. Tu sembles exprimer cela par une seule phrase qui devrait se poser là en tant que telle. Il me semble que pour apprendre aux élèves à problématiser, il vaut mieux leur expliquer et leur montrer qu'il s'agit d'un raisonnement, qui conduit à se poser une (ou des) question. Par exemple, pour ton 1) : Faire d'abord constater et expliquer très rapidement pourquoi, dans son apparence générale, on pourrait dire qu'il s'agit d'un monologue statique et jargonneux, pour ensuite dès lors se poser logiquement la question. Il ne s'agit pas d'une exigence formelle, mais d'aider les élèves à construire le raisonnement. Sans cela, il me semble qu'ils ont le sentiment qu'il faut seulement formuler une phrase alambiquée : ils ne voient pas comment elle se construit, très simplement.
D'autre part, il me semble qu'en effet on peut partir d'un effet "efficace", ici le rire, en particulier grâce à une bonne lecture (comme tu l'indiques dans ton point 2), et se demander ensuite comment il est produit. D'ailleurs en l'espèce, cela pourrait revenir à se demander comment lire ce texte à haute voix, ou, mieux, comment le mettre en scène.
Enfin : j'insiste en ce moment sur la problématisation, parce qu'elle me paraît importante pour la dissertation. Et il me semble que dans le sujet sur le Malade imaginaire que tu évoques, la problématisation était une étape cruciale pour produire une dissertation qui présentât un intérêt quelconque.
D'autre part, il me semble qu'en effet on peut partir d'un effet "efficace", ici le rire, en particulier grâce à une bonne lecture (comme tu l'indiques dans ton point 2), et se demander ensuite comment il est produit. D'ailleurs en l'espèce, cela pourrait revenir à se demander comment lire ce texte à haute voix, ou, mieux, comment le mettre en scène.
Enfin : j'insiste en ce moment sur la problématisation, parce qu'elle me paraît importante pour la dissertation. Et il me semble que dans le sujet sur le Malade imaginaire que tu évoques, la problématisation était une étape cruciale pour produire une dissertation qui présentât un intérêt quelconque.
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- Cléopatra2Guide spirituel
Ca me soulage de voir qu'en fait ce n'est pas quelque chose d'évident, cette fichue problématique. A l'IUFM, on devait proposer une problématique pour toutes nos séances. J'avoue que si je dis aux élèves quel est l'objectif du cours, ou de l'exercice, je ne l'appelle jamais problématique.
Néanmoins au lycée nous sommes obligés de l'employer en spé (dissertation et analyse critique), et j'ai du mal à expliquer aux élèves ce que c'est précisément. Quand il y a un sujet, je leur dis de reformuler ce sujet sous forme de question à l'aide des angles d'analyse des leçons vues en classe. Je leur demande donc de choisir un point de vue, un angle pour traiter le sujet. Qu'allez-vous démontrer? Je vais démontrer telle chose. Je leur demande de s'assurer que le plan réponde à la problématique en bâtissant une argumentation. Je peux prouver cela car je dis ça et ça et ça.
Parfois certains sujets appellent une remise en question, ce qui modifie l'argumentation (la dernière partie étant souvent du coup une réfutation ou une remise en cause), mais pas tellement l'ensemble.
J'ai une élève très forte pour bien reformuler des problématiques mettant en "friction" le sujet et les enjeux du cours.
Je mettrais un bémol sur la méthode, Elaïna. Il y a tout de même des attendus académiques sur les exercices, qui sont pénalisants lorsqu'ils sont absents. Dans mon lycée également, nous pénalisons lourdement si le document n'est pas cité avant d'être expliqué (pas la citation comme illustration du propos, mais l'inverse).
Le problème avec la problématique, c'est que comme tous les collègues et les corrigés l'exigent, on est obligé d'en parler, d'en demander (alors que parfois une simple reformulation du sujet suffit largement), et ça me met en difficulté.
Néanmoins au lycée nous sommes obligés de l'employer en spé (dissertation et analyse critique), et j'ai du mal à expliquer aux élèves ce que c'est précisément. Quand il y a un sujet, je leur dis de reformuler ce sujet sous forme de question à l'aide des angles d'analyse des leçons vues en classe. Je leur demande donc de choisir un point de vue, un angle pour traiter le sujet. Qu'allez-vous démontrer? Je vais démontrer telle chose. Je leur demande de s'assurer que le plan réponde à la problématique en bâtissant une argumentation. Je peux prouver cela car je dis ça et ça et ça.
Parfois certains sujets appellent une remise en question, ce qui modifie l'argumentation (la dernière partie étant souvent du coup une réfutation ou une remise en cause), mais pas tellement l'ensemble.
J'ai une élève très forte pour bien reformuler des problématiques mettant en "friction" le sujet et les enjeux du cours.
Je mettrais un bémol sur la méthode, Elaïna. Il y a tout de même des attendus académiques sur les exercices, qui sont pénalisants lorsqu'ils sont absents. Dans mon lycée également, nous pénalisons lourdement si le document n'est pas cité avant d'être expliqué (pas la citation comme illustration du propos, mais l'inverse).
Le problème avec la problématique, c'est que comme tous les collègues et les corrigés l'exigent, on est obligé d'en parler, d'en demander (alors que parfois une simple reformulation du sujet suffit largement), et ça me met en difficulté.
- JEMSGrand Maître
Chez nous, la problématique est redevenue très très tendance, mais pas au sens "question à traiter". On est plutôt dans un contexte problématique, où l'élève se doit de comprendre un problème d'ensemble afin de dégager une réflexion. Je vous laisse imaginer le carnage car le traitement de tels dossiers suppose que l'élève dispose d'une culture et d'une ouverture d'esprit larges et cela suppose également qu'il soit en capacité d'analyser finement toutes les sources documentaires mises à sa disposition.
- SeiGrand Maître
Nlm, oui, j'ai en effet condensé le point 1 pour exposer rapidement les choses ici, mais je suis d'accord avec toi, et j'ai aussi pris le temps en classe de tracer ce chemin.
Pour la problématisation du sujet de dissertation, je pense finalement que tu as parfaitement raison d'insister dessus. Elle garantit un traitement efficace et facilite la construction du plan.
Pour la problématisation du sujet de dissertation, je pense finalement que tu as parfaitement raison d'insister dessus. Elle garantit un traitement efficace et facilite la construction du plan.
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