- LefterisEsprit sacré
Moi itou, je le dis d'ailleurs souvent ici : un salaire rehaussé, mais avec un vrai concours .dandelion a écrit:Suis-je la seule à estimer au contraire d'Edgar qu'un enseignant n'est jamais trop qualifié? Je suis agrégée, j'ai fait une prépa et je ne me suis jamais sentie trop qualifiée. Cela me semble absurde. D'ailleurs dans le livre Freakonomics il est démontré que la baisse du niveau de recrutement des enseignants a entrainé une baisse du niveau des élèves. C'est toute la question du sens de ce que l'on enseigne qui est posée: très franchement, croire qu'il faut un faible niveau de connaissances pour enseigner en maternelle est par exemple extrêmement faux d'après moi.
Et je suis d'accord pour les petites classes , il faut maîtriser son sujet. Je vais prendre un exemple simple : le latin en 5ème, puisque tout le monde part à zéro, et c'est parfois surprenant pour beaucoup d'élèves. En maîtrisant sa matière, on voit l'ensemble de la langue et du programme dans sa tête, on sait où on doit les amener, et comment. Quels apprentissages coupler, par exemple. On peut facilement rebondir, reprendre sous une autre forme, sans compter les questions auxquelles il faut pouvoir répondre à brûle-pourpoint.
Au début , j'aurais pensé que c'était plus facile, mécaniquement parce que le programme est moins volumineux.
Je n'y ai pensé qu'après quelques années , quand j'ai vu comment galéraient ceux qui débutent, ceux qui remplacent, avec un cours d'avance sur les élèves. Et j'ai aussi vu qu'il était plus facile de prendre des bons 3èmes (quand il y en a... ) , parce qu'on a quelque chose sur quoi s'appuyer.
- User17706Bon génie
Nous sommes au moins trois (ah non, j'ai recompté: sept!). Un enseignant n'est jamais trop qualifié.frdm a écrit:Non, vous n'êtes pas la seule, je pense comme vous : mieux vous connaissez votre matière et plus riche est votre enseignement. Mais ce n'est pas une idée qui a le vent en poupe...dandelion a écrit:Suis-je la seule à estimer au contraire d'Edgar qu'un enseignant n'est jamais trop qualifié? Je suis agrégée, j'ai fait une prépa et je ne me suis jamais sentie trop qualifiée.
- celitianSage
Effectivement, il n'est pas possible de généraliser.Bel-Ami a écrit:Mais en quoi serait-ce un problème de dire qu'on passe l'agreg parce qu'on gagne plus et qu'on a moins d'heures??? Au risque de déplaire, gagner plus et travailler moins est la seule raison pour laquelle j'ai passé l'agreg plutôt que le Capes.ecogest a écrit:Certainement, mais lorsque j'étais lycéenne (il y a très très longtemps) les agrégés avaient systématiquement les terminales.Paddy a écrit:Il y a des agrégés qui font le choix du collège comme il y a des agrégés qui, en lycée, refusent les classes à examen. Tous les cas de figure existent.
Alors peut-être qu'aujourd'hui cela a changé mais lorsqu'on lit certains messages ont a l'impression que la plupart des agrégés sont en collège et qu'ils n'ont passer le concours que pour l'argent.Je reste persuadée que la motivation financière ne peut pas être suffisante, et qu'il faut, avant tout, beaucoup aimer ses matières pour accepter de faire les sacrifices nécessaires à la préparation du concours.
Pour ce qui est du fait d'aimer ses matières pour préparer les concours, là encore c'est une généralisation abusive. Je me suis retrouvé dans ma branche par hasard. Je voulais être prof, ça oui, mais la matière que j'enseigne est le résultat du flipper de l'orientation plus que d'un véritable goût.
C'est juste mon expérience lors de la préparation à l'interne où il fallait vraiment être très motivé pour réussir à tout concilier.
De plus, peut-être que le ressenti est différent selon les matières ; dans ma matière, il existe des préparations qui squattent la plupart des places et, si on veut les suivre sérieusement la seule motivation financière ne peut pas suffire.
Mais bon, peut-être que tu as raison et que je suis un cas particulier (ancienne PLP qui a passé le CAPET en sachant qu'elle ferait le même nombre d'heures et serait payée pareil.:lol: après avoir bossé pendant un an à la préparation).
- EdgarNeoprof expérimenté
C'est exactement dans ce sens que je disais cela, pas du tout dans l'idée que l'on soit trop qualifié intellectuellement par rapport à nos élèves. Certaines questions de grammaire ou de morphologie de certains de mes élèves de 6ème le prouvent souvent et il faut leur donner une réponse à la hauteur de leurs questionnements, pas une esquive décevante.gelsomina31 a écrit:je suis d'accord avec vous mais à force de dire que l'on est jamais trop qualifié, le ministère et la société nous en demande toujours plus en nous payant toujours moins... la modestie, c'est bien joli mais si c'est pour passer pour des incapables... à un moment d'année, il faut savoir dire à ceux qui nous payent que l'on est bien plus qualifiés qu'ils le pensent et qu'il doivent nous respecter davantage (financièrement et intellectuellement).frdm a écrit:Non, vous n'êtes pas la seule, je pense comme vous : mieux vous connaissez votre matière et plus riche est votre enseignement. Mais ce n'est pas une idée qui a le vent en poupe...dandelion a écrit:Suis-je la seule à estimer au contraire d'Edgar qu'un enseignant n'est jamais trop qualifié? Je suis agrégée, j'ai fait une prépa et je ne me suis jamais sentie trop qualifiée.
Je ne faisais qu'aller au bout de la logique exposée par certains, consistant à vouloir ne placer les agrégés qu'en fin de cycle secondaire et leur réserver ces places, ce qui me semblait sans objet.
- User17706Bon génie
(Et d'ailleurs, ça ne tiendrait pas du tout face à un examen sérieux, l'idée que l'enseignement en collège, par exemple, demande moins de qualifications, y compris purement disciplinaires, que l'enseignement en lycée. Sauf à nous transformer en purs répétiteurs, et encore...)
- CathEnchanteur
Ben si, moi j'ai réagi en parlant des PLP, mais tu n'as pas répondu.Igniatius a écrit:Bon, j'ai tenté de me faire l'avocat du diable dans ma 1ère intervention mais, manifestement, elle n'a même pas choqué, ce qui en dit long sur le sale état d'esprit qui règne dans nos rangs.John a écrit:Deux profs de maths en collège n'ont pas la même activité, selon qu'ils sont certifiés ou agrégés ?Igniatius a écrit:J'y ai répondu : l'activité n'est pas identique.
La différence entre les deux n'est que le nombre d'heures à effectuer, qui est plus bas... pour celui qui est mieux payé.
Je ne pense pas un mot de ce que j'ai écrit sur la différence profonde entre le boulot des certifiés et agrégés, mais j'en ai extrêmement marre que, depuis quelques années et singulièrement depuis quelques mois, être titulaire de l'agrégation semble nous vouer aux gémonies : nous serions les plus mauvais des pédagogues, des profiteurs salariaux du système et des gens qui refusons "l'égalité" avec les autres collègues (surtout ces pourris de profs de CPGE).
Alors, si les syndicats les plus retors, ceux qui jouent contre l'intérêt de leurs adhérents, sont désormais soutenus par toute une catégorie de certifiés revanchards, qui pensent vraiment que leur mauvais salaire est d'abord dû au bon salaire des agrégés, je pense qu'il me faudra soutenir des positions que je réprouve, et marquer ma supposée "supériorité" disciplinaire afin de réclamer les classes les plus importantes, ce qui justifiera à nouveau ma différence de traitement : si un syndicat (ou même la SDA) choisit de défendre cette position pour maintenir notre salaire, je la suivrai, contre mes convictions personnelles.
Je pense que la technique sarkozyste de la division fonctionne à plein dans nos rangs, et j'en suis écoeuré.
Les certifiés ont tout à y perdre, malheureusement, nous aussi.
J'avais bien compris que tu n'étais pas sérieux.
- EdgarNeoprof expérimenté
Mais c'est ce que beaucoup croient, notamment mon chef d'établissement je crois, alors qu'il n'en n'est absolument rien. Cela dépend en effet de la façon dont on considère son rôle.PauvreYorick a écrit:(Et d'ailleurs, ça ne tiendrait pas du tout face à un examen sérieux, l'idée que l'enseignement en collège, par exemple, demande moins de qualifications, y compris purement disciplinaires, que l'enseignement en lycée. Sauf à nous transformer en purs répétiteurs, et encore...)
Mon aïeul, agrégé docteur et académicien, faisait des leçons de choses passionnantes à ses filles alors qu'elles étaient encore très jeunes, et n'a pas attendu qu'elles aient 20 ans pour leur faire découvrir l'univers.
- LefterisEsprit sacré
D'où cette idée (que je rabâche ) que la partition des cycles fut une erreur grossière : ou l'on accepte l'idée de professeurs sous-qualifiés pour ce cycle, ou celle de professeurs "trop qualifiés". L'unicité de cycles - si l'établissement est une cité scolaire, ou si deux établissements se touchent- permettrait de remédier à ça . Un professeur manque en 1ère ? On prend l'agrégé du collège, indispensable là aussi parce qu'il est le seul en latin, par exemple. Inversement, on ouvre une section de grec en 3ème (de la fiction, je sais...) ? Hop , on prend le professeur du lycée , seul dans les parages (je dis bien les parages , on ne lui fait pas faire 80 km pour trois heures, hein ... ) .PauvreYorick a écrit:(Et d'ailleurs, ça ne tiendrait pas du tout face à un examen sérieux, l'idée que l'enseignement en collège, par exemple, demande moins de qualifications, y compris purement disciplinaires, que l'enseignement en lycée. Sauf à nous transformer en purs répétiteurs, et encore...)
Reste le cas épineux des professeurs de philo qui de toute manière n'enseignent qu'en second cycle...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- EdgarNeoprof expérimenté
Lefteris a écrit:D'où cette idée (que je rabâche ) que la partition des cycles fut une erreur grossière : ou l'on accepte l'idée de professeurs sous-qualifiés pour ce cycle, ou celle de professeurs "trop qualifiés". L'unicité de cycles - si l'établissement est une cité scolaire, ou si deux établissements se touchent- permettrait de remédier à ça . Un professeur manque en 1ère ? On prend l'agrégé du collège, indispensable là aussi parce qu'il est le seul en latin, par exemple. Inversement, on ouvre une section de grec en 3ème (de la fiction, je sais...) ? Hop , on prend le professeur du lycée , seul dans les parages (je dis bien les parages , on ne lui fait pas faire 80 km pour trois heures, hein ... ) .PauvreYorick a écrit:(Et d'ailleurs, ça ne tiendrait pas du tout face à un examen sérieux, l'idée que l'enseignement en collège, par exemple, demande moins de qualifications, y compris purement disciplinaires, que l'enseignement en lycée. Sauf à nous transformer en purs répétiteurs, et encore...)
Reste le cas épineux des professeurs de philo qui de toute manière n'enseignent qu'en second cycle...
La configuration de cité scolaire de la 6ème à la prépa est celle de mon établissement, et les professeurs du lycées tueraient plutôt que nous fassions des heures chez eux, ou qu'ils aient à en faire chez nous.
- LefterisEsprit sacré
Comme quoi le collège, ce n'est pas le paradis ... On pourrait d'ailleurs donner un prime aux agrégés qui enseignent en collège, pour avoir à subir ça tous les jours, malgré leur excellence.Edgar a écrit:La configuration de cité scolaire de la 6ème à la prépa est celle de mon établissement, et les professeurs du lycées tueraient plutôt que nous fassions des heures chez eux, ou qu'ils aient à en faire chez nous.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- User17706Bon génie
Ou je me trompe fort ou ça veut dire qu'à l'occasion nous méritons nous aussi des baffes.Edgar a écrit: La configuration de cité scolaire de la 6ème à la prépa est celle de mon établissement, et les professeurs du lycées tueraient plutôt que nous fassions des heures chez eux, ou qu'ils aient à en faire chez nous.
- EdgarNeoprof expérimenté
Oui, c'est loin d'être le paradis, le collège, même si certains le disent, mais quand il s'agit d'aller y enseigner, c'est autre chose. D'autant que les collègues de lycée finissent aussi l'année le 10 juin quand on nous demande, au collège, de venir jusqu'au 5 juillet, même si les élèves sont partis depuis longtemps avant cette date en vacances dans les destinations chics et chères. Ca compte dans le choix...
- BélinacFidèle du forum
Je vous trouve bien nerveux sur ce fil... Merci à Pauvre Yorick de mettre un peu de distance... Ses élèves (étudiants ?) doivent se régaler...
- trompettemarineMonarque
un prof, nerveux un dimanche soir !
le nez entre les copies et sa fiche de paie...
Jamais de la vie
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- keroGrand sage
Et les appréciations pour les conseils de classe.trompettemarine a écrit:un prof, nerveux un dimanche soir !
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- dandelionVénérable
Merci, je comprends mieux. Cela m'avait étonné aussi car je n'étais pas habituée à lire cela sous votre plume, si mes souvenirs sont exacts.Edgar a écrit:C'est exactement dans ce sens que je disais cela, pas du tout dans l'idée que l'on soit trop qualifié intellectuellement par rapport à nos élèves. Certaines questions de grammaire ou de morphologie de certains de mes élèves de 6ème le prouvent souvent et il faut leur donner une réponse à la hauteur de leurs questionnements, pas une esquive décevante.gelsomina31 a écrit:je suis d'accord avec vous mais à force de dire que l'on est jamais trop qualifié, le ministère et la société nous en demande toujours plus en nous payant toujours moins... la modestie, c'est bien joli mais si c'est pour passer pour des incapables... à un moment d'année, il faut savoir dire à ceux qui nous payent que l'on est bien plus qualifiés qu'ils le pensent et qu'il doivent nous respecter davantage (financièrement et intellectuellement).frdm a écrit:Non, vous n'êtes pas la seule, je pense comme vous : mieux vous connaissez votre matière et plus riche est votre enseignement. Mais ce n'est pas une idée qui a le vent en poupe...
Je ne faisais qu'aller au bout de la logique exposée par certains, consistant à vouloir ne placer les agrégés qu'en fin de cycle secondaire et leur réserver ces places, ce qui me semblait sans objet.
- TrinityEsprit éclairé
kero a écrit:Et les appréciations pour les conseils de classe.trompettemarine a écrit:un prof, nerveux un dimanche soir !
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Plus que deux classes... sur douze.
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"Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue." Albert Einstein
- celitianSage
Je suis tout à fait d'accord.
Et si j'ai écrit qu'il fallait réserver certaines classes aux agrégés, c'est simplement pour montrer "l'absurdité" des certifiés qui nous reprochent de faire la même chose qu'eux mais qui sont bien contents de pouvoir enseigner en terminale ou en BTS.
Et si j'ai écrit qu'il fallait réserver certaines classes aux agrégés, c'est simplement pour montrer "l'absurdité" des certifiés qui nous reprochent de faire la même chose qu'eux mais qui sont bien contents de pouvoir enseigner en terminale ou en BTS.
- EdgarNeoprof expérimenté
Le débat ne doit surtout pas se faire sur base de l'affrontement entre corps, mais dans le sens de la revalorisation globale du métier et/ ou de l'adaptation des tâches en fonction des grades. Sinon, nous sommes déjà morts et enterrés.
- celitianSage
Ah ça aussi totalement d'accord.
Mais malheureusement je n'y crois pas tant la jalousie est forte.
Bizarrement passer du PLP au CAPET ne m'a valu aucune réflexion désagréable, mais du CAPET à l'agrég ouille ouille ouille.
Mais malheureusement je n'y crois pas tant la jalousie est forte.
Bizarrement passer du PLP au CAPET ne m'a valu aucune réflexion désagréable, mais du CAPET à l'agrég ouille ouille ouille.
- LefterisEsprit sacré
Moi non, j'ai même vu des collègues réellement contents, d'autres un peu moins et surpris -parce que j'ai l'air de l'idiot du village, de quelqu'un de pas trop sérieux - mais sans être désagréables (il faut dire que presque tout le monde tente ou a tenté l'agreg) . C'est plutôt à l'extérieur , des réflexions aigres douces , du genre "t'es un mandarin maintenant"...ecogest a écrit:Ah ça aussi totalement d'accord.
Mais malheureusement je n'y crois pas tant la jalousie est forte.
Bizarrement passer du PLP au CAPET ne m'a valu aucune réflexion désagréable, mais du CAPET à l'agrég ouille ouille ouille.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- LefterisEsprit sacré
Là on est enterrés, mais jusqu'au cou, et on nous lapide ...Edgar a écrit:Le débat ne doit surtout pas se faire sur base de l'affrontement entre corps, mais dans le sens de la revalorisation globale du métier et/ ou de l'adaptation des tâches en fonction des grades. Sinon, nous sommes déjà morts et enterrés.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- MoonchildSage
Le bon côté des choses c'est que seule la tête va prendre des coups.Lefteris a écrit:Là on est enterrés, mais jusqu'au cou, et on nous lapide ...
- trompettemarineMonarque
Il faut devenir anachorète.
- User5899Demi-dieu
Hi hi hiLefteris a écrit:Ajoute à ça qu'il est question de recréer de facto un corps de professeurs de collège, avec cette histoire de continuum CP-3ème.
Projet Jospin de 1989.
"Retrait ! Retrait ! Retrait du plan Jospin !"
Ma 1re manif !
- User5899Demi-dieu
Meuh non. On a divisé les gens dès lors que pour des raisons de gros sous, on a créé des corps moins bien pourvus sur tous les plans. On n'a pas besoin des certifiés, sauf si un jour, on se dit qu'on va avoir besoin de beaucoup de profs et que ça va coûter très cher. Alors on crée des profs au rabais.Reine Margot a écrit:je crois que ce que Trompette veut dire c'est que Peillon et consorts ont réussi à diviser les profs entre eux: agrégés contre certifiés, titulaires contre contractuels...à force de pointer du doigt celui qui a plus, on finit tous au plus bas.
Et tout ça ne serait pas arrivé si les Français avaient moins niqué après la guerre
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