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- midjieNiveau 8
+1... Et une fois qu'on sera devenus des boîtes à sons, vu qu'on n'aura plus besoin de préparer nos cours, on pourra aussi être annualisés, rester plus longtemps à l'école, faire du périscolaire etc...auléric a écrit:[quote=John [citation tronquée de l'article du figaro]]
Le vrai sujet est de savoir ce qu'il se passe en classe, ce qui nous est tout à fait inconnu au nom de la liberté pédagogique, et de l'évaluer», affirme-t-il.toutafé iphigénie .... le passage que j'ai laissé, si tu le mets au bout du fil dans lequel on nous reproche de nous servir de manuels ou sur les blogs des collègues partageurs , c'est nettement une défiance face à notre liberté pédagogique et une volonté de nous transformer en boite à sons , qui répèteront des cours tout prêt, avec prière de ne pas en dévier.iphigénie a écrit:J'ai aussi l'impression que depuis quelques temps, les "officiels" tapent beaucoup sur les manuels scolaires: volonté de centraliser par le numérique les "bonnes pratiques officielles" et de retirer aux enseignants la liberté d'élaborer leurs manuels?....
- LilypimsGrand sage
Il n'y a qu'à voir ce qu'on demande aux collègues quand ils se rendent en "formation".midjie a écrit:+1... Et une fois qu'on sera devenus des boîtes à sons, vu qu'on n'aura plus besoin de préparer nos cours, on pourra aussi être annualisés, rester plus longtemps à l'école, faire du périscolaire etc...auléric a écrit:[quote=John [citation tronquée de l'article du figaro]]
Le vrai sujet est de savoir ce qu'il se passe en classe, ce qui nous est tout à fait inconnu au nom de la liberté pédagogique, et de l'évaluer», affirme-t-il.toutafé iphigénie .... le passage que j'ai laissé, si tu le mets au bout du fil dans lequel on nous reproche de nous servir de manuels ou sur les blogs des collègues partageurs , c'est nettement une défiance face à notre liberté pédagogique et une volonté de nous transformer en boite à sons , qui répèteront des cours tout prêt, avec prière de ne pas en dévier.iphigénie a écrit:J'ai aussi l'impression que depuis quelques temps, les "officiels" tapent beaucoup sur les manuels scolaires: volonté de centraliser par le numérique les "bonnes pratiques officielles" et de retirer aux enseignants la liberté d'élaborer leurs manuels?....
- DinosauraHabitué du forum
Quelle perspective réjouissante que celle qui consiste à faire plus d'heures de présence/garderie/réunion tout en lisant moins/ne réfléchissant plus à nos cours/nous desséchant en devenant de simples exécutants !... Super quand on s'est "engagé" dans le boulot par goût pour le savoir (finalement, le seul véritable attrait du boulot, avec le temps libre ou plutôt la liberté d'organisation de son temps)
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"Le plus esclave est celui qui ignore ses chaînes."
- LefterisEsprit sacré
Dans le cadre de la défense des intérêts moraux , il faudrait que les syndicats (dont je suis, mais "sans grade" et pas dans un majoritaire) rentrent immédiatement dans le lard de ces stipendiés (communiqué au ministère, communiqué de presse, mail aux adhérents...) de lobbies, en démentant point par point et en montrant tout ce qui se cache comme arrières- pensées derrière chaque attaque et chaque mensonge...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- verdurinHabitué du forum
Dans le même genre, il ne serait pas absurde que les programmes soient facilement disponible.
On pourrait imaginer qu'il suffise de taper « math 1 st2s » dans eduscol pour avoir le programme de math en première st2s. Ce n'était pas le cas l'an dernier.
Je me souviens encore de la galère pour obtenir les programmes de math en BTS. Je crois qu'ils sont un peu plus accessibles, mais à une époque ils n'étaient disponibles que sur le site de l'irem Paris-nord, perdus au fond d'une cascade de menus.
Pour rêver un peu : chaque prof pourrait recevoir un lien vers les programmes de toutes les classes où il enseigne.
On pourrait imaginer qu'il suffise de taper « math 1 st2s » dans eduscol pour avoir le programme de math en première st2s. Ce n'était pas le cas l'an dernier.
Je me souviens encore de la galère pour obtenir les programmes de math en BTS. Je crois qu'ils sont un peu plus accessibles, mais à une époque ils n'étaient disponibles que sur le site de l'irem Paris-nord, perdus au fond d'une cascade de menus.
Pour rêver un peu : chaque prof pourrait recevoir un lien vers les programmes de toutes les classes où il enseigne.
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Contre la bêtise, les dieux eux mêmes luttent en vain.
Ni centidieux, ni centimètres.
- OlympiasProphète
Et Claude Thelot ne connaît pas les élèves...
- tonton goldenNiveau 5
Claude Thélot va me faire regretter d'avoir lu son livre " tel père, tel fils " quand j'étais étudiant dans les années 80 et que j'avais apprécié.
- LefterisEsprit sacré
Je suppose qu'en maths, le programme est très important. mais en français, quand on y réfléchit bien , hormis pour les programmes d'examens, l'essentiel est de faire bosser les élèves et les faire lire, sans compter le maniement de la langue, toujours à reprendre. Bien entendu, il est important de parcourir des périodes historiques différentes, mais certains ergotages sur des changements de détail sont vraiment superflus dans le marasme actuel. C'est comme si l'on se plaignait de la peinture des cabines quand le paquebot coule.verdurin a écrit:Dans le même genre, il ne serait pas absurde que les programmes soient facilement disponible.
On pourrait imaginer qu'il suffise de taper « math 1 st2s » dans eduscol pour avoir le programme de math en première st2s. Ce n'était pas le cas l'an dernier.
Je me souviens encore de la galère pour obtenir les programmes de math en BTS. Je crois qu'ils sont un peu plus accessibles, mais à une époque ils n'étaient disponibles que sur le site de l'irem Paris-nord, perdus au fond d'une cascade de menus.
Pour rêver un peu : chaque prof pourrait recevoir un lien vers les programmes de toutes les classes où il enseigne.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- HélipsProphète
Moui. Quand j'ai commencé, les programmes, il fallait les acheter au CRDP le plus proche ou faire confiance aux manuels et c'était pénible, certes, mais à l'heure actuelle, et pour reprendre ton exemple, en tapant "programme math st2s" dans google, j'obtiens comme première réponse le site eduscol à la bonne page.verdurin a écrit:Dans le même genre, il ne serait pas absurde que les programmes soient facilement disponible.
On pourrait imaginer qu'il suffise de taper « math 1 st2s » dans eduscol pour avoir le programme de math en première st2s. Ce n'était pas le cas l'an dernier.
Je me souviens encore de la galère pour obtenir les programmes de math en BTS. Je crois qu'ils sont un peu plus accessibles, mais à une époque ils n'étaient disponibles que sur le site de l'irem Paris-nord, perdus au fond d'une cascade de menus.
Pour rêver un peu : chaque prof pourrait recevoir un lien vers les programmes de toutes les classes où il enseigne.
Je rappelle quand même que "se former" fait partie de nos missions, et on peut penser que trouver (et lire) les programmes rentre dans "se former".
D'autant que, en math et comme le soulignait Patissot, lire les programmes, surtout le blabla du début, c'est quand même l'occasion d'une bonne tranche de rire !
- JohnMédiateur
Ca a évolué : on trouve les programmes plus facilement à présent. Mais il vaut toujours mieux ajouter "eduscol" dans les mots-clés de sa recherche, c'est vrai.verdurin a écrit:Dans le même genre, il ne serait pas absurde que les programmes soient facilement disponible.
On pourrait imaginer qu'il suffise de taper « math 1 st2s » dans eduscol pour avoir le programme de math en première st2s. Ce n'était pas le cas l'an dernier.
Je me souviens encore de la galère pour obtenir les programmes de math en BTS. Je crois qu'ils sont un peu plus accessibles, mais à une époque ils n'étaient disponibles que sur le site de l'irem Paris-nord, perdus au fond d'une cascade de menus.
Pour rêver un peu : chaque prof pourrait recevoir un lien vers les programmes de toutes les classes où il enseigne.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- VolubilysGrand sage
Mais c'est quoi cette manie de dénigrer les pauvres utilisateurs de manuel, qui préfèrent mettre leur énergie dans leur classe plutôt qu'à réinventer l'eau chaude tous les jours!
Pour les programmes, j'ai vu de tout dans les classes...
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- DinaaaExpert spécialisé
Oui, il est gentil ce monsieur, mais quand le programme de Français 3e préconise l'étude de "romans ou nouvelles des XXe et XXIe siècles porteurs d'un regard sur l'histoire et sur le monde contemporain" , il ne donne aucun titre, aucun axe d'étude, aucun accompagnement.
De fait, encore heureux que les enseignants aillent consulter les différents manuels pour les confronter à leurs idées et à leurs choix, afin de créer le cours le plus cohérent à partir de cette injonction.
D'ailleurs les programmes de Français - collège sont présentés en 14 pages.
14 pages pour construire 4 ans d'enseignement, on ne peut pas dire qu'on croule sous les recommandations. Ca me va très bien, personnellement, mais ne donner que très peu de matière et reprocher ensuite aux enseignants d'aller chercher de la matière ailleurs, c'est cocasse.
De fait, encore heureux que les enseignants aillent consulter les différents manuels pour les confronter à leurs idées et à leurs choix, afin de créer le cours le plus cohérent à partir de cette injonction.
D'ailleurs les programmes de Français - collège sont présentés en 14 pages.
14 pages pour construire 4 ans d'enseignement, on ne peut pas dire qu'on croule sous les recommandations. Ca me va très bien, personnellement, mais ne donner que très peu de matière et reprocher ensuite aux enseignants d'aller chercher de la matière ailleurs, c'est cocasse.
- verdurinHabitué du forum
Regarde mon age.Hélips a écrit:Moui. Quand j'ai commencé, les programmes, il fallait les acheter au CRDP le plus proche ou faire confiance aux manuels et c'était pénible, certes, mais à l'heure actuelle, et pour reprendre ton exemple, en tapant "programme math st2s" dans google, j'obtiens comme première réponse le site eduscol à la bonne page.verdurin a écrit:Dans le même genre, il ne serait pas absurde que les programmes soient facilement disponible.
On pourrait imaginer qu'il suffise de taper « math 1 st2s » dans eduscol pour avoir le programme de math en première st2s. Ce n'était pas le cas l'an dernier.
Je me souviens encore de la galère pour obtenir les programmes de math en BTS. Je crois qu'ils sont un peu plus accessibles, mais à une époque ils n'étaient disponibles que sur le site de l'irem Paris-nord, perdus au fond d'une cascade de menus.
Pour rêver un peu : chaque prof pourrait recevoir un lien vers les programmes de toutes les classes où il enseigne.
Je rappelle quand même que "se former" fait partie de nos missions, et on peut penser que trouver (et lire) les programmes rentre dans "se former".
D'autant que, en math et comme le soulignait Patissot, lire les programmes, surtout le blabla du début, c'est quand même l'occasion d'une bonne tranche de rire !
Ceci étant c'est vrai que google a fait des progrès.
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Ni centidieux, ni centimètres.
- trompettemarineMonarque
Moi, je suis contre les manuels (en lettres en lycée : cela ne vaut pas pour toutes les matières et tous les niveaux à mon avis). Les programmes nous laissent la latitude (relative) du choix des textes. J'ai horreur de me sentir enfermée dans les séquences de collègues.
De plus les manuels (en lettres en lycée) ne servent pas aux élèves, mais aux profs. Cela permet de trouver des idées certes, une banque de textes et de bonnes remarques. Mais en général deux ans après les inspecteurs sont obligés de réexpliquer les programmes parce qu'on a bien lu les manuels et mal compris les programmes et certains rapports d'IG. [à noter : il est vrai que ce sont toujours les profs qui comprennent mal les programmes.)
Les programmes sont suffisamment (trop ?) riches en lettres.
Je préfère ma liberté quitte à passer plus de temps sur la construction des supports et le choix des textes.
En outre, cela m'ennuie de faire payer à la région tous les deux/trois ans environ (au gré des ministres) des manuels dont l'argent part au privé (c'est déjà le cas de logiciels) et à quelques profs (dont je ne nie pas les qualités).
Je préférerais avoir un peu d'argent de la région pour avoir du chauffage, des ordinateurs qui marchent, du papier, une photocopieuse, et du papier toilette dans les WC (avec une poubelle pour les femmes non ménopausées).
En lettres, l'argent dévolu aux manuels (depuis la réforme des séquences) est de l'argent fichu en l'air.
Et surtout ne me parlez pas du développement durable... dans ce domaine !
Il y a même parfois des abus : un manuel d'une certaine langue, soi-disant écrit pour les lycées par une collègue... qui n'a jamais enseigné en lycée.
De plus les manuels (en lettres en lycée) ne servent pas aux élèves, mais aux profs. Cela permet de trouver des idées certes, une banque de textes et de bonnes remarques. Mais en général deux ans après les inspecteurs sont obligés de réexpliquer les programmes parce qu'on a bien lu les manuels et mal compris les programmes et certains rapports d'IG. [à noter : il est vrai que ce sont toujours les profs qui comprennent mal les programmes.)
Les programmes sont suffisamment (trop ?) riches en lettres.
Je préfère ma liberté quitte à passer plus de temps sur la construction des supports et le choix des textes.
En outre, cela m'ennuie de faire payer à la région tous les deux/trois ans environ (au gré des ministres) des manuels dont l'argent part au privé (c'est déjà le cas de logiciels) et à quelques profs (dont je ne nie pas les qualités).
Je préférerais avoir un peu d'argent de la région pour avoir du chauffage, des ordinateurs qui marchent, du papier, une photocopieuse, et du papier toilette dans les WC (avec une poubelle pour les femmes non ménopausées).
En lettres, l'argent dévolu aux manuels (depuis la réforme des séquences) est de l'argent fichu en l'air.
Et surtout ne me parlez pas du développement durable... dans ce domaine !
Il y a même parfois des abus : un manuel d'une certaine langue, soi-disant écrit pour les lycées par une collègue... qui n'a jamais enseigné en lycée.
- AdsoNiveau 6
D'accord avec Lefteris, l'essentiel est de faire bosser les élèves. Je conserve une petite place pour le roman policier en 5e même si ça n'est plus au programme parce que ça plaît aux élèves, que ça marche bien, ça permet d'écrire des nouvelles policières. De même que j'ai "oublié" très vite l'ORL - j'adore les sigles inventés par l'EN - dans les instructions quand c'était préconisé!
- User5899Demi-dieu
Argument qui nous a conduits, depuis septembre 2007, à adopter les LagMich, banque de textes considérable à la reliure solide, qui permet d'espérer un renouvellement au bout de seulement dix ans.trompettemarine a écrit:cela m'ennuie de faire payer à la région tous les deux/trois ans environ (au gré des ministres) des manuels dont l'argent part au privé (c'est déjà le cas de logiciels) et à quelques profs (dont je ne nie pas les qualités).
- trompettemarineMonarque
Je viens de comprendre...Cripure a écrit:Argument qui nous a conduits, depuis septembre 2007, à adopter les LagMich, banque de textes considérable à la reliure solide, qui permet d'espérer un renouvellement au bout de seulement dix ans.trompettemarine a écrit:cela m'ennuie de faire payer à la région tous les deux/trois ans environ (au gré des ministres) des manuels dont l'argent part au privé (c'est déjà le cas de logiciels) et à quelques profs (dont je ne nie pas les qualités).
- User5899Demi-dieu
Vous ne connaissiez pas le surnom ?
- doctor whoDoyen
Lagarde et Michard sont mes dieux, je les adore. Je ne dis plus "Lagmich" mais "Godmich".Cripure a écrit:
Vous ne connaissiez pas le surnom ?
(Pardon)
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- trompettemarineMonarque
Ben non !
mea culpa !
Je retiens le deuxième surnom avec plaisir !
mea culpa !
Je retiens le deuxième surnom avec plaisir !
- User5899Demi-dieu
doctor who
- retraitéeDoyen
De toutes façons, pour bon nombre d'élèves, quel que soit le programme de lettres au collège, il n'en reste pas grand chose quand ils entrent au lycée. Il suffit de voir ce qu'ils écrivent sur les fiches à la rentrée, quand on leur demande quelles oeuvres ils ont étudiées !
- LefterisEsprit sacré
Et même d'une année sur l'autre. Quand je leur demande, pour avoir une idée ce qui'ls ont lu l'année précédente, j'ai très souvent , au mieux, le nom écorché d'une oeuvre que je peine à identifier. Et à l'oral , je fais parfois allusion à quelque chose qu'ils ont réellement étudié (parce que leur enseignant m'en a parlé) , et une bonne partie jure ses grands dieux qu'elle n'en a jamais entendu parler.retraitée a écrit:De toutes façons, pour bon nombre d'élèves, quel que soit le programme de lettres au collège, il n'en reste pas grand chose quand ils entrent au lycée. Il suffit de voir ce qu'ils écrivent sur les fiches à la rentrée, quand on leur demande quelles oeuvres ils ont étudiées !
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User17706Bon génie
C'est incroyable, hein. Même expérience chez moi. Ils peuvent passer deux mois sur un bouquin et n'avoir qu'une vague idée de son titre.Lefteris a écrit:Et même d'une année sur l'autre. Quand je leur demande, pour avoir une idée ce qui'ls ont lu l'année précédente, j'ai très souvent , au mieux, le nom écorché d'une oeuvre que je peine à identifier. Et à l'oral , je fais parfois allusion à quelque chose qu'ils ont réellement étudié (parce que leur enseignant m'en a parlé) , et une bonne partie jure ses grands dieux qu'elle n'en a jamais entendu parler.retraitée a écrit:De toutes façons, pour bon nombre d'élèves, quel que soit le programme de lettres au collège, il n'en reste pas grand chose quand ils entrent au lycée. Il suffit de voir ce qu'ils écrivent sur les fiches à la rentrée, quand on leur demande quelles oeuvres ils ont étudiées !
- retraitéeDoyen
Ils "n'impriment pas" ! C'est bizarre, ils retiennent fort bien les noms des joueurs de foot, par exemple, et les scores des matchs !
- ParatgeNeoprof expérimenté
Claude Thélot ne connait les enseignants qu'à travers les tableaux de chiffres du ministère.
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- 12.12.2013 : L'enseignement sur France Culture avec Claude Thélot, Claude Seibel, Louise Tourret et Pascale Laporte (PE à Paris)
- Conseil Supérieur des Programmes : Claude Lelièvre insiste sur la "très forte présente d'enseignants" en son sein.
- "Peut-on réformer l'école"?" Marcel Gauchet et Claude Thélot.
- Les enseignants lisent-ils ?
- Combien gagnent les enseignants à travers le monde ?
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