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- User17706Bon génie
Si tu fais ça, les cours commencent en janvier et s'arrêtent mi-juin. Vacances jusqu'au 31 décembre suivant.Modulo a écrit:Prenons maintenant l'hypothèse d'une annualisation, mais qui prend en compte les heures de consultation, d'organisation, etc... bref TOUT ce que l'on fait, du coup on peut vite arriver à nos 1607 heures non ?
- gilthonielNiveau 5
Je suis contractuel admissible, c'est peut-être différent?Marcel Khrouchtchev a écrit:Absolument. 1h dans l'emploi du temps, même en "binôme", ça doit être compté comme une heure. Tant que l'annualisation n'existe pas, il ne faut pas la laisser s'insinuer par les TPE.gilthoniel a écrit:Si je comprend bien, 1h devant les élèves c'est une heure devant les élèves, même si je ne suis pas seul. Et je crois que ça s'arrête en Mars, pas en JanvierMarcel Khrouchtchev a écrit:Eh bien c'est illégal, demande de l'aide à n'importe quel syndicat, si on te met 2h de TPE, tu y as droit dans ton emploi du temps toute l'année, même si ça s'arrête en janvier.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Peut-être, je reconnais ne pas connaître les textes, il faudrait demander aux syndicalistes "pros" ici.gilthoniel a écrit:Je suis contractuel admissible, c'est peut-être différent?Marcel Khrouchtchev a écrit:Absolument. 1h dans l'emploi du temps, même en "binôme", ça doit être compté comme une heure. Tant que l'annualisation n'existe pas, il ne faut pas la laisser s'insinuer par les TPE.gilthoniel a écrit:Si je comprend bien, 1h devant les élèves c'est une heure devant les élèves, même si je ne suis pas seul. Et je crois que ça s'arrête en Mars, pas en Janvier
- MalagaModérateur
Ce que je craindrais dans une annualisation, c'est que lorsqu'une classe est absente (en voyage scolaire par exemple) et donc que trois heures de cours "sautent" dans la semaine, on nous demande de rattraper ces trois heures de cours. Alors que je suis certaine que lorsqu'on accompagnera un voyage scolaire, faisant donc beaucoup plus que 18h dans la semaine en présence d'élèves, cela ne sera jamais porté à notre crédit.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- User17706Bon génie
Non, mais c'est inorganisable. À la fac, on peut souvent rattraper si besoin est, les emplois du temps ont assez de trous pour ça. Au collège ou au lycée, c'est généralement impossible. Si c'est pour faire des heures de je ne sais quoi à titre purement vexatoire en l'absence des élèves, c'est stupide, et si c'est pour leur faire cours le dimanche ou le soir de 20h à 22h, c'est impossible. L'épouvantail de l'annualisation n'a d'intérêt que pour alimenter, à défaut d'apaiser, une certaine vindicte poujado-mégréto-cequevousvoudriste.
- User17706Bon génie
Sinon, on est bien d'accord que le temps passé sur Néo doit être compté dans la rubrique «réunions»?
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
COOL, plus de réunions pendant les trois ans à venir !
- CathEnchanteur
Ça m'étonnerait.Marcel Khrouchtchev a écrit:Peut-être, je reconnais ne pas connaître les textes, il faudrait demander aux syndicalistes "pros" ici.gilthoniel a écrit:Je suis contractuel admissible, c'est peut-être différent?Marcel Khrouchtchev a écrit:Absolument. 1h dans l'emploi du temps, même en "binôme", ça doit être compté comme une heure. Tant que l'annualisation n'existe pas, il ne faut pas la laisser s'insinuer par les TPE.
- ModuloHabitué du forum
Non, le décret concernant les contractuels admissibles ne prévoit pas qu'on puisse les entuber comme ça.Marcel Khrouchtchev a écrit:Peut-être, je reconnais ne pas connaître les textes, il faudrait demander aux syndicalistes "pros" ici.gilthoniel a écrit:Je suis contractuel admissible, c'est peut-être différent?Marcel Khrouchtchev a écrit:Absolument. 1h dans l'emploi du temps, même en "binôme", ça doit être compté comme une heure. Tant que l'annualisation n'existe pas, il ne faut pas la laisser s'insinuer par les TPE.
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Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple
- User5899Demi-dieu
En tout cas, c'est souvent plus fructueux iciPauvreYorick a écrit:Sinon, on est bien d'accord que le temps passé sur Néo doit être compté dans la rubrique «réunions»?
- Presse-puréeGrand sage
Annualiser, outre le fait que cela se ferait au détriment de nos conditions de travail et que cela donnerait un pouvoir énorme au CdE, serait un signal extrêmement symbolique: envers l'opinion, qui y verrait une mise au travail des feignasses, et envers les profs eux-mêmes, car cela montrerait que ce qui définit le métier, à savoir les cours, qui est le pivot des décrets de 1950, est en fait accessoire.
Demande-toi aussi qui est pour cette annualisation et pourquoi? Les motivations sont très loin d'être l'intérêt des élèves. C'est bien davantage une question de représentation du métier.
Demande-toi aussi qui est pour cette annualisation et pourquoi? Les motivations sont très loin d'être l'intérêt des élèves. C'est bien davantage une question de représentation du métier.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- Presse-puréeGrand sage
Ajoutons que dans un monde idéal, tu devras compter dans tes heures tout ce qui est de l'ordre des sorties/voyages... que tu accompagnes et organises, mais que dans les fait, bien au contraire, on te dira de rattraper les heures de cours perdues.
C'est à dire que, au niveau du discours, on explique que ces actions là sont importantes, déterminantes pour l'avenir de l'élève (ce que je crois, moi aussi), mais que dans les faits, on les considérera comme des perturbations du service.
Enfin, l'annualisation posera pour les collègues qui s'y adonnent la question des heures supplémentaires.
Mécaniquement, le volume des HS diminuera, puisque de nombreuses actions qui étaient comptées en HS avec les décrets de 50 passeront dans le service.
C'est à dire que, au niveau du discours, on explique que ces actions là sont importantes, déterminantes pour l'avenir de l'élève (ce que je crois, moi aussi), mais que dans les faits, on les considérera comme des perturbations du service.
Enfin, l'annualisation posera pour les collègues qui s'y adonnent la question des heures supplémentaires.
Mécaniquement, le volume des HS diminuera, puisque de nombreuses actions qui étaient comptées en HS avec les décrets de 50 passeront dans le service.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- IphigénieProphète
Voilà.Cripure a écrit:Non.
Et comme le système actuel ne présente pas d'inconvénients, on ne le touche pas.
Voilà.
Point-barre.
Et maintenant, le ministre, il s'occupe des choses importantes.
Commençons par régler les remplacements de la journée de pré-rentrée avant d'imaginer le grand soir de la réforme totale
(y en a qui manquent quand même d'imagination,ou d'anticipation- chez les profs.... )
ps: annualisation = il n'y aura plus de maxima de services par semaine . C'est tout simple!)
- CeladonDemi-dieu
Voilà. C'est comme ça que dans le primaire on s'est retrouvé avec des semaines à rallonge, des réunions à n'en plus finir et des temps de présence accrus sans qu'on ait à moufter.
- barègesÉrudit
Eh bien j'ai toujours mal compris, j'ai toujours rattrapé.Marcel Khrouchtchev a écrit:Dans le supérieur nous sommes annualisés et il devient difficile de faire comprendre à l'administration qu'un jour de maladie ou un jour férié, ça ne se rattrape pas. Et parfois des collègues rattrapent... Et là, c'est le doigt dans un engrenage merdique.
En revanche, dans le secondaire, l'annualisation (si elle est bien calculée à partir des services de 15/18h) aurait un avantage, qui est de graver dans le marbre les services et de ne pas permettre au ministère d'augmenter le nombre de semaines travaillées (car rien n'empêche de les augmenter pour pas un rond en plus).
Mais dans l'ensemble, je vois plus de risques que d'avantages à l'annualisation (et quand on voit qui est pour, ça me renforce dans l'idée que ça ne peut être qu'un piège pour les enseignants).
C'est imparable : tant d'heures de cours par an, des emplois du temps des étudiants qui laissent des plages "libres" pour y placer un cours de rattrapage... On se débrouille pour qu'à la fin de l'année, les heures statutaires soient faites. Ceci me paraissait "normal"...
Quitte à faire des semaines à 15 ou 18h de cours en fac quand j'avais manqué une semaine de cours pour passer l'agreg par exemple.
Je ne sais pas si les choses se passeraient comme cela dans le secondaire : si les élèves gardent un emploi du temps fixe par semaine, les absences ne peuvent pas être rattrapées de la sorte.
- CathEnchanteur
Rattraper une absence pour maladie ou concours, ce n'est pas la même chose que rattraper un férié !
- ModuloHabitué du forum
J'ose avouer que je ne comprends pas très bien ce que tu veux dire... Peux tu expliquer sitoplé ?Cath a écrit:Rattraper une absence pour maladie ou concours, ce n'est pas la même chose que rattraper un férié !
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Essayons d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple
- CathEnchanteur
Je comprends qu'on puisse souhaiter rattraper qu'on a manqué de son fait (pour un concours ou une maladie par exemple). Pas qu'on impose de rattraper un jour férié, lequel est rémunéré, pour tout le monde.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Et ça institutionnalise le fait que les jours de maladie et les jours fériés ne concernent que la partie "recherche" du travail des enseignants-chercheurs.barèges a écrit:Eh bien j'ai toujours mal compris, j'ai toujours rattrapé.Marcel Khrouchtchev a écrit:Dans le supérieur nous sommes annualisés et il devient difficile de faire comprendre à l'administration qu'un jour de maladie ou un jour férié, ça ne se rattrape pas. Et parfois des collègues rattrapent... Et là, c'est le doigt dans un engrenage merdique.
En revanche, dans le secondaire, l'annualisation (si elle est bien calculée à partir des services de 15/18h) aurait un avantage, qui est de graver dans le marbre les services et de ne pas permettre au ministère d'augmenter le nombre de semaines travaillées (car rien n'empêche de les augmenter pour pas un rond en plus).
Mais dans l'ensemble, je vois plus de risques que d'avantages à l'annualisation (et quand on voit qui est pour, ça me renforce dans l'idée que ça ne peut être qu'un piège pour les enseignants).
C'est imparable : tant d'heures de cours par an, des emplois du temps des étudiants qui laissent des plages "libres" pour y placer un cours de rattrapage... On se débrouille pour qu'à la fin de l'année, les heures statutaires soient faites. Ceci me paraissait "normal"...
Rattraper les maladies et les jours d'absence autorisés, OK, mais uniquement si cela se fait au tarif HSE, en plus du paiement de l'heure manquée.[/quote]Cath a écrit:Je comprends qu'on puisse souhaiter rattraper qu'on a manqué de son fait (pour un concours ou une maladie par exemple). Pas qu'on impose de rattraper un jour férié, lequel est rémunéré, pour tout le monde.
- WonderWomanBon génie
Mais quand t'es malade, t'as un AM, donc ... t'as pas à rattraper ? c'est quoi encore que ces bêtises ...barèges a écrit:Eh bien j'ai toujours mal compris, j'ai toujours rattrapé.Marcel Khrouchtchev a écrit:Dans le supérieur nous sommes annualisés et il devient difficile de faire comprendre à l'administration qu'un jour de maladie ou un jour férié, ça ne se rattrape pas. Et parfois des collègues rattrapent... Et là, c'est le doigt dans un engrenage merdique.
En revanche, dans le secondaire, l'annualisation (si elle est bien calculée à partir des services de 15/18h) aurait un avantage, qui est de graver dans le marbre les services et de ne pas permettre au ministère d'augmenter le nombre de semaines travaillées (car rien n'empêche de les augmenter pour pas un rond en plus).
Mais dans l'ensemble, je vois plus de risques que d'avantages à l'annualisation (et quand on voit qui est pour, ça me renforce dans l'idée que ça ne peut être qu'un piège pour les enseignants).
C'est imparable : tant d'heures de cours par an, des emplois du temps des étudiants qui laissent des plages "libres" pour y placer un cours de rattrapage... On se débrouille pour qu'à la fin de l'année, les heures statutaires soient faites. Ceci me paraissait "normal"... !!!!!!!!!!
Quitte à faire des semaines à 15 ou 18h de cours en fac quand j'avais manqué une semaine de cours pour passer l'agreg par exemple.
Je ne sais pas si les choses se passeraient comme cela dans le secondaire : si les élèves gardent un emploi du temps fixe par semaine, les absences ne peuvent pas être rattrapées de la sorte.
J'ai été hospitalisée, absente 3 semaines ... j'aurais fait comment ? et imaginons ceux qui sont absents encore plus longtemps ...
Et puis soyons honnêtes, quand on est malade, en général, c'est que le corps est fragilisé (fatigue, stress) du coup, se cogner le travail à refaire, c'est encore plus se fragiliser et donc ... on ne s'en sort pas.
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- barègesÉrudit
Ce n'était pas une maladie pour moi, mais une sorte de "convenance personnelle" (passer un concours). Mais entre écrits et oraux, ce sont deux semaines qui ont été bloquées.
Je confirme cependant que des collègues rattrapaient des jours manqués, totalement ou en partie; les semestres sont courts, souvent chaque heure compte.
Je confirme cependant que des collègues rattrapaient des jours manqués, totalement ou en partie; les semestres sont courts, souvent chaque heure compte.
- barègesÉrudit
Je me souviens que le côté "gag" de la grève de 2009 avait été accentué par ce phénomène : sous la pression des examens qui arrivaient, les cours non assurés les fameux mardis de mobilisation finissaient par l'être ailleurs dans la semaine (quand ils ne l'étaient pas le mardi hors les murs).Marcel Khrouchtchev a écrit:Et ça institutionnalise le fait que les jours de maladie et les jours fériés ne concernent que la partie "recherche" du travail des enseignants-chercheurs.barèges a écrit:Eh bien j'ai toujours mal compris, j'ai toujours rattrapé.Marcel Khrouchtchev a écrit:Dans le supérieur nous sommes annualisés et il devient difficile de faire comprendre à l'administration qu'un jour de maladie ou un jour férié, ça ne se rattrape pas. Et parfois des collègues rattrapent... Et là, c'est le doigt dans un engrenage merdique.
En revanche, dans le secondaire, l'annualisation (si elle est bien calculée à partir des services de 15/18h) aurait un avantage, qui est de graver dans le marbre les services et de ne pas permettre au ministère d'augmenter le nombre de semaines travaillées (car rien n'empêche de les augmenter pour pas un rond en plus).
Mais dans l'ensemble, je vois plus de risques que d'avantages à l'annualisation (et quand on voit qui est pour, ça me renforce dans l'idée que ça ne peut être qu'un piège pour les enseignants).
C'est imparable : tant d'heures de cours par an, des emplois du temps des étudiants qui laissent des plages "libres" pour y placer un cours de rattrapage... On se débrouille pour qu'à la fin de l'année, les heures statutaires soient faites. Ceci me paraissait "normal"...
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Ah mais je ne dis pas le contraire. Seulement, il y a un droit qui nous protège normalement de ce genre de pratiques. Et il est difficile à mettre en avant lorsqu'on a un temps de travail annualisé.barèges a écrit:Ce n'était pas une maladie pour moi, mais une sorte de "convenance personnelle" (passer un concours). Mais entre écrits et oraux, ce sont deux semaines qui ont été bloquées.
Je confirme cependant que des collègues rattrapaient des jours manqués, totalement ou en partie; les semestres sont courts, souvent chaque heure compte.
- barègesÉrudit
Voilà, c'est exactement ça. Un des risques du passage à l'annualisation.
- JacqGuide spirituel
Dans la fac que je connais et fréquente (je ne parle donc pas de toutes les fac) les prof cumulent toutes leurs heures en début d'année, les Edt des étudiants sont surchargés, ils finissent parfois à 10h du soir, les salles sont surchargées durant tout une partie de l'année, les personnels doivent se plier au lubies des prof (terminer à dix heures, laisser les salles ouvertes.... venir les fermer ensuite, les horaires imposés par les prof sont imposés aux autres personnels, et cela ils s'en foutent complètement), les prof de fac demandent de nouvelles salles qui sont alors construites....Cath a écrit:A la fac de droit du coin, les étudiants rattrapent le 11 novembre.
Et puis l'autre moitié de l'année passée :
- les salles sont notées comme occupées alors qu'elles ne le sont pas,
- les étudiants n'ont presque plus d'heures,
- les prof sont en quasi vacances,
- les salles construites pour gérer la pénurie en début d'année sont vides.
Gaspillage et dérives.... voilà le résultat dans cette fac.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Eh ben, c'est pas brillant comme tableau... C'est en quelle discipline?
Juste une remarque: quand les profs ont fait leurs heures d'enseignement (surtout quand elles sont regroupées de façon aussi intense), ils ne sont pas "en quasi vacances". Ils font de la recherche, qui est le second volet de leur travail.
Juste une remarque: quand les profs ont fait leurs heures d'enseignement (surtout quand elles sont regroupées de façon aussi intense), ils ne sont pas "en quasi vacances". Ils font de la recherche, qui est le second volet de leur travail.
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- Emploi du temps et annualisation du temps de travail
- Temps partiel et temps de travail
- PJL Fonction publique : annualisation du temps de travail, une proposition d'amendement du Sénateur Brisson
- Le temps de travail des enseignants
- 24h/semaine : Faut-il compter le temps de récréation dans le temps de travail des écoliers ?
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