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- ChocolatGuide spirituel
Mais encore ?lalilala a écrit:
mouais...
Ça, c'est très sain !StephC a écrit:
Nulle intention de déserter donc mais la ferme envie de prendre du recul. Car mine de rien, ma petite famille (qui est sur le point de s'agrandir), mérite de ma part la plus grande présence ! J'avoue l'avoir un peu délaissée depuis que je me suis lancé dans cette reconversion. Triple buse que je suis
- SapotilleEmpereur
En suivant les livres de français et de calcul SLECC, tu as vraiment un outil "clé en main" ...StephC a écrit:J'avoue m'être un peu noyé dans la jungle des ressources pédagogiques. Plus triste encore, j'ai renoncé à utiliser mes manuels Slecc . Le double niveau, les visites hebdomadaires... Je n'ai pas assumé. Et pourtant, je n'ai encore rien trouvé de mieux. Ah si ! Cléo. Non, je déconne.
Il te faudra sans doute les défendre face à tes visiteurs !
Reste soft !
Et Cléo, c'est peut-être pas mal pour occuper les très rapides qui ainsi te laisseront le temps d'épauler les autres !
- doublecasquetteEnchanteur
Bon conseil de Sapotille... Reste soft !
Si ta validation en dépend, abandonne Slecc pour le moment et à fond dans Cléo si ça fait plaisir à ton PEMF.
Si ce sont simplement d'aide ou de conseils dont tu as besoin, n'hésite pas, même par MP !
Cordialement,
Doublecasquette
Si ta validation en dépend, abandonne Slecc pour le moment et à fond dans Cléo si ça fait plaisir à ton PEMF.
Si ce sont simplement d'aide ou de conseils dont tu as besoin, n'hésite pas, même par MP !
Cordialement,
Doublecasquette
- SapotilleEmpereur
Tu pourrais aussi faire du SLECC au quotidien, quand personne ne le voit et sortir Cléo pour tes visiteurs !
(C'est tout de même terrible de devoir cacher un outil si performant !)
Parce que avec Cléo, il n'y a pas d'apprentissages systématiques ...
Cléo, c'est bien quand on sait déjà !
(C'est tout de même terrible de devoir cacher un outil si performant !)
Parce que avec Cléo, il n'y a pas d'apprentissages systématiques ...
Cléo, c'est bien quand on sait déjà !
- nuagesGrand sage
Je comprends très bien le mouais dubitatif de Lalilala car, Chocolat, tu parles d'enseigner comme on voudrait le faire en gardant sa liberté personnelle ou bien de quitter le métier au bout de quelques années s'il ne nous convient pas. Aucun élément de cette alternative ne me semble vraiment réalisable...Chocolat a écrit:Mais encore ?lalilala a écrit:
mouais...
- A TuinVénérable
L'année de stage, c'est la poisse. Il n'y a que des gens pour te dire comment te comporter et comment penser, et qui veulent s'ériger en modèles alors qu'ils n'en ont pas les moyens et seulement les prétentions. Des gens qui n'ont jamais rien fait et ne connaissent rien mais qui sont les premiers à critiquer lorsque c'est le cas.StephC a écrit:. J'avoue m'être un peu noyé dans la jungle des ressources pédagogiques. Plus triste encore, j'ai renoncé à utiliser mes manuels Slecc . Le double niveau, les visites hebdomadaires... Je n'ai pas assumé. Et pourtant, je n'ai encore rien trouvé de mieux. Ah si ! Cléo. Non, je déconne.
Il y a aussi des gens très bien et au comportement mesuré, mais on n'a pas toujours la chance de bénéficier de leurs conseils et de leur bienveillance en ce contexte particulier. Il faut savoir les apprécier quand il y en a.
Tu te sentiras mieux après l'année de stage. En attendant, bon courage !
- ChocolatGuide spirituel
Pourquoi ?nuages a écrit:
Je comprends très bien le mouais dubitatif de Lalilala car, Chocolat, tu parles d'enseigner comme on voudrait le faire en gardant sa liberté personnelle ou bien de quitter le métier au bout de quelques années s'il ne nous convient pas. Aucun élément de cette alternative ne me semble vraiment réalisable...
Perso, je reconnais volontiers que je ne supporterais pas de subir mon métier.
L'exercer en tant que job exclusivement alimentaire me paraît destructeur, autant pour les élèves que pour l'enseignant.
_________________
- GrypheMédiateur
Et c'est à ce moment précis qu'il faut choisir de rester.StephC a écrit:L'égalité des chances, c'est du vent.
Je suis stupéfait. Pas de mots. Trop de discours, trop de mensonges, d'approximations, de contre-vérités, de bêtise crasse.
Pause.
J'ai failli partir plusieurs fois (pour des raisons hors-EN) et ai fait le choix de rester. En changeant de métier, certes, et peut-être en changerai-je encore, qui sait ? Mais de rester quand même.
Tes petits élèves ont besoin de toi ! Ta famille aussi ; il y a sans doute un équilibre à trouver. Repense aux moment de joie. Aux moments où Maxime t'a regardé avec de la lumière dans les yeux en disant "Ça y est, j'ai compris !". Repense à ce moment où, sur tes conseils, Juliette a pu aider Coralie à finir son exercice. Repense à la discussion avec Madame Michu qui t'a dit que quand même, son petit aimait beaucoup venir en classe avec toi... Et tu verras, la période qui va jusqu'à fin décembre va filer à toute allure.
Dans les moments de blues, n'hésite pas à repasser ici... On est là pour ça.
- stresszenNiveau 5
Je suis moi aussi nouvelle dans la profession et je suis en lycée pro.
La désillusion sur notre système scolaire, je connais aussi.
Je pense que l'on peut trouver une satisfaction dans notre personnalité. Je veux dire par là, par le contact humain.
Leur donner envie, leur apprendre des choses, leur laisser "une trace" dans leur esprit... c'est là qu'on peut intervenir. On doit s'adapter aux réformes et aux programmes... pas le choix... mais s'ils peuvent repenser à leur année avec nous en ayant le sentiment d'avoir eu quelqu'1 de compétent, qui les comprenaient, qui s'adaptait à leur personnalité, c'est bien non?
Le tout est de savoir si c'est possible et si on est doué pour ça... on en saura + à al fin de l'année... (mais quand les élèves sont contents de nous voir c'est deja bon signe? Bon en LP, ce n'est pas tjs le cas!)
La désillusion sur notre système scolaire, je connais aussi.
Je pense que l'on peut trouver une satisfaction dans notre personnalité. Je veux dire par là, par le contact humain.
Leur donner envie, leur apprendre des choses, leur laisser "une trace" dans leur esprit... c'est là qu'on peut intervenir. On doit s'adapter aux réformes et aux programmes... pas le choix... mais s'ils peuvent repenser à leur année avec nous en ayant le sentiment d'avoir eu quelqu'1 de compétent, qui les comprenaient, qui s'adaptait à leur personnalité, c'est bien non?
Le tout est de savoir si c'est possible et si on est doué pour ça... on en saura + à al fin de l'année... (mais quand les élèves sont contents de nous voir c'est deja bon signe? Bon en LP, ce n'est pas tjs le cas!)
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
La même ! Et je compatis à votre désarroi Steph, en faisant moi-même l'expérience quotidiennement, tentant le grand écart entre les injonctions contradictoires et ma conscience pro.philann a écrit:Perso, c'est les ânneries de l'institution qui me coutent le plus...
La perte de sens de mon métier me navre. Cela et la constante pression pour réaliser des imbécillités "innovantes" qui feront zouli dans la vitrine.
- yogiSage
Non,c'est un mode de survie.On travaille pour bouffer et payer les factures. Je n'ai plus la foi ni la passion.Liberté dans sa classe,ouais mais ca ne retire pas toutes les khonneries qu'on subit,qu'on nous fait faire.On va droit dans le mur.On le sait tous et on participe à la mascarade.Chocolat a écrit:Pourquoi ?nuages a écrit:
Je comprends très bien le mouais dubitatif de Lalilala car, Chocolat, tu parles d'enseigner comme on voudrait le faire en gardant sa liberté personnelle ou bien de quitter le métier au bout de quelques années s'il ne nous convient pas. Aucun élément de cette alternative ne me semble vraiment réalisable...
Perso, je reconnais volontiers que je ne supporterais pas de subir mon métier.
L'exercer en tant que job exclusivement alimentaire me paraît destructeur, autant pour les élèves que pour l'enseignant.
Courage à tous!
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Je suis d'accord Yogi, on travaille pour bouffer et payer ses factures . Même si, à la base, un certain nombre d'entre nous ont fait ce boulot parce qu'ils y croyaient , de fait, plus dure est la chute.
- ChocolatGuide spirituel
Je ne sais pas être prof pour bouffer et payer mes factures et je crois que ce n'est même pas la peine que je tente ce mode de fonctionnement - j'aurais l'impression de devoir me transformer en robot et je crois que je pèterais très sérieusement les plombs, comme Charlot dans Modern Times.yogi a écrit:Non,c'est un mode de survie.On travaille pour bouffer et payer les factures. Je n'ai plus la foi ni la passion.Liberté dans sa classe,ouais mais ca ne retire pas toutes les khonneries qu'on subit,qu'on nous fait faire.On va droit dans le mur.On le sait tous et on participe à la mascarade.Chocolat a écrit:Pourquoi ?nuages a écrit:
Je comprends très bien le mouais dubitatif de Lalilala car, Chocolat, tu parles d'enseigner comme on voudrait le faire en gardant sa liberté personnelle ou bien de quitter le métier au bout de quelques années s'il ne nous convient pas. Aucun élément de cette alternative ne me semble vraiment réalisable...
Perso, je reconnais volontiers que je ne supporterais pas de subir mon métier.
L'exercer en tant que job exclusivement alimentaire me paraît destructeur, autant pour les élèves que pour l'enseignant.
Courage à tous!
Bref, ce que tu écris me rend triste, et le fait de découvrir que chaque jour, les rangs des enseignants désenchantés grossissent, me fout en rogne.
Merci aux politiques et aux "experts" de l'EN de casser les meilleures bonnes volontés !
Système de m... !
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- yogiSage
Oui. Je conseille l'EN à personne.Asha Kraken a écrit:Je suis d'accord Yogi, on travaille pour bouffer et payer ses factures . Même si, à la base, un certain nombre d'entre nous ont fait ce boulot parce qu'ils y croyaient , de fait, plus dure est la chute.
Souvent je me dis que travailler 35h/semaine dans un bureau derrière un ordi me donnerait également à bouffer et me fatiguerait beaucoup moins!
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- arcencielGrand Maître
StephC, fais soft comme te le conseillent DC et Sapotille. Ne perds pas de temps à faire des fiches de prép élaborées; le plus important pour ta leçon est quel est l'objectif de ma leçon? Comment vais-je m'y prendre? (Moi je m'arrête là)
Ensuite chacun a sa façon de faire... par ex à chaque période de vacances je me bloque 2 à 3 jours où j'essaie de m'avancer le plus possible ds les traces écrites, la programmation ds différentes matières pour les semaines à venir... Ainsi j'ai plus de latitude pour m'occuper des élèves, je suis moins pressée par le temps. Bon, il faut dire que tout ce qui est projets et je ne sais quoi encore je renâcle, dis non souvent et ça me passe au-dessus... Que veux-tu qu'ils nous fassent? Franchement? Fais le dos rond jusqu'à ta titularisation et ensuite du recul stp!
Bonne chance et plein de courage!
Ensuite chacun a sa façon de faire... par ex à chaque période de vacances je me bloque 2 à 3 jours où j'essaie de m'avancer le plus possible ds les traces écrites, la programmation ds différentes matières pour les semaines à venir... Ainsi j'ai plus de latitude pour m'occuper des élèves, je suis moins pressée par le temps. Bon, il faut dire que tout ce qui est projets et je ne sais quoi encore je renâcle, dis non souvent et ça me passe au-dessus... Que veux-tu qu'ils nous fassent? Franchement? Fais le dos rond jusqu'à ta titularisation et ensuite du recul stp!
Bonne chance et plein de courage!
- yogiSage
Oui,il y a des choses qui passent en priorité. Ne pas s'encombrer ni se rendre malade surtout!arcenciel a écrit:StephC, fais soft comme te le conseillent DC et Sapotille. Ne perds pas de temps à faire des fiches de prép élaborées; le plus important pour ta leçon est quel est l'objectif de ma leçon? Comment vais-je m'y prendre? (Moi je m'arrête là)
Ensuite chacun a sa façon de faire... par ex à chaque période de vacances je me bloque 2 à 3 jours où j'essaie de m'avancer le plus possible ds les traces écrites, la programmation ds différentes matières pour les semaines à venir... Ainsi j'ai plus de latitude pour m'occuper des élèves, je suis moins pressée par le temps. Bon, il faut dire que tout ce qui est projets et je ne sais quoi encore je renâcle, dis non souvent et ça me passe au-dessus... Que veux-tu qu'ils nous fassent? Franchement? Fais le dos rond jusqu'à ta titularisation et ensuite du recul stp!
Bonne chance et plein de courage!
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- PatissotDoyen
Le recul, oui, mais lorsqu'on en a trop pris difficile de pas aller au travail à reculons.
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- stresszenNiveau 5
Le fait de rééquilibrer avec ta vie de famille est très bien. Cela te permettra de trouver + de plaisir dans ta profession si tu n'as pas le sentiment qu'elle te prend tout ton temps! Après, une bonne série de jeux ou de câlins, tes prepa de cours te paraitront surement - contraignantes.
- atriumNeoprof expérimenté
Alors que ceux qui, dès le départ, ont considéré que c'était un métier comme un autre (mon cas ) sont moins usés (ou plus tard) que ceux qui y sont venus par vocation.Asha Kraken a écrit:Je suis d'accord Yogi, on travaille pour bouffer et payer ses factures . Même si, à la base, un certain nombre d'entre nous ont fait ce boulot parce qu'ils y croyaient , de fait, plus dure est la chute.
Steph, la vraie question c'est de savoir si, malgré tout, tu es bien en classe avec les élèves la majorité du temps. Si ta réponse est oui, accroche-toi. L'année de stage est une sorte de rituel de bizutage. C'est idiot mais il faut en passer par là.
En revanche, si tu es mal à l'aise avec les élèves, il faut songer à laisser tomber mais pas abruptement.
Dans les deux cas, courage à toi.
- JulHabitué du forum
Steph,
Fait semblant d'être docile pendant cette année de stage, puis, comme te l'ont dit d'autres collègues PE, choisit tes propres méthodes et ta manière de faire et d'être.
C'est vraiment une sale année à passer. L'IUFM et les tuteurs te donnent des objectifs non réalisables, mais fait toi plaisir autant que tu peux en classe.
Et profite bien de ta famille.
Courage.
Fait semblant d'être docile pendant cette année de stage, puis, comme te l'ont dit d'autres collègues PE, choisit tes propres méthodes et ta manière de faire et d'être.
C'est vraiment une sale année à passer. L'IUFM et les tuteurs te donnent des objectifs non réalisables, mais fait toi plaisir autant que tu peux en classe.
Et profite bien de ta famille.
Courage.
- palomitaNeoprof expérimenté
Je compatis , j'ai l'impression que tu te sens noyé par la masse d'informations ( parfois contradictoires ), les " il faut faire ci" ou " il faut faire ça" , les injonctions qui pèsent sur tout prof stagiaire , la pression constante des visites, les tâches chronophages à accomplir en dehors des heures de classe etc...
C'est assez courant la première année car on ne sait pas comment faire, il y a le décalage entre ce qu'on aimerait faire et ce qu'on nous demande pour devenir titulaire ; de plus tous les cours , toutes les progressions sont à construire, il faut s'adapter à l'univers particulier de l'éducation nationale , apprendre à connaître les élèves ...
La première année, on en bave tous ! Et on a du mal à prendre du recul par manque d'expérience .
Laisse-toi du temps .
Je suis persuadée que ça ira mieux l'an prochain , quand la pression sera retombée un peu. En attendant, suis les excellents conseils donnés par les collègues sur ce fil et n'hésite pas à demander de l'aide quand ça ne va pas .
Courage
C'est assez courant la première année car on ne sait pas comment faire, il y a le décalage entre ce qu'on aimerait faire et ce qu'on nous demande pour devenir titulaire ; de plus tous les cours , toutes les progressions sont à construire, il faut s'adapter à l'univers particulier de l'éducation nationale , apprendre à connaître les élèves ...
La première année, on en bave tous ! Et on a du mal à prendre du recul par manque d'expérience .
Laisse-toi du temps .
Je suis persuadée que ça ira mieux l'an prochain , quand la pression sera retombée un peu. En attendant, suis les excellents conseils donnés par les collègues sur ce fil et n'hésite pas à demander de l'aide quand ça ne va pas .
Courage
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"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- invitéeEBNiveau 10
Je suis en année de stage pour la validation de mon concours ! Et jamais année d'enseignement ne m'a parue si lourde ! Je me prends en pleine face les incohérences de l'EN, je mesure encore plus le gouffre qui sépare ce que l'on devrait faire et de ce que l'on peut faire réellement ! Si je n'avais pas toute cette exprérience derrière moi, je ne suis pas certaine que je tiendrais le choc. Cette année, je me sens totalement bridée dans ma manière d'enseigner ! Je me sens surveillée, contrôlée et j'ai horreur de cela. Je souffre de devoir me conformer à certaines inepties pour pouvoir être validée.
Mais c'est parce que j'ai l'assurance de pouvoir être plus "moi-même" dans mon enseignement les années qui suivront que je supporte et que je tiens le coup !
Je comprends ton découragement ! Mais laisse toi encore deux ou trois ans et tu verras que, malgré des contradictions et des aberrations, ce métier peut être fabuleux !
Bon courage en tout cas !!
Mais c'est parce que j'ai l'assurance de pouvoir être plus "moi-même" dans mon enseignement les années qui suivront que je supporte et que je tiens le coup !
Je comprends ton découragement ! Mais laisse toi encore deux ou trois ans et tu verras que, malgré des contradictions et des aberrations, ce métier peut être fabuleux !
Bon courage en tout cas !!
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Le problème pour les PE, mais je ne veux pas parler pour eux (c'est mon vécu d'ex de PE qui me fait écrire cela ainsi que la lecture du forum), c'est qu'ils sont bien plus fliqués et soumis aux pressions que nous ne le sommes dans le secondaire , ils ont les mains bien plus liées et les dénonciations auprès de l'inspection ne sont pas chose rare. Donc, faire le dos rond en attendant la titularisation me semble de bon sens mais cela ne signifie pas que les pressions s'évanouiront par la suite.Emma B. a écrit:Je suis en année de stage pour la validation de mon concours ! Et jamais année d'enseignement ne m'a parue si lourde ! Je me prends en pleine face les incohérences de l'EN, je mesure encore plus le gouffre qui sépare ce que l'on devrait faire et de ce que l'on peut faire réellement ! Si je n'avais pas toute cette exprérience derrière moi, je ne suis pas certaine que je tiendrais le choc. Cette année, je me sens totalement bridée dans ma manière d'enseigner ! Je me sens surveillée, contrôlée et j'ai horreur de cela. Je souffre de devoir me conformer à certaines inepties pour pouvoir être validée.
Mais c'est parce que j'ai l'assurance de pouvoir être plus "moi-même" dans mon enseignement les années qui suivront que je supporte et que je tiens le coup !
Je comprends ton découragement ! Mais laisse toi encore deux ou trois ans et tu verras que, malgré des contradictions et des aberrations, ce métier peut être fabuleux !
Bon courage en tout cas !!
- CeladonDemi-dieu
Le primaire est en effet resté... très primaire. C'est la persistance de la culture du Code Soleil sans doute...
Très fliqué et du point de vue boulot, en un sens très "esclavagiste".
Très fliqué et du point de vue boulot, en un sens très "esclavagiste".
- LaCatalaneNiveau 10
Oui, vous avez raison, le primaire me semble de plus en plus fliqué (les "stagiaires" de maintenant doivent supporter des pressions que je n'ai pas eu à supporter lorsque j'étais PE2 en 1998, ou lors de ma première année d'enseignement et d'inspection en 1999)...
StepC, ne perds pas courage, comme te l'ont dit les collègues du forum : fais le dos rond, montre ce qu'ils veulent voir cette année, et régale-toi l'année prochaine et toutes les futures années avec tes élèves sans cette impression de flicage (C'était ce smiley pompom que tu voulais ? )
Oui, c'est un beau métier, mais oui, il est de plus en plus difficile et je bous moi aussi de voir que les personnes les plus motivées en viennent à baisser les bras (et j'en fais partie aussi face à l'administration de l'EN, aux parents, aux mairies,...). Chaque jour je me dis que j'ai de la chance d'avoir des collègues que j'apprécie de revoir chaque jour, et des élèves qui malgré tout sont assez attachants pour me motiver et m'obliger à accepter le challenge de les aider à apprendre et à aimer apprendre... Vraiment pas facile tous les jours, même à la 15ème année d'enseignement...
StepC, ne perds pas courage, comme te l'ont dit les collègues du forum : fais le dos rond, montre ce qu'ils veulent voir cette année, et régale-toi l'année prochaine et toutes les futures années avec tes élèves sans cette impression de flicage (C'était ce smiley pompom que tu voulais ? )
Oui, c'est un beau métier, mais oui, il est de plus en plus difficile et je bous moi aussi de voir que les personnes les plus motivées en viennent à baisser les bras (et j'en fais partie aussi face à l'administration de l'EN, aux parents, aux mairies,...). Chaque jour je me dis que j'ai de la chance d'avoir des collègues que j'apprécie de revoir chaque jour, et des élèves qui malgré tout sont assez attachants pour me motiver et m'obliger à accepter le challenge de les aider à apprendre et à aimer apprendre... Vraiment pas facile tous les jours, même à la 15ème année d'enseignement...
_________________
Septembre 1999 : CM2 bilingue.
Septembre 2004 : CE1/CE2 ou CE1 (selon les effectifs de l'école).
Depuis septembre 2007 : CP/CE1 ou CP (idem).
Les alphas au CP depuis 2009
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- LaCatalaneNiveau 10
StephC, quel métier faisais-tu avant ?
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