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- JohnMédiateur
Extrait :
http://www.la-croix.com/Famille/Education/Le-succes-contraste-des-classes-preparatoires-2013-10-03-1031988Les étudiants de classe prépa sont-ils soumis à un stress excessif ?
De loin en loin, ce reproche refait surface. C’est « l’excellence payée au prix fort », dénonçait ainsi Marie Desplechin dans les colonnes du Monde il y a un an. Dans cet article, qui a déclenché une polémique, la romancière évoque une « formation brutale », une « ambiance de service militaire ». Les « enseignants utilisent volontiers un arsenal de méthodes pédagogiques qu’ils ont eux-mêmes connues et qui sont destinées à endurcir : contrôles longs et fréquents, notes très basses, classements permanents ». Ces méthodes, sous-entend-elle, ne sont pas étrangères à de nombreux cas – jamais recensés – d’anorexie, de maladie, voire de suicide.
« Durant mon année d’hypokhâgne, j’ai perdu dix kilos », raconte une ancienne élève aixoise. En cause, selon elle : le stress, le café, le manque de sommeil, une alimentation chaotique. « Mon emploi du temps comptait au moins 25 heures de cours hebdomadaires, plus les devoirs surveillés, plus les mémoires à écrire, plus les dissertations à rendre en permanence », énumère-t-elle. Ce qui lui a permis de tenir le choc, même si elle se souvient d’avoir parfois craqué et fondu en larmes : le fait d’avoir logé dans la même résidence étudiante que nombre de ses camarades, ce qui lui permettait de travailler régulièrement au sein d’un groupe « très soudé ».
L’esprit d’équipe, cependant, n’est pas toujours la règle. « Certaines prépas misent avant tout sur la compétition individuelle : chacun est en guerre contre ses camarades », relève le pédopsychiatre Patrice Huerre (3). Dans ces classes, il arrive parfois qu’un élève qui a obtenu une mention « très bien » ou « excellent » au baccalauréat se retrouve, dans la même discipline, avec une note proche du zéro, voire carrément négative… « L’essentiel, c’est de s’y préparer, d’avoir conscience qu’un 5/20 en prépa correspond à une note tout à fait convenable dans les autres cursus », poursuit-il.
« On donne des notes avant tout pour permettre aux élèves de se situer par rapport au niveau exigé le jour du concours », tempère Sylvie Bonnet, présidente de l’Union des professeurs des classes préparatoires scientifiques. « Il peut y avoir çà ou là des excès, qui conduisent parfois des proviseurs à imposer aux enseignants des moyennes de classe. Mais le stress est surtout lié au volume de travail et à la crainte d’échouer. Cette angoisse n’est pas l’apanage des prépas, j’y vois plutôt un signe des temps », glisse-t-elle.
En tout cas, cette voie ne convient pas à tout le monde, met en garde Patrice Huerre. « Le profil idéal est celui d’un jeune qui possède un bon niveau scolaire, qui n’est pas trop mature et n’aspire pas à un degré élevé d’autonomie, qui a suffisamment confiance en ses compétences et qui possède de grandes réserves de travail », résume-t-il. Chez d’autres, un passage par la prépa peut « précipiter une fragilité préexistante ».
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- User5899Demi-dieu
Palombella, vous êtes trop exigeante !!
- LoïseNiveau 7
Quand je vois que des professeurs harcèlent (trois rendez vous depuis le début de l'année pour en parler !) ma nièce pour l'envoyer en prépa alors que :
- ça ne l'intéresse pas
- elle déteste rester assise sur une chaise pour faire du français ou de l'histoire, elle préfère le travail manuel. Elle voulait faire un CAP mais on l'a empêchée parce qu'elle était bonne élève
- elle est faible psychologiquement, sous anti-dépresseur.
ça ne m'étonne pas que certains le vivent mal...
- ça ne l'intéresse pas
- elle déteste rester assise sur une chaise pour faire du français ou de l'histoire, elle préfère le travail manuel. Elle voulait faire un CAP mais on l'a empêchée parce qu'elle était bonne élève
- elle est faible psychologiquement, sous anti-dépresseur.
ça ne m'étonne pas que certains le vivent mal...
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N'hésitez pas à me signaler mes fautes d'orthographe par mp !
- yogiSage
J'ai ressenti tout ce qui est dit dans cet article.
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- AlExpert spécialisé
Oui, mais seul un passage par la prépa garantit de bonnes méthodes et un savoir solide (je fais référence à une ancienne discussion où j'avais pointé les "failles" de la prépa et où beaucoup de monde sur ce forum m'avait répondu cela.)
- Spoiler:
- coup de gueule du jour on : Inutile de préciser que je ne suis pas d'accord et quand je vois tous ces chercheurs s'étriper sur un point de détail au détriment de questions de fond, puis comparer ensuite de quel grand lycée ils viennent / quelle grande prépa ils ont faite - ah bah y en a qu'une XD / l'année de l'entrée en ENS... boah, je me dis, à force de se reproduire entre eux y finiront bientôt stériles !!! -coup de gueule du jour off.
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"C’est le grand nuage des ambitions moroses qui étouffe la voix d’Éros."
- InviteeFVénérable
Eh oh, y a des gens très bien qui naissent de deux parents sortis de la même grande école dans la même discipline!!Aletheia a écrit:Oui, mais seul un passage par la prépa garantit de bonnes méthodes et un savoir solide (je fais référence à une ancienne discussion où j'avais pointé les "failles" de la prépa et où beaucoup de monde sur ce forum m'avait répondu cela.)Je suis élitiste, mais pour un élitisme de l'excellence et de l'intelligence, pas d'une provenance sociale / d'un cursus pré-établi. Et le nombre de personnes (brillantes, matures, autonomes) qu'on envoie à l'abattoir comme ça...
- Spoiler:
coup de gueule du jour on : Inutile de préciser que je ne suis pas d'accord et quand je vois tous ces chercheurs s'étriper sur un point de détail au détriment de questions de fond, puis comparer ensuite de quel grand lycée ils viennent / quelle grande prépa ils ont faite - ah bah y en a qu'une XD / l'année de l'entrée en ENS... boah, je me dis, à force de se reproduire entre eux y finiront bientôt stériles !!! -coup de gueule du jour off.
(Et qui du coup.... ne font pas de prépa :lol: )
- InviteeFVénérable
Sinon, même si j'en déteste l'ambiance, je pense que la classe prépa
- doit continuer à exister.
- représente de formidables opportunités.
- est certes très difficile (mais on n'a rien sans rien. Pour réussir brillamment à la fac il faut aussi s'astreindre à énormément de boulot)
- n'est pas non plus indispensable pour réussir.
- n'est pas faite pour tout le monde (niveau de connaissances, compétences, mais aussi résistance, endurance et volonté requis)
- doit continuer à exister.
- représente de formidables opportunités.
- est certes très difficile (mais on n'a rien sans rien. Pour réussir brillamment à la fac il faut aussi s'astreindre à énormément de boulot)
- n'est pas non plus indispensable pour réussir.
- n'est pas faite pour tout le monde (niveau de connaissances, compétences, mais aussi résistance, endurance et volonté requis)
- MrBrightsideEmpereur
Le jour ou on arrêtera de parler de la prépa, il fera plus chaud qu'aujourd'hui.
- stenchMonarque
Fallait poster ça dans le topic "régimes"! :lol:
- InviteeFVénérable
En fait, Maria Kang a suivi un cursus de prépa après chaque grossesse !stench a écrit:Fallait poster ça dans le topic "régimes"! :lol:
- InvitéInvité
Ça devrait arriver d'ici l'été prochain alors.MrBrightside a écrit:Le jour ou on arrêtera de parler de la prépa, il fera plus chaud qu'aujourd'hui.
- totoroMonarque
J'avais 36 heures de cours (et je n'ai pas perdu 1 gramme)...
Evidemment, comme mon ambition n'était pas d'intégrer l'ENS, j'ai levé le pied dès que j'ai senti que je ne tiendrais pas le coup (d'ailleurs, en y repensant, je ne crois pas que mes notes aient baissé entre le moment où je dormais 4-5 heures par nuit et le moment où j'ai décidé qu'à minuit au plus tard, il fallait se coucher...)
C'était aussi une toute petite prépa de province: aucun prof ne nous donnait l'illusion que nous avions la moindre chance... sauf le prof d'histoire, mais c'était (c'est toujours...) un grand malade...
Evidemment, comme mon ambition n'était pas d'intégrer l'ENS, j'ai levé le pied dès que j'ai senti que je ne tiendrais pas le coup (d'ailleurs, en y repensant, je ne crois pas que mes notes aient baissé entre le moment où je dormais 4-5 heures par nuit et le moment où j'ai décidé qu'à minuit au plus tard, il fallait se coucher...)
C'était aussi une toute petite prépa de province: aucun prof ne nous donnait l'illusion que nous avions la moindre chance... sauf le prof d'histoire, mais c'était (c'est toujours...) un grand malade...
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- Pupuch76Niveau 8
Bizarrement je pourrais dire la même chose de mon année de stage : 10 kg perdus en deux mois (dès la rentrée)... et malade comme un chien les deux mois suivants (pourtant j'ai réussi à assurer mes cours, à coup de doliprane pour virer ma fièvre persistante).
C'est là que je me suis rendue compte que cette année avait été la plus difficile pour moi.
C'est là que je me suis rendue compte que cette année avait été la plus difficile pour moi.
- ProvenceEnchanteur
J'ai trouvé difficile mon année d'hypokhâgne, mais je ne regrette pas l'expérience. L'université m'a paru bien décevante...
C'est, moi aussi, durant mon année de stage que j'ai énormément maigri (mais j'ai tout repris...).
C'est, moi aussi, durant mon année de stage que j'ai énormément maigri (mais j'ai tout repris...).
- eridannNiveau 2
Personnellement mes deux années d'hypokhâgne/Khâgne ont été deux années épanouissantes, malgré la lourdeur des exigences.
Effectivement on trouve des variations de poids (une hausse pour ma part) mais rien ne prouve que dans les université, on ne trouve pas ce genre de problèmes (prenez les étudiants en médecines). En outre, l'echec est bien plus important en première année de licence qu'en hypokhâgne.
Effectivement on trouve des variations de poids (une hausse pour ma part) mais rien ne prouve que dans les université, on ne trouve pas ce genre de problèmes (prenez les étudiants en médecines). En outre, l'echec est bien plus important en première année de licence qu'en hypokhâgne.
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"Quo non ascendas ?"
- User5899Demi-dieu
Quel optimisme, Will ! Il fait aujourd'hui à Vesoul 11° de plus que début juilletWill.T a écrit:Ça devrait arriver d'ici l'été prochain alors.MrBrightside a écrit:Le jour ou on arrêtera de parler de la prépa, il fera plus chaud qu'aujourd'hui.
- sansaraModérateur
Pour ma part, j'ai plutôt bien vécu mon année d'hypokhâgne, mais je garde un souvenir affreux de la khâgne, notamment parce que le stress (et une mauvaise appréciation de ma prof de lettres, qui me reprochait de ne pas travailler assez sous prétexte que j'avais eu 8 en dissert') m'a provoqué d'énormes crises d'angoisse, à tel point que je ne pouvais plus ni manger ni dormir.
J'ai été hospitalisée pendant 2 mois et j'ai passé le concours de l'ENS alors que j'étais encore à l'hôpital. Pendant ces 2 mois, seuls 1 ou 2 profs sont passés me voir (évidemment, avec une classe de 62 élèves, mon absence passait inaperçue). Après les écrits, que j'avais passés pour la forme, je n'y croyais plus, je me préparais à partir en L3 à la Sorbonne... et j'ai été admise à l'ENS. Seule de ma classe.
Ces crises d'angoisse m'ont pourri la vie pendant 5 ans. 5 ans à prendre des médocs, à suivre des thérapies, à prendre du poids (parce que, contrairement à ce que les médecins vous disent, oui, les anti-dépresseurs et les neuroleptiques font grossir). J'en suis enfin sortie, depuis quelques mois, après un sevrage difficile.
Voilà, ce n'est que mon témoignage, mais je confirme que la prépa est une belle usine à "casser" les gens, surtout quand les profs prennent un malin plaisir à vous enfoncer...
J'ai été hospitalisée pendant 2 mois et j'ai passé le concours de l'ENS alors que j'étais encore à l'hôpital. Pendant ces 2 mois, seuls 1 ou 2 profs sont passés me voir (évidemment, avec une classe de 62 élèves, mon absence passait inaperçue). Après les écrits, que j'avais passés pour la forme, je n'y croyais plus, je me préparais à partir en L3 à la Sorbonne... et j'ai été admise à l'ENS. Seule de ma classe.
Ces crises d'angoisse m'ont pourri la vie pendant 5 ans. 5 ans à prendre des médocs, à suivre des thérapies, à prendre du poids (parce que, contrairement à ce que les médecins vous disent, oui, les anti-dépresseurs et les neuroleptiques font grossir). J'en suis enfin sortie, depuis quelques mois, après un sevrage difficile.
Voilà, ce n'est que mon témoignage, mais je confirme que la prépa est une belle usine à "casser" les gens, surtout quand les profs prennent un malin plaisir à vous enfoncer...
- Simone BouéNiveau 9
Sansara : je compatis fort avec toi mais je nuancerai : ce n'est pas la prépa qui est une belle usine à "casser" les gens, ce sont parfois les profs qui cassent les élèves.
- Reine MargotDemi-dieu
les cours exigeants et de très bon niveau sont très efficaces, mais certaines remarques et attitudes de la part de certains profs ne sont pas utiles.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- sansaraModérateur
C'est vrai, mais je pense que les deux vont ensemble : la prépa génère beaucoup de stress et d'angoisse, et les remarques acerbes des profs sont souvent la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Mais je dois reconnaître que les prépas sont très différentes entre elles, entre une petite prépa privée à 25 élèves et les grandes prépas parisiennes qui veulent à tout prix intégrer leurs poulains (prépas que je n'ai pas fréquentées, la mienne était assez modeste malgré ses effectifs), il y a un gouffre.
Mais je ne suis pas dégoûtée de la prépa pour autant : je suis persuadée que c'est une formation excellente, qui donne de très bonnes bases et apprend à travailler de manière rigoureuse, ce que la L1 de fac ne fait apparemment pas.
Mais je dois reconnaître que les prépas sont très différentes entre elles, entre une petite prépa privée à 25 élèves et les grandes prépas parisiennes qui veulent à tout prix intégrer leurs poulains (prépas que je n'ai pas fréquentées, la mienne était assez modeste malgré ses effectifs), il y a un gouffre.
Mais je ne suis pas dégoûtée de la prépa pour autant : je suis persuadée que c'est une formation excellente, qui donne de très bonnes bases et apprend à travailler de manière rigoureuse, ce que la L1 de fac ne fait apparemment pas.
- CasparProphète
J'ai bien aimé hypokhâgne (bon lycée dans une grande ville universitaire mais pas trop de pression sur les étudiants non plus) moins la khâgne, mais j'ai bien aimé mon année de licence en fac aussi... Je n'étais pas à fond, j'allais tout le temps au cinéma, mais j'avais décidé que je n'arriverais jamais à intégrer l'ENS (manque de confiance en moi + réalisme statistique) donc j'étais plutôt cool. De mauvaise notes en langues m'affectaient mais si c'était en philo ou en histoire, je m'en fichais un peu.
- LoïseNiveau 7
Parce qu'à 18 ans, on est censé savoir travailler seul sans quelqu'un derrière pour dire "allez mon petit poussin, il faut faire ta dissert... il faut t'avancer pour ton exposé..." Ça s’appelle l'autonomie. Si à 18 ans on ne l'a pas, tant pis : parfois il faut savoir se débrouiller seul.sansara a écrit:
Mais je ne suis pas dégoûtée de la prépa pour autant : je suis persuadée que c'est une formation excellente, qui donne de très bonnes bases et apprend à travailler de manière rigoureuse, ce que la L1 de fac ne fait apparemment pas.
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- SphinxProphète
Tiens, j'ai plutôt grossi moi (à force d'engouffrer des paquets de Pim's pendant les disserts de six heures du samedi matin). Sauf les quelques kilos que j'ai perdus pour cause de mononucléose mon année de khûbe.
Je vais écrire un article au Figaro ou à la Croix pour me plaindre que la prépa fait grossir et qu'en plus ça vous dégoûte des Pim's
Je vais écrire un article au Figaro ou à la Croix pour me plaindre que la prépa fait grossir et qu'en plus ça vous dégoûte des Pim's
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- yogiSage
Moi aussi j'ai eu la mononucléose en prépa! Au lit pendant un mois,la mouise...Sphinx a écrit:Tiens, j'ai plutôt grossi moi (à force d'engouffrer des paquets de Pim's pendant les disserts de six heures du samedi matin). Sauf les quelques kilos que j'ai perdus pour cause de mononucléose mon année de khûbe.
Je vais écrire un article au Figaro ou à la Croix pour me plaindre que la prépa fait grossir et qu'en plus ça vous dégoûte des Pim's
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- ProvenceEnchanteur
Personne ne vous dit ce genre de choses en prépa...Loïse a écrit:Parce qu'à 18 ans, on est censé savoir travailler seul sans quelqu'un derrière pour dire "allez mon petit poussin, il faut faire ta dissert... il faut t'avancer pour ton exposé..." Ça s’appelle l'autonomie. Si à 18 ans on ne l'a pas, tant pis : parfois il faut savoir se débrouiller seul.sansara a écrit:
Mais je ne suis pas dégoûtée de la prépa pour autant : je suis persuadée que c'est une formation excellente, qui donne de très bonnes bases et apprend à travailler de manière rigoureuse, ce que la L1 de fac ne fait apparemment pas.
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