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JohnMédiateur
Twitt posté sur le compte officiel du Sgen-Cfdt :
https://twitter.com/infosgen/status/386597740513619968
https://twitter.com/infosgen/status/386597740513619968
Voici la présentation de l'émission, avant même sa diffusion, au lien posté par le Sgen lui-même :@infosgen - 05 octobre 2013
Dimanche soir M6 - Capital avec la participation d'une militante
#Sgen #CFDT :
http://www.m6.fr/emission-capital/06-10-2013-touche_pas_a_mes_avantages_comment_ils_bloquent_la_france-2147532355.html#ixzz2gsqLLNVh
Tous à vos postes !
Emission du dimanche 06 octobre 2013 20:50
Touche pas à mes avantages : comment ils bloquent la France
Alors que le monde évolue à grande vitesse, on dit souvent de la France qu'elle est très difficile à réformer. Dès qu'on touche aux intérêts d'une profession, d'une catégorie de fonctionnaires ou encore aux intérêts économiques d'une filière, les pouvoirs publics s'exposent à une levée de boucliers, voire à des manifestations. Comment fonctionnent ces professions, comme les enseignants ou les taxis, que beaucoup imaginent privilégiées et qui semblent rétives à toute réforme ? Pourquoi le gouvernement est parfois incapable de trancher entre des intérêts qui s'opposent, comme pour l'ouverture des magasins le dimanche ? Et qui sont ces spécialistes de l'influence qui défendent en haut lieu les intérêts d'un secteur ou d'un métier ?
La grande bataille du travail le dimanche
Jean-Claude Bourrelier est dans une situation ubuesque. Le patron de Bricorama a l'interdiction d'ouvrir le dimanche l'immense majorité de ses magasins d'Île-de-France, alors que ses concurrents ont obtenu de nombreuses autorisations. Il est même sous la menace d'une amende de 37 millions d'euros, qui ruinerait son entreprise. Il se trouve au cœur d'un imbroglio bien français où se mêlent patrons, syndicats et pouvoirs publics : la bataille de l'ouverture le dimanche.
Marion Gay
Taxis : la menace du bouchon monstre
C'est l'une des hantises des gouvernements qui se succèdent. Que les taxis en colère bloquent Paris. En France, ils sont au total 55 000 et défendent leur profession bec et ongle. Il faut dire que pour travailler, les artisans taxis doivent acheter une licence qui coûtent jusqu'à 230 000 euros. Alors ils voient d'un très mauvais œil toute réforme ou toute nouvelle concurrence comme celle de ces voitures avec chauffeurs apparues il y a peu.
Marion Gay
Enseignants : les incompris ?
Ils se sentent peu reconnus et se plaignent souvent de leurs rémunérations qu'ils estiment trop faibles au vu de leur niveau d'études. À l'inverse, les Français voient souvent les 850 000 enseignants que compte notre pays comme des privilégiés avec leur emploi garanti et leurs nombreuses vacances. Quelle est la réalité de cette profession ? Et comment est-elle organisée pour contrer les réformes qui pourraient la viser ?
Emmanuel Creutzer
Lobbies : les professionnels de l'influence
Les artisans ont fait appel à eux pour attaquer le statut des auto-entrepreneurs. Les pharmaciens les ont chargés de manœuvrer pour empêcher la vente de médicaments en grandes surfaces. Les lobbies, ces professionnels de l'influence en hauts lieux, sont des acteurs discrets qui pèsent sur la plupart des réformes. Quelles sont leurs méthodes pour convaincre ?
Sandrine Rigaud
Videos, séries et émissions sur M6.fr : L'émission de Capital http://www.m6.fr/emission-capital/06-10-2013-touche_pas_a_mes_avantages_comment_ils_bloquent_la_france-2147532355.html#ixzz2gyU4wNqS
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Et après ils se vexent si on les traite de jaunes 
JEMSGrand Maître
CasparProphète
Je ne félicite pas Jean-Claude Bourrelier pour le choix de ses chemises mais je suis hors sujet, je le sais.:lol:
kiwiGuide spirituel
Ce reportage était nullissime. Aucune cohérence. On saute du coq à l'âne. En prime, qu'une collègue (je crois savoir qui c'est en plus... je ne m'étonne donc pas) participe à cette mascarade, ça me dépasse.
Et je ne sais pas vous, mais mon chef, c'est clairement mon supérieur hiérarchique hein. Non, je ne fonctionne pas comme un électron libre à ma guise, sauf 1h tous les 5ans
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Et je ne sais pas vous, mais mon chef, c'est clairement mon supérieur hiérarchique hein. Non, je ne fonctionne pas comme un électron libre à ma guise, sauf 1h tous les 5ans
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user7337Fidèle du forum
Non, ton supérieur hiérarchique est ton inspecteur.kiwi a écrit:Et je ne sais pas vous, mais mon chef, c'est clairement mon supérieur hiérarchique hein.
Pour tout le reste, je suis entièrement d'accord avec toi. Certaines phrases m'ont fait bondir.
Mais j'ai apprécié que d'entrée ils nous estiment à 41 heures/semaine, mais bon, ça ne compense pas le reste du reportage....
- CasparProphète
Dire que le chef d'établissement ne nous note pas ou ne nous évalue pas est en tout cas une erreur grossière, même s'il n'est pas techniquement notre supérieur.
- CathEnchanteur
Mais bien sûr que le cde est notre supérieur hiérarchique !
AudreyOracle
Ils ont quand même à peine montré les collègues disant qu'on bossait aussi pendant nos vacances: dès que le sujet a été abordé, ils ont conclu pour passer à un autre point en disant que cela faisait 3 mois et demi de vacances par an. Et j'ajoute que les collègues ne semblaient pas très "dynamiques" en évoquant le travail justement effectué pendant ces vacances… montage biaisé ou pas, je l'ignore, mais ça m'a énervée quand je pense au temps que je passe à bosser, et surtout à récupérer de la fatigue qu'on a à gérer les gamins et leur bruit, leur agitation, tous les jours.
- JohnMédiateur
Je pense que les collègues ont été instrumentalisés, donc je n'en veux pas à la collègue filmée (Sandrine) qui a sûrement cru bien faire.
Par contre, je suis choqué par le twitt du Sgen, avec un lien vers le titre et le contenu de l'émission et du reportage : là, le Sgen ne peut pas dire qu'il ne savait pas quelle orientation serait celle de l'émission pour parler du métier d'enseignant.
Par contre, je suis choqué par le twitt du Sgen, avec un lien vers le titre et le contenu de l'émission et du reportage : là, le Sgen ne peut pas dire qu'il ne savait pas quelle orientation serait celle de l'émission pour parler du métier d'enseignant.
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"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- CasparProphète
Oui, je suis d'accord avec toi Audrey. On a à peine entendu la collègue qui faisait la distinction entre "vraies vacances" et celles où on prépare nos cours, corrige nos copies etc
JacqGuide spirituel
Petit reportage sans intérêt qui n'apporte rien, ni dans un sens, ni dans l'autre.
- AudreyOracle
Oui, je suis totalement d'accord avec toi, John…
- CasparProphète
Le SGEN fait sa pub, il leur est difficile de désavouer cette collègue ou de dire qu'ils ont honte d'avoir participé.
- JacqGuide spirituel
Oui, enfin le reportage parlait surtout du SNES.
LeclochardEmpereur
Oui. La collègue était du Sgen mais le syndicat le plus mentionné, c'était le snes.Jacq a écrit:Oui, enfin le reportage parlait surtout du SNES.
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Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
victor44Habitué du forum
Eh bien non, ne t'en déplaise, pour écrire à ton inspecteur tu dois le faire sous couvert de ton CDE qui te note, peut te suspendre temporairement, décide de ton service et de ton EDT. maintenant si ça te fait plaisir de penser que ton CDE n'est pas ton chef...benjy_star a écrit:Non, ton supérieur hiérarchique est ton inspecteur.
- User5899Demi-dieu
Hi hi hibenjy_star a écrit:Non, ton supérieur hiérarchique est ton inspecteur.kiwi a écrit:Et je ne sais pas vous, mais mon chef, c'est clairement mon supérieur hiérarchique hein.
Tout faux.
Nos chefs sont dans l'ordre le CDE,le DASEN, le recteur, le ministre. Liste exhaustive. L'IPR ne peut donner aucun ordre dans quelque domaine que ce soit (et d'ailleurs, ils n'en donnent pas, du moins, évidemment, par écrit). Ils suggèrent, proposent (même les fameuses consignes de correction au Bac sont titrées "Propositions", il y a une raison juridique).
Bien sûr, ils sont "experts" et peuvent se prononcer contre notre travail, mais toujours auprès d'une autorité hiérarchique. Ils nous notent, mais ne peuvent pas nous déplacer d'office, ce que peut un recteur en cas de problème.
Bref, une seule autorité hiérarchique : l'administrative.
Est-ce si étonnant ?
- User5899Demi-dieu
C'est contesté. On peut écrire directement à l'inspection. Et mon ancien CDE m'a dit un jour que si j'écrivais à l'IPR sous couvert du CDE, ça voudrait dire que le CDE est soumis à l'IPR, ce qui n'est évidemment pas le cas, et peut agacer un susceptiblevictor44 a écrit:pour écrire à ton inspecteur tu dois le faire sous couvert de ton CDE
J'ai toujours écrit directement à l'inspection, sur instruction de l'IG Maurice Maucuer, qui m'inspecta pour ma 1re fois (et on se rappelle souvent sa 1re fois
).- user7337Fidèle du forum
On peut écrire à son inspecteur sans passer par le chef d'établissement.
Et OK, erreur de ma part alors, j'avais toujours entendu dire que notre supérieur hiérarchique était notre inspecteur, le CDE n'étant "qu'une" personne là pour organiser.
Bon à savoir, au temps pour moi !
Et OK, erreur de ma part alors, j'avais toujours entendu dire que notre supérieur hiérarchique était notre inspecteur, le CDE n'étant "qu'une" personne là pour organiser.
Bon à savoir, au temps pour moi !
Roumégueur IerÉrudit
Oh, et dans le reportage, quand il suivent le pas solennel du directeur des archives pour aller voir le décret de 1950, on se serait cru au Vatican. Et tout ce cirque juste pour aller VOIR le décret, aucunement le commenter, juste pour dire à tous : vous voyez ils bossent 18heures (même si plus tôt ils ont reconnu du bout des lèvres 41h/semaine 'comme dans le privé', sans citer de source).
Que cela serve de leçon aux collègues qui ont témoigné de bonne foi et ont été trahis par le montage de l'émission : ne pouvaient-ils pas réclamer de voir le reportage monté avant d'accepter d'y apparaître?
Que cela serve de leçon aux collègues qui ont témoigné de bonne foi et ont été trahis par le montage de l'émission : ne pouvaient-ils pas réclamer de voir le reportage monté avant d'accepter d'y apparaître?
linkusNeoprof expérimenté
benjy_star a écrit:On peut écrire à son inspecteur sans passer par le chef d'établissement.
Et OK, erreur de ma part alors, j'avais toujours entendu dire que notre supérieur hiérarchique était notre inspecteur, le CDE n'étant "qu'une" personne là pour organiser.
Bon à savoir, au temps pour moi !
L'inspecteur n'est pas ton supérieur hiérarchique. C'est le chef d'établissement qui l'est!Tout ce que tu envoies professionnellement doit passer par celui-ci.
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J'entends souvent dire qu'avec l'agrégation, c'est travailler moins pour gagner plus. En réalité, avec le CAPES c'est travailler plus pour gagner moins.
Avec un travail acharné, même un raté peut battre un génie. Rock Lee
Je ne suis pas gros, j'ai une ossature lourde!
Vous aimez Bomberman? Venez jouer à Bombermine.
Isis39Enchanteur
Comme le dit Cripure, on peut écrire directement à nos IPR.linkus a écrit:benjy_star a écrit:On peut écrire à son inspecteur sans passer par le chef d'établissement.
Et OK, erreur de ma part alors, j'avais toujours entendu dire que notre supérieur hiérarchique était notre inspecteur, le CDE n'étant "qu'une" personne là pour organiser.
Bon à savoir, au temps pour moi !
Tout ce que tu envoies professionnellement doit passer par celui-ci.
DaphnéDemi-dieu
J'ai déjà contacté mon IPR et obtenu RDV sans passer par le CDE.victor44 a écrit:Eh bien non, ne t'en déplaise, pour écrire à ton inspecteur tu dois le faire sous couvert de ton CDE qui te note, peut te suspendre temporairement, décide de ton service et de ton EDT. maintenant si ça te fait plaisir de penser que ton CDE n'est pas ton chef...benjy_star a écrit:Non, ton supérieur hiérarchique est ton inspecteur.
Et c'est l'IPR elle-même qui m'a répondu directement par téléphone sur mon n° perso pour fixer le RDV.
LefterisEsprit sacré
Bien entendu : il m'est arrivé plusieurs fois d'écrire à mon IPR, pour des raisons diverses parfois insignifiantes (une fois, il m'avait demandé des documents en format Word , j'allais pas passer par la voie hiérarchique ), pour ne pas assister à une réunion, ou très particulières, comme une fois pendant des vacances d'été : on refusait l'accès au latin en seconde à mes élèves (des excellents ceux-là) faute de place et ne sachant vers qui se tourner (on les promenait) , ils m'avaient contacté, et moi-même je n'ai pas eu en tête d'autres solutions. Et ça a marché...
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
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