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- philannDoyen
aucune idée... désolée!gilthoniel a écrit:
Et ça marche pour les contractuels admissibles?
- AlExpert spécialisé
Heu ça me parait peu probable : une fois qu'on a le poste, on ne peut pas le perdre, c'est comme un poste fixe dans le 2daire ! tu es sure qu'elle était sur poste fixe ?! ils s'obtiennent au mouvement des "postes à profil" il me semblait.Al-qalam a écrit:Un collègue engagé en CPGE sans thèse s'est vu dire qu'il lui fallait rapidement faire un doctorat s'il voulait garder le poste (il avait déjà largement commencé une thèse, mais jamais achevée).
Bon, je connais pas mal de profs de prépa agrégés sans thèse, mais faut savoir de quoi on parle : petites prépas, pas/mal cotées, pas dans des zones géographiques très affriolantes, et pas dans sa dominante (ex : prof de français en prépa scientifique, pas en khâgne/hypokhâgne). Je trouve ça trompeur de mettre toutes les prépas dans le même panier. A contrario, dans "la grande ville", prépas complètement bouchées, les agrégés docteurs deviennent inspecteurs par dépit... :lol:
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"C’est le grand nuage des ambitions moroses qui étouffe la voix d’Éros."
- ShajarVénérable
Je ne le connais que très peu ; je l'ai rencontré dans un pot de fin d'année dans mon ancien lycée, mais je ne vois pas pourquoi il aurait menti. Après, j'ai peut-être mal interprété ; et pour être plus précise, j'ai compris que la chose lui avait été indiquée dès la prise de poste, il avait eu le poste à condition qu'il valide rapidement une thèse (ce qu'il n'avait pas fait au bout de sa première année). Je n'en sais pas plus, désolée.Aletheia a écrit:Heu ça me parait peu probable : une fois qu'on a le poste, on ne peut pas le perdre, c'est comme un poste fixe dans le 2daire ! tu es sure qu'elle était sur poste fixe ?! ils s'obtiennent au mouvement des "postes à profil" il me semblait.Al-qalam a écrit:Un collègue engagé en CPGE sans thèse s'est vu dire qu'il lui fallait rapidement faire un doctorat s'il voulait garder le poste (il avait déjà largement commencé une thèse, mais jamais achevée).
Bon, je connais pas mal de profs de prépa agrégés sans thèse, mais faut savoir de quoi on parle : petites prépas, pas/mal cotées, pas dans des zones géographiques très affriolantes, et pas dans sa dominante (ex : prof de français en prépa scientifique, pas en khâgne/hypokhâgne). Je trouve ça trompeur de mettre toutes les prépas dans le même panier. A contrario, dans "la grande ville", prépas complètement bouchées, les agrégés docteurs deviennent inspecteurs par dépit... :lol:
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
On peut avoir un poste en CPGE à l'année, renouvelable. Et même les postes "fixes" sont assez instables à ce que j'ai compris: un IG peut assez facilement se débarrasser d'un collègue en CPGE. Mais sans doute Mr. Brightside pourrait nous en dire plus.Aletheia a écrit:Heu ça me parait peu probable : une fois qu'on a le poste, on ne peut pas le perdre, c'est comme un poste fixe dans le 2daire ! tu es sure qu'elle était sur poste fixe ?! ils s'obtiennent au mouvement des "postes à profil" il me semblait.Al-qalam a écrit:Un collègue engagé en CPGE sans thèse s'est vu dire qu'il lui fallait rapidement faire un doctorat s'il voulait garder le poste (il avait déjà largement commencé une thèse, mais jamais achevée).
J'ai trouvé sur le site du SNALC, pour l'histoire-géographie en 2011:
C'est donc même pire que ce que je disais, il faut même être qualifié par le CNU.Les critères principaux sont l'excellence pédagogique - attestée lors d'une inspection en secondaire ou lors d'une visite à l'Université (un directeur de département peut inviter un Inspecteur Général) -, un dossier scientifique conséquent, comprenant obligatoirement une thèse de doctorat qualifiée par le Conseil National des Universités (CNU) et des publications, des activités pédagogiques et scientifiques (formation continue, cours dans le supérieur).
- InvitéMa6Niveau 5
Rappelez-moi la paye d'un prof en CPGE ?
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
D'après les infos du SNES, en histoire c'est 10 candidats pour un poste et la plupart sont effectivement docteurs et qualifés. Mais j'en connait aussi qu'ils ne le sont pas...
Pas sur pour la paye mais le service est réduit à 10h + les colles.
Pas sur pour la paye mais le service est réduit à 10h + les colles.
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CdB
@AbbeCordillere
- ParatgeNeoprof expérimenté
Je connais bien un collègue camarade de fac, dernier à l'agreg, sans doctorat et nommé dans une prépa d'une grande ville.JérémyL a écrit:J'en rajoute une couche... Selon des infos... Une agreg sèche [ sans doctorat donc... ], c'est un peu limite pour avoir un poste en CPGE... A moins d'avoir un très bon CV ailleurs ( très bonne place à l'agreg par exemple ) et de batailler !
En gros, si ton idée est vraiment d'enseigner en prépa, va pour le doctorat... Sinon...
Explication : l'IPR était son ancienne conseillère pédagogique... Ce qui ne veut pas dire qu'il est nul mais les critères sont parfois flous, pour être poli.
Quant à mentionner un doctorat (ou autres qualifications) dans le secondaire c'est à éviter étant donné le climat anti-intellectuel qui y prévaut. C'est plutôt une tare, rappelez-vous que nous faisons d'abord de « l'accueil ».
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Beaucoup de collègues ne comprendraient en effet pas. Quand je faisais ma thèse, j'en parlais le moins possible et j'avais 3 collègues docteurs (2 en maths, un en philo) qui n'en avaient parlé à personne.Paratge a écrit:Quant à mentionner un doctorat (ou autres qualifications) dans le secondaire c'est à éviter étant donné le climat anti-intellectuel qui y prévaut. C'est plutôt une tare, rappelez-vous que nous faisons d'abord de « l'accueil ».
- ParatgeNeoprof expérimenté
C'est quand même lamentable de constater ça. L'attitude de l'administration l'est elle aussi.Marcel Khrouchtchev a écrit:Beaucoup de collègues ne comprendraient en effet pas. Quand je faisais ma thèse, j'en parlais le moins possible et j'avais 3 collègues docteurs (2 en maths, un en philo) qui n'en avaient parlé à personne.Paratge a écrit:Quant à mentionner un doctorat (ou autres qualifications) dans le secondaire c'est à éviter étant donné le climat anti-intellectuel qui y prévaut. C'est plutôt une tare, rappelez-vous que nous faisons d'abord de « l'accueil ».
Plus on est qualifié plus on est suspect de je ne sais trop quoi.
Comme disait un proviseur à un contractuel : « Du moment que vous avez une heure d'avance sur les élèves. »
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Dans mon lycée, ce n'est pas le cas. Nous assistons aux soutenances de nos collègues et la cde accorde facilement des autorisations pour ceux qui participent à des colloques.Paratge a écrit:C'est quand même lamentable de constater ça. L'attitude de l'administration l'est elle aussi.Marcel Khrouchtchev a écrit:Beaucoup de collègues ne comprendraient en effet pas. Quand je faisais ma thèse, j'en parlais le moins possible et j'avais 3 collègues docteurs (2 en maths, un en philo) qui n'en avaient parlé à personne.Paratge a écrit:Quant à mentionner un doctorat (ou autres qualifications) dans le secondaire c'est à éviter étant donné le climat anti-intellectuel qui y prévaut. C'est plutôt une tare, rappelez-vous que nous faisons d'abord de « l'accueil ».
- CasparProphète
Je suis d'accord avec Paratge et Marcel K, c'est quand même bizarre cet anti-intellectualisme dans un endroit où ce devrait être l'inverse. Je passe un peu pour un "intello" au collège (mais je n'ai pas de doctorat pourtant)... Il faut être de bons petits soldats, pas une tête qui dépasse.
- ParatgeNeoprof expérimenté
Un intello est censé pouvoir réfléchir, et dans la folie des faux semblants de l'Éduknat' c'est faire courir un risque à nos « managers ».
- VoltigeurHabitué du forum
Il y a - y compris en Histoire - un nombre significatif de Profs de CPGE non docteurs, effectivement plutôt sur les petites Prépas. Mais il y a beaucoup de docteurs dans le secondaire à présent, alors que le corps des enseignants de CPGE s'est pas mal renouvelé et rajeuni en une décennie. Les débouchés sont donc saturés. Un portefeuille de publications, un bon classement à l'agreg, et surtout de bons rapports d'inspection sont un précieux viatique.
En prépa aussi il s'agit de postes fixes comme dans le secondaire, même si effectivement l'IG a la possibilité d'évincer un titulaire considéré comme insuffisant ou qui n'est plus en mesure d'assurer ses fonctions de façon satisfaisante (ça passe souvent par le retrait des classes de concours). Les nominations à l'année concernent plutôt des attributions d'heures et non des services complets, ou bien le noviciat d'un nouvel entrant. Le poste concerné passe en fait au mouvement en différé l'année suivante mais, si l'impétrant fait ses preuves, la procédure est formelle et il est titularisé sur place.
En ce qui concerne la grille de rémunération, elle est strictement identique à celle d'un agrégé du même échelon dans le secondaire. La seule différence est la possibilité d'une promotion à la chaire sup une fois acquise une certaine ancienneté, mais cela n'a rien de systématique et l'avantage financier est assez mince par rapport à la HC. Ce qui améliore l'ordinaire provient un peu des khôlles, si on a le temps d'en faire, et davantage des heures sups, pour qui peut en bénéficier, puisque le seuil de déclenchement est beaucoup plus bas (selon les effectifs et le type de classes, l'obligation de service va de 8 à 10h). Les HS sont assez rares pour les historiens et les littéraires, plus fréquentes au profit des géographes (moins nombreux), abondantes chez les scientifiques ainsi que, semble-t-il, les professeurs de langue.
En prépa aussi il s'agit de postes fixes comme dans le secondaire, même si effectivement l'IG a la possibilité d'évincer un titulaire considéré comme insuffisant ou qui n'est plus en mesure d'assurer ses fonctions de façon satisfaisante (ça passe souvent par le retrait des classes de concours). Les nominations à l'année concernent plutôt des attributions d'heures et non des services complets, ou bien le noviciat d'un nouvel entrant. Le poste concerné passe en fait au mouvement en différé l'année suivante mais, si l'impétrant fait ses preuves, la procédure est formelle et il est titularisé sur place.
En ce qui concerne la grille de rémunération, elle est strictement identique à celle d'un agrégé du même échelon dans le secondaire. La seule différence est la possibilité d'une promotion à la chaire sup une fois acquise une certaine ancienneté, mais cela n'a rien de systématique et l'avantage financier est assez mince par rapport à la HC. Ce qui améliore l'ordinaire provient un peu des khôlles, si on a le temps d'en faire, et davantage des heures sups, pour qui peut en bénéficier, puisque le seuil de déclenchement est beaucoup plus bas (selon les effectifs et le type de classes, l'obligation de service va de 8 à 10h). Les HS sont assez rares pour les historiens et les littéraires, plus fréquentes au profit des géographes (moins nombreux), abondantes chez les scientifiques ainsi que, semble-t-il, les professeurs de langue.
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«Quand tout le monde pense la même chose, c'est que plus personne ne pense» (Walter Lippman)
- InvitéMa6Niveau 5
Pour un enseignant du secondaire, un doctorat peut peut-être faciliter l'obtention d'un poste de PRCE/PRAG ?
- philannDoyen
Je ne cache pas le fait d'être en thèse, manquerait plus que ça vu le temps que ça me prend, de même que je ne cachais pas non plus mon statut de contractuel l'an dernier...
Mais je ne le mets pas en avant non plus, je ne parle de mon thème que si on m'interroge etc...
Scène comique il y a quelques jours: Ma CDE voulait me faire accepter une heure sup' alors que je suis stagiaire cette année. Déjà sur le principe, je suis contre, mais bon il s'agit de dédoubler une classe de 6eme à 30. Donc je lui dis: "à la rigueur, si mon IPR est d'accord (ce qui n'est pas gagné...) MAIS que si cela rentre parfaitement dans mon emploi du temps, parce qu'étant stagiaire ET en thèse je n'ai pas le luxe de renoncer à une demi-journée de travail..."
CDE: "Ah bon, vous êtes en thèse, je ne savais pas..." ( plutôt bienveillante dans le ton)
Moi: "D'un autre côté, nous ne nous sommes rencontrées pour la première fois il y a une semaine...je n'allais pas commencer par là!"
Mais je ne le mets pas en avant non plus, je ne parle de mon thème que si on m'interroge etc...
Scène comique il y a quelques jours: Ma CDE voulait me faire accepter une heure sup' alors que je suis stagiaire cette année. Déjà sur le principe, je suis contre, mais bon il s'agit de dédoubler une classe de 6eme à 30. Donc je lui dis: "à la rigueur, si mon IPR est d'accord (ce qui n'est pas gagné...) MAIS que si cela rentre parfaitement dans mon emploi du temps, parce qu'étant stagiaire ET en thèse je n'ai pas le luxe de renoncer à une demi-journée de travail..."
CDE: "Ah bon, vous êtes en thèse, je ne savais pas..." ( plutôt bienveillante dans le ton)
Moi: "D'un autre côté, nous ne nous sommes rencontrées pour la première fois il y a une semaine...je n'allais pas commencer par là!"
- Spoiler:
- ceci dit je suis d'accord avec vous sur l'anti-intellectualisme régnant dans l'Educ' Nat
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Heureusement que pour ma part j'ai eu une administration extrêmement compréhensive, avec toujours un EDT sur mesure et des reports de cours pour aller aux colloques.Paratge a écrit:C'est quand même lamentable de constater ça. L'attitude de l'administration l'est elle aussi.Marcel Khrouchtchev a écrit:Beaucoup de collègues ne comprendraient en effet pas. Quand je faisais ma thèse, j'en parlais le moins possible et j'avais 3 collègues docteurs (2 en maths, un en philo) qui n'en avaient parlé à personne.Paratge a écrit:Quant à mentionner un doctorat (ou autres qualifications) dans le secondaire c'est à éviter étant donné le climat anti-intellectuel qui y prévaut. C'est plutôt une tare, rappelez-vous que nous faisons d'abord de « l'accueil ».
Y compris parmi les collègues nouvellement nommés?Voltigeur a écrit:Il y a - y compris en Histoire - un nombre significatif de Profs de CPGE non docteurs, effectivement plutôt sur les petites Prépas.
Malheureusement, de plus en plus. C'est un moyen déguisé de recruter des enseignants ayant un profil de MCF, mais faisant le double d'heures.mateo6988 a écrit:Pour un enseignant du secondaire, un doctorat peut peut-être faciliter l'obtention d'un poste de PRCE/PRAG ?
- seven5Niveau 6
Je confirme que dans les disciplines physique/math, un recrutement de prag sans these...me semble rare, mais ils partent aussi du principe que le prag doit travailler aussi avec des chercheurs et certains sont intégrés dans des équipes donc ce n'est pas illogique.
Par contre toujours dans ces memes disciplines, l'agreg n'est pas un plus pour MdC, la these prevaut, il faut avoir enseigner (ater, monitorat de preference) dans le sup, donc le fait d'avoir l'agreg ne joue pas. Mais je dis bien dans ces disciplines, pour d'autres domaines ce n'est pas pareil
Par contre toujours dans ces memes disciplines, l'agreg n'est pas un plus pour MdC, la these prevaut, il faut avoir enseigner (ater, monitorat de preference) dans le sup, donc le fait d'avoir l'agreg ne joue pas. Mais je dis bien dans ces disciplines, pour d'autres domaines ce n'est pas pareil
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"J'voudrais pas faire ma raclette, mais la soirée s'annonce pas super."
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
C'est un détournement honteux des statuts: un PRAG est un enseignant. Si on veut un enseignant-chercheur intégré dans des équipes, on prend un MCF.seven5 a écrit:Je confirme que dans les disciplines physique/math, un recrutement de prag sans these...me semble rare, mais ils partent aussi du principe que le prag doit travailler aussi avec des chercheurs et certains sont intégrés dans des équipes donc ce n'est pas illogique.
- philannDoyen
Certaines UFR ne veulent plus recruter de PRAG parce qu'ils considèrent que cela fait courir un risque au statut de MCF... et que certaines facs ont tendance à préférer recruter des PRAGs ayant des charges de cours plus lourdes que des MCFs. Le problème avec ce genre de politique, c'est que les MCF assurent aussi une grande charge administrative, lorsqu'il y a bcp de PRAGs et de PRs et peu de MCFs le système frise l'implosion.Marcel Khrouchtchev a écrit:C'est un détournement honteux des statuts: un PRAG est un enseignant. Si on veut un enseignant-chercheur intégré dans des équipes, on prend un MCF.seven5 a écrit:Je confirme que dans les disciplines physique/math, un recrutement de prag sans these...me semble rare, mais ils partent aussi du principe que le prag doit travailler aussi avec des chercheurs et certains sont intégrés dans des équipes donc ce n'est pas illogique.
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- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Tu m'étonnesphilann a écrit:les MCF assurent aussi une grande charge administrative
- seven5Niveau 6
Je suis d'accord sur le fait que ce ne doit pas etre des MdC déguisés,
attention, les prags que je connais ne font pas de la recherche mais ils participent aussi à la vie de l'université, assument beaucoup de charge administrative aussi et travaillent avec des chercheurs/enseignant chercheurs (stage des étudiants pas exemple), ils sont donc aussi partie intégrante de l'université donc de la recherche aussi pas que de l'enseignement.
apres je ne sais pas comment cela fonctionne partout.
Mais oui, un prag est certe un enseignant mais universitaire.
Le point ou je rejoins marcel c'est que ce ne sont pas des MdC, on est bien d'accord, le MdC passe la moitié de sa vie en recherche et l'autre en enseignement (enfin sur le papier)
attention, les prags que je connais ne font pas de la recherche mais ils participent aussi à la vie de l'université, assument beaucoup de charge administrative aussi et travaillent avec des chercheurs/enseignant chercheurs (stage des étudiants pas exemple), ils sont donc aussi partie intégrante de l'université donc de la recherche aussi pas que de l'enseignement.
apres je ne sais pas comment cela fonctionne partout.
Mais oui, un prag est certe un enseignant mais universitaire.
Le point ou je rejoins marcel c'est que ce ne sont pas des MdC, on est bien d'accord, le MdC passe la moitié de sa vie en recherche et l'autre en enseignement (enfin sur le papier)
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- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Le PRAG, lui, ne devrait pas du tout être chercheur. Et je plains beaucoup les collègues PRAG qui doivent faire de la recherche en plus de leurs 384h et de la charge administrative.seven5 a écrit:
Mais oui, un prag est certe un enseignant mais universitaire.
Le point ou je rejoins marcel c'est que ce ne sont pas des MdC, on est bien d'accord, le MdC passe la moitié de sa vie en recherche et l'autre en enseignement (enfin sur le papier)
- philannDoyen
C'est exact! Un PRAG ne devrait pas être recruté pour faire de la recherche. Or, lorsque l'on recrute un PRAG docteur on est bien sûr qu'il en fera...en plus de sa charge invraisemblable de cours...Marcel Khrouchtchev a écrit:Le PRAG, lui, ne devrait pas du tout être chercheur. Et je plains beaucoup les collègues PRAG qui doivent faire de la recherche en plus de leurs 384h et de la charge administrative.seven5 a écrit:
Mais oui, un prag est certe un enseignant mais universitaire.
Le point ou je rejoins marcel c'est que ce ne sont pas des MdC, on est bien d'accord, le MdC passe la moitié de sa vie en recherche et l'autre en enseignement (enfin sur le papier)
D'où l'arnarque! Je ne vois pas un docteur obtenir un poste de Prag pour se contenter de faire cours et remplir des charges administratives (bref ce qui est le plus dévalué dans le supérieur). Par ailleurs, dans les faits, les PRAGs sont souvent des candidats déçus à un poste de MCF, qui "accepte" un poste dans le supérieur.
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- Marie LaetitiaBon génie
... et qui après, ne sont pas forcément bien classés dans les concours de MCF parce qu'ils sont déjà "dans la maison" et pas prioritaires face aux autres candidats agrégés et docteurs.philann a écrit:C'est exact! Un PRAG ne devrait pas être recruté pour faire de la recherche. Or, lorsque l'on recrute un PRAG docteur on est bien sûr qu'il en fera...en plus de sa charge invraisemblable de cours...Marcel Khrouchtchev a écrit:Le PRAG, lui, ne devrait pas du tout être chercheur. Et je plains beaucoup les collègues PRAG qui doivent faire de la recherche en plus de leurs 384h et de la charge administrative.seven5 a écrit:
Mais oui, un prag est certe un enseignant mais universitaire.
Le point ou je rejoins marcel c'est que ce ne sont pas des MdC, on est bien d'accord, le MdC passe la moitié de sa vie en recherche et l'autre en enseignement (enfin sur le papier)
D'où l'arnarque! Je ne vois pas un docteur obtenir un poste de Prag pour se contenter de faire cours et remplir des charges administratives (bref ce qui est le plus dévalué dans le supérieur). Par ailleurs, dans les faits, les PRAGs sont souvent des candidats déçus à un poste de MCF, qui "accepte" un poste dans le supérieur.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Ou suspectés de profiter du localisme.Marie Laetitia a écrit:... et qui après, ne sont pas forcément bien classés dans les concours de MCF parce qu'ils sont déjà "dans la maison" et pas prioritaires face aux autres candidats agrégés et docteurs.philann a écrit:C'est exact! Un PRAG ne devrait pas être recruté pour faire de la recherche. Or, lorsque l'on recrute un PRAG docteur on est bien sûr qu'il en fera...en plus de sa charge invraisemblable de cours...Marcel Khrouchtchev a écrit:Le PRAG, lui, ne devrait pas du tout être chercheur. Et je plains beaucoup les collègues PRAG qui doivent faire de la recherche en plus de leurs 384h et de la charge administrative.
D'où l'arnarque! Je ne vois pas un docteur obtenir un poste de Prag pour se contenter de faire cours et remplir des charges administratives (bref ce qui est le plus dévalué dans le supérieur). Par ailleurs, dans les faits, les PRAGs sont souvent des candidats déçus à un poste de MCF, qui "accepte" un poste dans le supérieur.
De toute façon, dans ces histoires, quand on veut dénigrer quelqu'un et l'empêcher d'avoir un poste, on trouve toujours. Triste milieu, vraiment.
- ElaïnaDevin
Bref, quel que soit le côté vers lequel on se tourne, on a quand même le sentiment d'être coincé... Oui, triste milieu.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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