- Madame_ProfEsprit sacré
Il n'y a pas un poste en perm, un au bureau, etc. ?
Il doit rester quelqu'un au bureau lorsque la vie scolaire est ouverte, non ?
Franchement, ne le prends pas mal, mais la lecture de tes messages laisse toujours un sentiment de malaise. On a du mal à savoir si tu bosses dans un établissement vraiment horrible avec des collègues horribles, ou si le problème vient de toi (hypersensibilité notamment). Dans les 2 cas, c'est sans doute toi qui peux agir : chercher du travail ailleurs (pour te préserver), ou travailler sur tes difficultés professionnelles et relationnelles.
Il doit rester quelqu'un au bureau lorsque la vie scolaire est ouverte, non ?
Franchement, ne le prends pas mal, mais la lecture de tes messages laisse toujours un sentiment de malaise. On a du mal à savoir si tu bosses dans un établissement vraiment horrible avec des collègues horribles, ou si le problème vient de toi (hypersensibilité notamment). Dans les 2 cas, c'est sans doute toi qui peux agir : chercher du travail ailleurs (pour te préserver), ou travailler sur tes difficultés professionnelles et relationnelles.
- menerveOracle
Ben oui mais l'être humain est ainsi fait... Partisan du moindre effort et si tes collègues ont géré plusieurs fois tes crises de panique, ils peuvent en avoir assez.Aed2022 a écrit:menerve a écrit:Ce que je fais quand mes collègues m'insupportent : j'essaie de m'imaginer dans leur peau et de comprendre pourquoi ils ont eu tel ou tel réaction.
T'es collègues peuvent aussi penser que leur boulot c'est de s'occuper des gosses et non de pallier tes difficultés.
Tes réactions peuvent aussi être difficiles à comprendre pour eux si comme tu le dis, tu exploses.
Parfois il faut mettre de l'eau dans son vin pour arrondir les angles et permettre juste d'aller au travail.
Certes. Mais justement quand c’est s’occuper des gosses ton boulot : tu viens aider ton/ta collègue en difficulté. Surtout quand c’est ton postes à ce moment là ! Tu restes pas au bureau à boire ton café...
Ou peut être que ce fameux vendredi, ta collègue avait aussi gère des situations difficiles dans la journée et avait besoin de souffler.
Peut-être devrais tu essayer les techniques de communication bienveillante avec ta collègue.... Et lui dire.. "Quand tu n'es pas venue à mon secours, je me suis sentie.... J'aurais eu besoin de...". Et tu verras bien ce qu'elle va te répondre.
- Aed2022Niveau 9
Madame_Prof a écrit:Il n'y a pas un poste en perm, un au bureau, etc. ?
Il doit rester quelqu'un au bureau lorsque la vie scolaire est ouverte, non ?
Franchement, ne le prends pas mal, mais la lecture de tes messages laisse toujours un sentiment de malaise. On a du mal à savoir si tu bosses dans un établissement vraiment horrible avec des collègues horribles, ou si le problème vient de toi (hypersensibilité notamment). Dans les 2 cas, c'est sans doute toi qui peux agir : chercher du travail ailleurs (pour te préserver), ou travailler sur tes difficultés professionnelles et relationnelles.
Si. Mais justement il y avait déjà trois personnes aux bureaux.
Étant un grand établissement, il y a un poste permanence supplémentaire , qui consiste à aider les collègues en cas de surnombre ou de difficulté / s’occuper des lycéens.
@Mrl , @ Mme la prof : J’attendais juste que ma collègue fasse son travail. Si elle l’avait fait, j’aurais même pas fait de crise de panique ce vendredi !
- mrlNiveau 10
C'est exactement ce que je voulais dire. Tu attendais quelque chose qui te semble normal / rationnel.Aed2022 a écrit:
@Mrl : J’attendais juste que ma collègue fasse son travail. Si elle l’avait fait, j’aurais même pas fait de crise de panique ce vendredi !
La communication non-violente est une très bonne idée (si tu sais identifier et nommer tes sentiments).
- Catherine93Niveau 5
Bonsoir
Je travaille dans une association où la malveillance règne en maître, la jalousie surtout, ce que je ne comprends pas vraiment. Je ne parle plus à ma collègue enseignante depuis 2018 et nous avons deux responsables qui ont pratiqué le fameux "diviser pour mieux régner". L'ambiance est délétère au possible car elle m'a drôlement salie auprès des élèves et les clans sont nombreux. Le nouveau chef veut que l'on bosse ensemble. C'est dur mais je n'ai pas le choix. C'est la première fois que je travaille dans un établissement où les dysfonctionnements sont nombreux. Nous sommes nombreux à vouloir partir.
Je travaille dans une association où la malveillance règne en maître, la jalousie surtout, ce que je ne comprends pas vraiment. Je ne parle plus à ma collègue enseignante depuis 2018 et nous avons deux responsables qui ont pratiqué le fameux "diviser pour mieux régner". L'ambiance est délétère au possible car elle m'a drôlement salie auprès des élèves et les clans sont nombreux. Le nouveau chef veut que l'on bosse ensemble. C'est dur mais je n'ai pas le choix. C'est la première fois que je travaille dans un établissement où les dysfonctionnements sont nombreux. Nous sommes nombreux à vouloir partir.
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