Je ne supporte plus mes collègues...

Jenny a écrit:Au Liban, c’est assez sacré aussi la nourriture et le plaisir d’être à table. Je crois que j’y ai fait certains de mes repas les plus longs.
Mais effectivement, j’aurais du mal à vivre dans un pays sans grande gastronomie.

Tu n'as pas connu les repas dans ma belle-famille

Clairement ceux qui croient que la nourriture est une obsession française n'ont pas fréquenté d'Asiats ou de Moyen-Orientaux ou Africains ou autre !! La bouffe, pour le peu que j'en sais est une obsession bien française, ok,mais aussi du reste du monde. Les euls pays qui me semblent moins concernés par le sujet sont les pays anglos-saxons, et les pays nordiques... Il y a selon moi une part de la culture protestante prônant la frugalité (mais je dis peut-être n'importe quoi ) et un intériet pour la quantité, à défaut de la qualité. En Angleterre, j'ai constaté que tout le monde parlait de bouffe, mais pas comme nous : là bas c'est régime, ne pas grossir et manger vegan/sain/"chic" avant tout ; aux US l'essentiel c'est de manger beaucoup, encore et toujours plus (bon évidemment pas tout le monde non plus)...

sookie a écrit:

Jenny a écrit:Au Liban, c’est assez sacré aussi la nourriture et le plaisir d’être à table. Je crois que j’y ai fait certains de mes repas les plus longs.
Mais effectivement, j’aurais du mal à vivre dans un pays sans grande gastronomie.

Tu n'as pas connu les repas dans ma belle-famille

Oh midi-18h30, c'est pas mal déjà.

Jenny a écrit:

sookie a écrit:

Jenny a écrit:Au Liban, c’est assez sacré aussi la nourriture et le plaisir d’être à table. Je crois que j’y ai fait certains de mes repas les plus longs.
Mais effectivement, j’aurais du mal à vivre dans un pays sans grande gastronomie.

Tu n'as pas connu les repas dans ma belle-famille

Oh midi-18h30, c'est pas mal déjà.

Petite joueuse.  
Nous, c'était 13h - 18 h puis 19 h- 22 h (voir plus si c'était les vacances)
car on était toujours invité pour le déjeuner ET pour le diner. On faisait parfois une promenade entre les deux mais l'hiver c'était plutôt jeux de société.
A chaque fois ma belle-mère disait que pour le soir c'était léger, qu'elle n'avait fait qu'une soupe, ... suivie d'un pâté croute, de charcuterie, de fromage, des restes des 3-4 desserts du midi plus un dessert qu'elle avait gardé pour le soir.

Ah mais évidemment, on avait remangé le soir jusqu'à tard.
Et on s'était fait un petit déjeuner copieux avant.

Jenny a écrit:Ah mais évidemment, on avait remangé le soir jusqu'à tard.
Et on s'était fait un petit déjeuner copieux avant.

Alors égalité

Lisak40 a écrit:Clairement ceux qui croient que la nourriture est une obsession française n'ont pas fréquenté d'Asiats ou de Moyen-Orientaux ou Africains ou autre !! La bouffe, pour le peu que j'en sais est une obsession bien française, ok,mais aussi du reste du monde. Les euls pays qui me semblent moins concernés par le sujet sont les pays anglos-saxons, et les pays nordiques... Il y a selon moi une part de la culture protestante prônant la frugalité (mais je dis peut-être n'importe quoi ) et un intériet pour la qualité, à défaut de la qualité. En Angleterre, j'ai constaté que tout le monde parlait de bouffe, mais pas comme nous : là bas c'est régime, ne pas grossir et manger végan/sain/"chic" avant tout ; aux US l'essentiel c'est de mager beaucoup, encore et toujours plus (bon évidemment pas tout le monde non plus)...

Tu généralises un peu trop je trouve: j'ai des amis anglais qui adorent cuisiner et tester de nouveaux restaurants, et il y un nombre impressionnant de celebrity chefs (Nigella Lawson, Jamie Oliver, Gordon Ramsay...) et d'émissions de télé consacrées à la bouffe.

PS: Je ne parle absolument jamais de bouffe avec mes collègues, suis-je normal ?

Caspar a écrit:

Lisak40 a écrit:Clairement ceux qui croient que la nourriture est une obsession française n'ont pas fréquenté d'Asiats ou de Moyen-Orientaux ou Africains ou autre !! La bouffe, pour le peu que j'en sais est une obsession bien française, ok,mais aussi du reste du monde. Les euls pays qui me semblent moins concernés par le sujet sont les pays anglos-saxons, et les pays nordiques... Il y a selon moi une part de la culture protestante prônant la frugalité (mais je dis peut-être n'importe quoi ) et un intériet pour la qualité, à défaut de la qualité. En Angleterre, j'ai constaté que tout le monde parlait de bouffe, mais pas comme nous : là bas c'est régime, ne pas grossir et manger végan/sain/"chic" avant tout ; aux US l'essentiel c'est de mager beaucoup, encore et toujours plus (bon évidemment pas tout le monde non plus)...

Tu généralises un peu trop je trouve: j'ai des amis anglais qui adorent cuisiner et tester de nouveaux restaurants, et il y un nombre impressionnant de celebrity chefs (Nigella Lawson, Jamie Oliver, Gordon Ramsay...) et d'émissions de télé consacrées à la bouffe.

PS: Je ne parle absolument jamais de bouffe avec mes collègues, suis-je normal ?

Normal, sans doute, mais êtes-vous Français ? La perfide Albion n'aurait-elle pas tant déteint sur vous que vous ayez perdu votre âme estomac

Ponocrates a écrit:

Caspar a écrit:

Lisak40 a écrit:Clairement ceux qui croient que la nourriture est une obsession française n'ont pas fréquenté d'Asiats ou de Moyen-Orientaux ou Africains ou autre !! La bouffe, pour le peu que j'en sais est une obsession bien française, ok,mais aussi du reste du monde. Les euls pays qui me semblent moins concernés par le sujet sont les pays anglos-saxons, et les pays nordiques... Il y a selon moi une part de la culture protestante prônant la frugalité (mais je dis peut-être n'importe quoi ) et un intériet pour la qualité, à défaut de la qualité. En Angleterre, j'ai constaté que tout le monde parlait de bouffe, mais pas comme nous : là bas c'est régime, ne pas grossir et manger végan/sain/"chic" avant tout ; aux US l'essentiel c'est de mager beaucoup, encore et toujours plus (bon évidemment pas tout le monde non plus)...

Tu généralises un peu trop je trouve: j'ai des amis anglais qui adorent cuisiner et tester de nouveaux restaurants, et il y un nombre impressionnant de celebrity chefs (Nigella Lawson, Jamie Oliver, Gordon Ramsay...) et d'émissions de télé consacrées à la bouffe.

PS: Je ne parle absolument jamais de bouffe avec mes collègues, suis-je normal ?

Normal, sans doute, mais êtes-vous Français ? La perfide Albion n'aurait-elle pas tant déteint sur vous que vous ayez perdu votre âme estomac

Pas du tout car j'adore manger et aller au restaurant (et la perfide Albion s'est quand même bien améliorée côté bouffe et il y a des plats traditionnels délicieux).

Caspar a écrit:

Lisak40 a écrit:Clairement ceux qui croient que la nourriture est une obsession française n'ont pas fréquenté d'Asiats ou de Moyen-Orientaux ou Africains ou autre !! La bouffe, pour le peu que j'en sais est une obsession bien française, ok,mais aussi du reste du monde. Les euls pays qui me semblent moins concernés par le sujet sont les pays anglos-saxons, et les pays nordiques... Il y a selon moi une part de la culture protestante prônant la frugalité (mais je dis peut-être n'importe quoi ) et un intériet pour la qualité, à défaut de la qualité. En Angleterre, j'ai constaté que tout le monde parlait de bouffe, mais pas comme nous : là bas c'est régime, ne pas grossir et manger végan/sain/"chic" avant tout ; aux US l'essentiel c'est de mager beaucoup, encore et toujours plus (bon évidemment pas tout le monde non plus)...

Tu généralises un peu trop je trouve: j'ai des amis anglais qui adorent cuisiner et tester de nouveaux restaurants, et il y un nombre impressionnant de celebrity chefs (Nigella Lawson, Jamie Oliver, Gordon Ramsay...) et d'émissions de télé consacrées à la bouffe.

PS: Je ne parle absolument jamais de bouffe avec mes collègues, suis-je normal ?

You can’t beat British cuisine. pic.twitter.com/Bkx511jfPH

— No Context Brits (@NoContextBrits) July 27, 2021

Caspar a écrit:

Ponocrates a écrit:

Caspar a écrit:

Lisak40 a écrit:Clairement ceux qui croient que la nourriture est une obsession française n'ont pas fréquenté d'Asiats ou de Moyen-Orientaux ou Africains ou autre !! La bouffe, pour le peu que j'en sais est une obsession bien française, ok,mais aussi du reste du monde. Les euls pays qui me semblent moins concernés par le sujet sont les pays anglos-saxons, et les pays nordiques... Il y a selon moi une part de la culture protestante prônant la frugalité (mais je dis peut-être n'importe quoi ) et un intériet pour la qualité, à défaut de la qualité. En Angleterre, j'ai constaté que tout le monde parlait de bouffe, mais pas comme nous : là bas c'est régime, ne pas grossir et manger végan/sain/"chic" avant tout ; aux US l'essentiel c'est de mager beaucoup, encore et toujours plus (bon évidemment pas tout le monde non plus)...

Tu généralises un peu trop je trouve: j'ai des amis anglais qui adorent cuisiner et tester de nouveaux restaurants, et il y un nombre impressionnant de celebrity chefs (Nigella Lawson, Jamie Oliver, Gordon Ramsay...) et d'émissions de télé consacrées à la bouffe.

PS: Je ne parle absolument jamais de bouffe avec mes collègues, suis-je normal ?

Normal, sans doute, mais êtes-vous Français ? La perfide Albion n'aurait-elle pas tant déteint sur vous que vous ayez perdu votre âme estomac

Pas du tout car j'adore manger et aller au restaurant (et la perfide Albion s'est quand même bien améliorée côté bouffe et il y a des plats traditionnels délicieux).

Je confirme les deux affirmations

menerve a écrit:

Hirondelle a écrit:Je ne supporte plus ce collègue qui continue de m'envoyer des messages sous couvert de "l'erreur de destinataire".

Mais que dit-il dans ces messages ?

Il tente d'entrer en contact avec moi alors qu'il n'en a plus le droit. C'était un arrangement convenu avec mon CDE par rapport aux problèmes qu'il m'avait fait subir l'an dernier.
Je ne réponds plus, j'espère qu'il se lassera.

Ianna a écrit:Je trouve que l'article cité par Sissi est très intéressant : il montre bien à quelle pauvreté intellectuelle sont condamnés nos jeunes.

Intéressant ou pas, il n'a aucun rapport avec le sujet du fil qui est "je ne supporte plus mes collègues", et encore une fois j'ai du mal à croire que les sujets abordés dans l'article soient si souvent que ça abordés en salle des professeurs...

Ce n'est pas moi qui ai lancé cette conversation, donc peut être que pour un néo, c'est une conversation généralisée (et je compatis à sa souffrance...)
quand a moi, c'est un collègue qui en vaut 20 en salle des profs tellement il est bruyant. D'ailleurs, c'est flagrant comme la salle se vide quand il n'est pas là.

lulucastagnette a écrit:Hocam je répondais à Ore, pas du tout à toi.
Tu as le droit d'être tranquille et ton collègue a le droit de discuter avec des élèves. Je trouve aussi que le copinage est une très mauvaise idée, que parler des collègues avec les élèves en est une encore pire, mais encore une fois ce n'est pas à un collègue de dicter ce qui est bien ou pas à un autre.

Le commentaire est vu de loin. Les élèves disent souvent des propos à l'emporte-pièce sans que l'adulte présent leur demande quoi que ce soit.
Des propos de récré c'est du "off".
De même, le mot "copinage" est déjà en lui-même un jugement. Pas du tout sûr que cela aille de cette façon.
Parfois, un peu d'humour est plus signe de partage que de copinage.
Si cela se fait avec des élèves "gentils" qui sont plus tranquilles qu'en bas dans la cour, si j'ai bien compris, cela n'apporte pas de violence, c'est juste une sorte de "refuge" temporaire pour eux. Et le collègue a sûrement lui aussi d'autres choses à faire. Il tolère des visites sympathiques.
Il lui faudrait par contre tempérer les sonorités de ces visiteurs de récré.

Ce fil a un thème finalement assez dommageable sur ce forum. Il semble déverser quelques misanthropies ordinaires auxquelles il donne un titre de gloire en tant que sujet de réflexion. là où au final, ce ne sont que des décalages humains bien quotidiens sans conséquences importantes.

eviradnus18 a écrit:

lulucastagnette a écrit:Hocam je répondais à Ore, pas du tout à toi.
Tu as le droit d'être tranquille et ton collègue a le droit de discuter avec des élèves. Je trouve aussi que le copinage est une très mauvaise idée, que parler des collègues avec les élèves en est une encore pire, mais encore une fois ce n'est pas à un collègue de dicter ce qui est bien ou pas à un autre.

Le commentaire est vu de loin. Les élèves disent souvent des propos à l'emporte-pièce sans que l'adulte présent leur demande quoi que ce soit.
Des propos de récré c'est du "off".
De même, le mot "copinage" est déjà en lui-même un jugement. Pas du tout sûr que cela aille de cette façon.
Parfois, un peu d'humour est plus signe de partage que de copinage.
Si cela se fait avec des élèves "gentils" qui sont plus tranquilles qu'en bas dans la cour, si j'ai bien compris, cela n'apporte pas de violence, c'est juste une sorte de "refuge" temporaire pour eux. Et le collègue a sûrement lui aussi d'autres choses à faire. Il tolère des visites sympathiques.
Il lui faudrait par contre tempérer les sonorités de ces visiteurs de récré.

Ce fil a un thème finalement assez dommageable sur ce forum. Il semble déverser quelques misanthropies ordinaires auxquelles il donne un titre de gloire en tant que sujet de réflexion. là où au final, ce ne sont que des décalages humains bien quotidiens sans conséquences importantes.

Cette dernière réflexion est très intéressante.
Au final, je n'irai pas parler à mon collègue tant que le niveau sonore est acceptable mais, sans entrer dans les détails sur ses conversations avec les élèves parce qu'on est sur un forum public, je me dis que c'est un pauvre gars qui n'a pas d'amis et qui est bien content d'avoir un fan club et qui en plus écoute sa life. Je suis désolée de le dire comme ça .

Besoin de remonter ce topic.

Deux collègues :

Collègue n1 : Évidemment quand j’appelle au bureau , faut que je tombe sur lui 2 fois sur 3 ! Il me dit des trucs blessants soit disant que c’est moi qui suis incompétente que tout le monde y arrive, que le service allait très bien avant etc. (Euh non en fait, déjà ils n’ont pas cette permanence le vendredi après-midi et en général ils sont à deux !)
Quand je lui dis ses 4 vérités, et préviens que la prochaine fois je fais un rapport à notre supérieur, il me menace presque et me dis « c’est la dernière fois que tu me parles comme ça » «  tu vas voir ce qu’il va t’arriver » « c’est quoi ces menaces de rapport au cpe ? » (Alors que il a déjà fait sans même me prévenir)
C’est dur à gérer ce genre de collègues surtout car il a des enfants dans l’établissement !

Collègue n2 : Bien plus vicieuse. Je l’ai aidé à chaque fois que Mme avait besoin de se faire un café ou besoin d’une pause d’une heure.
Vendredi elle a carrément refuser de monter m’aider en permanence alors que c’était son rôle à ce moment là !!! (Et de plus que ne faisant pas de suivi de niveau, elle n’avait rien de concret à faire au bureau)

Ça devrait pas m’atteindre durant les vacances. N’empêche que 1) les gosses (difficiles certes) ont cru que c’était de leur faute (non vous êtes des enfants) et 2) j’ai tellement pleuré dans le bus sur le chemin de retour à cause de ces deux incompétents insensibles que j’ai failli tomber dans les vapes dans le bus.

C'est souvent compliqué les collègues, mais là à te lire vos échanges me semblent un peu agressifs de part et d'autre.

Avant de faire un rapport, en as-tu déjà simplement (et calmement ) parlé au CPE ? C'est votre chef de service et c'est son rôle de faire la médiation entre les AED dans ce genre de situation. Courage à toi.

ZeSandman a écrit:C'est souvent compliqué les collègues, mais là à te lire vos échanges me semblent un peu agressifs de part et d'autre.

Avant de faire un rapport, en as-tu déjà simplement (et calmement ) parlé au CPE ? C'est votre chef de service et c'est son rôle de faire la médiation entre les AED dans ce genre de situation. Courage à toi.

Oui, c’est sûr des deux côtés il y a un problème de communication, mais je garde, je garde, puis j’explose. En revanche concernant la collègue 2 elle a juste pas voulu s’emmerder à gérer des gosses difficiles un vendredi après-midi avant les vacances.

Mon collègue 1 avait déjà fait un rapport , sans m’en parler, suite à une première grosse discorde.
En fait le truc, c’est que je fais parfois des crises de panique et j’ai de l’hypersensibilité, et j’ai conscience que au sein des relations sociales, à fortiori professionnelle, c’est compliqué. Sauf que certains collègues sont incapables d’accepter cela.
Les cpes m’avaient dis qu’en cas de crise panique, je l’anticipait et que quelqu’un venait m’aider/me remplacer si besoin est.

Je comprends que tu ressens de l'injustice qui inévitablement amène de la colère, mais je te suggère de dépasser ça, ce qui permet de rester pro, et te réitère mon conseil d'en parler aux CPEs pour désamorcer et intervenir, car par principe ils ne devraient pas laisser s'installer une ambiance délétère qui ne peut que nuire au service.
Après si je comprends tu as déjà évoqué avec eux ce problème relationnel et j'ai l'impression de lire entre les lignes qu'ils semblent s'être concentrés sur tes réactions ; sans jugement je ne peux que te dire que laisser sortir sa colère de façon virulente ne peut être que contreproductif vis à vis de tes objectifs.

Ce que je fais quand mes collègues m'insupportent : j'essaie de m'imaginer dans leur peau et de comprendre pourquoi ils ont eu tel ou tel réaction.
T'es collègues peuvent aussi penser que leur boulot c'est de s'occuper des gosses et non de pallier tes difficultés.
Tes réactions peuvent aussi être difficiles à comprendre pour eux si comme tu le dis, tu exploses.
Parfois il faut mettre de l'eau dans son vin pour arrondir les angles et permettre juste d'aller au travail.

menerve a écrit:Ce que je fais quand mes collègues m'insupportent : j'essaie de m'imaginer dans leur peau et de comprendre pourquoi ils ont eu tel ou tel réaction.
T'es collègues peuvent aussi penser que leur boulot c'est de s'occuper des gosses et non de pallier tes difficultés.
Tes réactions peuvent aussi être difficiles à comprendre pour eux si comme tu le dis, tu exploses.
Parfois il faut mettre de l'eau dans son vin pour arrondir les angles et permettre juste d'aller au travail.

Certes. Mais justement quand c’est s’occuper des gosses ton boulot : tu viens aider ton/ta collègue en difficulté. Surtout quand c’est ton postes à ce moment là ! Tu restes pas au bureau à boire ton café...

Aed2022,

J'ai pour ma part mis du temps à comprendre qu'il y a une différence entre ce qu'on peut rationnellement attendre des autres (chez qui on suppose a priori une réciprocité des bonnes intentions) et ce qu'ils font, qui est avant tout guidé par leurs émotions.

J'ai l'impression que tu attends des autres qu'ils fonctionnent comme toi. Il faut plutôt leur prouver que tu fonctionnes comme eux. Trouve des points communs avec tes collègues sur lesquels papoter pour faire le plein d'émotions positives à ton égard (ça marche mieux que rendre des services). Ils seront plus conciliants peut-être.

Il n'y a pas un poste en perm, un au bureau, etc. ?
Il doit rester quelqu'un au bureau lorsque la vie scolaire est ouverte, non ?

Franchement, ne le prends pas mal, mais la lecture de tes messages laisse toujours un sentiment de malaise. On a du mal à savoir si tu bosses dans un établissement vraiment horrible avec des collègues horribles, ou si le problème vient de toi (hypersensibilité notamment). Dans les 2 cas, c'est sans doute toi qui peux agir : chercher du travail ailleurs (pour te préserver), ou travailler sur tes difficultés professionnelles et relationnelles.