- Isis39Enchanteur
Est-il précisé dans notre statut sur combien de semaines cet horaire hebdomadaire est-il valable ?Karine B. a écrit:Non, nous avons un statut avec une définition hebdomadaire des horaires (et nous ne sommes pas annualisés)forrester1 a écrit:Mais, on n'est régi par aucun code du travail, convention ou je ne sais quoi pour qu’on nous fasse rattraper un jour que nous avons déjà travaillé?
- RagnetrudeExpert spécialisé
Je pense que le seul truc qu'on est en droit de réclamer "légalement" est le paiement de ces heures en HSE.
- Karine B.Guide spirituel
Comme tous les fonctionnaires, nous avons 5 semaines de congés payésIsis39 a écrit:Est-il précisé dans notre statut sur combien de semaines cet horaire hebdomadaire est-il valable ?Karine B. a écrit:Non, nous avons un statut avec une définition hebdomadaire des horaires (et nous ne sommes pas annualisés)forrester1 a écrit:Mais, on n'est régi par aucun code du travail, convention ou je ne sais quoi pour qu’on nous fasse rattraper un jour que nous avons déjà travaillé?
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- matahariNiveau 3
Bonjour,
Il a été clairement dit dans certaines académies qui ont fait machine arrière depuis pour essayer de noyer le mécontentement et sur le site du ministère ( voir pdf attaché au calendrier scolaire) que c'était le 2 septembre non travaillé en présence d'élèves que nous rattrapions. Les syndicats ont manqué de vigilance, refusé pour certains une pré-rentrée fin août pourtant préférable et dénigré FO qui a dénoncé le fait depuis des mois et des mois, en diffusant la vérité.
Nous sommes plusieurs à refuser ce rattrapage dans mon collège, par principe. 36 semaines, le décret ne dit pas qu'elles doivent être entières et à ce rythme-là, nous allons devoir rattraper les quelques jours fériés qui tombent hors vacances. Ceux qui sont dans les vacances ne nous sont pas rendus comme dans le privé, qui finit par nous rattraper largement avec les jours de congés et les RTT, plus les week-end que je prends rarement à cause du travail ( prep de cours, corrections de copies) que je ne peux pas faire en semaine à cause des mille et une réunions qu'on "m'impose" le soir après la classe.
Nous avons lu tout et n'importe quoi sur les fils sur le sujet ! Le ministère nous fait rattraper une pré-rentrée qu'il ne compte donc pas dans notre service. L'année prochaine, je n'irai pas comme ça les choses seront claires.
Visiblement rattrapé par sa base qui fait remonter l'indignation, le SNES devrait déposer un préavis de grève: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour couvrir les collègues qui, comme moi, refusent de travailler deux fois pour un jour imposé. Après, si les syndicats sont cohérents, c'est au conseil d'Etat de trancher. A-t-on le droit d'imposer un jour travaillé à récupérer? Et quid des professeurs des écoles à qui on a imposé deux jours de pré-rentrée non inscrits dans le BO?
Un rapport récent estime notre temps de travail à 43 heures plus 20 jours dits de congé. Allons-nous continuer à tout accepter quand nos salaires sont gelés et nettement en dessous des salaires des bac+5 qui travaillent dans le privé?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il a été clairement dit dans certaines académies qui ont fait machine arrière depuis pour essayer de noyer le mécontentement et sur le site du ministère ( voir pdf attaché au calendrier scolaire) que c'était le 2 septembre non travaillé en présence d'élèves que nous rattrapions. Les syndicats ont manqué de vigilance, refusé pour certains une pré-rentrée fin août pourtant préférable et dénigré FO qui a dénoncé le fait depuis des mois et des mois, en diffusant la vérité.
Nous sommes plusieurs à refuser ce rattrapage dans mon collège, par principe. 36 semaines, le décret ne dit pas qu'elles doivent être entières et à ce rythme-là, nous allons devoir rattraper les quelques jours fériés qui tombent hors vacances. Ceux qui sont dans les vacances ne nous sont pas rendus comme dans le privé, qui finit par nous rattraper largement avec les jours de congés et les RTT, plus les week-end que je prends rarement à cause du travail ( prep de cours, corrections de copies) que je ne peux pas faire en semaine à cause des mille et une réunions qu'on "m'impose" le soir après la classe.
Nous avons lu tout et n'importe quoi sur les fils sur le sujet ! Le ministère nous fait rattraper une pré-rentrée qu'il ne compte donc pas dans notre service. L'année prochaine, je n'irai pas comme ça les choses seront claires.
Visiblement rattrapé par sa base qui fait remonter l'indignation, le SNES devrait déposer un préavis de grève: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour couvrir les collègues qui, comme moi, refusent de travailler deux fois pour un jour imposé. Après, si les syndicats sont cohérents, c'est au conseil d'Etat de trancher. A-t-on le droit d'imposer un jour travaillé à récupérer? Et quid des professeurs des écoles à qui on a imposé deux jours de pré-rentrée non inscrits dans le BO?
Un rapport récent estime notre temps de travail à 43 heures plus 20 jours dits de congé. Allons-nous continuer à tout accepter quand nos salaires sont gelés et nettement en dessous des salaires des bac+5 qui travaillent dans le privé?
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- Roumégueur IerÉrudit
En ce moment, je me pose souvent cette question : et si ce même texte, à la virgule près, avait été écrit par un ministre de droite (Darcos, Chatel...), comment auraient réagi les syndicats dès novembre 2012? (c'est un vrai questionnement, le texte me paraît tellement inacceptable tel quel que je me demande si l'on n'a pas fait preuve d'une mansuétude un peu coupable à l'endroit de M. Peillon). Je ne me souviens pas avoir lu un tel texte de toute ma carrière, demandant à un travailleur de refaire une journée effectuée. C'est comme si l'on disait à un salarié de la grande distribution de rattraper les jours d'inventaire car ces jours-là il n'y avait pas de clients dans le magasin, la démarche est similaire.matahari a écrit:Bonjour,
Il a été clairement dit dans certaines académies qui ont fait machine arrière depuis pour essayer de noyer le mécontentement et sur le site du ministère ( voir pdf attaché au calendrier scolaire) que c'était le 2 septembre non travaillé en présence d'élèves que nous rattrapions. Les syndicats ont manqué de vigilance, refusé pour certains une pré-rentrée fin août pourtant préférable et dénigré FO qui a dénoncé le fait depuis des mois et des mois, en diffusant la vérité.
Nous sommes plusieurs à refuser ce rattrapage dans mon collège, par principe. 36 semaines, le décret ne dit pas qu'elles doivent être entières et à ce rythme-là, nous allons devoir rattraper les quelques jours fériés qui tombent hors vacances. Ceux qui sont dans les vacances ne nous sont pas rendus comme dans le privé, qui finit par nous rattraper largement avec les jours de congés et les RTT, plus les week-end que je prends rarement à cause du travail ( prep de cours, corrections de copies) que je ne peux pas faire en semaine à cause des mille et une réunions qu'on "m'impose" le soir après la classe.
Nous avons lu tout et n'importe quoi sur les fils sur le sujet ! Le ministère nous fait rattraper une pré-rentrée qu'il ne compte donc pas dans notre service. L'année prochaine, je n'irai pas comme ça les choses seront claires.
Visiblement rattrapé par sa base qui fait remonter l'indignation, le SNES devrait déposer un préavis de grève: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour couvrir les collègues qui, comme moi, refusent de travailler deux fois pour un jour imposé. Après, si les syndicats sont cohérents, c'est au conseil d'Etat de trancher. A-t-on le droit d'imposer un jour travaillé à récupérer? Et quid des professeurs des écoles à qui on a imposé deux jours de pré-rentrée non inscrits dans le BO?
Un rapport récent estime notre temps de travail à 43 heures plus 20 jours dits de congé. Allons-nous continuer à tout accepter quand nos salaires sont gelés et nettement en dessous des salaires des bac+5 qui travaillent dans le privé?
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Nous avons reçu la dernière circulaire à ce sujet de notre rectrice, on y parle de choses incongrues :
- 'Privilégier les semaines entières de cours, sauf la semaine de la rentrée dont le lundi non scolarisé, est rattrapé'
- 'Pour garantir aux élèves 36 semaines de cours, conformément aux dispositions de l'article L. 521-1 du code de l'éducation, les cours de la journée du 2 septembre 2013, non scolarisée doivent être rattrapés.'
Et de manière assez baroque, ce texte se termine par le vendredi de l'ascension (30/05) qu'il convient de rattraper en... une seule demi-journée le mercredi 28/05 après-midi, avec comme précision 'ainsi, l'intégralité de cette journée sera travaillée pour les élèves' (on marche vraiment sur la tête : une demi-journée de cours disparaît, mais comme on travaillera le mercredi en entier, la semaine est sauvée...)
- Roumégueur IerÉrudit
L'article L.521-1 :
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"L'année scolaire comporte trente-six semaines au moins réparties en cinq périodes de travail, de durée comparable, séparées par quatre périodes de vacance des classes. Un calendrier scolaire national est arrêté par le ministre chargé de l'éducation pour une période de trois années. Il peut être adapté, dans des conditions fixées par décret, pour tenir compte des situations locales."
Où est la mention de semaines complètes/entières ou de jours que l'on doit aux élèves?
Cela se comprend d'ailleurs aisément, il faudrait alors rattraper tous les jours dus aux élèves qui ont eu une rentrée décalée, les ponts en entier, les cours supprimés pour cause de réunions diverses et variées (école-collège...), les cours qui disparaissent car l'établissement est fermé car centre d'examen, les journées banalisées pour tel ou tel examen, les cours perdus car les enseignants sont en sortie/voyage, les cours disparus car l'enseignant est absent et que personne n'a pris sa place... bref, cela entraînerait des comptes d'apothicaire classe par classe!
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"L'année scolaire comporte trente-six semaines au moins réparties en cinq périodes de travail, de durée comparable, séparées par quatre périodes de vacance des classes. Un calendrier scolaire national est arrêté par le ministre chargé de l'éducation pour une période de trois années. Il peut être adapté, dans des conditions fixées par décret, pour tenir compte des situations locales."
Où est la mention de semaines complètes/entières ou de jours que l'on doit aux élèves?
Cela se comprend d'ailleurs aisément, il faudrait alors rattraper tous les jours dus aux élèves qui ont eu une rentrée décalée, les ponts en entier, les cours supprimés pour cause de réunions diverses et variées (école-collège...), les cours qui disparaissent car l'établissement est fermé car centre d'examen, les journées banalisées pour tel ou tel examen, les cours perdus car les enseignants sont en sortie/voyage, les cours disparus car l'enseignant est absent et que personne n'a pris sa place... bref, cela entraînerait des comptes d'apothicaire classe par classe!
- henrietteMédiateur
Dans mon académie, on nous affirme que nous rattrapons un des deux jours supplémentaires de la Toussaint - le jeudi, puisque le vendredi de toute façon est férié).
Mais qu'en est-il alors ? Cette rallonge de la Toussaint a-t-elle été déjà compensée en réalité par un allongement du calendrier sur l'année scolaire, ou pas ? Je ne comprends plus rien !
Mais qu'en est-il alors ? Cette rallonge de la Toussaint a-t-elle été déjà compensée en réalité par un allongement du calendrier sur l'année scolaire, ou pas ? Je ne comprends plus rien !
- Roumégueur IerÉrudit
La page de 2 de ce document tiré du site ministériel de l'EN est assez claire il me semble, la Toussaint n'est pas un argument pour les rattrapages :henriette a écrit:Dans mon académie, on nous affirme que nous rattrapons un des deux jours supplémentaires de la Toussaint - le jeudi, puisque le vendredi de toute façon est férié).
Mais qu'en est-il alors ? Cette rallonge de la Toussaint a-t-elle été déjà compensée en réalité par un allongement du calendrier sur l'année scolaire, ou pas ? Je ne comprends plus rien !
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- InvitéInvité
C'est juste qu'avant les jours que l'on faisait en reprenant le jeudi aux vacances de Toussaint compensaient les jours de prérentrée.
ça n'est plus le cas depuis l'an dernier.
Maintenant, en effet, je trouve ces comptes apothicaires un peu pénibles compte tenu de ce que peuvent perdre part ailleurs nos élèves sans que ça ne pose de pb à personne.
ça n'est plus le cas depuis l'an dernier.
Maintenant, en effet, je trouve ces comptes apothicaires un peu pénibles compte tenu de ce que peuvent perdre part ailleurs nos élèves sans que ça ne pose de pb à personne.
- Roumégueur IerÉrudit
Ben si : l'année fait les 36 semaines de cours légales cette année, justement!Will.T a écrit:C'est juste qu'avant les jours que l'on faisait en reprenant le jeudi aux vacances de Toussaint compensaient les jours de prérentrée.
ça n'est plus le cas depuis l'an dernier.
Maintenant, en effet, je trouve ces comptes apothicaires un peu pénibles compte tenu de ce que peuvent perdre part ailleurs nos élèves sans que ça ne pose de pb à personne.
- henrietteMédiateur
Concrètement alors, que rétorquer au rattrapage du jeudi des vacances (et non du lundi de la pré-rentrée) ? Qu'il est en contradiction avec le calendrier du site du Ministère, et donc qu'on veut rattraper le lundi, pas le jeudi ?
Et du coup attendre l'hypothétique recours des syndicats au Conseil d'Etat ou je ne sais quoi contre ce rattrapage d'un jour déjà travaillé ?
Si nous déposons une heure d'info syndicale, il faut proposer une motion aux collègues, d'où ma question, et un truc qui s'appuie le plus possible sur les textes les "plus" légaux :la circulaire Aix-Marseille en l'occurrence peut-elle passer outre le calendrier ministériel ?
Et du coup attendre l'hypothétique recours des syndicats au Conseil d'Etat ou je ne sais quoi contre ce rattrapage d'un jour déjà travaillé ?
Si nous déposons une heure d'info syndicale, il faut proposer une motion aux collègues, d'où ma question, et un truc qui s'appuie le plus possible sur les textes les "plus" légaux :la circulaire Aix-Marseille en l'occurrence peut-elle passer outre le calendrier ministériel ?
- Roumégueur IerÉrudit
Tout est dans le 'on nous affirme' : as-tu vu un document écrit stipulant que tu rattrapes le jeudi de la Toussaint? Le seul texte 'valable' qui précise les choses est celui que j'ai donné en lien (le calendrier officiel du ministère), donc ton dasen/recteur... doit se référer à ce texte (arrêté ministériel du 28/11/2012 et aux arrêtés rectoraux) et pas à un autre qui n'existe pas.henriette a écrit:Dans mon académie, on nous affirme que nous rattrapons un des deux jours supplémentaires de la Toussaint - le jeudi, puisque le vendredi de toute façon est férié).
Mais qu'en est-il alors ? Cette rallonge de la Toussaint a-t-elle été déjà compensée en réalité par un allongement du calendrier sur l'année scolaire, ou pas ? Je ne comprends plus rien !
- InvitéInvité
On me demande de rattraper la pré-entrée que je n'ai pas effectuée dans mon établissement puisque j'y ai été nommée quelques jours après la rentrée, je suis contractuelle à mi-temps..Quelqu’un pourrait m'éclairer la-dessus, dois-je rattraper ce jour?
- DinaaaExpert spécialisé
Mon chef a gentiment mis un mot sur l'ENC (donc à destination des parents et des élèves) :
"Les enseignants ayant commencé l'année le 2 septembre au lieu du 30 août, les élèves ont été privés d'une journée de cours. Cette journée sera donc rattrapée bla bla bla..."
Ou comment laisser entendre que les profs sont des gros feignasses qui s'amusent à faire chier le monde pour leur petit confort personnel...
"Les enseignants ayant commencé l'année le 2 septembre au lieu du 30 août, les élèves ont été privés d'une journée de cours. Cette journée sera donc rattrapée bla bla bla..."
Ou comment laisser entendre que les profs sont des gros feignasses qui s'amusent à faire chier le monde pour leur petit confort personnel...
- Roumégueur IerÉrudit
Waouh, d'où sort-il qu'il fallait commencer le 30 août?Dinaaa a écrit:Mon chef a gentiment mis un mot sur l'ENC (donc à destination des parents et des élèves) :
"Les enseignants ayant commencé l'année le 2 septembre au lieu du 30 août, les élèves ont été privés d'une journée de cours. Cette journée sera donc rattrapée bla bla bla..."
Ou comment laisser entendre que les profs sont des gros feignasses qui s'amusent à faire chier le monde pour leur petit confort personnel...
Mais ses vœux seront exaucés l'an prochain et au moins pour les 3 rentrées suivantes, nous serons bien sur le pont le dernier jour d'août (donc plus des feignasses?)
- MarieLNeoprof expérimenté
Mince, ils devraient t'embaucher pour la communication au ministère. C'est la première fois que l'explication me paraît juste en si peu de mots.Will.T a écrit:C'est juste qu'avant les jours que l'on faisait en reprenant le jeudi aux vacances de Toussaint compensaient les jours de prérentrée.
ça n'est plus le cas depuis l'an dernier.
Maintenant, en effet, je trouve ces comptes apothicaires un peu pénibles compte tenu de ce que peuvent perdre part ailleurs nos élèves sans que ça ne pose de pb à personne.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- MimicracraFidèle du forum
Incroyable d'être traité de la sorte !!!!Dinaaa a écrit:Mon chef a gentiment mis un mot sur l'ENC (donc à destination des parents et des élèves) :
"Les enseignants ayant commencé l'année le 2 septembre au lieu du 30 août, les élèves ont été privés d'une journée de cours. Cette journée sera donc rattrapée bla bla bla..."
Ou comment laisser entendre que les profs sont des gros feignasses qui s'amusent à faire chier le monde pour leur petit confort personnel...
- MarieLNeoprof expérimenté
Une collègue a sorti la même explication aux rares qui râlent chez nous à ce sujet (collègue très appréciée de plusieurs IPR, préfet des études, et qui a imposé en toute discrétion des devoirs communs en quatrième pour 4 matières...).Roumégueur Ier a écrit:Waouh, d'où sort-il qu'il fallait commencer le 30 août?Dinaaa a écrit:Mon chef a gentiment mis un mot sur l'ENC (donc à destination des parents et des élèves) :
"Les enseignants ayant commencé l'année le 2 septembre au lieu du 30 août, les élèves ont été privés d'une journée de cours. Cette journée sera donc rattrapée bla bla bla..."
Ou comment laisser entendre que les profs sont des gros feignasses qui s'amusent à faire chier le monde pour leur petit confort personnel...
Mais ses vœux seront exaucés l'an prochain et au moins pour les 3 rentrées suivantes, nous serons bien sur le pont le dernier jour d'août (donc plus des feignasses?)
PS - J'aime beaucoup la précision "les élèves ont été privés"...
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- RagnetrudeExpert spécialisé
Moi ce qui me fait surtout peur c'est qu'avec ce nouvel argument des 36 semaines c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres comme qui dirait... On peut l'utiliser pour nous faire rattraper les jours fériés, les jours de sortie, les jours d'examen, etc...
Je pense poser une heure d'info syndicale (ne serait-ce que pour alléger ma journée qui va être énorme du coup ). Que peut-on prévoir pour animer cette heure d'info ?
Est-ce qu'on a des exemples d'années sans les 36 semaines de cours ? Est-ce que c'est vraiment une lubie nouvelle ou ils nous ont déjà fait le coup ?
Je pense poser une heure d'info syndicale (ne serait-ce que pour alléger ma journée qui va être énorme du coup ). Que peut-on prévoir pour animer cette heure d'info ?
Est-ce qu'on a des exemples d'années sans les 36 semaines de cours ? Est-ce que c'est vraiment une lubie nouvelle ou ils nous ont déjà fait le coup ?
- TinselExpert
Dans le calendrier scolaire prévu au départ (avant l'arrivée de ce ministre?) la pré-rentrée était prévue le 30 août, et la rentrée des élèves le lundi 2.
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Koala + bassine
- RagnetrudeExpert spécialisé
Je sais pas ce qui aurait été le mieux, parce qu'une pré-rentrée le 30 ça te pourrit bien le weekend je trouve. En gros ça fait perdre 3 jours de vacances.
- MarieLNeoprof expérimenté
Mais quel calendrier ? La publication du calendrier a été retardée justement.Tinsel a écrit:Dans le calendrier scolaire prévu au départ (avant l'arrivée de ce ministre?) la pré-rentrée était prévue le 30 août, et la rentrée des élèves le lundi 2.
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Je suis ce que je suis et je suis l'être même, je suis ma volonté en moi-même exaucée - A. Kalda
- TinselExpert
Non, moi en novembre 2012 j'avais besoin de prévoir mes vacances d'été et sur le site du ministère le calendrier scolaire de l'année 2013-2014 était indiqué avec une pré-rentrée le 30 août. C'est d'ailleurs ici sur neo que j'ai découvert que ça avait été modifié.
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Koala + bassine
- henrietteMédiateur
Ben, le mot collé dans les carnets des élèves... Ok, ça n'a aucune valeur en soi, même si c'est appuyé sur une circulaire du rectorat. Mais concrètement, on peut exiger quoi du CDE alors ?Roumégueur Ier a écrit:Tout est dans le 'on nous affirme' : as-tu vu un document écrit stipulant que tu rattrapes le jeudi de la Toussaint? Le seul texte 'valable' qui précise les choses est celui que j'ai donné en lien (le calendrier officiel du ministère), donc ton dasen/recteur... doit se référer à ce texte (arrêté ministériel du 28/11/2012 et aux arrêtés rectoraux) et pas à un autre qui n'existe pas.henriette a écrit:Dans mon académie, on nous affirme que nous rattrapons un des deux jours supplémentaires de la Toussaint - le jeudi, puisque le vendredi de toute façon est férié).
Mais qu'en est-il alors ? Cette rallonge de la Toussaint a-t-elle été déjà compensée en réalité par un allongement du calendrier sur l'année scolaire, ou pas ? Je ne comprends plus rien !
- matahariNiveau 3
Et alors, pré-rentrée le 30 août, on l'a déjà vécu et on va le vivre encore! Quand les syndicats ont-ils consulté leurs bases avant de refuser et d'accepter ce rattrapage inacceptable ? Pas étonnant qu'après ils communiquent en masquant la réalité !
- Karine B.Guide spirituel
pas moimatahari a écrit:Et alors, pré-rentrée le 30 août
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- Grèce, Grande-Bretagne, Mexique... : Grèves d'enseignants dans le monde à la rentrée 2013.
- "Si ce n’est pas parfait, on améliorera" : Vincent Peillon effectue sa rentrée 2013 à Toulouse devant les nouveaux enseignants.
- Lutte ouvrière : les enseignants du collège Lakanal de Vitry-sur-Seine sont inquiets pour la rentrée 2013.
- En trois ans (2013-2015), le ministère aura tout refondé : rythmes scolaires, ZEP, collège, socle commun, statut des métiers (enseignants, directeurs, CPE, etc.), rentrée, horaires et TOUS les programmes.
- Week-end de rentrée, vendredi après-midi, mois de juin, 2eme jour de pré-rentrée : Jean-Michel Zakhartchouk, retraité, invite les enseignants à travailler davantage.
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